maddiganed a écrit :N'empeche que tu peux t'énerver autant que tu veux, mettre autant de !!! et de mots en rouges que tu veux, ça ne convaint pas...
Et tu me fais bien rire avec tes 130.000km2 qui te semblent si énorme...
Entre les 'observations' des autochtones, les traces que ça doit laisser (pas, défécations, repas?) un animal d'une telle corpulence aurait été trouvé depuis longtemps...
Tu m'aurais dit qu'il faisait 10 cms sur 20, j'aurais rien dit, mais vu ce que tu prétends.... entre un éléphant et un hippopotame, des traces auraient dû être vues...
Enfin bref, force est de constater que tu t'accoches à ce que tu peux pour ne pas tomber dans le désarroi le plus complet qui te forcerait à admettre que ta théorie du dessein intelligent est une vaste fumisterie.
Bonne journée quand même,
tato..., jabba... les ewoks. les orcs .... les elfes du Seigneur des anneaux n’intéressent nullement la cryptozoologie.... Vous essayez de vous expliquer par des plaisanteries????Jedi a écrit :T'as oublié "Star wars" où on a la preuve que tatooine, jabba le hutt et les ewoks existent... et les orcs et les elfes dans "le Seigneur des Anneaux", hein, ils ont pas existé peut-être?
La cryptologie, ça devrait être enseigné à l'université (vu que la théologie y est déjà enseignée, hein...)
Cela ne me déplaît pas que vous les utilisiez.... Ça aide à faire une démarcation entre l’imaginaire affabulé, qui crée des contes pour enfants, et la recherche de la vérité des indices de créatures qui n’ont plus le même acabit...
Le mokele-mbêmbe laisse des traces qui intéressent nos scientifiques ... alors que les masques revêtus par les comédiens cinématographiques laissent des farces qui n’ont pas d’intérêt scientifique..... Tout un monde entre le concret et la fantasmagorie.....
Parlons-en des universités....
James Powell s'associa alors au biochimiste Roy Mackal, de l'Université de Chicago, (biologiste à l'université de Chicago et vice-président de la société internationale de cryptozoologie) pour aller explorer les marécages de Likouala. Ils constatèrent que ces peuples africains y évoquaient, dans leur folklore (floklore signifie “science” qui vient du peuple) toujours un animal similaire aux autres témoignages, ........... Ce fut pour eux révélateur et les mena à d’autres expéditions plus importantes... Au début des années 80, une de ces expéditions fut conduite par Mackal.
Cette expédition atteignit d’abord la rivière Lakouala-aux-Herbes, continua vers le sud puis remonta par la rivière Bai vers le Nord.... Ils s'enfoncèrent dans la forêt tropicale accompagnés par les indigènes de la place, là où les Européens n'avaient jamais mis les pieds. À l'aide d'un instrument, ils sondèrent les trous de la Bai où était censé se trouver notre créature. Des constatations : la végétation alentour était passablement endommagée et d'étranges empreintes de pas apparaissaient au sol ; ensuite ils aperçurent un large sillage provoqué par la plongée d'un gros animal. .....Les guides de la région ne voulurent pas les suivre plus au devant de leur parcours, ....... à cause de la détérioration du climat........
Au cours de leurs expéditions
Dans un village du nord, nommé Impgondo, situé près de la rivière Oubangui, Mackal et Powell rencontrèrent le pasteur Eugène Thomas de l'Ohio... Le missionnaire qui travaillait au Congo depuis 1955,fit venir les témoins qui avaient vu le monstre. D'abord Mackal, de formation très scientifique hésitait à croire qu'il était sur la piste d'un dinosaure vivant. (On ne rejette pas dans le monde scientifique l'existence de etlles créatures surprenantes..... Certains scientifiques sont portés à les classer parmi les lézrds de komodo) .... Cependant, chaque témoin était absolument certain que les illustrations de l'apatasaurus et du diplodocus du livre de Mackal sur les dinosaures désignaient très près de la vérité le mokele-mbêmbe. Selon Mackal : "Les témoins décrivirent des animaux mesurant de 15 à 30 pieds; ils parlèrent surtout de la tête, du cou et de la queue. La tête ressemblait à celle d'un serpent, il avait une longue queue étroite et un corps approximativement de la taille d'un éléphant ou au moins de celle d'un hippopotame. Ses pattes étaient courtes, et celles de derrière étaient munies de trois griffes. Les animaux étaient de couleur brun rougeâtre et avaient une crête ressemblant à celle d'un coq, qui partait du dessus de la tête et qui se rendait jusqu'au bas du cou."
On voit distinctement cette crête sur ce dessin fait à partir d’une des scènes décrites par les pygmés....
Toujours selon des récits nous avons pu reconstituer ces autres scènes:
Ce genre de scènes a été décrit par les peuples africains....
(Mokele-mbembe Murder ©Earl & Bonnie Snellenberger)
Mais ce n'est pas concluant....
D'autres explorateurs analystes viendront se joindre à la liste des investigateurs...
À SUIVRE.....