Si ton frère est trisomique, il passe au maximum une centaine d'année de souffrance pour une éternité de bonheur. Je fais ce deal n'importe quand.tony-truand a écrit :Mon cher fred, tu prétends que la trisomie vient d'une absorption d'alcool importante au moment de la grossesse. Tu me sort d'ailleurs un lien http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d ... %C5%93tale
montrant que l'absorption d'alcool peut entrainer des problèmes dans le développement du foetus. ça, personne n'a dit le contraire. Mais où vois tu une quelconque allusion à la trisomie? Nulle part. Je t'ai expliqué d'où venait la trisomie. Il y a bien une population à risque, c'est quelque chose que l'on se transmet de manière héréditaire. Ma mère, moi, avons ce truc qui fait qu'on a plus de chance d'avoir un enfant trisomique. Mais aucun rapport avec l'alcool (d'ailleurs ma mère ne boit pas). M'enfin, libre à toi d'accuser ma mère d'alcoolique, libre à toi de continuer à être de mauvaise foi, de ne pas avouer tes tords. Seulement évite de la ramener. Quand on a tord, et qu'on veut pas l'avouer, on a au moins la décence de la fermer.
C'était une petite mise au point.
On a donc un dieu qui a créé l'handicap. Ce n'est pas l'homme, mais dieu, le créateur de la trisomie par exemple (enfin, si on croit en dieu). Aussi, quel fut le crime de mon petit frère trisomique? La faute à adam? il sait même pas qui c'est. La faute à ma mère ou à mon père? Il paie donc pour mes parents (qui n'ont rien fait de mal en plus). Pourquoi?
Je ne vois que trois alternatives:
Dieu est un salaud=> dans ce cas, faut pas compter sur moi pour m'agenouiller devant ça
Dieu n'existe pas=> RAS
Dieu n'est pas tout puissant, il s'est contenté de créer l'univers et de nous laisser nous dépatouiller avec=> on en revient à une forme de dieu épuré, un dieu absent, bref, pas de quoi s'y intéresser plus de deux secondes, et encore moins de prier pour ce type de dieu, qui n'en a sûrement rien à foutre.
En tout cas, qu'on ne me parle pas de justice divine
Pour ce qui est de ta famille qui souffre de cela et bien l'acceptation de la souffrance et de ton frère est déjà un gros plus vers le bonheur éternel. Bien entendu, tu ne crois pas à ça donc la maladie est juste un mal pour un mal et rien de bon et puis lui et bien les plaisirs de la vie on oublie ça.