Jonathan L a écrit :Premièrement aucune preuve scientifique que la circonsicion protege de quoique se soit.
Pourquoi ne vous renseignez-vous pas sur le sujet ?mickael__keul a écrit : c'est faux et c'est criminel de le prétendre
pas contre le sida mais contre certaines maladies vénériennes .Al-Gazhali a écrit :
Elle diminue les risques, je vais tenter de retrouver l'info.
Tu m'en vois surpris. Cela contredit les derniers rapports des Nations Unies.Jonathan L a écrit :Je suis déjà rensignez ayant suivi des cour sur les MTS dans le cadre de mon travail. Étant donné la nature de la clientèle que j'avais et mes tâches, je devais passer des test de dépistage à chaque année. En fait j'y allait aux 6 mois. Plus souvent que mon emplyeur recommendait. Nous devions aussi nous tenir a jour, avoir des formations constament sur le sujet, étant donnée le nombre important de nos clients qui étaient infecté. (surtout hepatites, quelque cas de SIDA). Un de mes collègue a d'ailleur du être mis sous tri-thérapie préventive suite à un incident. J'ai moi-même presque du le faire a un moment, ayant reçu du sang infecté par le VIH sur le bras et mes vêtements. Mais comme je n'avais aucune lésion visible et la quantité minime de sang (quelque goutellettes sur mon bras, mais le chandail bon a jeter tellement il y en avait), moi et mon medecin avons jugé correct de ne pas le faire. J'ai quand même repasser deux test de dépistage par la suite. Donc, oui je suis très bien informé. Mieux que la très grande majorité des gens.
Nul part est t'il mentionner que la circonsision est un moyen de protection.
Voilà qui m'étonne. Les chiffres officiels du ministère de la santé français sont aux antipodes.Jonathan L a écrit :le taux de transmission de femme à homme est aux alentour de 10% d'homme à femmes est de 90%.
Le gland est plus fragile & plus exposé, les lésions s'y concentrent naturellement.Jonathan L a écrit :La raison est simple. Le sperme d'un homme infecté contient le virus. Celui-ci penetre dans la femme et y reste quelque temps. L'activité sexuelle causes des micro-lésions à l'interieur du vagin. Les parois du vagin contrairement à la peau du penis et de gland sont des muqueuses (peau de seulement une à quelque couches de cellule comme dans la bouche, donc extrèment fragile). C'est micro-lésions servent de porte d'entré au virus.
Pour le penis de l'homme, l'activité sexuelle ne cause pas toujours des lésions, la peau étant non pas une muqueuese, étant donc plus solide. C'est lésions peuvent se retrouvé sur toutes la longeur du penis et ne sont pas nescéssairment concentré sur le gland.
La différence serait que la muqueuse recouvrant le gland d'un circonci soit moins perméable à l'horrible virus.Jonathan L a écrit :Donc pour la femme, que le gars soit circoncis ou non cela ne change absolument rien. Pour l'homme, comme les abrasions peuvent aparaitre autant sur le corps du penis que sur le gland, cela non plus ne change rien la circonsision, surtout que le gland du circoncis et du non-circoncis sont tout les deux autant exposé.
Cela paraît logique.Jonathan L a écrit :Je n'ai pas le taux de transmission d'homme à homme. Mais j'imagine que la peau de l'anus étant plus resistante, dur, que la peau du vagin, celle-ci cause plus d'abrasion sur le penis et le penis sur l'anus, résultant en un taux de transmissions beaucoup plus élevé.
Les conséquences néfastes possibles à long terme (physiques) comprennent : affections de l’épiderme; ‘skin bridges’ (ponts de peau entre la peau restante et la couronne du gland); cicatrisation importante; érections serrées et douloureuses; saignement de la cicatrice de la circoncision au cours d’une relation prolongée (représentant une porte d’entrée efficace du virus HIV entre autres); pénis courbée en raison d’une perte inégale de peau; différence de la couleur de la peau; perte de sensibilité progressive (kératinization progressive de la surface du gland); stimulation excessive et douloureuse ou manipulation exagérée pour atteindre l’orgasme; déformation du gland.
Un article du British Journal of Survey (oct. 93) mentionne que le taux de complication réaliste se situe entre 2 et 10 %. (Williams, N., Complications of Circumcision, British Journal of Surgery, vol. 80, octobre 1993, p. 1231-1236.)
On estime qu’un minimum de 1,3 à 6,6 millions de mâles nés aux États-Unis entre 1940 et 1990 éprouvent un certain degré de complication physique attribuable à la circoncision pratiquée à la naissance. Un nombre inconnu d’hommes éprouvent une certaine forme de complication sexuelle ou psychologique.
On décrit un risque plus élevé d'urétrite non gonococcique parmi les hommes circoncis que parmi ceux qui ne le sont pas56. Une récente étude transversale effectuée auprès de 300 hommes hétérosexuels soignés à une clinique de maladies transmises sexuellement (MTS) démontre que la circoncision n'a aucun effet significatif sur l'incidence des MTS courantes57. Cependant, on a déjà relevé une incidence significativement plus élevée de MTS d'un point de vue significatif (dont l'herpès génital, la candidose, la gonorrhée et la syphilis) parmi les hommes non circoncis que parmi les hommes circoncis58. La non-circoncision et les maladies entraînant une ulcération génitale constituent des facteurs de risque dans la transmission du VIH chez les hommes hétérosexuels59,60. Une récente étude de la documentation médicale portant sur le lien entre le statut circoncisionnel et le risque d'infection au VIH incluait 30 études épidémiologiques, dont 15 étaient publiées et 14 avaient été présentées dans le cadre de conférences61. Vingt-six de ces études s'avéraient de facture transversale, deux de nature prospective et deux écologique. L'une de ces dernières estimait la séroprévalence du VIH auprès de la population générale dans 37 importantes cités africaines et corrélait ces données avec les proportions nationales estimées d'hommes non circoncis. Les autres données reliaient la séroprévalence du VIH dans 140 emplacements géographiques discrets d'Afrique aux pratiques de circoncision chez les hommes de ces régions. Tous deux démontrent des liens positifs. Dix-huit des études transversales font foi d'une association statistiquement significative, déterminée par une analyse univariée ou multivariée, entre la présence du prépuce et le risque d'infection au VIH. Quatre autres de ces études démontrent une tendance à l'association et quatre, aucune association. Les deux études prospectives révèlent une association positive. Le RR calculé dans le cadre des études et qui démontre une association statistiquement significative varie de 1,5 à 8,4. Toutefois, une révision de 26 études sur le sujet (dont 23 des études déjà examinées) commente l'absence de distinction entre la susceptibilité et l'infectiosité, l'utilisation de témoins inappropriés pour établir des variables confusionnelles, de biais de sélection potentiels et de mauvaises classifications d'exposition ou de choix non appropriés de groupes de comparaison, chacun pouvant mener à une estimation incorrecte de ce lien62. Les auteurs de cet examen commentent aussi que l'utilisation du RR dans plusieurs des études est susceptible de provoquer une surestimation de l'association, qui suggérerait ainsi un lien de causalité incorrect. Ils jugent que des études supplémentaires s'avéreraient nécessaires pour s'assurer du RR associé à l'absence de circoncision avant de songer à des études interventionnelles.
Les constatations globales sur les avantages et les inconvénients de la circoncision sont tellement équilibrées qu'elles ne permettent pas de soutenir la circoncision comme intervention systématique auprès des nouveau-nés. Rien n'indique donc que la position de la SCP prise en 1982 devrait être modifiée.
Jonathan L a écrit : Il faut croire que l'inconvénient du saignement occasionel est compensé par le durcissement de la muqueuse du gland.
C'est bien triste. Mais ça n'a aucun rapport avec le SIDA.
Je ne savais pas ; je suis bien aise de l'apprendre. Mais ça n'a toujours aucun rapport. Déjà que le SIDA n'a rien à voir avec les mosquées.
http://www.cps.ca/francais/enonces/FN/f ... xuellement Un rapport de plus dix ans...
... ne présente qu'un intérêt historique, dans le cas qui nous occupe.
mickael__keul a écrit :haineux, certainement pas, islamophobe, je le revendique, haut et fort comme une marque de ma liberté d'expression et que je pense que l'islamisme est un danger pour les démocraties
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