Le vaccin antigrippe 2007 est là ! Avis aux créationnistes !
- maddiganed
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Ecrit le 30 oct.07, 22:50
Désolé de revenir là-dessus, mais le wikipedia sur l'homeopathie m'a consterné...
Une goutte d'eau (environ 0,05 mL) dans le lac Léman (88 900 millions de m3) représente une dilution d'environ 6-19, soit l'équivalent de 10 CH ;
Une dilution à 30 CH correspond à 1 mL d'une substance-mère dans un volume de solvant équivalent à un cube dont l'arête est de deux millions de fois la distance entre la Terre et le Soleil.
Et les produits homeopathiques peuvent avoir des dilutions égales à 200 CH...
Mais comment croire qu'il reste un principe actif dans ces bouboules de glucose?
Je reste ébahi par l'énormité du truc...
Finalement le principe du "plus c'est gros, plus ça passe" marche bien avec la crédulité des gens.
Une goutte d'eau (environ 0,05 mL) dans le lac Léman (88 900 millions de m3) représente une dilution d'environ 6-19, soit l'équivalent de 10 CH ;
Une dilution à 30 CH correspond à 1 mL d'une substance-mère dans un volume de solvant équivalent à un cube dont l'arête est de deux millions de fois la distance entre la Terre et le Soleil.
Et les produits homeopathiques peuvent avoir des dilutions égales à 200 CH...
Mais comment croire qu'il reste un principe actif dans ces bouboules de glucose?
Je reste ébahi par l'énormité du truc...
Finalement le principe du "plus c'est gros, plus ça passe" marche bien avec la crédulité des gens.
- Leviathan
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Ecrit le 31 oct.07, 01:48
Bne ils "croient" en une prétendue mémoire de l'eau. C'est pas scientifique du tout et financé par Boiron, mais y'a toujours des zigotos qui y croient.
D'un autre côté, l'homéopathie, comme placébo, c'est très efficace : mieux vaut ingurgiter des pastilles de sucre que des médocs pour des petites affections.
D'un autre côté, l'homéopathie, comme placébo, c'est très efficace : mieux vaut ingurgiter des pastilles de sucre que des médocs pour des petites affections.
- Wooden Ali
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Ecrit le 31 oct.07, 02:36
En simplifiant, en utilisant les meilleures méthodes d'analyse, la limite de détection d'éléments étrangers dans l'eau est de l'ordre de la ppb (une partie par milliard). Soit dans le jargon homéopathique et en arrondissant à leur avantage l'équivalent de 5CH.
Ce qui signifie qu'au delà de 5CH la prétendue dilution introduit plus d'éléments étrangers et inconnus que de l'élément présent dans la solution mère !
Autrement dit si l'eau utilisée contient 0,1 ppb de lithium (quantité indétectable), toutes les solutions de Lithium que je pourrais préparer seront 5CH, jamais moins !
En pratique donc, toutes les "dilutions" en dessous de la concentration de l'eau employée seront identiques. 5CH=10CH=30CH !
La réalité est même pire puisque les Laboratoires BOIRON disent utiliser de l'eau ultrafiltrée bien loin de la pureté de l'eau mythique que j'ai prise dans mon exemple.
Je n'ai jamais compris comment la théorie de la mémoire de l'eau pouvait justifier l'homéopathie car si l'eau se "souvenait" des molécules présentes dans la solution mère pourquoi ne se souviendrait-elle pas de celles qu'elle a rencontré avant l'expérience de dilution quand certaines de ses molécules étaient dans une chasse d'eau, par exemple ? Simple trou de mémoire ou Alzheimer ?
En fait, la meilleure conclusion qu'on puisse tirer de la méthode Hannehmannienne est qu'elle est une excellente méthode de rinçage. Pas plus.
Mais arriver à vendre ses eaux de rinçages, bravo ! C'est très fort !
Ce qui signifie qu'au delà de 5CH la prétendue dilution introduit plus d'éléments étrangers et inconnus que de l'élément présent dans la solution mère !
Autrement dit si l'eau utilisée contient 0,1 ppb de lithium (quantité indétectable), toutes les solutions de Lithium que je pourrais préparer seront 5CH, jamais moins !
En pratique donc, toutes les "dilutions" en dessous de la concentration de l'eau employée seront identiques. 5CH=10CH=30CH !
La réalité est même pire puisque les Laboratoires BOIRON disent utiliser de l'eau ultrafiltrée bien loin de la pureté de l'eau mythique que j'ai prise dans mon exemple.
Je n'ai jamais compris comment la théorie de la mémoire de l'eau pouvait justifier l'homéopathie car si l'eau se "souvenait" des molécules présentes dans la solution mère pourquoi ne se souviendrait-elle pas de celles qu'elle a rencontré avant l'expérience de dilution quand certaines de ses molécules étaient dans une chasse d'eau, par exemple ? Simple trou de mémoire ou Alzheimer ?
En fait, la meilleure conclusion qu'on puisse tirer de la méthode Hannehmannienne est qu'elle est une excellente méthode de rinçage. Pas plus.
Mais arriver à vendre ses eaux de rinçages, bravo ! C'est très fort !
L'état de non-pensée est certainement le prochain stade de l'évolution humaine. Tan
Ecrit le 31 oct.07, 03:10
un article intéressant sur l'homéopathie. ça reprend pas mal de choses déjà dites ici.
http://charlatans.info/homeopathie.shtml
http://charlatans.info/homeopathie.shtml
Ecrit le 31 oct.07, 07:54
Yep, le problème, c'est que ça soit remboursé au prix d'un vrai médicament (ce qui revient à ce que la sécu achète du sucre made in Boiron à prix d'or) et qu'il y a un nombre croissant de "traitements homéopathiques" contre des maladies graves.
Notamment, contre des maladies virales, ou parasitaires comme la malaria, le SIDA etc...
au passage, un site internet très amusant :
http://www.homeoint.org/books/cazkines/index.htm
ya des remèdes contre tout en homéopathie !!
notez ceux-ci :
Perte du sens moral : Anacardium orientale (60%).
Pessimisme : Psorinum (100%).
Pessimiste : Graphites (60%).
Pets améliorant le mal de ventre : Jalapa (60%).
Pets impossible : Raphanus sativus (100%).
Pets impossible malgrè gaz : Raphanus sativus (100%).
Peur : Platina (100%).
Peur aggrave : Hyosciamus niger (60%).
Peur causant crise d'épilepsie : Bufo rana (60%).
Peur coupant la parole : Hyosciamus niger (60%).
Peur d'aller seul au lit : Causticum (60%).
Peur d'avoir un malaise : Argentum nitricum (60%).
Peur d'être approché : Arnica montana (40%).
Peur d'être au milieu d'un espace : Argentum nitricum (60%).
Peur d'être empoisonné : Hyosciamus niger (80%).
Peur d'être incurable : Cactus grandiflorus ( ) (60%).
Peur d'être mis dans un asile d'aliénés : Lachesis (60%).
Peur d'être mordu : Hyosciamus niger (80%).
Peur d'être poursuivi : Anacardum Orientale (80%).
Peur d'être seul : Argentum nitricum (80%).
Peur d'être touché : Kali iodatum (60%).
Peur d'un complot contre soi : Lachesis (60%).
Peur d'un malheur : Anacardum Orientale (60%).
Peur d'une maladie incurable : Argentum nitricum (80%).
Peur de devenir fou : Argentum nitricum (80%).
Peur de heurter l'angle des maisons : Argentum nitricum (100%).
Peur de l'accouchement : Actea racemosa (40%).
Peur de l'eau : Hyosciamus niger (80%).
Peur de l'eau qui coule : Hyosciamus niger (60%).
Peur de l'échec : Lycopodium clavatum (80%).
Peur de l'obscurité : Causticum (100%).
Peur de l'orage : Phosphorus (100%).
Peur de la damnation : Lachesis (60%).
Peur de la folie : Hydrophobinum (80%).
Peur de la foule : Argentum nitricum (60%).
Peur de la journée qui commence : Argentum nitricum (60%).
Peur de la mort : Aconitum napellus (100%).
Peur de la rage : Hydrophobinum (80%).
Peur de la solitude : Arsenicum album (100%).
Peur de paraître en public : Lycopodium clavatum (80%).
Peur de parler en public : Lycopodium clavatum (80%).
Peur de passer à l'acte : Argentum nitricum (60%).
Peur de perdre la raison : Calcarea carbonica (60%).
Peur de s'endormir : Lachesis (100%).
Peur de sauter vers le bas : Argentum nitricum (60%).
Peur de se coucher le soir : Lachesis (60%).
Peur de se jeter dans le vide : Argentum nitricum (60%).
Peur de se rendormir : Grindelia Robusta (100%).
Peur de son inconscient : Argentum nitricum (60%).
Peur de sortir de chez soi : Argentum nitricum (60%).
Peur de tomber du lit : Crotalus cascavella (60%).
Peur de tout le monde : Anacardum Orientale (60%).
Peur de traverser les ponts : Argentum nitricum (60%).
Peur déclenchant l'épilepsie : Argentum nitricum (60%).
Peur des choses : Ignatia amara (80%).
Peur des contagions : Calcarea carbonica (80%).
Peur des ennemis : Anacardum Orientale (60%).
Peur des espaces vides : Argentum nitricum (60%).
Peur des étrangers : Baryta carbonica (60%).
Peur des fantomes : Cocculus indicus (60%).
Peur des fantômes : Bromium (80%).
Peur des gens : Ignatia amara (80%).
Peur des maladies : Ignatia amara (60%).
Peur des responsabilités : Lycopodium clavatum (60%).
Peur des voleurs : Anacardum Orientale (60%).
Peur fautive : Stramonium (100%).
Peur le soir : Causticum (100%).
Peur nerveuse : Scutellaria (60%).
Peur nocturne : Kali bromatum (80%).
Peur pour des riens : Kali Sulfuricum (60%).
Peur que le coeur s'arrête : Digitalis purpurea (100%).
Peur que les maisons l'écrasent : Argentum nitricum (60%).
Peur que les maisons se rapprochent : Argentum nitricum (60%).
Peur supprimant les règles : Lycopodium clavatum (60%).
Peureux : Opium (100%).
Peurs nocturnes : Kali Sulfuricum (60%).
Suicide obsédant : Capsicum annuum (80%).
Suicide par arme à feu : Antimonium crudum (60%).
Suicide par défénestration : Crotalus cascavella (60%).
Suicide par fusil : Anacardum Orientale (60%).
Suicide par noyade : Antimonium crudum (60%).
Suicide par pistolet : Anacardum Orientale (60%).
Suicide par révolver : Anacardum Orientale (60%).
Et même un remède pour l'Ethiopie et cie !!
Faim permanente avec maigreur : Iodium (80%).
un bain de mer, et hop !!
Notamment, contre des maladies virales, ou parasitaires comme la malaria, le SIDA etc...
au passage, un site internet très amusant :
http://www.homeoint.org/books/cazkines/index.htm
ya des remèdes contre tout en homéopathie !!
notez ceux-ci :
Perte du sens moral : Anacardium orientale (60%).
Pessimisme : Psorinum (100%).
Pessimiste : Graphites (60%).
Pets améliorant le mal de ventre : Jalapa (60%).
Pets impossible : Raphanus sativus (100%).
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Peur : Platina (100%).
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Peur causant crise d'épilepsie : Bufo rana (60%).
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Peur d'aller seul au lit : Causticum (60%).
Peur d'avoir un malaise : Argentum nitricum (60%).
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Peur d'être au milieu d'un espace : Argentum nitricum (60%).
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Peur que les maisons se rapprochent : Argentum nitricum (60%).
Peur supprimant les règles : Lycopodium clavatum (60%).
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- calice
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Ecrit le 03 nov.07, 08:57
Ils le regrette parce qu'il y a eu une campagne massive d'orchestrée et qu'ils sont l'impression de s'être fait avoir car maintenant il y a marche arrière vu le nombre d'effets secondaires suite aux vaccins .Il y a eu pression des labos sur le gouvernement encore une fois .dhmo a écrit : J'aimerais juste savoir pourquoi il le regrette? Moi j'ai été vacciné si je me souviens bien 3 fois (il fallait le faire 3 fois), et je ne le regrette pas, mes parent m'ont jamais dit qu'ils le regrettaient... Alors pourquoi ces gens le regrettent-ils?
Qui est piégé ? le patient qui subit le vaccin qu'il croit obligatoire vu la pression.Les effets secondaires peuvent être différés sur des années , il ne faut pas confondre les symptômes immédiats suite aux vaccins (fatigues , fièvres etc ) et les maladies comme la sclérose en plaque , alzeimer , maladies auto immunes , qui se déclarent des années après .La patient ne fait toujours le lien .
- calice
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Ecrit le 03 nov.07, 09:11
Disons que comme la majorité des gens , j’ai commencé par soigner mes enfants avec les traitements conventionnels , ils avaient notamment d es bronchiolites , de l’asthme et de l’eczéma suintant (suite au BCG , déclaré une semaine après pour l’un ) , des otites .Ca n’a pas marché et en plus je trouvais ces traitements dangereux (antibio , corticoides …) , donc je me suis tournée par hasard vers l’homéo et en 3 mois j’ai vu nettement le résultat :une nette amélioration pour l’eczéma et aussi pour l’insuffisance respiratoire .Wooden Ali a écrit :
Tu as de la chance de pouvoir expérimenter sur tes enfants, Calice. Les miens sont trop vieux !
Souhaitons leur longue vie !
Seulement il faut trouver le bon homéo .Au bout de 2 ans j’en ai eu assez d’aller voir l’homéo qui prescrivait toujours les même médicaments , je me suis mise moi-même à l’homéo , me procurant des bouquins de matière médicale et de traitements .Disons que je me moque un peu de savoir comment çà marche du moment que çà fonctionne (bien que j’ai quand même une idée ) .Maintenant je soigne ainsi avec succès toute la famille ainsi :maladies infantile type varicelle , otites , gastro , allergies , indigestion , hémorroïdes , et aussi avec la phyto .
L’homéo agit sur les symptômes de façon notable indépendamment des croyances de l’utilisateur , pour les suppurations par exemple , les saignements , la cicatrisation .Elle est utilisée dans certains hopitaux dans des services de gastro , de gynéco pour aider à la cicatrisation , à supporter certains traitements et prévenir les hémoragies .Wooden Ali a écrit : Compte tenu que la plupart des maladies dont nous souffrons sont bénignes et/ou guérissent toutes seules en quelques jours, la dernière thérapie utilisée sera considérée par le sens commun comme efficace et propagera l'idée de sa validité expérimentale. Cette thérapie peut aller de feuilles de saule coupées à la pleine Lune à des petites pilules de glucose soigneusement débarrassées de tout principe actif en passant par la prière à un saint approprié. .
Je sais bien que c’est ce qui est soutenue par la médecine officielle dans les formations sur les prescriptions , et c’est donc ce que les médecins non homéo croient :que l’effet est uniquement placébo .Wooden Ali a écrit : Contrairement à ce que tu dis, il existe des protocoles de validation objective de l'homéopathie. La spécificité type de malade/traitement est prise en compte et multiplie simplement les facteurs à considérer dans l'étude. .
Et nombre de mes amis médecins le pensent aussi (ca me rappelle un des mes amis médecins dont le fils faisait otite sur otite et qu’il traitait de manière conventionnelle , un jour n’y tenant plus il a demandé à sa femme d’aller voir mon homéo -dont je lui avais rabattu les oreilles -et depuis ses 2 fils sont traités par homéo et ne sont plus malades c’est sa femme qui s’en occupe et plus lui ).
Mais je soutiens que les protocoles ne prennent pas en compte la spécificité de l’homéo car cela serait trop compliqué .L’eczéma suintant suite au BCG (autour du cou , derrière les oreilles ) de mon fils de 5 mois , a cédé au bout de 3 mois avec 4 spécialités homéo par jour plus 4 les dimanches , traitement adapté seulement pour lui seul , chaque traitement ne convient qu’à une seule personne , même son frère a eu un traitement différent .De plus dès le traitement a dû être fait au long cour sur 2 ans car dès qu’on arrête les symptômes reviennent et on est parfois obligé de changer de spécialité au bout de 15 jours en fonction des symptômes .
De plus selon les praticiens les médicaments sont différents , mais la synergie fait que le résultat sera le même au final :guérison des symptômes.
Maintenant mes enfants ne sont pas asthmatiques alors qu’ils avaient été diagnostiqués comme tels , et il n’y a que cela qui m’intéresse .
Wooden Ali a écrit : En fait ce protocole, vu le nombre de variables, serait très long et très couteux à mettre en œuvre . Il faudrait une volonté inébranlable d'arriver à une conclusion objective et une débauche de moyens pour entreprendre ce test. Qui pourrait ou qui voudrait le faire ?
Pour l'instant donc, l'homéopathie reste comme Dieu le Père et les Miracles du Coran, une pure question de foi.
Je vois bien que , prescrivant de l’homéo au coup par coup , elle agit sur les symptômes :la toux par exemple , l’hémorragie , l’inflammation , la douleur etc .Si cela n’était pas le cas les gens ne se soigneraient plus comme çà .Je ne pense pas qu’il y ait une idéologie homéo : c’est l’efficacité qui fait le succès de ses médecines .
Et même si la façon dont marche cette médecine n'a pas été encore trouvée par la science officielle , les gens s'en moquent pas mal du moment qu'ils guérissent .Ils y viennent souvent après (en désespoir de cause ) ou en complément de la médecine allopathique.J'ai moi-même été atteinte d'un cancer il y a 7 ans et j'ai bien vu l'effet de l'homéo (et médecine alternative en général) en complément du traitement classique .
Les deux traitements sont complémentaires et j'ai bénéficié de l'un comme de l'autre .
Modifié en dernier par calice le 04 nov.07, 11:54, modifié 4 fois.
- calice
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Ecrit le 03 nov.07, 09:27
Mais renseignez-vous Mr Ryuujin , la médecines alternatives existent et ce sont de vrais médecins qui écrivent des livres et soignent les patients ainsi , à la manière d'Hypocrate :en 1ier lieu ne pas nuire .Avec des plantes et des produits naturels.Ryuujin a écrit :
Comment pouvez-vous balancer des affirmations aussi énormes si vous êtes vraiment du métier ?!?
Vous n'avez pas répondu à mes questions .
Les sources sont faciles à trouver :tous les scientifiques alternatifs .
ex:
" Dr Kris GAUBLOMME, médecin belge – "Vaccins et maladies auto-immunes".
Son intervention a porté sur le rôle des vaccins dans l'apparition des maladies auto-immunes. Chaque vaccin présente des effets secondaires indésirables et chacun s'attaque au point faible de l'individu vacciné. Il a cité plusieurs cas constatés parmi ses patients : asthme, érythème noueux, diabète, obésité, herpes, autisme, etc… preuve d'un dysfonctionnement du système immunitaire. Très critique sur la façon dont les déclarations d'accidents post-vaccinaux sont traitées : par "classement vertical" (= corbeille à papier) et sur le manque d'études indépendantes qui devraient être lancées par les pouvoirs publics, élus pour défendre les intérêts des citoyens 1111. R&V : Cette nécessité impérative d'études réalisées par des équipes indépendantes des labos a été présentée de façon constante par tous les orateurs, hormis les représentants de l'industrie du vaccin.
Mais les intérêts étant confondus, on se préoccupe surtout de ne pas faire chuter le cours des actions boursières des labos. Il y aurait même un labo qui aurait payé les malades pour se taire sur les effets indésirables du vaccin anti-hépatite B.
Personnellement, il n'a aucune confiance dans les articles scientifiques. Il soutient que les vaccins détruisent le système immunitaire. Au lieu de "enfant vacciné = enfant protégé", il faudrait dire "enfant vacciné = enfant en danger".
M. Michel GEORGET, Professeur agrégé de biologie – "Origine et conséquences des contaminations et impuretés des vaccins". L'énoncé du contenu d'une ampoule de vaccin donne la mesure du cocktail injecté et du risque encouru. Preuve que malgré toutes les garanties de pureté, de contrôles, etc… avancées par les producteurs, la maîtrise du processus de fabrication est loin d'être atteinte 1212. R&V : Quand on pense que les constructeurs automobiles rappellent par voie de presse des séries entières de véhicules au moindre signalement de défaut ! Il en va de leur image de marque, tandis que l'image de marque du vaccin ne perdure que par le silence dont on entoure ses défauts. La preuve n'est-elle pas donnée par le fait que chaque nouveau vaccin est dit meilleur que le précédent, ce qui signifie précisément que l'ancien présentait des défauts ?. Si les gens savaient exactement ce qu'on leur injecte, ils refuseraient. Mais qui le sait ? En plus des microbes et virus censés produire l'immunité, selon la théorie en vigueur, on trouve : aluminium, mercure, phénol, phénoxyéthanol, propriolactone, gélatine, bile de bœuf, sérum fœtal et des débris d'autres virus issus des milieux de culture.
Ainsi le vaccin anti-polio contaminé par le virus SV 40 du singe et ceux de la fièvre jaune, de la rougeole par le virus de la leucose aviaire. Sujet très technique et angoissant que celui traité par M. GEORGET, trop longtemps occulté 1313. R&V : Pour ceux qui voudraient plus de détails, se reporter au livre "Vaccinations: les vérités indésirables" à notre service Librairie. Un ouvrage que tous nos adhérents devraient posséder, lire, relire et faire lire à leur entourage car après sa lecture, toutes les pseudo-certitudes officielles inculquées dès l'enfance, s'écroulent et la vérité apparaît, simple mais en même temps effrayante, tant le mensonge est criminel. Le microbe n'est rien et le vaccin encore moins. “Ce livre devrait être remboursé par la Sécurité Sociale“ dixit un médecin qui l’a lu. "
http://www.ctanet.fr/vaccination-inform ... ll022d.htm
autres:http://www.ass-ahimsa.net/vaccins8.html
http://www.lesensdenosvies.org/lesite/a ... accin.html
Modifié en dernier par calice le 03 nov.07, 23:24, modifié 1 fois.
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Ecrit le 03 nov.07, 09:36
La mémoire de l'eau existe , il suffit de lire Benvéniste .Le protocole allopathique habituel ne peut pas marcher , car il s'agit d'un autre mode de fonctionnement :l'eau enregistre au niveau vibratoire .Wooden Ali a écrit : Je n'ai jamais compris comment la théorie de la mémoire de l'eau pouvait justifier l'homéopathie car si l'eau se "souvenait" des molécules présentes dans la solution mère pourquoi ne se souviendrait-elle pas de celles qu'elle a rencontré avant l'expérience de dilution quand certaines de ses molécules étaient dans une chasse d'eau, par exemple ? Simple trou de mémoire ou Alzheimer ?
Mais je suis d'accord avec vous sur le labo Boiron , qui fait plus du commerce que du vrai traitement :la qualité des produits s'en ressent , les homéopathes s'en inquiètent d'ailleurs il vaut mieux acheter aux labos Suisse ou Allemand.
"Si vous vous intéressez à l'action des hautes dilutions, si vous voulez connaître la cabale scientifique menée contre le Docteur Jacques BENVENISTE qui "a terminé sa route le 3 octobre 2004", achetez son livre posthume : MA VERITE SUR LA MEMOIRE DE L'EAU (ALBIN MICHEL) préfacé par le professeur BRIAN D. JOSEPHSON, Prix Nobel de Physique.
Achetez aussi le livre de Michel SCHIFF, physicien au CNRS " Un cas de censure dans la science: " l'affaire de la mémoire de l'eau" (ALBIN MICHEL)."
http://docteurjo.canalblog.com/archives ... index.html
- maddiganed
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Ecrit le 05 nov.07, 22:38
L'eau enregistre quoi?calice a écrit : La mémoire de l'eau existe , il suffit de lire Benvéniste .Le protocole allopathique habituel ne peut pas marcher , car il s'agit d'un autre mode de fonctionnement :l'eau enregistre au niveau vibratoire .
On parle bien de l'eau hein, H2O, une des molécules les plus basiques, les plus connues? 2 atomes d'hydrogène reliés à 1 atome d'oxygène?
On parle bien d'une molécule solide à des températures négatives?
Tiens d'ailleurs.... une eau qui gèle perd ses 'vibrations'?
Tiens une autre... une eau 'pure' a gardé sa mémoire d'avant être de l'eau 'pure'? Genre du pipi de vache? genre de l'eau de mer?
Je dois pas être au courant de tous les process... me semble qu'il y a de l'électricité non?
Maintenant, je voudrais comprendre comment les bouboules de glucose agissent... On est d'accord qu'il n'y a aucun principe actif dedans... Quand ces boules de glucose sont digérées, comment la 'vibration enregistrée' est récupérée?
Et pis, vous avez une preuve physique tangible de cette mémorisation de l'eau?
Non mais sérieusement, l'homéopathie c'est comme la foi. Soit tu l'as et ça marche au niveau d'un effet placebo, soit t'y crois pas et tu poses les questions existentielles sur la crédulité légendaire des gens.
- calice
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Ecrit le 06 nov.07, 08:06
Bonjour à tous ,
Je ne cherche pas à convaincre ni à soutenir une thèse , je pense que c’est à chacun de chercher les infos , car il est impossible de convaincre quelqu’un qui ne veut pas l’être , même avec les arguments scientifiques les plus pointus .
Je ne suis ni crédule ni naïve je pense au contraire que les naïfs sont ceux qui gobent tous ce qu’on leur dit sans remettre en cause le savoir horizontal limité et qui n’ont pas la curiosité de s’ouvrir à une autre dimension . Ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas quelque chose que cette chose est impossible :il faut être bien présomptueux pour penser pourvoir tout appréhender avec notre esprit limité .
Je sais que l’homéopathie n’est pas juste un placébo , et ce n’est pas foi ni croyance de ma part mais bien raison , de mon point de vue , et de ce point de vue c’est vous qui n’êtes pas raisonnable .Donc tout est question de point de vue .
L’eau a des propriétés qui n’ont pas livrées encore tous leur secret :c’est comme le cerveau humain .
L’homéopathie n’a pas d’action au même niveau physique et chimique que les médicaments habituels , non seulement la dilution compte mais aussi la dynamisation :sans dynamisation le médicament n’a pas d’effet , c’est ce qui explique que l’eau ne garde en mémoire que ce qui a été dynamisé , donc le processus de fabrication compte énormément :il ne suffit pas qu’une substance soit en contact avec l’eau .
Pour faire simple : l’eau enregistre l’empreinte énergétique de la substance , c'est-à-dire le signal électro -magnétique , ce phénomène est explicable en physique quantique
.Il y a une transmission électromagnétique de l’activité biologique , des granules possédant un message va le transmettre aux cellules de l’organisme :les cellules du corps reçoivent un message qui n’est pas du domaine observable par les moyens de recherche habituels en chimie car c’est un phénomène vibratoire (du domaine quantique) il y a un échange d’électrons .Et c’est pour cela que la quantité du produit compte peu .
L'eau est capable de conserver une mémoire magnétique des molécules qu'elle a contenu quand elle a été dynamisée ; et nos cellules sont capables de réagir aux informations d'ordre magnétique des produits chimiques auxquels ils sont exposés.
En fait, notre organisme n'est pas seulement une mécanique biochimique, qui réagit à des produits chimiques par contact direct, mais certainement aussi une mécanique électromagnétique, et au niveau quantique nos cellules régissent à des intéractions électromagnétiques avec les molécules avec qui elles sont en contact .
C’est pourquoi l’homéopathie est une médecine dite énergétique au même titre que l’acuponcture , l’aromathérapie etc …
La médecine énergétique agit sur les échanges électromagnétiques de nos cellules alors que la médecine habituelle ne prend en compte que l’aspect biologique et physico-chimique .
cordialement
Je ne cherche pas à convaincre ni à soutenir une thèse , je pense que c’est à chacun de chercher les infos , car il est impossible de convaincre quelqu’un qui ne veut pas l’être , même avec les arguments scientifiques les plus pointus .
Je ne suis ni crédule ni naïve je pense au contraire que les naïfs sont ceux qui gobent tous ce qu’on leur dit sans remettre en cause le savoir horizontal limité et qui n’ont pas la curiosité de s’ouvrir à une autre dimension . Ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas quelque chose que cette chose est impossible :il faut être bien présomptueux pour penser pourvoir tout appréhender avec notre esprit limité .
Je sais que l’homéopathie n’est pas juste un placébo , et ce n’est pas foi ni croyance de ma part mais bien raison , de mon point de vue , et de ce point de vue c’est vous qui n’êtes pas raisonnable .Donc tout est question de point de vue .
L’eau a des propriétés qui n’ont pas livrées encore tous leur secret :c’est comme le cerveau humain .
L’homéopathie n’a pas d’action au même niveau physique et chimique que les médicaments habituels , non seulement la dilution compte mais aussi la dynamisation :sans dynamisation le médicament n’a pas d’effet , c’est ce qui explique que l’eau ne garde en mémoire que ce qui a été dynamisé , donc le processus de fabrication compte énormément :il ne suffit pas qu’une substance soit en contact avec l’eau .
Pour faire simple : l’eau enregistre l’empreinte énergétique de la substance , c'est-à-dire le signal électro -magnétique , ce phénomène est explicable en physique quantique
.Il y a une transmission électromagnétique de l’activité biologique , des granules possédant un message va le transmettre aux cellules de l’organisme :les cellules du corps reçoivent un message qui n’est pas du domaine observable par les moyens de recherche habituels en chimie car c’est un phénomène vibratoire (du domaine quantique) il y a un échange d’électrons .Et c’est pour cela que la quantité du produit compte peu .
L'eau est capable de conserver une mémoire magnétique des molécules qu'elle a contenu quand elle a été dynamisée ; et nos cellules sont capables de réagir aux informations d'ordre magnétique des produits chimiques auxquels ils sont exposés.
En fait, notre organisme n'est pas seulement une mécanique biochimique, qui réagit à des produits chimiques par contact direct, mais certainement aussi une mécanique électromagnétique, et au niveau quantique nos cellules régissent à des intéractions électromagnétiques avec les molécules avec qui elles sont en contact .
C’est pourquoi l’homéopathie est une médecine dite énergétique au même titre que l’acuponcture , l’aromathérapie etc …
La médecine énergétique agit sur les échanges électromagnétiques de nos cellules alors que la médecine habituelle ne prend en compte que l’aspect biologique et physico-chimique .
cordialement
- calice
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Ecrit le 06 nov.07, 08:38
Comprendre la biologie numérique
Expliquer ce qu’est la biologie numérique est impossible sans en exposer le principe. Ce texte n’a pas pour but de rapporter nos résultats scientifiques, mais d’expliquer, le plus simplement possible, cette approche radicalement nouvelle de la biologie. Nous espérons qu’il sera également utile à tous ceux, scientifiques ou non, qui ont quelque difficulté à sauter le pas. Comment croire en effet que l’on peut enregistrer/numériser avec une carte-son d’ordinateur, comme pour un son ou une image, l’activité spécifique d’une molécule à activité biologique : une substance naturelle (histamine, caféine, nicotine, adrénaline...), un médicament, un antigène ou un anticorps, voire la signature immunologique d’une bactérie ou d’un virus ? Imaginons que l’on ait donné un téléphone à Archimède en lui affirmant qu’on peut l’entendre à l’extrémité de la Terre, sans lui expliquer ce que sont les fréquences sonores et leur traduction électromagnétique (EM).
La vie dépend des signaux que les molécules échangent. Par exemple, quand on se met en colère, l’adrénaline "dit" à son récepteur, et à lui seul (en molécule fidèle elle ne parle à aucun autre) de faire battre le coeur plus vite, de contracter les vaisseaux cutanés... Les mots "signal moléculaire" sont très fréquemment utilisés en biologie. Mais lorsque l’on demande aux biologistes les plus éminents quelle est la nature physique de ce "signal", ils restent les yeux ronds, ne comprenant même pas la question. C’est qu’ils se sont mitonné une physique à eux, strictement Descartienne - aux antipodes de la physique moderne - selon laquelle le simple contact (les lois du choc de Descartes, rapidement démenties par Huygens) entre deux structures coalescentes crée de l’énergie et permet un échange d’information. Je l’ai longtemps cru, récité, sans me rendre compte de l’absurdité de la chose, comme pendant des centaines de milliers d’années les hommes ont cru que le Soleil tournait autour de la Terre.
La vérité, celle des faits, est très simple. Elle ne nécessite aucun "effondrement des mondes physique ou chimique". Les molécules vibrent, on le sait depuis des décennies. Chaque atome de chaque molécule et chacune des liaisons chimiques, les "ponts" qui relient les atomes, émettent un ensemble de fréquences qui leur est propre. Ces fréquences spécifiques de molécules simples ou complexes sont détectées à des milliards d’années-lumières grâce à des radiotélescopes. Les biophysiciens les décrivent comme une caractéristique physique essentielle de la matière, mais les biologistes n’envisagent pas que des rayonnements EM puissent jouer un rôle dans les fonctions moléculaires elles-mêmes. On ne trouvera les mots "fréquence" ou "signal" (au sens physique du terme) dans aucun traité de biologie, et encore moins "EM", cause d’excommunication par le Saint-Office Scientifique du biologiste qui en ferait usage.
J’aimerais bien, tel Archimède, avoir eu dans mon bain l’idée géniale : "Euréka, les vibrations des molécules ne leur servent pas à danser la salsa au bal du samedi soir ; elles sont leur outil de travail, qui leur permet d’adresser leurs instructions à la molécule suivante dans la cascade d’événements qui président aux fonctions biologiques, et, probablement dans une large mesure, chimiques". Cela ne fut malheureusement pas le cas. J’ai suivi une démarche purement expérimentale. Après huit années de recherches mes expériences montraient vers 1991 qu’on pouvait transférer le signal moléculaire par un amplificateur et des bobines EM. En juillet 1995, j’ai enregistré et rejoué ce signal avec un ordinateur multimédia. Une carte-son n’enregistre que des fréquences inférieures à 20.000 Hz. Dans plusieurs milliers d’expériences, nous avons fait "croire" à un récepteur - spécifique d’une molécule simple ou complexe - qu’il était en présence de sa molécule préférée en lui "jouant" les fréquences enregistrées de cette molécule. Afin de parvenir à ce résultat, deux opérations sont nécessaires : 1) enregistrer l’activité d’une substance sur un ordinateur ; 2) la "rejouer" à un système biologique sensible à la substance d’origine.
Il y a donc tout lieu de penser que lorsque c’est la molécule elle-même qui est en présence du récepteur, elle fait la même chose : elle envoie les fréquences que le récepteur est capable de reconnaître. Ce qui veut dire que le signal moléculaire peut être efficacement représenté par un spectre de fréquences entre 20 Hz et 20.000 Hz. La même gamme que pour l’oreille humaine ou la musique. Depuis quelques centaines de milliers d’années les hommes font interagir des fréquences sonores avec un mécanisme biologique, celui de l’humeur. Les musiciens d’ambiance - musique d’ascenseur ou de supermarché - font de la neuropsychobiologie sans le savoir. Les sons aigus et rapides engendrent la gaîté, les aigus et lents la douceur, les sons graves et rapides réveillent l’ardeur guerrière, graves et lents le sérieux, la tristesse, le deuil. Ces sensations sont l’expression de phénomènes physico-chimiques cérébraux déclenchés par des fréquences définies. Nous ne faisons pas autre chose lorsque nous transmettons à des modèles biologiques des activités moléculaires enregistrées.
On peut donc faire l’hypothèse que les systèmes biologiques fonctionnent comme un poste de radio, par corésonnance. Si on le règle sur 92.6 mégahertz, on capte radio-Truc, parce que le poste et la station vibrent à la même fréquence. Si on change un peu le réglage, à 92.7, on ne capte plus radio-Truc mais radio-Machin.
Ces avancées dans la compréhension du mécanisme intime de la reconnaissance et de la signalisation moléculaire ne bouleversent pas la biologie, et encore moins la physique et la chimie. Nous ne retirons rien aux descriptions classiques. Nous faisons un pas de plus dans la connaissance, que nous ajoutons au corpus actuel. C’est la méthode normale du progrès scientifique et il n’y a aucune raison qu’elle soulève imprécations et anathèmes.
La nature électromagnétique du signal moléculaire éclaire bien des zones d’ombre en biologie. On comprend dès lors comment les millions de molécules biologiques peuvent ainsi ne communiquer (à la vitesse de la lumière) chacune qu’avec leur molécule correspondante et elle-seule, condition indispensable du fonctionnement des systèmes biologiques... et pourquoi une modification chimique infime entraîne des conséquences fonctionnelles considérables, ce que les biologistes "structurels" sont incapables d’expliquer. En décidant que ce sont les structures seules qui agissent, ils sont dans un monde prénewtonien où, selon Ptolémée, les astres étaient reliés par des engrenages. D’où l’impuissance de la biologie actuelle à répondre aux grandes pathologies de cette fin de siècle (mon article du Monde du 22 mai 1996, non démenti). Pour passer de cette biologie figée des structures à celle de l’information circulant à la vitesse de la lumière, point n’est besoin de révolution. Enregistrer l’activité des molécules n’implique nullement de nier leur existence, comme cela a été fort stupidement répandu à loisir (elles sont bien à l’origine des messages EM qui leur permettent d’agir) ou la loi d’action de masse (plus il y a de molécules, plus fort est l’effet). Comme si enregistrer la voix d’un chanteur le faisait disparaître ! En d’autres termes, nous n’éliminons ni l’interrupteur ni la lampe. Nous disons qu’entre les deux il y a un fil et des électrons qui y courent. Nous ne sommes pas, tel Cyrano, dans un Autre Monde, qui serait EM, et que nous substituons à l’ancien, moléculaire. Nous captons, dupliquons, transférons - et bientôt modifierons - les signaux EM émis par les molécules exerçant normalement leurs fonctions.
Et l’eau dans tout ça ? C’est le transporteur d’information. C’est obligatoire, car, comme il y a 10.000 molécules d’eau pour une molécule de protéine dans l’organisme, tout message doit pouvoir passer par l’eau. C’est par des ondes hertziennes de basses fréquences que les sous-marins en plongée communiquent avec la terre, pas par des mégahertz qui ne passent pas dans l’eau. Autrement dit, lorsque des molécules déclenchent un effet biologique, ce ne sont pas elles qui transmettent le signal mais l’eau périmoléculaire, qui sert de relais et probablement d’amplificateur. Le son n’est pas créé directement par le disque compact. Ce dernier porte une information qui n’est audible qu’après amplification par le système électronique.
Mais la mémoire de l’eau ? C’est plus mystérieux, mais pas plus que l’existence même de l’eau, un mélange, liquide à température et pression ordinaires, de deux gaz (?!?!?), qui se dilate en refroidissant (?!?!?). Des domaines cohérents avec des propriétés "laser-like" ont été décrits dans l’eau (E. del Giudice, G. Preparata, G. Vitiello (1988) Water as a free electric dipole laser. Phys. Rev. Lett. 61:1085-1088). Plus récemment, des cristaux "de glace" stables qui comportent un champ électrique ont été identifiés et caractérisés dans l’eau Il reste du travail aux physiciens. Cependant l’eau n’est pas notre sujet d’étude. Ce qui intéresse notre équipe, ce n’est pas le support magnétique et comment il fonctionne, mais le message qui y est enregistré et peut donc être copié et transmis. Nous avons élucidé, nous pouvons le croire avec beaucoup de confiance au vu de nos résultats expérimentaux, la nature physique du signal moléculaire. Le principe est simple, comme de faire exploser un mélange d’air et de pétrole. Mais les conséquences sont immenses. Nous les présentons en détail par ailleurs. En voici un résumé :
Actuellement la seule façon d’identifier une molécule est de transmettre physiquement un prélèvement, le plus souvent invasif, voire destructif, jusqu’à un laboratoire d’analyses. Avec la méthode numérique, on dispose à la source d’un signal qui peut être instantanément transmis et analysé à l’autre bout du monde par des moyens de télécommunication classiques. La détection de substances toxiques, de protéines (antigènes, anticorps, prions) ou de complexes moléculaires (bactéries, virus, cellules anormales...) devient donc possible sans prélèvement physique. Ces méthodes seront applicables à l’industrie chimique, à la bio-médecine et à la surveillance de l’environnement. On pourra par exemple détecter des micro-organismes à distance, pratiquement en temps réel. Les produits issus de plantes transgéniques pourront être identifiées par liaison téléphonique chez le producteur, le distributeur et même dans l’assiette du consommateur. La détection d’une contamination alimentaire par les prions, mais également in vivo chez l’animal ou chez l’homme, deviendrait possible avec les conséquences épidémiologiques et économiques que l’on devine.
La mise en oeuvre des méthodes issues de la biologie numérique aura un immense retentissement sur le diagnostic médical et l’industrie agro-alimentaire, avec un impact technologique et commercial considérable.
Une question finale : pourquoi les scientifiques sont-ils si opposés aux évolutions de la science ? Pour défendre leur pré carré ? Pourquoi, au nom de dogmes "intangibles" que l’histoire des sciences a si souvent montré être éphémères, refusent-ils des avancées porteuses de progrès pour leur propre discipline ? Parce qu’elles leur paraissent menaçantes pour leurs pourtant si fragiles certitudes ? Ces questions ne sont pas seulement philosophiques, car ces hommes sont des conseillers écoutés, notamment par les décideurs politiques et industriels. Ils orientent - en fait le plus souvent entravent - les applications nouvelles qui sont l’expression du progrès. Je ne sais d’où viennent ces blocages mentaux, en théorie inconciliables avec l’activité scientifique. Voici cependant une citation qui montrera qu’ils sont éternels (Mécanisme, Encyclopedia Universalis) :
On a un bon exemple des impasses du "mécanisme" dans l’opposition des cartésiens au newtonianisme, qui leur a paru remettre en cause totalement la science nouvelle et faire retourner la pensée en deçà des conquêtes du "mécanisme". L’obstacle réside dans le fait que, chez Descartes, il ne peut y avoir mouvement que par contact et impulsion ; l’action à distance, l’attraction, comme le dira Fontenelle, ne peut être qu’un retour à une physique des sympathies et des qualités occultes... De cette façon, on ne mène pas avec Newton une controverse scientifique ; on le disqualifie pour obscurantisme. C’est ainsi que le milieu des savants français résistera longtemps à la théorie newtonienne, ou plutôt voudra l’ignorer... Mais ce "mécanisme" qui fait obstacle au progrès scientifique est un "mécanisme" figé. Newton contredit sans doute moins le "mécanisme" qu’il ne propose, en provoquant une rupture, un autre modèle de mécanisation de la physique où d’autres mouvements que ceux que produit l’impulsion sont possibles.
A quatre siècles de distance, les mêmes mots, "il faut des molécules" (François Jacob), c’est-à-dire des contacts, des impulsions, selon nos "savants" figés dans le dogmatisme mécaniciste de Descartes ; le même refus d’une action à distance ; les mêmes accusations de retour à l’obscurantisme.
Descartes contre Newton. Nous sommes en bonne compagnie...
8 janvier 1998, mod. 29 mai 1998
J. Benveniste
Expliquer ce qu’est la biologie numérique est impossible sans en exposer le principe. Ce texte n’a pas pour but de rapporter nos résultats scientifiques, mais d’expliquer, le plus simplement possible, cette approche radicalement nouvelle de la biologie. Nous espérons qu’il sera également utile à tous ceux, scientifiques ou non, qui ont quelque difficulté à sauter le pas. Comment croire en effet que l’on peut enregistrer/numériser avec une carte-son d’ordinateur, comme pour un son ou une image, l’activité spécifique d’une molécule à activité biologique : une substance naturelle (histamine, caféine, nicotine, adrénaline...), un médicament, un antigène ou un anticorps, voire la signature immunologique d’une bactérie ou d’un virus ? Imaginons que l’on ait donné un téléphone à Archimède en lui affirmant qu’on peut l’entendre à l’extrémité de la Terre, sans lui expliquer ce que sont les fréquences sonores et leur traduction électromagnétique (EM).
La vie dépend des signaux que les molécules échangent. Par exemple, quand on se met en colère, l’adrénaline "dit" à son récepteur, et à lui seul (en molécule fidèle elle ne parle à aucun autre) de faire battre le coeur plus vite, de contracter les vaisseaux cutanés... Les mots "signal moléculaire" sont très fréquemment utilisés en biologie. Mais lorsque l’on demande aux biologistes les plus éminents quelle est la nature physique de ce "signal", ils restent les yeux ronds, ne comprenant même pas la question. C’est qu’ils se sont mitonné une physique à eux, strictement Descartienne - aux antipodes de la physique moderne - selon laquelle le simple contact (les lois du choc de Descartes, rapidement démenties par Huygens) entre deux structures coalescentes crée de l’énergie et permet un échange d’information. Je l’ai longtemps cru, récité, sans me rendre compte de l’absurdité de la chose, comme pendant des centaines de milliers d’années les hommes ont cru que le Soleil tournait autour de la Terre.
La vérité, celle des faits, est très simple. Elle ne nécessite aucun "effondrement des mondes physique ou chimique". Les molécules vibrent, on le sait depuis des décennies. Chaque atome de chaque molécule et chacune des liaisons chimiques, les "ponts" qui relient les atomes, émettent un ensemble de fréquences qui leur est propre. Ces fréquences spécifiques de molécules simples ou complexes sont détectées à des milliards d’années-lumières grâce à des radiotélescopes. Les biophysiciens les décrivent comme une caractéristique physique essentielle de la matière, mais les biologistes n’envisagent pas que des rayonnements EM puissent jouer un rôle dans les fonctions moléculaires elles-mêmes. On ne trouvera les mots "fréquence" ou "signal" (au sens physique du terme) dans aucun traité de biologie, et encore moins "EM", cause d’excommunication par le Saint-Office Scientifique du biologiste qui en ferait usage.
J’aimerais bien, tel Archimède, avoir eu dans mon bain l’idée géniale : "Euréka, les vibrations des molécules ne leur servent pas à danser la salsa au bal du samedi soir ; elles sont leur outil de travail, qui leur permet d’adresser leurs instructions à la molécule suivante dans la cascade d’événements qui président aux fonctions biologiques, et, probablement dans une large mesure, chimiques". Cela ne fut malheureusement pas le cas. J’ai suivi une démarche purement expérimentale. Après huit années de recherches mes expériences montraient vers 1991 qu’on pouvait transférer le signal moléculaire par un amplificateur et des bobines EM. En juillet 1995, j’ai enregistré et rejoué ce signal avec un ordinateur multimédia. Une carte-son n’enregistre que des fréquences inférieures à 20.000 Hz. Dans plusieurs milliers d’expériences, nous avons fait "croire" à un récepteur - spécifique d’une molécule simple ou complexe - qu’il était en présence de sa molécule préférée en lui "jouant" les fréquences enregistrées de cette molécule. Afin de parvenir à ce résultat, deux opérations sont nécessaires : 1) enregistrer l’activité d’une substance sur un ordinateur ; 2) la "rejouer" à un système biologique sensible à la substance d’origine.
Il y a donc tout lieu de penser que lorsque c’est la molécule elle-même qui est en présence du récepteur, elle fait la même chose : elle envoie les fréquences que le récepteur est capable de reconnaître. Ce qui veut dire que le signal moléculaire peut être efficacement représenté par un spectre de fréquences entre 20 Hz et 20.000 Hz. La même gamme que pour l’oreille humaine ou la musique. Depuis quelques centaines de milliers d’années les hommes font interagir des fréquences sonores avec un mécanisme biologique, celui de l’humeur. Les musiciens d’ambiance - musique d’ascenseur ou de supermarché - font de la neuropsychobiologie sans le savoir. Les sons aigus et rapides engendrent la gaîté, les aigus et lents la douceur, les sons graves et rapides réveillent l’ardeur guerrière, graves et lents le sérieux, la tristesse, le deuil. Ces sensations sont l’expression de phénomènes physico-chimiques cérébraux déclenchés par des fréquences définies. Nous ne faisons pas autre chose lorsque nous transmettons à des modèles biologiques des activités moléculaires enregistrées.
On peut donc faire l’hypothèse que les systèmes biologiques fonctionnent comme un poste de radio, par corésonnance. Si on le règle sur 92.6 mégahertz, on capte radio-Truc, parce que le poste et la station vibrent à la même fréquence. Si on change un peu le réglage, à 92.7, on ne capte plus radio-Truc mais radio-Machin.
Ces avancées dans la compréhension du mécanisme intime de la reconnaissance et de la signalisation moléculaire ne bouleversent pas la biologie, et encore moins la physique et la chimie. Nous ne retirons rien aux descriptions classiques. Nous faisons un pas de plus dans la connaissance, que nous ajoutons au corpus actuel. C’est la méthode normale du progrès scientifique et il n’y a aucune raison qu’elle soulève imprécations et anathèmes.
La nature électromagnétique du signal moléculaire éclaire bien des zones d’ombre en biologie. On comprend dès lors comment les millions de molécules biologiques peuvent ainsi ne communiquer (à la vitesse de la lumière) chacune qu’avec leur molécule correspondante et elle-seule, condition indispensable du fonctionnement des systèmes biologiques... et pourquoi une modification chimique infime entraîne des conséquences fonctionnelles considérables, ce que les biologistes "structurels" sont incapables d’expliquer. En décidant que ce sont les structures seules qui agissent, ils sont dans un monde prénewtonien où, selon Ptolémée, les astres étaient reliés par des engrenages. D’où l’impuissance de la biologie actuelle à répondre aux grandes pathologies de cette fin de siècle (mon article du Monde du 22 mai 1996, non démenti). Pour passer de cette biologie figée des structures à celle de l’information circulant à la vitesse de la lumière, point n’est besoin de révolution. Enregistrer l’activité des molécules n’implique nullement de nier leur existence, comme cela a été fort stupidement répandu à loisir (elles sont bien à l’origine des messages EM qui leur permettent d’agir) ou la loi d’action de masse (plus il y a de molécules, plus fort est l’effet). Comme si enregistrer la voix d’un chanteur le faisait disparaître ! En d’autres termes, nous n’éliminons ni l’interrupteur ni la lampe. Nous disons qu’entre les deux il y a un fil et des électrons qui y courent. Nous ne sommes pas, tel Cyrano, dans un Autre Monde, qui serait EM, et que nous substituons à l’ancien, moléculaire. Nous captons, dupliquons, transférons - et bientôt modifierons - les signaux EM émis par les molécules exerçant normalement leurs fonctions.
Et l’eau dans tout ça ? C’est le transporteur d’information. C’est obligatoire, car, comme il y a 10.000 molécules d’eau pour une molécule de protéine dans l’organisme, tout message doit pouvoir passer par l’eau. C’est par des ondes hertziennes de basses fréquences que les sous-marins en plongée communiquent avec la terre, pas par des mégahertz qui ne passent pas dans l’eau. Autrement dit, lorsque des molécules déclenchent un effet biologique, ce ne sont pas elles qui transmettent le signal mais l’eau périmoléculaire, qui sert de relais et probablement d’amplificateur. Le son n’est pas créé directement par le disque compact. Ce dernier porte une information qui n’est audible qu’après amplification par le système électronique.
Mais la mémoire de l’eau ? C’est plus mystérieux, mais pas plus que l’existence même de l’eau, un mélange, liquide à température et pression ordinaires, de deux gaz (?!?!?), qui se dilate en refroidissant (?!?!?). Des domaines cohérents avec des propriétés "laser-like" ont été décrits dans l’eau (E. del Giudice, G. Preparata, G. Vitiello (1988) Water as a free electric dipole laser. Phys. Rev. Lett. 61:1085-1088). Plus récemment, des cristaux "de glace" stables qui comportent un champ électrique ont été identifiés et caractérisés dans l’eau Il reste du travail aux physiciens. Cependant l’eau n’est pas notre sujet d’étude. Ce qui intéresse notre équipe, ce n’est pas le support magnétique et comment il fonctionne, mais le message qui y est enregistré et peut donc être copié et transmis. Nous avons élucidé, nous pouvons le croire avec beaucoup de confiance au vu de nos résultats expérimentaux, la nature physique du signal moléculaire. Le principe est simple, comme de faire exploser un mélange d’air et de pétrole. Mais les conséquences sont immenses. Nous les présentons en détail par ailleurs. En voici un résumé :
Actuellement la seule façon d’identifier une molécule est de transmettre physiquement un prélèvement, le plus souvent invasif, voire destructif, jusqu’à un laboratoire d’analyses. Avec la méthode numérique, on dispose à la source d’un signal qui peut être instantanément transmis et analysé à l’autre bout du monde par des moyens de télécommunication classiques. La détection de substances toxiques, de protéines (antigènes, anticorps, prions) ou de complexes moléculaires (bactéries, virus, cellules anormales...) devient donc possible sans prélèvement physique. Ces méthodes seront applicables à l’industrie chimique, à la bio-médecine et à la surveillance de l’environnement. On pourra par exemple détecter des micro-organismes à distance, pratiquement en temps réel. Les produits issus de plantes transgéniques pourront être identifiées par liaison téléphonique chez le producteur, le distributeur et même dans l’assiette du consommateur. La détection d’une contamination alimentaire par les prions, mais également in vivo chez l’animal ou chez l’homme, deviendrait possible avec les conséquences épidémiologiques et économiques que l’on devine.
La mise en oeuvre des méthodes issues de la biologie numérique aura un immense retentissement sur le diagnostic médical et l’industrie agro-alimentaire, avec un impact technologique et commercial considérable.
Une question finale : pourquoi les scientifiques sont-ils si opposés aux évolutions de la science ? Pour défendre leur pré carré ? Pourquoi, au nom de dogmes "intangibles" que l’histoire des sciences a si souvent montré être éphémères, refusent-ils des avancées porteuses de progrès pour leur propre discipline ? Parce qu’elles leur paraissent menaçantes pour leurs pourtant si fragiles certitudes ? Ces questions ne sont pas seulement philosophiques, car ces hommes sont des conseillers écoutés, notamment par les décideurs politiques et industriels. Ils orientent - en fait le plus souvent entravent - les applications nouvelles qui sont l’expression du progrès. Je ne sais d’où viennent ces blocages mentaux, en théorie inconciliables avec l’activité scientifique. Voici cependant une citation qui montrera qu’ils sont éternels (Mécanisme, Encyclopedia Universalis) :
On a un bon exemple des impasses du "mécanisme" dans l’opposition des cartésiens au newtonianisme, qui leur a paru remettre en cause totalement la science nouvelle et faire retourner la pensée en deçà des conquêtes du "mécanisme". L’obstacle réside dans le fait que, chez Descartes, il ne peut y avoir mouvement que par contact et impulsion ; l’action à distance, l’attraction, comme le dira Fontenelle, ne peut être qu’un retour à une physique des sympathies et des qualités occultes... De cette façon, on ne mène pas avec Newton une controverse scientifique ; on le disqualifie pour obscurantisme. C’est ainsi que le milieu des savants français résistera longtemps à la théorie newtonienne, ou plutôt voudra l’ignorer... Mais ce "mécanisme" qui fait obstacle au progrès scientifique est un "mécanisme" figé. Newton contredit sans doute moins le "mécanisme" qu’il ne propose, en provoquant une rupture, un autre modèle de mécanisation de la physique où d’autres mouvements que ceux que produit l’impulsion sont possibles.
A quatre siècles de distance, les mêmes mots, "il faut des molécules" (François Jacob), c’est-à-dire des contacts, des impulsions, selon nos "savants" figés dans le dogmatisme mécaniciste de Descartes ; le même refus d’une action à distance ; les mêmes accusations de retour à l’obscurantisme.
Descartes contre Newton. Nous sommes en bonne compagnie...
8 janvier 1998, mod. 29 mai 1998
J. Benveniste
Ecrit le 06 nov.07, 08:43
calice, peux tu lire cet article jusqu'au bout stp? C'est sur la mémoire de l'eau, et ça vaudra mieux qu'une explication de ma part.
http://charlatans.info/memoiredeleau.shtml
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- calice
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Ecrit le 06 nov.07, 09:09
Et oui la médecine énergétique a ses détracteurs , des inconditionnels de la science mécaniste et crois tu vraiment me convaincre ?
L'avenir est dans la médecine énergétique et les patients ne s'y trompent pas , qui se détournent de plus en plus de la médecine officielle intolérante et c'est dommage car les deux sont complémentaires .
L'avenir est dans la médecine énergétique et les patients ne s'y trompent pas , qui se détournent de plus en plus de la médecine officielle intolérante et c'est dommage car les deux sont complémentaires .
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