QUOI !!! tu me bannirais pour islamophobie pour avoir dit que ton pote hinter (ou ismael)- y est un anti sémite et un négationniste ???
Serais tu du même avis que lui ?? c-à-d qu'il y a trop de juifs et que Hitler a baclé le travail ??? Parce que si ca t'ennuie qu'on dénonce ca, dis le, on le fera plus !! Malheureusement, il n'y a que des musulmans qui disent cela - donc si on le dénonce on se rend coupable (a tes yeux) d'islamophobie ou mieux de racisme - c'est ton credo - islam über alles - allons Issa, tu pourrais t'abstenir de telles réflexions
un point de vue intéressant
On aura déjà pu le constater, la menace de l’accusation d’islamophobie permet le déploiement de l’islam dans l’espace public et l’espace politique. Nous en souffrons ? Nous ne pouvons que nous en prendre à nous mêmes, nous disent les musulmans : nous sommes ISLAMOPHOBES ! ! !
En décrétant que notre rejet provient d’une névrose ou d’un instinct qui déforment notre vision du monde – sens de phobie -, ce concept dessine en creux un schéma mental évident : seul l’islam aurait le monopole de la raison, c’est-à-dire de la Vérité elle-même. L’islam est la culture qui s’opposerait à la nature primitive de tous les autres : les non musulmans
A noter que le concept de l’islamophobie écarte jusqu’à la nécessité même de nous convaincre sur l’omniscience des valeurs de l’islam : il suffirait d’éduquer notre instinct pour que cessent notre désaccord et notre rejet. Dans ces circonstances, nous pouvons mieux comprendre pourquoi on veut nous empêcher de nous exprimer, et plus encore de penser… Peine perdue, la liberté de pensée s’exprime dans les urnes. Quand, donc, interdiront-ils les urnes pour ceux qui n’aiment pas l’islam ? A ceux qui pensent qu’une démocratie ne saurait admettre tel crime, je leur répondrai que certains y ont déjà sérieusement penser…
A ce stade du commentaire, il n’est pas inutile de préciser que l’instrumentalisation du langage se révèle avec force puisque ces personnes préfèrent substituer l’usage du néologisme « islamophobe » à des mots préexistants et très précis aptes à désigner un éventail de rapports entre la religion et l’altérité qui s’oppose à elle et qui la rejette.
Je peux m’opposer à une religion parce que je suis d’une confession autre – à ses yeux, je suis « infidèle » - ou parce que je suis « irréligieuse ». Une personne irréligieuse est celle « qui n’a pas de croyance religieuse » et « qui s’oppose à la religion par sa conduite, ses discours, ses écrits » – définition du Petit Robert. Je peux également être une « impie » en marquant mon « mépris de la religion ou des croyances qu’elle enseigne » . Être irréligieux n’est donc pas être impie. « Je suis incroyant, je ne serai jamais un impie », disait André Gide. Les accusations d’islamophobie ne connaissent guère ces subtilités de langage et c’est toute notre histoire intellectuelle qu’elles remettent en cause...
Que l’islamphobie ait été sortie du chapeau n’a donc rien d’étonnant puisque la reprise de termes trop précis ne pourrait que nous amener à nous interroger sur la dialectique islamique qui sépare les croyants des mécréants, le « mécréant » étant, toutes choses confondues, l’infidèle, l’irréligieux et l’impie. Et nous savons ce que l’islam réserve aux mécréants : la conversion forcée ou les pires châtiments qui soient. Les islamophobes, ce sont donc les mécréants. Autant dire que les accusations d’islamophobie ont pour finalité de masquer l’islamisme avéré.