Preuve de la Vérité Catholique
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Preuve de la Vérité Catholique
Ecrit le 09 déc.07, 03:36Jésus-Christ a-t-il fondé une Église? Quelle est cette Église?
Oui, le Christ a fondé une société visible, l’Église, qui a vocation de continuer sa mission et de rassembler tous les hommes dans la vérité, et cela jusqu’à la fin des temps. Notre-Seigneur dit en effet à saint Pierre, en présence des autres Apôtres: Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle (Mt 16, 18).
Cette Église est placée sous l’autorité des Apôtres qui ont reçu de Jésus une triple mission:
-enseigner: Allez, enseignez toutes les nations (Mt 28, 19); celui qui vous écoute, m’écoute, celui qui vous rejette, me rejette; et celui qui me rejette, rejette celui qui m’a envoyé (Lc 10, 16).
-gouverner: Tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le Ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre le sera aussi dans le ciel (Mt 18, 18).
-sanctifier, principalement par les sacrements: Baptisez toutes les nations au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit (Mt 28, 19); faites ceci en mémoire de moi (Lc 22, 19).
Cette Église est une société monarchique dont saint Pierre est le chef. Jésus-Christ a dit à cet apôtre seul: Tu es Pierre... (Mt 16, 18 - cf. plus haut); j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas... affermis tes frères (Lc 22, 32); sois le pasteur de mes brebis (Jn 21, 17).
Les prérogatives de saint Pierre et des Apôtres sont passées à leurs successeurs, le Pape et les évêques, selon ces paroles que Jésus leur a dites: Voici que je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde (Mt 28, 20).
Or, seule l’Église catholique conserve tous ces éléments caractéristiques de l’Église du Christ, et, en premier lieu, la soumission au Pape, comme nous allons le voir.
Oui, le Christ a fondé une société visible, l’Église, qui a vocation de continuer sa mission et de rassembler tous les hommes dans la vérité, et cela jusqu’à la fin des temps. Notre-Seigneur dit en effet à saint Pierre, en présence des autres Apôtres: Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle (Mt 16, 18).
Cette Église est placée sous l’autorité des Apôtres qui ont reçu de Jésus une triple mission:
-enseigner: Allez, enseignez toutes les nations (Mt 28, 19); celui qui vous écoute, m’écoute, celui qui vous rejette, me rejette; et celui qui me rejette, rejette celui qui m’a envoyé (Lc 10, 16).
-gouverner: Tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le Ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre le sera aussi dans le ciel (Mt 18, 18).
-sanctifier, principalement par les sacrements: Baptisez toutes les nations au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit (Mt 28, 19); faites ceci en mémoire de moi (Lc 22, 19).
Cette Église est une société monarchique dont saint Pierre est le chef. Jésus-Christ a dit à cet apôtre seul: Tu es Pierre... (Mt 16, 18 - cf. plus haut); j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas... affermis tes frères (Lc 22, 32); sois le pasteur de mes brebis (Jn 21, 17).
Les prérogatives de saint Pierre et des Apôtres sont passées à leurs successeurs, le Pape et les évêques, selon ces paroles que Jésus leur a dites: Voici que je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde (Mt 28, 20).
Or, seule l’Église catholique conserve tous ces éléments caractéristiques de l’Église du Christ, et, en premier lieu, la soumission au Pape, comme nous allons le voir.
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Ecrit le 09 déc.07, 03:37
L’existence de l’Église catholique est un miracle moral.
Le Credo de Nicée-Constantinople, qui est un des principaux témoignages de la foi de l’Église primitive, énonce cette formule que les catholiques du monde entier répètent chaque dimanche à la Messe: «Je crois en l’Église une, sainte, catholique et apostolique». Ces quatre marques se retrouvent aujourd’hui uniquement dans l’Église catholique romaine, ce qui, après 2000 ans d’existence, constitue un miracle moral.
- Une: L’Église catholique est une par sa doctrine; les fidèles de toutes les nations professent le même Credo. L’objet de la Foi est le même pour tous: ce sont les vérités proposées comme telles par le magistère de l’Église. On peut avoir une vue générale de ces vérités en consultant le Catéchisme de l’Église Catholique publié en 1992.
L’Église catholique est une par son gouvernement. Le collège des évêques (actuellement au nombre de plus de 4000) tire son unité de l’union avec le Pontife romain, le Pape, vicaire de Jésus-Christ. Cette unité contraste avec les divisions que l’on observe dans les autres confessions chrétiennes; il y a plus de 15 Églises orthodoxes autocéphales, c’est-à-dire indépendantes, et plusieurs centaines de confessions se réclamant du protestantisme (très divisées en matière de dogme et de morale).
- Sainte: Tous les hommes instruits reconnaissent la haute sainteté de la morale catholique (même ceux qui se disent incapables de s’y conformer), en ce qui concerne les Commandements, les conseils de perfection et les moyens puissants mis à la disposition de tous: culte, sacrements, vie religieuse. La sainteté est héroïque chez les saints canonisés, proclamés tels par le Pape, après un examen très sérieux. De nos jours encore, de nombreux fidèles, dans le monde, manifestent une vertu héroïque jusqu’à même accepter le martyre pour l’amour du Christ et la fidélité à son Église. La sainteté est ordinaire dans un très grand nombre de prêtres vivant dans le célibat, de religieux, de religieuses observant les vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, et chez de très nombreux laïcs. Aucune autre société ne possède autant de marques de sainteté; c’est là un miracle moral.
- Catholique: L’Église Romaine est catholique, c’est-à-dire universelle; elle s’étend au monde entier (près d’un milliard de fidèles), elle est indépendante des pouvoirs politiques, ce qui lui est particulier. Cette conjonction d’une telle unité et d’une telle universalité, cette catholicité, dépasse les forces humaines. Elle constitue un miracle moral. En effet, plus les membres d’une société sont nombreux et différents, plus son unité est difficile à réaliser; or, malgré de profondes différences de langues, de civilisations, de cultures, en dépit de l’attachement des hommes à leurs opinions particulières, les Catholiques des diverses nations professent le même Credo. Malgré des pressions et influences diverses, l’Église Romaine garde son unité hiérarchique. C’est là un signe de l’intervention divine qui seule peut produire et conserver une telle unité au milieu d’une si grande diversité. Les autres religions n’ont pas une telle universalité jointe à une telle unité.
- Apostolique: L’Église catholique est apostolique parce qu’elle est fondée sur les Apôtres, témoins choisis et envoyés en mission par le Christ lui-même (Mc 3, 13-14; Ép 2, 20); elle garde et transmet, avec l’aide du Saint-Esprit qui habite en elle, l’enseignement, le bon dépôt de la foi. Les Églises et Confessions protestantes, et l’Église anglicane ont perdu la succession apostolique en cessant de conférer validement aux évêques l’Ordination qui les relie aux Apôtres; quant aux Églises orthodoxes, elles ont bien conservé une succession apostolique, mais elles refusent la soumission due au Pontife romain, dont elles ne reconnaissent pas l’autorité suprême. Ces Confessions possèdent des éléments de sanctification qui proviennent de la part de vérité révélée qu’elles ont conservée (cf. concile Vatican II, constitution Lumen gentium, n. 8); mais elles présentent des déficiences dogmatiques et morales venant de leur rupture historique avec la Tradition vivante. C’est pourquoi on doit prier pour que tous viennent à l’unité catholique, pour qu’il n’y ait qu’un seul troupeau et un seul pasteur (Jn 10, 16).
L’apostolicité de l’Église catholique se manifeste aussi par son expansion missionnaire et par l’héroïsme de tous ceux, prêtres, religieux et laïcs qui travaillent à gagner les âmes au Christ dans les continents récemment évangélisés (Asie, Afrique), sans autre espoir de récompense que le Royaume des Cieux.
Le Credo de Nicée-Constantinople, qui est un des principaux témoignages de la foi de l’Église primitive, énonce cette formule que les catholiques du monde entier répètent chaque dimanche à la Messe: «Je crois en l’Église une, sainte, catholique et apostolique». Ces quatre marques se retrouvent aujourd’hui uniquement dans l’Église catholique romaine, ce qui, après 2000 ans d’existence, constitue un miracle moral.
- Une: L’Église catholique est une par sa doctrine; les fidèles de toutes les nations professent le même Credo. L’objet de la Foi est le même pour tous: ce sont les vérités proposées comme telles par le magistère de l’Église. On peut avoir une vue générale de ces vérités en consultant le Catéchisme de l’Église Catholique publié en 1992.
L’Église catholique est une par son gouvernement. Le collège des évêques (actuellement au nombre de plus de 4000) tire son unité de l’union avec le Pontife romain, le Pape, vicaire de Jésus-Christ. Cette unité contraste avec les divisions que l’on observe dans les autres confessions chrétiennes; il y a plus de 15 Églises orthodoxes autocéphales, c’est-à-dire indépendantes, et plusieurs centaines de confessions se réclamant du protestantisme (très divisées en matière de dogme et de morale).
- Sainte: Tous les hommes instruits reconnaissent la haute sainteté de la morale catholique (même ceux qui se disent incapables de s’y conformer), en ce qui concerne les Commandements, les conseils de perfection et les moyens puissants mis à la disposition de tous: culte, sacrements, vie religieuse. La sainteté est héroïque chez les saints canonisés, proclamés tels par le Pape, après un examen très sérieux. De nos jours encore, de nombreux fidèles, dans le monde, manifestent une vertu héroïque jusqu’à même accepter le martyre pour l’amour du Christ et la fidélité à son Église. La sainteté est ordinaire dans un très grand nombre de prêtres vivant dans le célibat, de religieux, de religieuses observant les vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, et chez de très nombreux laïcs. Aucune autre société ne possède autant de marques de sainteté; c’est là un miracle moral.
- Catholique: L’Église Romaine est catholique, c’est-à-dire universelle; elle s’étend au monde entier (près d’un milliard de fidèles), elle est indépendante des pouvoirs politiques, ce qui lui est particulier. Cette conjonction d’une telle unité et d’une telle universalité, cette catholicité, dépasse les forces humaines. Elle constitue un miracle moral. En effet, plus les membres d’une société sont nombreux et différents, plus son unité est difficile à réaliser; or, malgré de profondes différences de langues, de civilisations, de cultures, en dépit de l’attachement des hommes à leurs opinions particulières, les Catholiques des diverses nations professent le même Credo. Malgré des pressions et influences diverses, l’Église Romaine garde son unité hiérarchique. C’est là un signe de l’intervention divine qui seule peut produire et conserver une telle unité au milieu d’une si grande diversité. Les autres religions n’ont pas une telle universalité jointe à une telle unité.
- Apostolique: L’Église catholique est apostolique parce qu’elle est fondée sur les Apôtres, témoins choisis et envoyés en mission par le Christ lui-même (Mc 3, 13-14; Ép 2, 20); elle garde et transmet, avec l’aide du Saint-Esprit qui habite en elle, l’enseignement, le bon dépôt de la foi. Les Églises et Confessions protestantes, et l’Église anglicane ont perdu la succession apostolique en cessant de conférer validement aux évêques l’Ordination qui les relie aux Apôtres; quant aux Églises orthodoxes, elles ont bien conservé une succession apostolique, mais elles refusent la soumission due au Pontife romain, dont elles ne reconnaissent pas l’autorité suprême. Ces Confessions possèdent des éléments de sanctification qui proviennent de la part de vérité révélée qu’elles ont conservée (cf. concile Vatican II, constitution Lumen gentium, n. 8); mais elles présentent des déficiences dogmatiques et morales venant de leur rupture historique avec la Tradition vivante. C’est pourquoi on doit prier pour que tous viennent à l’unité catholique, pour qu’il n’y ait qu’un seul troupeau et un seul pasteur (Jn 10, 16).
L’apostolicité de l’Église catholique se manifeste aussi par son expansion missionnaire et par l’héroïsme de tous ceux, prêtres, religieux et laïcs qui travaillent à gagner les âmes au Christ dans les continents récemment évangélisés (Asie, Afrique), sans autre espoir de récompense que le Royaume des Cieux.
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Ecrit le 09 déc.07, 03:38
2) Les miracles physiques confirment que le catholicisme est la vraie religion.
Dieu daigne aider les âmes à connaître la vérité en réalisant des miracles physiques (guérisons subites et inexplicables, sortant entièrement du cadre des lois naturelles) – par exemple à Lourdes où ont lieu, chaque année, des guérisons extraordinaires, constatées médicalement par des instances impartiales –. Est divine la Religion que Dieu approuve par des miracles. L’Église Catholique proclame constamment qu’elle est gardienne de la Parole révélée par Dieu (cf. concile Vatican II, constitution Dei Verbum, n. 12, 3). Si elle se trompait en cela, Dieu, en raison de sa Sagesse et de sa Bonté, non seulement ne l’aurait pas approuvée par des miracles, mais Il ne l’aurait pas laissée plonger les hommes dans une erreur insurmontable. Donc, elle vient bien, et elle seule, de Dieu.
Dieu daigne aider les âmes à connaître la vérité en réalisant des miracles physiques (guérisons subites et inexplicables, sortant entièrement du cadre des lois naturelles) – par exemple à Lourdes où ont lieu, chaque année, des guérisons extraordinaires, constatées médicalement par des instances impartiales –. Est divine la Religion que Dieu approuve par des miracles. L’Église Catholique proclame constamment qu’elle est gardienne de la Parole révélée par Dieu (cf. concile Vatican II, constitution Dei Verbum, n. 12, 3). Si elle se trompait en cela, Dieu, en raison de sa Sagesse et de sa Bonté, non seulement ne l’aurait pas approuvée par des miracles, mais Il ne l’aurait pas laissée plonger les hommes dans une erreur insurmontable. Donc, elle vient bien, et elle seule, de Dieu.
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Ecrit le 09 déc.07, 03:40
RÉPONSE À DEUX OBJECTIONS COURANTES:
a) Certaines religions (le judaïsme, l’islam, l’hindouisme, le bouddhisme, etc.) ont une existence multiséculaire et des adeptes presque aussi nombreux que l’Église catholique.
Réponse: Ces religions comportent, à côté d’erreurs plus ou moins graves, et toujours dommageables aux âmes, sur Dieu, la morale, la destinée éternelle de l’homme, des parcelles de vérité qui satisfont en partie les besoins des consciences religieuses (surtout les religions qui s’appuient sur la Révélation divine de l’Ancien Testament). Le désir d’absolu et le caractère religieux qui sont inscrits dans l’âme humaine par le Créateur expliquent le succès et la durée de ces religions. Mais il ne faut pas se dissimuler, par ailleurs, le rôle du diable qui s’efforce d’égarer et de séduire les hommes, et y réussit trop souvent à cause de la complicité qu’il trouve en eux (à la suite du péché originel). Des religions à la morale moins austère que le catholicisme, et qui pactisent plus ou moins avec les vices, sont assurées de faire des adeptes, surtout si elles sont appuyées par le pouvoir civil. Le nombre plus ou moins élevé de leurs fidèles n’est pas un critère de vérité.
Nous pouvons prier pour que Dieu, dans sa miséricorde et par les mérites de la Passion de Jésus-Christ, daigne éclairer, guider vers Lui et conduire au salut éternel les hommes qui ignorent l’Évangile et qui, sous l’influence de la grâce divine, cherchent la vérité d’un cœur sincère, s’efforçant d’obéir à la volonté divine connue par leur conscience.
b) Il y a dans le monde beaucoup de souffrances et de maux. Comment un Dieu infiniment bon le permet-il?
Réponse: Il n’y a pas un trait du message chrétien qui ne soit, pour une part, une réponse à la question du mal. Dieu nous a créés pour être heureux et il nous a élevés à l’état surnaturel dans le dessein de nous rendre à jamais participants de sa Béatitude infinie. Mais l’accomplissement de ce dessein d’amour du Créateur suppose chez l’homme la liberté; c’est librement que nous devons aimer Dieu, avec le secours indispensable de sa grâce. Or, nos premiers parents, Adam et Ève, abusant de leur liberté, ont désobéi à Dieu, à l’instigation du diable (cf. Livre de la Genèse, 3). Ils ont voulu être comme Dieu, mais sans Dieu et non pas selon Dieu; c’est le péché originel, premier péché, transmis à tous les hommes par voie de génération, qui a entraîné des conséquences tragiques: la perte de l’état de sainteté et de la justice originelle, l’ignorance, la concupiscence; le péché a désormais régné dans le monde, et avec lui ses conséquences: la souffrance, la mort, tous les maux qui existent dans le monde. Dieu, dans sa Sagesse et sa Bonté infinies a permis cela, et, dans un dessein de miséricorde, a voulu, par l’Incarnation et la mort rédemptrice de son Fils, racheter tous les hommes et offrir à tous ceux qui le voudraient le bonheur éternel: le Ciel. La Rédemption accomplie par Jésus-Christ ne supprime pas la souffrance ni le mal, mais transfigure les épreuves en donnant aux hommes les grâces nécessaires pour les surmonter, et pour remporter ainsi une victoire éclatante et définitive sur le démon. Les difficultés que nous avons à vaincre augmentent nos mérites et donc notre gloire future dans le Ciel. De ces maux, Notre-Seigneur sait tirer un plus grand bien: Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu, affirme saint Paul (Rm 8, 28). «Car le Dieu Tout-puissant... puisqu’Il est souverainement bon, ne laisserait jamais un mal quelconque exister dans ses œuvres, s’il n’était assez puissant et bon pour faire sortir le bien du mal» (Saint Augustin, Enchiridion, 11, 3).
CONCLUSION PRATIQUE: OÙ ALLONS-NOUS?
A) Quelle est la chose essentielle? Comme nous l’avons dit plus haut, Dieu nous a créés par amour pour nous faire partager éternellement son bonheur divin.
Pour cela, Il nous a fait le don précieux de la liberté, afin que nous répondions par un amour non contraint à son dessein sur nous. Si donc nous voulons le bonheur du Ciel, nous l’obtiendrons en observant ici-bas, avec le concours de la grâce, les Commandements de Dieu. Mais si nous ne le voulons pas, nous ne l’aurons pas, car Dieu respecte notre liberté; ce sera alors le malheur éternel de l’enfer, le ver qui ronge et ne meurt pas, le feu qui ne s’éteint pas (Mc 9, 48), dont Jésus a si souvent parlé.
Par suite du péché originel, notre nature tend au mal; il est donc nécessaire de faire effort pour éviter l’enfer et sauver son âme. C’est ce qu’on appelle faire son Salut.
B) Quand sera tranché le problème de notre Salut? Le jour de notre mort, immédiatement suivie du Jugement de Dieu. Quand mourrons-nous? Nous ne le savons pas: Tenez-vous prêts, nous dit Jésus. Large est la voie qui conduit à la perdition et ils sont nombreux ceux qui la suivent. Combien est resserrée la voie qui mène à la vie éternelle, et qu’il y en a peu qui la trouvent! (Mt 25, 13; 7, 13-14). Le grand nombre de ceux qui négligent l’affaire de leur Salut éternel ne leur donne pas raison.
C) Comment être sauvé? Par la Foi en Jésus-Christ, l’incorporation à son Église, la réception des sacrements (Baptême, Eucharistie, Pénitence, etc.) et l’observation des Commandements. Mais parce que nous sommes faibles et parce que la fidélité au Christ peut aller jusqu’à exiger le don de notre vie, deux conditions sont nécessaires pour que nous puissions recevoir la grâce indispensable d’en-haut:
- L’humilité: Saint Bernard l’appelle «le fondement et la gardienne de toutes les vertus». Reconnaître notre faiblesse, notre bassesse, notre impuissance, c’est la condition préalable de l’amitié et des secours divins. Jésus nous en a donné le plus sublime exemple en s’humiliant lui-même jusqu’à la mort de la Croix.
- La prière: Demandez, et vous recevrez; frappez, et l’on vous ouvrira, nous dit Jésus-Christ (Mt 7, 7). La prière doit être humble, confiante et persévérante. «Celui qui prie se sauve certainement; celui qui ne prie pas se damne certainement» (Saint Alphonse de Liguori). L’Église recommande spécialement le recours à l’intercession de la Très sainte Vierge Marie et de saint Joseph.
Jésus-Christ nous assure: si tu peux croire, tout est possible à celui qui a la foi (Mc 9, 23). Ayons aussi confiance dans cette autre parole du Christ: Mon joug est doux et mon fardeau léger (Mt 11, 30), et, comme nous le recommande saint Benoît, ayons soin «de ne jamais désespérer de la miséricorde de Dieu» (Règle, c. 4).
On peut demander d’autres exemplaires de cette lettre apologétique à l’Abbaye Saint-Joseph.
Pour approfondir les preuves de la divinité du Christ, les Éditions T.M. proposent:
“Je crois en Jésus-Christ le Fils de Dieu” et “Jésus-Christ et son Église”; en vente à l’Abbaye.
a) Certaines religions (le judaïsme, l’islam, l’hindouisme, le bouddhisme, etc.) ont une existence multiséculaire et des adeptes presque aussi nombreux que l’Église catholique.
Réponse: Ces religions comportent, à côté d’erreurs plus ou moins graves, et toujours dommageables aux âmes, sur Dieu, la morale, la destinée éternelle de l’homme, des parcelles de vérité qui satisfont en partie les besoins des consciences religieuses (surtout les religions qui s’appuient sur la Révélation divine de l’Ancien Testament). Le désir d’absolu et le caractère religieux qui sont inscrits dans l’âme humaine par le Créateur expliquent le succès et la durée de ces religions. Mais il ne faut pas se dissimuler, par ailleurs, le rôle du diable qui s’efforce d’égarer et de séduire les hommes, et y réussit trop souvent à cause de la complicité qu’il trouve en eux (à la suite du péché originel). Des religions à la morale moins austère que le catholicisme, et qui pactisent plus ou moins avec les vices, sont assurées de faire des adeptes, surtout si elles sont appuyées par le pouvoir civil. Le nombre plus ou moins élevé de leurs fidèles n’est pas un critère de vérité.
Nous pouvons prier pour que Dieu, dans sa miséricorde et par les mérites de la Passion de Jésus-Christ, daigne éclairer, guider vers Lui et conduire au salut éternel les hommes qui ignorent l’Évangile et qui, sous l’influence de la grâce divine, cherchent la vérité d’un cœur sincère, s’efforçant d’obéir à la volonté divine connue par leur conscience.
b) Il y a dans le monde beaucoup de souffrances et de maux. Comment un Dieu infiniment bon le permet-il?
Réponse: Il n’y a pas un trait du message chrétien qui ne soit, pour une part, une réponse à la question du mal. Dieu nous a créés pour être heureux et il nous a élevés à l’état surnaturel dans le dessein de nous rendre à jamais participants de sa Béatitude infinie. Mais l’accomplissement de ce dessein d’amour du Créateur suppose chez l’homme la liberté; c’est librement que nous devons aimer Dieu, avec le secours indispensable de sa grâce. Or, nos premiers parents, Adam et Ève, abusant de leur liberté, ont désobéi à Dieu, à l’instigation du diable (cf. Livre de la Genèse, 3). Ils ont voulu être comme Dieu, mais sans Dieu et non pas selon Dieu; c’est le péché originel, premier péché, transmis à tous les hommes par voie de génération, qui a entraîné des conséquences tragiques: la perte de l’état de sainteté et de la justice originelle, l’ignorance, la concupiscence; le péché a désormais régné dans le monde, et avec lui ses conséquences: la souffrance, la mort, tous les maux qui existent dans le monde. Dieu, dans sa Sagesse et sa Bonté infinies a permis cela, et, dans un dessein de miséricorde, a voulu, par l’Incarnation et la mort rédemptrice de son Fils, racheter tous les hommes et offrir à tous ceux qui le voudraient le bonheur éternel: le Ciel. La Rédemption accomplie par Jésus-Christ ne supprime pas la souffrance ni le mal, mais transfigure les épreuves en donnant aux hommes les grâces nécessaires pour les surmonter, et pour remporter ainsi une victoire éclatante et définitive sur le démon. Les difficultés que nous avons à vaincre augmentent nos mérites et donc notre gloire future dans le Ciel. De ces maux, Notre-Seigneur sait tirer un plus grand bien: Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu, affirme saint Paul (Rm 8, 28). «Car le Dieu Tout-puissant... puisqu’Il est souverainement bon, ne laisserait jamais un mal quelconque exister dans ses œuvres, s’il n’était assez puissant et bon pour faire sortir le bien du mal» (Saint Augustin, Enchiridion, 11, 3).
CONCLUSION PRATIQUE: OÙ ALLONS-NOUS?
A) Quelle est la chose essentielle? Comme nous l’avons dit plus haut, Dieu nous a créés par amour pour nous faire partager éternellement son bonheur divin.
Pour cela, Il nous a fait le don précieux de la liberté, afin que nous répondions par un amour non contraint à son dessein sur nous. Si donc nous voulons le bonheur du Ciel, nous l’obtiendrons en observant ici-bas, avec le concours de la grâce, les Commandements de Dieu. Mais si nous ne le voulons pas, nous ne l’aurons pas, car Dieu respecte notre liberté; ce sera alors le malheur éternel de l’enfer, le ver qui ronge et ne meurt pas, le feu qui ne s’éteint pas (Mc 9, 48), dont Jésus a si souvent parlé.
Par suite du péché originel, notre nature tend au mal; il est donc nécessaire de faire effort pour éviter l’enfer et sauver son âme. C’est ce qu’on appelle faire son Salut.
B) Quand sera tranché le problème de notre Salut? Le jour de notre mort, immédiatement suivie du Jugement de Dieu. Quand mourrons-nous? Nous ne le savons pas: Tenez-vous prêts, nous dit Jésus. Large est la voie qui conduit à la perdition et ils sont nombreux ceux qui la suivent. Combien est resserrée la voie qui mène à la vie éternelle, et qu’il y en a peu qui la trouvent! (Mt 25, 13; 7, 13-14). Le grand nombre de ceux qui négligent l’affaire de leur Salut éternel ne leur donne pas raison.
C) Comment être sauvé? Par la Foi en Jésus-Christ, l’incorporation à son Église, la réception des sacrements (Baptême, Eucharistie, Pénitence, etc.) et l’observation des Commandements. Mais parce que nous sommes faibles et parce que la fidélité au Christ peut aller jusqu’à exiger le don de notre vie, deux conditions sont nécessaires pour que nous puissions recevoir la grâce indispensable d’en-haut:
- L’humilité: Saint Bernard l’appelle «le fondement et la gardienne de toutes les vertus». Reconnaître notre faiblesse, notre bassesse, notre impuissance, c’est la condition préalable de l’amitié et des secours divins. Jésus nous en a donné le plus sublime exemple en s’humiliant lui-même jusqu’à la mort de la Croix.
- La prière: Demandez, et vous recevrez; frappez, et l’on vous ouvrira, nous dit Jésus-Christ (Mt 7, 7). La prière doit être humble, confiante et persévérante. «Celui qui prie se sauve certainement; celui qui ne prie pas se damne certainement» (Saint Alphonse de Liguori). L’Église recommande spécialement le recours à l’intercession de la Très sainte Vierge Marie et de saint Joseph.
Jésus-Christ nous assure: si tu peux croire, tout est possible à celui qui a la foi (Mc 9, 23). Ayons aussi confiance dans cette autre parole du Christ: Mon joug est doux et mon fardeau léger (Mt 11, 30), et, comme nous le recommande saint Benoît, ayons soin «de ne jamais désespérer de la miséricorde de Dieu» (Règle, c. 4).
On peut demander d’autres exemplaires de cette lettre apologétique à l’Abbaye Saint-Joseph.
Pour approfondir les preuves de la divinité du Christ, les Éditions T.M. proposent:
“Je crois en Jésus-Christ le Fils de Dieu” et “Jésus-Christ et son Église”; en vente à l’Abbaye.
- Alisdair
- [ Incroyant ] [ Athée ]
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Ecrit le 11 déc.07, 06:31
Le miracle permet-il de croire comme tu sembles le dire ou résulte t-il de la foi ?
Il me semble que si Jésus a fait grandir le nombre de chrétiens (sans toujours vouloir qu'on connaisse ses signes) avec ses signes, dans les Evangiles, beaucoup sont sauvés par leur Foi ou leur volonté de recevoir de l'aide.
Quand Jésus ne veut pas que s'ébruite ses actes formidables, c'est pour que cette relation en huis-clos perdure, que la foi sauve.
Comme celui qui touche le manteau et guérit.
Le signe ne fonctionne (à ma faible expérience) que pour celui qui le reçoit ou veux le voir, dès lors comment peut-il convertir des gens qui sont indifférents ?
J'ai donc un peu de mal avec la notions de saints qui exercent des miracles devant n'importe qui, plutôt que l'idée de ceux qui viennent à eux pour connaître la vérité.
Il me semble que si Jésus a fait grandir le nombre de chrétiens (sans toujours vouloir qu'on connaisse ses signes) avec ses signes, dans les Evangiles, beaucoup sont sauvés par leur Foi ou leur volonté de recevoir de l'aide.
Quand Jésus ne veut pas que s'ébruite ses actes formidables, c'est pour que cette relation en huis-clos perdure, que la foi sauve.
Comme celui qui touche le manteau et guérit.
Le signe ne fonctionne (à ma faible expérience) que pour celui qui le reçoit ou veux le voir, dès lors comment peut-il convertir des gens qui sont indifférents ?
J'ai donc un peu de mal avec la notions de saints qui exercent des miracles devant n'importe qui, plutôt que l'idée de ceux qui viennent à eux pour connaître la vérité.
Ancien modérateur de la section enseignement christianisme.
- FromDaWu
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Ecrit le 11 déc.07, 22:54
Bonjour,Alisdair a écrit :Le miracle permet-il de croire comme tu sembles le dire ou résulte t-il de la foi ?
Il me semble que si Jésus a fait grandir le nombre de chrétiens (sans toujours vouloir qu'on connaisse ses signes) avec ses signes, dans les Evangiles, beaucoup sont sauvés par leur Foi ou leur volonté de recevoir de l'aide.
Quand Jésus ne veut pas que s'ébruite ses actes formidables, c'est pour que cette relation en huis-clos perdure, que la foi sauve.
Comme celui qui touche le manteau et guérit.
Le signe ne fonctionne (à ma faible expérience) que pour celui qui le reçoit ou veux le voir, dès lors comment peut-il convertir des gens qui sont indifférents ?
J'ai donc un peu de mal avec la notions de saints qui exercent des miracles devant n'importe qui, plutôt que l'idée de ceux qui viennent à eux pour connaître la vérité.
Les miracles selon la Foi Catholique viennent pour confirmer et le sont pas des preuves en eux meme. Celui qui fait des prodiges uniquement peut etre qualifié de sorciers ou magiciens. Tandis que celui qui professe la Sainte Foi, qui est un modèle de vie à l'image du Christ, ... et qui en plus fait des miracles en sont nom, alors le miracles vient confirmer la sainteté, voila tout. Mais le miracles n'a aucune valeur en soi.
Sinon, que pensez vous des autres articles?
Cordialement
- Jonathan L
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Ecrit le 11 déc.07, 23:12
Miracles? Vraiment?
Et pourquoi Dieu ne guerit t'il pas les amputés? Eux n'ont pas droit aux grâces?
Les Indiens qui se baigne dans le Gange aussi disent qu'ils y a des guérisons miraculeuses. Comment l'expliqué celle-là?
Pourquoi des athés, qui ne prient pas, eux aussi ont des guérisons miraculeuse? Mais sans avoir besoin d'aller à Lourdes, ni rien faire, ni croire?
Pendant ce temps, ils sont ou les membres neufs des amputés?
Et pourquoi Dieu ne guerit t'il pas les amputés? Eux n'ont pas droit aux grâces?
Les Indiens qui se baigne dans le Gange aussi disent qu'ils y a des guérisons miraculeuses. Comment l'expliqué celle-là?
Pourquoi des athés, qui ne prient pas, eux aussi ont des guérisons miraculeuse? Mais sans avoir besoin d'aller à Lourdes, ni rien faire, ni croire?
Pendant ce temps, ils sont ou les membres neufs des amputés?
- slightly mad
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Ecrit le 12 déc.07, 00:06
Bonjour, FromDaWu, j’ai quelque chose a vous dire a propos de votre troisieme message (bien que j’aie a vous objecter a propos de tous les autres).
Primo, je dis encore une fois que tous les miracles ne sont pas Divins, c’est porquoi la presence des miracles en soi ne prouve rien. Par exemple en Grece la statue d’Apollon etait toute couverte de myrre mais cet evenement ne signifie pas que les grecs avaient la religion la plus juste.
Secundo, vous dites que «si elle se trompait en cela, Dieu, en raison de sa Sagesse et de sa Bonté, non seulement ne l’aurait pas approuvée par des miracles, mais Il ne l’aurait pas laissée plonger les hommes dans une erreur insurmontable». Mais votre conclusion est un peu drole. Il me semble que vous avez oublie que la tolerance de Dieu est tres grande. Il tolere pour que nous ayons le temps de changer notre vie, nos idees et parfois la foi. (Je meme dirait que Dieu tolere parce qu’il nous respecte)))). D’apres ce point de vue on peut dire avec une assuranse egale que le fait que le catholicisme continue a exix\ster c’est plutot la manifestation de Sa tolerence. Vous affirmez que le catholicisme est une seule religion de Dieu. Bien sur cela veut dire que toutes les autres confessions sont fausses. Est-ce que ca ne vous parait pas un peu etrange que tant de monde «plongent dans une erreur insurmontable»?
Dans le monde il y a beaucoup de religions et de confessions. Et les adeptes de n'importe quelle confessions peuvent etre sauves, athees y compris.
Primo, je dis encore une fois que tous les miracles ne sont pas Divins, c’est porquoi la presence des miracles en soi ne prouve rien. Par exemple en Grece la statue d’Apollon etait toute couverte de myrre mais cet evenement ne signifie pas que les grecs avaient la religion la plus juste.
Secundo, vous dites que «si elle se trompait en cela, Dieu, en raison de sa Sagesse et de sa Bonté, non seulement ne l’aurait pas approuvée par des miracles, mais Il ne l’aurait pas laissée plonger les hommes dans une erreur insurmontable». Mais votre conclusion est un peu drole. Il me semble que vous avez oublie que la tolerance de Dieu est tres grande. Il tolere pour que nous ayons le temps de changer notre vie, nos idees et parfois la foi. (Je meme dirait que Dieu tolere parce qu’il nous respecte)))). D’apres ce point de vue on peut dire avec une assuranse egale que le fait que le catholicisme continue a exix\ster c’est plutot la manifestation de Sa tolerence. Vous affirmez que le catholicisme est une seule religion de Dieu. Bien sur cela veut dire que toutes les autres confessions sont fausses. Est-ce que ca ne vous parait pas un peu etrange que tant de monde «plongent dans une erreur insurmontable»?
Dans le monde il y a beaucoup de religions et de confessions. Et les adeptes de n'importe quelle confessions peuvent etre sauves, athees y compris.
- FromDaWu
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Ecrit le 12 déc.07, 02:40
Jonathan L a écrit :Miracles? Vraiment?
Et pourquoi Dieu ne guerit t'il pas les amputés? Eux n'ont pas droit aux grâces?
Les Indiens qui se baigne dans le Gange aussi disent qu'ils y a des guérisons miraculeuses. Comment l'expliqué celle-là?
Pourquoi des athés, qui ne prient pas, eux aussi ont des guérisons miraculeuse? Mais sans avoir besoin d'aller à Lourdes, ni rien faire, ni croire?
Pendant ce temps, ils sont ou les membres neufs des amputés?
Bonjour,slightly mad a écrit : Bonjour, FromDaWu, j’ai quelque chose a vous dire a propos de votre troisieme message (bien que j’aie a vous objecter a propos de tous les autres).
Primo, je dis encore une fois que toutes les miracles ne sont pas Divines, c’est porquoi la presence des miracles en soi ne prouve rien.
Je crois que mon précedent message suffit pour répondre à votre objection. Sinon, je pourrais développer ce point, mais j'espere que mon précedent message est assez claire, sinon n'hésitez pas.
Vous savez, il faut etre très claire a se sujet car c'est une question essentiel.slightly mad a écrit : D’apres ce point de vue on peut dire avec une certaine assuranse que le fait que le catholicisme continue son existance c’est plutot la manifestation de Sa tolerense. Vous affirmez que le catholicisme est une seule religion de Dieu. Mais cela veut dire que toutes les autres confessions sont fausses. Est-ce que ca ne vous parait pas un peu etrange que tant de monde «plongent dans une erreur insurmontable»?
Toute religion détient une part de Vérité, c'est le discours de l'Eglise Catholique depuis le Concile Vatican 2. Que se soit l'hidouisme, le bouddhisme, la shamanisme, et a fortiori le judaïsme et l'islam, détienne une part de cette Verité, car la Vérité est unique, cela est incontestable.
Si vous n'en n'etes pas persuadé, j'essairai avec mon humble argument de vous le montrer.
Mais la doctrine et la foi qui détient toute les clé du Mystère de Dieu, c'est l'Eglise Catholique.
Ces Mystères divin nous ont été rélévé par Jésus Christ, Dieu venu Lui meme parmis les Hommes en se faisant chair, et c'est l'Eglise Catholique qui renferme toute les attributs de cette promesse de Salut pour l'Humanité.
Oui, mais etre sauvé, meme ça ne fait pas bien de le dire, tout le monde ne le sera pas! Il y aura des catholiques qui ne seront pas sauvés, ce n'est pas une assurance tout risque!!slightly mad a écrit : Dans le monde il y a beaucoup de religions et de confessions. Et les adeptes de chaque confessions peuvent etre sauves, atheists y compris.
Ce qui sauve, c'est Jésus Christ. Si l'on ne confesse pas que Jésus Christ est Seigneur, nous n'aurons pas la Vie Eternelle. Mais il faut le refuser en conscience, ceux qui n'ont jamais entendu parler de l'Evangile peuvent etre sauvé, mais ceux qui refusent consciament le Christ comme Seigneur et Sauveur, ils n'auront pas la Vie Eternelle.
Cordialement
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Ecrit le 12 déc.07, 04:29
C'est toujours moi.
Vous commencez donc par ca, mais pour enseigner il faut que la doctrine soit juste! Sinon ce n'est qu'une secte.
La soumission au pape ? Il y a beaucoup de religions qui se soumettent a un ledeur. Chaque religion enseigne, surtout si c’est une secte. Chaque secte veut convertir le plus de gens possible. Peut-etre seuls les orthodoxes ne sont pas possedes par l’idee fixe de convertir tout le monde.
et je ne peux pas dire que la morale catholique est la plus haute.
Vous dites que l'essettiel c'est la vie en consciense. ( Les orthodoxes sont tout a fait d'accord))). Pourquoi l'Eglise Catholique a canonise Therese d'Avila et d'autres? Pour que des gens commettent des peches en conscience?
Pardonnez-moi mon ignorance des choses.
D'accord. Vous dites:Je crois que mon précedent message suffit pour répondre à votre objection
Mais est-ce que les catholiques professent la Sainte Foi? Ce que vous dites n'est pas suffisant pour le pretendre. Ce n'est pas a l'arbre qu'on reconnait le fruit mais c’est au fruit qu’on reconnait l’arbre. Vous parlez plutot de l'arbre sans presenter ces fruits.Celui qui fait des prodiges uniquement peut etre qualifié de sorciers ou magiciens. Tandis que celui qui professe la Sainte Foi, qui est un modèle de vie à l'image du Christ,
Ici vous dites la Verite!))) Tous ceux qui confesent Jesus Christ n'auront pas la Vie Eternelle non plus, et c'est bien dommage...Ce qui sauve, c'est Jésus Christ. Si l'on ne confesse pas que Jésus Christ est Seigneur, nous n'aurons pas la Vie Eternelle. Mais il faut le refuser en conscience, ceux qui n'ont jamais entendu parler de l'Evangile peuvent etre sauvé, mais ceux qui refusent consciament le Christ comme Seigneur et Sauveur, ils n'auront pas la Vie Eternelle.
Notre-Seigneur a choisi Pierre qui n’etait pas ideal a ce moment. Pourquoi tous les papes sont reconnus comme des saints alors?« Notre-Seigneur dit en effet à saint Pierre, en présence des autres Apôtres: Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle (Mt 16, 18) »
enseigner: Allez, enseignez toutes les nations (Mt 28, 19); celui qui vous écoute, m’écoute, celui qui vous rejette, me rejette; et celui qui me rejette, rejette celui qui m’a envoyé (Lc 10, 16).
Vous commencez donc par ca, mais pour enseigner il faut que la doctrine soit juste! Sinon ce n'est qu'une secte.
Les sectantes aiment beaucoup gouverner, je le sais. La centralisation du pouvoir au Vatican peut etre aussi une bonne preuve de ce que l’EC est une secte. A propos : l’Antichrist gouvernera lui-aussi sur la terre.-gouverner: Tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le Ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre le sera aussi dans le ciel (Mt 18, 18).
Est-ce que Jesus etait le chef d’une societe monarchique des croyants en Lui? Pourquoi Piere doit l’etre? Et qu’est-ce que c’est que se soumetre au pape? En quoi consiste cette soumission? Si le pape prends une decision contredisant la Bible comment lui se soummetre en ce cas ? Ya-t-il quelqu’un qui est plus grand que le pape ? A vrai dire cela reste un mystere pour moi.-sanctifier, principalement par les sacrements: Baptisez toutes les nations au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit (Mt 28, 19); faites ceci en mémoire de moi (Lc 22, 19).
Cette Église est une société monarchique dont saint Pierre est le chef. Jésus-Christ a dit à cet apôtre seul: Tu es Pierre... (Mt 16, 18 - cf. plus haut); j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas... affermis tes frères (Lc 22, 32); sois le pasteur de mes brebis (Jn 21, 17).
Les prérogatives de saint Pierre et des Apôtres sont passées à leurs successeurs, le Pape et les évêques, selon ces paroles que Jésus leur a dites: Voici que je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde (Mt 28, 20).
Or, seule l’Église catholique conserve tous ces éléments caractéristiques de l’Église du Christ, et, en premier lieu, la soumission au Pape, comme nous allons le voir.
La soumission au pape ? Il y a beaucoup de religions qui se soumettent a un ledeur. Chaque religion enseigne, surtout si c’est une secte. Chaque secte veut convertir le plus de gens possible. Peut-etre seuls les orthodoxes ne sont pas possedes par l’idee fixe de convertir tout le monde.
Les orthodoxes disent la meme chose dans leur Credo (au lieu du mot «catholique» il y a un autre un mot qui signifie que l'EO reunit tous les gens qui la confessent).Je crois en l’Église une, sainte, catholique et apostolique.
Autant que je sache les couvents manifestent toute la moralite d’une telle ou telle religion. J’ai deja donne une referanse consacree a la haute moralite des couvents catholiques. De plus j’ai lu le roman de Diderot «La religieuse» (no coments!)Tous les hommes instruits reconnaissent la haute sainteté de la morale catholique.
et je ne peux pas dire que la morale catholique est la plus haute.
Vous dites que l'essettiel c'est la vie en consciense. ( Les orthodoxes sont tout a fait d'accord))). Pourquoi l'Eglise Catholique a canonise Therese d'Avila et d'autres? Pour que des gens commettent des peches en conscience?
Pardonnez-moi mon ignorance des choses.
Modifié en dernier par slightly mad le 12 déc.07, 22:47, modifié 1 fois.
- Jonathan L
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Ecrit le 12 déc.07, 22:36
FromDawu tu te contredit. D'un côté tu dit que les miracles sont des signes, de l'autre qu'il n'en sont pas... Faudrait savoir. Ils en sont ou pas?
Pour moi la réponse est clair. Le fait que les catholiques sont incapables de repondre a cette simple question, pourquoi pas les amputés, prouve que leur soi-disnt miracle n'en sont pas. Donc l'argument qui dit que miracle=vrai religion tombe à l'eau.
Pour moi la réponse est clair. Le fait que les catholiques sont incapables de repondre a cette simple question, pourquoi pas les amputés, prouve que leur soi-disnt miracle n'en sont pas. Donc l'argument qui dit que miracle=vrai religion tombe à l'eau.
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Ecrit le 13 déc.07, 03:37
Qu'y a-t-il de mauvais en ce que l'eglise Orthodoxe est composee de 15 eglises independantes? Est-ce que ce n'est pas beaucoup mieux que de se soummetre a une seule personne reconnue pour infaillible?- Une: L’Église catholique est une par sa doctrine; les fidèles de toutes les nations professent le même Credo (...) Cette unité contraste avec les divisions que l’on observe dans les autres confessions chrétiennes; il y a plus de 15 Églises orthodoxes autocéphales, c’est-à-dire indépendantes(...)
A propos, les eglise Orthodoxes sont independantes seulement du point de vue juridique. Elles ont les memes dogmes, le meme canon eucharistique et tout ca.
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Ecrit le 13 déc.07, 11:51
Tu crois vraiment tout ce que tu racontes ?FromDaWu a écrit :L’existence de l’Église catholique est un miracle moral.
Le Credo de Nicée-Constantinople, qui est un des principaux témoignages de la foi de l’Église primitive, énonce cette formule que les catholiques du monde entier répètent chaque dimanche à la Messe: «Je crois en l’Église une, sainte, catholique et apostolique». Ces quatre marques se retrouvent aujourd’hui uniquement dans l’Église catholique romaine, ce qui, après 2000 ans d’existence, constitue un miracle moral.
- Une: L’Église catholique est une par sa doctrine; les fidèles de toutes les nations professent le même Credo. L’objet de la Foi est le même pour tous: ce sont les vérités proposées comme telles par le magistère de l’Église. On peut avoir une vue générale de ces vérités en consultant le Catéchisme de l’Église Catholique publié en 1992.
L’Église catholique est une par son gouvernement. Le collège des évêques (actuellement au nombre de plus de 4000) tire son unité de l’union avec le Pontife romain, le Pape, vicaire de Jésus-Christ. Cette unité contraste avec les divisions que l’on observe dans les autres confessions chrétiennes; il y a plus de 15 Églises orthodoxes autocéphales, c’est-à-dire indépendantes, et plusieurs centaines de confessions se réclamant du protestantisme (très divisées en matière de dogme et de morale).
- Sainte: Tous les hommes instruits reconnaissent la haute sainteté de la morale catholique (même ceux qui se disent incapables de s’y conformer), en ce qui concerne les Commandements, les conseils de perfection et les moyens puissants mis à la disposition de tous: culte, sacrements, vie religieuse. La sainteté est héroïque chez les saints canonisés, proclamés tels par le Pape, après un examen très sérieux. De nos jours encore, de nombreux fidèles, dans le monde, manifestent une vertu héroïque jusqu’à même accepter le martyre pour l’amour du Christ et la fidélité à son Église. La sainteté est ordinaire dans un très grand nombre de prêtres vivant dans le célibat, de religieux, de religieuses observant les vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, et chez de très nombreux laïcs. Aucune autre société ne possède autant de marques de sainteté; c’est là un miracle moral.
- Catholique: L’Église Romaine est catholique, c’est-à-dire universelle; elle s’étend au monde entier (près d’un milliard de fidèles), elle est indépendante des pouvoirs politiques, ce qui lui est particulier. Cette conjonction d’une telle unité et d’une telle universalité, cette catholicité, dépasse les forces humaines. Elle constitue un miracle moral. En effet, plus les membres d’une société sont nombreux et différents, plus son unité est difficile à réaliser; or, malgré de profondes différences de langues, de civilisations, de cultures, en dépit de l’attachement des hommes à leurs opinions particulières, les Catholiques des diverses nations professent le même Credo. Malgré des pressions et influences diverses, l’Église Romaine garde son unité hiérarchique. C’est là un signe de l’intervention divine qui seule peut produire et conserver une telle unité au milieu d’une si grande diversité. Les autres religions n’ont pas une telle universalité jointe à une telle unité.
- Apostolique: L’Église catholique est apostolique parce qu’elle est fondée sur les Apôtres, témoins choisis et envoyés en mission par le Christ lui-même (Mc 3, 13-14; Ép 2, 20); elle garde et transmet, avec l’aide du Saint-Esprit qui habite en elle, l’enseignement, le bon dépôt de la foi. Les Églises et Confessions protestantes, et l’Église anglicane ont perdu la succession apostolique en cessant de conférer validement aux évêques l’Ordination qui les relie aux Apôtres; quant aux Églises orthodoxes, elles ont bien conservé une succession apostolique, mais elles refusent la soumission due au Pontife romain, dont elles ne reconnaissent pas l’autorité suprême. Ces Confessions possèdent des éléments de sanctification qui proviennent de la part de vérité révélée qu’elles ont conservée (cf. concile Vatican II, constitution Lumen gentium, n. 8); mais elles présentent des déficiences dogmatiques et morales venant de leur rupture historique avec la Tradition vivante. C’est pourquoi on doit prier pour que tous viennent à l’unité catholique, pour qu’il n’y ait qu’un seul troupeau et un seul pasteur (Jn 10, 16).
L’apostolicité de l’Église catholique se manifeste aussi par son expansion missionnaire et par l’héroïsme de tous ceux, prêtres, religieux et laïcs qui travaillent à gagner les âmes au Christ dans les continents récemment évangélisés (Asie, Afrique), sans autre espoir de récompense que le Royaume des Cieux.
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