Suite de (Ap 7.1-4)
(Ap 7.5-8)
7.5 de la tribu de Juda, douze mille marqués du sceau; de la tribu de Ruben, douze mille; de la tribu de Gad, douze mille; 7.6 de la tribu d'Aser, douze mille; de la tribu de Nephthali, douze mille; de la tribu de Manassé, douze mille; 7.7 de la tribu de Siméon, douze mille; de la tribu de Lévi, douze mille; de la tribu d'Issacar, douze mille; 7.8 de la tribu de Zabulon, douze mille; de la tribu de Joseph, douze mille; de la tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau.
Note: (Ap 7.5-8).
Les 144 000 sont de tout évidence des croyants d'origine juive. Ces croyant juifs sont sauvés au cours de la première phase de la tribulation. La marque sur leur front indique leur appartenence à Dieu et garantit la préservation de leur vie pendent les sept années suivantes.
Deux tribus manquent à la liste: Ephraim et Dan. Peut-être sont-elles omises en raison de l'idolâtrie qui les caractérisait. Certains pensent que l'Antéchrist viendra de Dan (Ge 49.17). Les tribud de Joseph et de Lévi figurent dans la liste, Joseph sans nul doute prenant la place de son fils, Ephraim.
A suivre
L' ouverture des sceaux dans l'Apocalypse
- Luc
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Ecrit le 26 déc.07, 18:55
Suite de Ap 7.5-8
(Ap 7.9-12)
7.9 Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l'agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains.
7.10 Et ils criaient d'une voix forte, en disant: Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l'agneau. 7.11 Et tous les anges se tenaient autour du trône et des vieillards et des quatre êtres vivants; et ils se prosternèrent sur leur face devant le trône, et ils adorèrent Dieu,
7.12 en disant: Amen! La louange, la gloire, la sagesse, l'action de grâces, l'honneur, la puissance, et la force, soient à notre Dieu, aux siècles des siècles! Amen!
Commantaire:
(9) Les gens décrits dans cette section sont issus de tout nation, de tout tribu, de tout peuple, et de tout langue. lls se tiennent devant le trône et devant l'agneau, revêtu de robe blanches et des palmes dans leurs mains, symbole de victoire. (10) Ce sont des païens sauvés pendent la grande tribulation par le foi au Seigneur Jésus. Dans leur chant ils célèbrent leur salut et l'attribuent à leur Dieu. (11 et 12) Les anges, les vieillards et les quatre être vivants s'unissent pour louer Dieu, bien que le sujet de la rédemption manque à leur adoration. En effet, les anges ne connaissent pas la joie du salut. Néanmoins ils chantent les louanges de Dieu et le déclarent digne de sept forme différentes d'honneur.
(Ap 7.9-12)
7.9 Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l'agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains.
7.10 Et ils criaient d'une voix forte, en disant: Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l'agneau. 7.11 Et tous les anges se tenaient autour du trône et des vieillards et des quatre êtres vivants; et ils se prosternèrent sur leur face devant le trône, et ils adorèrent Dieu,
7.12 en disant: Amen! La louange, la gloire, la sagesse, l'action de grâces, l'honneur, la puissance, et la force, soient à notre Dieu, aux siècles des siècles! Amen!
Commantaire:
(9) Les gens décrits dans cette section sont issus de tout nation, de tout tribu, de tout peuple, et de tout langue. lls se tiennent devant le trône et devant l'agneau, revêtu de robe blanches et des palmes dans leurs mains, symbole de victoire. (10) Ce sont des païens sauvés pendent la grande tribulation par le foi au Seigneur Jésus. Dans leur chant ils célèbrent leur salut et l'attribuent à leur Dieu. (11 et 12) Les anges, les vieillards et les quatre être vivants s'unissent pour louer Dieu, bien que le sujet de la rédemption manque à leur adoration. En effet, les anges ne connaissent pas la joie du salut. Néanmoins ils chantent les louanges de Dieu et le déclarent digne de sept forme différentes d'honneur.
Ecrit le 27 déc.07, 02:59
Les théologiens plus libéraux n'interprètent ce personnage ni comme le Christ, ni comme l'Antéchrist.
Le commentaire de M. Eugene Boring à propos de l'Apocalypse suggère que cette image serait tirée d'événements datant Ier siècle que les chrétiens de l'empire romain auraient connu et décrit.
En 62, les Parthes avaient battu une armée romaine dans la vallée du Tigre et les habitant de l'empire les voyaient alors avec la même terreur irréaliste que les Occidentaux modernes avaient du péril jaune. Les Parthes étaient les seuls archers à cheval du premier siècle et les chevaux blancs étaient leurs montures préférées.
Pourquoi les cavaliers de l'apocalypse auraient-ils un acomplissement modernes ???
Le commentaire de M. Eugene Boring à propos de l'Apocalypse suggère que cette image serait tirée d'événements datant Ier siècle que les chrétiens de l'empire romain auraient connu et décrit.
En 62, les Parthes avaient battu une armée romaine dans la vallée du Tigre et les habitant de l'empire les voyaient alors avec la même terreur irréaliste que les Occidentaux modernes avaient du péril jaune. Les Parthes étaient les seuls archers à cheval du premier siècle et les chevaux blancs étaient leurs montures préférées.
Pourquoi les cavaliers de l'apocalypse auraient-ils un acomplissement modernes ???
- Luc
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Ecrit le 27 déc.07, 07:53
Bonjour samisami a écrit :Les théologiens plus libéraux n'interprètent ce personnage ni comme le Christ, ni comme l'Antéchrist.
Le commentaire de M. Eugene Boring à propos de l'Apocalypse suggère que cette image serait tirée d'événements datant Ier siècle que les chrétiens de l'empire romain auraient connu et décrit.
En 62, les Parthes avaient battu une armée romaine dans la vallée du Tigre et les habitant de l'empire les voyaient alors avec la même terreur irréaliste que les Occidentaux modernes avaient du péril jaune. Les Parthes étaient les seuls archers à cheval du premier siècle et les chevaux blancs étaient leurs montures préférées.
Pourquoi les cavaliers de l'apocalypse auraient-ils un acomplissement modernes ???
ll est vrai que le cavalier au cheval blanc semble être caractéristique de la cavalerie parthes. La couleur de la monture et la couronne sont signe de victoire. En plus les Parthes installés sur l'Euphrate constituaient une menace continuelle aux frontière de l'empire; Comme tu dit sami, En 62, le roi parthes Vologèse avait battu les légions, et cette victoire de l'empire parthe présageait d'autre victoires: Aussi sort-il en vainqueur et pour vaincre encore.
On pourait dire que le cavalier avec l'épée et le cheval couleur de feu, qu'il symbolise le moyen d'entredéchirement des ennemis de Dieu en Hénoch. Cet entredéchirement s'appliquerait bien aux événement de 69, quand Galba, Othon, Vittellius et Vespasien firent se heurter les légions du Rhin, de la Gaule, de la Grèce et de l'Asie.
Pour le cavalier au cheval noir qui symbolise la famine et qui est muni d'une balance pourrait t'il se raporté dans la deuxième moitié du 1 siècle, car les famine ne furent pas rares a cette époque. La culture du blé étaient de plus en plus négligée; et cette situation économique semble due au rôle de l'état romain, acheteur et distributeur de blé.
Et le cavalier qui symbolise la peste pourait t'il avoir un rapport avec les peste qui ne manquèrent pas dans la deuxième partie du 1 siècle.
Et le quatrième cavalier exigerait t'il un fléau d'une certaine envergure dépassant les borne de la province proconsulaire d'Asie.
A mon avie sami se ne son que des hypothéses.
Bien a toi
Ecrit le 28 déc.07, 05:14
Bonjour LUC,
Merci pour tous ces renseignements.
Je partage tout à fait ton point de vue et ton analyse.
Je ne comprend pas pourquoi de nonbreuses religions chrétiennes fondamentalistes et autres donnent une interpretation moderne, liée aux signes des derniers jours.
En fait cela n'est pas nouveau !
L’histoire montre que génération après génération, on accorda de grands espoirs à certaines dates ou à des prédictions pour ne connaître finalement que déception, beaucoup n‘apportant que dommage, amertume et désillusion lorsque leurs attentes ont manqués de se concrétiser.
Déjà au premier siècle nous trouvons l’apôtre Paul écrivant à ses compagnons de Thessalonique :
‘Au sujet de la venue de notre Seigneur Jésus-Christ et de notre rassemblement auprès de lui, nous vous le demandons, frères : ne vous laissez pas si facilement ébranler dans votre bon sens, ni troubler par une révélation, un message ou une lettre qu’on nous attribuerait, et qui prétendrait que le jour du Seigneur serait déjà là. Que personne ne vous égare d’aucune façon’.
2 Thessaloniciens 2:1-3, La Bible du Semeur.
Au troisième siècle, par exemple, nous trouvons le père de l’église Cyprien dépeignant cette image menaçante aux Chrétiens de son époque :
" Les guerres continuent souvent à prédominer, la mortalité et la famine engendrent l’inquiétude, la santé est menacée par les maladies faisant rage, la race humaine est dévastée par la peste. Nous savons que cela fut prédit; ces maux devraient se diversifier aux derniers jours et ces malheurs se multiplier. L’époque du jugement se rapproche maintenant. "
Traité 5. “Une lettre à Demetrianus, “ The Ante-Nicene Fathers. Édité par A. Roberts et J. Donaldson, Eerdmans, 1978, Vol. V, p. 459.
Au sixième siècle, dans un sermon puissant et passionnant, le Pape Grégoire le Grand proclama :
" De tous les signes décrits par notre Seigneur comme présageant de la fin du monde nous en voyons certains déjà s’accomplir . . . Car nous voyons maintenant que nation se dresse contre nation et pèse sur le pays à notre époque comme jamais auparavant dans les annales du passé. Les tremblements de terre engloutissent des villes innombrables d’après les nouvelles que nous recevons d’autres parties du monde. Nous sommes frappés par la peste qui sévit sans interruption. Il est vrai que nous ne voyons pas de signes dans le soleil, la lune et les étoiles, mais ceux-ci ne sont pas trop éloignés pour en déduire des changements dans l’atmosphère. "
Cité dans His Appearing and His Kingdom, par T. Francis Glasson, M.A., D.O.Epworth Press, Londres, 1953, p. 45.
Merci pour tous ces renseignements.
Je partage tout à fait ton point de vue et ton analyse.
Je ne comprend pas pourquoi de nonbreuses religions chrétiennes fondamentalistes et autres donnent une interpretation moderne, liée aux signes des derniers jours.
En fait cela n'est pas nouveau !
L’histoire montre que génération après génération, on accorda de grands espoirs à certaines dates ou à des prédictions pour ne connaître finalement que déception, beaucoup n‘apportant que dommage, amertume et désillusion lorsque leurs attentes ont manqués de se concrétiser.
Déjà au premier siècle nous trouvons l’apôtre Paul écrivant à ses compagnons de Thessalonique :
‘Au sujet de la venue de notre Seigneur Jésus-Christ et de notre rassemblement auprès de lui, nous vous le demandons, frères : ne vous laissez pas si facilement ébranler dans votre bon sens, ni troubler par une révélation, un message ou une lettre qu’on nous attribuerait, et qui prétendrait que le jour du Seigneur serait déjà là. Que personne ne vous égare d’aucune façon’.
2 Thessaloniciens 2:1-3, La Bible du Semeur.
Au troisième siècle, par exemple, nous trouvons le père de l’église Cyprien dépeignant cette image menaçante aux Chrétiens de son époque :
" Les guerres continuent souvent à prédominer, la mortalité et la famine engendrent l’inquiétude, la santé est menacée par les maladies faisant rage, la race humaine est dévastée par la peste. Nous savons que cela fut prédit; ces maux devraient se diversifier aux derniers jours et ces malheurs se multiplier. L’époque du jugement se rapproche maintenant. "
Traité 5. “Une lettre à Demetrianus, “ The Ante-Nicene Fathers. Édité par A. Roberts et J. Donaldson, Eerdmans, 1978, Vol. V, p. 459.
Au sixième siècle, dans un sermon puissant et passionnant, le Pape Grégoire le Grand proclama :
" De tous les signes décrits par notre Seigneur comme présageant de la fin du monde nous en voyons certains déjà s’accomplir . . . Car nous voyons maintenant que nation se dresse contre nation et pèse sur le pays à notre époque comme jamais auparavant dans les annales du passé. Les tremblements de terre engloutissent des villes innombrables d’après les nouvelles que nous recevons d’autres parties du monde. Nous sommes frappés par la peste qui sévit sans interruption. Il est vrai que nous ne voyons pas de signes dans le soleil, la lune et les étoiles, mais ceux-ci ne sont pas trop éloignés pour en déduire des changements dans l’atmosphère. "
Cité dans His Appearing and His Kingdom, par T. Francis Glasson, M.A., D.O.Epworth Press, Londres, 1953, p. 45.
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