Raciste non, anti-pervers si ! Et j'en suis trop fière effectivement.SamfaitMal a écrit : Non aucun probleme.
ce qui drole en passant c'est la forme du post calqué sur le "je suis raciste et je le dis haut et fort et j'en trop fière" mdr.
L'adoption d'enfant par les couples homos - France
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Ecrit le 06 févr.08, 16:24
Pervers ???????????Raciste non, anti-pervers si ! Et j'en suis trop fière effectivement
En quoi les homo sont ils plus pervers que les hétéro ??
J'ai deja vu des hétéro tellement grossiers et pervers .. et j'ai deja vu des homos avec de la classe et plus de respect que ces derniers !
Donc un argument qui tombe malheureusement à l'eau .. comme d'habitude quoi, avec des gens de ton genre !!
(argument qui ne tient sur aucun raisonnement concret aussi ..)
- bobesite
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Ecrit le 09 févr.08, 22:02
Je n’ai pas encore donné mon point de vue….le voici.
Deja je pense qu’il y a différents types d’homosexuels. De la folle , au travelo en passant par la drag queen.
Il y a aussi les couples qui vivent leur homosexualité dans la discrétion. j’espère que L’adoption ne concerne que ces derniers.
Etre un enfant adopté reste toujours quelque part un traumatisme même si les parents adoptifs sont très intelligents et attentionnés…. »si j’ai été abandonné c’est que je ne vaut rien »
L’enfant adoptés Se demandera toujours pourquoi mes parents l-ont abandonnés "Ne me raconte t on pas des histoires, ou sont ils que font ils ai je des frères des sœurs etc ".Il est deja à la base marqué par une histoire difficile.
Admettons qu’il soit adopté très jeune- 1 ou 2 ans- par un couple d’homosexuels.Le voilà maintenant « possesseur » de deux papas ou/et deux mamans. Je pense que dans un premier temps il ne se rendra pas compte de la situation mais très vite il va comprendre , dès la maternelle, que quelque chose le différencie de ses petits camarades. Le regard des autres parents , des instits,(surtout s’ils habitent un petit patelin) les voisins, risque de vitel’étiqueter comme « le fils adoptif des pédés ».
Au traumatisme de l’adoption va s’ajouter dès la petite enfance un traumatisme de la marginalisation de la stigmatisation. ?
Le gamin sait maintenant, ou plutot prend conscience, qu’en ayant 2 pères et/ou 2mères il n’a en fait ni l’un(e) ni l’autre .Ca doit pas mal le perturber dans sa petite tete. L’entrée en primaire va surement lui amener un lot d’agressivité encore plus important. On imagine bien les quolibets qu’il va recevoir,La socialisation sera beaucoup plus compliquée pour lui. Avoir des ami s risque d’etre problématique.J’imagine bien les autres parents dire « pas question que tu ailles chez untel il n’a pas une famille normale »
Dur dur
D’autant plus qu’arrive l’age de l’oedipe.
Tout les petits garçons sont amoureux de leur mère et veulent se marier avec elle. Mais papa est la pour qu’il comprenne que jamais il n’épousera sa maman. (je ne vous raconte pas tous le processus de l’oedipe je suppose que vous connaissez la mythologie)je vous fait quand même un petit copié collé résumé car j’ai la flemme de recopier
Chez le garçon
La mère représente le premier objet d’amour et d’investissement libidinal.
La phase phallique est suivie du complexe de castration. Le pénis se retrouve alors imaginairement en jeu avec soit une menace de castration imaginaire comme sanction par le père dans la rivalité qui oppose l’enfant mâle à son père pour la possession de la mère, soit une castration imaginaire dans le cas d’une identification féminine à la mère dans une position de soumission/séduction homosexuelle passive du père. (la femme étant imaginairement perçue comme castrée).
Pour échapper à cette situation, le petit garçon est conduit à renoncer à la satisfaction sexuelle avec l’un ou l’autre de ses parents, chacune des possibilités ainsi évoquées étant soumise à une menace de castration.
Par conséquent on peut dire que le garçon sort du complexe d’Œdipe du fait de la menace de castration.
Le jeu des identifications conduira au déclin du complexe d’Œdipe, l’enfant constituant sa personnalité de façon composite en empruntant les éléments constitutifs de sa personnalité aussi bien à la mère qu’au père.
Comment notre petit garçon vat’il pouvoir résoudre son oedipe avec deux pères et deux mères ?
Aux traumatismex précedentx (adoption, marginalisation) un oedipe mal résolu ne va t il pas troubler encore plus la personnalité de l’enfant ?
En espérant que pendant la phase de latence il réussisse a resté un tant soit peu équilibré, arrive l’adolescence.
Période de toutes les tensions, tous les conflits avec les parents.Epreuve très délicate a surmonter pour un ado équilibré, mais quid du comportement d’un ado adopté par un couple homo. ?
A mon avis ça risque d’etre très très chaud..
Je n’ai pas de réponse , mais je pense que se contruire une personnalité équilibrée pour un enfant adopté par un couple d’homos, sera très très compliqué.
Je ne voudrais pas etre le juge qui accorde les adoptions.
Deja je pense qu’il y a différents types d’homosexuels. De la folle , au travelo en passant par la drag queen.
Il y a aussi les couples qui vivent leur homosexualité dans la discrétion. j’espère que L’adoption ne concerne que ces derniers.
Etre un enfant adopté reste toujours quelque part un traumatisme même si les parents adoptifs sont très intelligents et attentionnés…. »si j’ai été abandonné c’est que je ne vaut rien »
L’enfant adoptés Se demandera toujours pourquoi mes parents l-ont abandonnés "Ne me raconte t on pas des histoires, ou sont ils que font ils ai je des frères des sœurs etc ".Il est deja à la base marqué par une histoire difficile.
Admettons qu’il soit adopté très jeune- 1 ou 2 ans- par un couple d’homosexuels.Le voilà maintenant « possesseur » de deux papas ou/et deux mamans. Je pense que dans un premier temps il ne se rendra pas compte de la situation mais très vite il va comprendre , dès la maternelle, que quelque chose le différencie de ses petits camarades. Le regard des autres parents , des instits,(surtout s’ils habitent un petit patelin) les voisins, risque de vitel’étiqueter comme « le fils adoptif des pédés ».
Au traumatisme de l’adoption va s’ajouter dès la petite enfance un traumatisme de la marginalisation de la stigmatisation. ?
Le gamin sait maintenant, ou plutot prend conscience, qu’en ayant 2 pères et/ou 2mères il n’a en fait ni l’un(e) ni l’autre .Ca doit pas mal le perturber dans sa petite tete. L’entrée en primaire va surement lui amener un lot d’agressivité encore plus important. On imagine bien les quolibets qu’il va recevoir,La socialisation sera beaucoup plus compliquée pour lui. Avoir des ami s risque d’etre problématique.J’imagine bien les autres parents dire « pas question que tu ailles chez untel il n’a pas une famille normale »
Dur dur
D’autant plus qu’arrive l’age de l’oedipe.
Tout les petits garçons sont amoureux de leur mère et veulent se marier avec elle. Mais papa est la pour qu’il comprenne que jamais il n’épousera sa maman. (je ne vous raconte pas tous le processus de l’oedipe je suppose que vous connaissez la mythologie)je vous fait quand même un petit copié collé résumé car j’ai la flemme de recopier
Chez le garçon
La mère représente le premier objet d’amour et d’investissement libidinal.
La phase phallique est suivie du complexe de castration. Le pénis se retrouve alors imaginairement en jeu avec soit une menace de castration imaginaire comme sanction par le père dans la rivalité qui oppose l’enfant mâle à son père pour la possession de la mère, soit une castration imaginaire dans le cas d’une identification féminine à la mère dans une position de soumission/séduction homosexuelle passive du père. (la femme étant imaginairement perçue comme castrée).
Pour échapper à cette situation, le petit garçon est conduit à renoncer à la satisfaction sexuelle avec l’un ou l’autre de ses parents, chacune des possibilités ainsi évoquées étant soumise à une menace de castration.
Par conséquent on peut dire que le garçon sort du complexe d’Œdipe du fait de la menace de castration.
Le jeu des identifications conduira au déclin du complexe d’Œdipe, l’enfant constituant sa personnalité de façon composite en empruntant les éléments constitutifs de sa personnalité aussi bien à la mère qu’au père.
Comment notre petit garçon vat’il pouvoir résoudre son oedipe avec deux pères et deux mères ?
Aux traumatismex précedentx (adoption, marginalisation) un oedipe mal résolu ne va t il pas troubler encore plus la personnalité de l’enfant ?
En espérant que pendant la phase de latence il réussisse a resté un tant soit peu équilibré, arrive l’adolescence.
Période de toutes les tensions, tous les conflits avec les parents.Epreuve très délicate a surmonter pour un ado équilibré, mais quid du comportement d’un ado adopté par un couple homo. ?
A mon avis ça risque d’etre très très chaud..
Je n’ai pas de réponse , mais je pense que se contruire une personnalité équilibrée pour un enfant adopté par un couple d’homos, sera très très compliqué.
Je ne voudrais pas etre le juge qui accorde les adoptions.
Ecrit le 10 févr.08, 00:55
Qu'es-ce qu'un homosexuel, si ce n'est un individu ayant une certaine pratique sexuelle?
Beaucoup se croient autorisés à juger les homosexuels, mais faire ce n'est pas être ; d'une action on ne peut jamais déduire l'être ; croyez vous que le don fasse la générosité? Ou encore que le jugement fasse le juge? C'est bien plutôt l'inverse à vrai dire... On ne peut pas juger les homosexuels, mais on ne peut que juger un individu ayant des pratiques homosexuelles. On ne peut pas essentialiser les homosexuels, simplement parceque cette vision est éronnée.
Après c'est une question de droit ; dans tous les pays civilisés, ce sont les droits de l'Homme qui priment, c'est à dire qu'au nom de l'appartenance à la communauté des Hommes, on nous confère certains droits (sans oublier les devoirs). Donc à moins de soutenir que les homosexuels ne sont pas des Hommes (on percevrait bien ici le relent d'aigreur et de racisme), se pose la question, de quel droit interdire l'accès à l'adoption aux homosexuels?
Aussi, bien qu'il existe la laïcité pour garantir la liberté de conscience, ne faudrait-il pas que l'Etat garantisse aussi la liberté sexuelle? Ou faudrait-il qu'on "fiche" les gens les gens par les étiquettes "hétéros", "homos", "bi" etc.... certaines catégories ayant des droits que les autres n'auraient pas?
Beaucoup se croient autorisés à juger les homosexuels, mais faire ce n'est pas être ; d'une action on ne peut jamais déduire l'être ; croyez vous que le don fasse la générosité? Ou encore que le jugement fasse le juge? C'est bien plutôt l'inverse à vrai dire... On ne peut pas juger les homosexuels, mais on ne peut que juger un individu ayant des pratiques homosexuelles. On ne peut pas essentialiser les homosexuels, simplement parceque cette vision est éronnée.
Après c'est une question de droit ; dans tous les pays civilisés, ce sont les droits de l'Homme qui priment, c'est à dire qu'au nom de l'appartenance à la communauté des Hommes, on nous confère certains droits (sans oublier les devoirs). Donc à moins de soutenir que les homosexuels ne sont pas des Hommes (on percevrait bien ici le relent d'aigreur et de racisme), se pose la question, de quel droit interdire l'accès à l'adoption aux homosexuels?
Aussi, bien qu'il existe la laïcité pour garantir la liberté de conscience, ne faudrait-il pas que l'Etat garantisse aussi la liberté sexuelle? Ou faudrait-il qu'on "fiche" les gens les gens par les étiquettes "hétéros", "homos", "bi" etc.... certaines catégories ayant des droits que les autres n'auraient pas?
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Ecrit le 10 févr.08, 02:49
il y a peut etre une petite différence pour l'enfant adopté.VT61 a écrit :mais on n'en 'est plus là, puisque, comme dit plus haut, il est parfaitement possible pour une persone seule d'adopter des enfants !!
une femme ou un homme seul qui adopte, représentera l'image paternelle ou maternelle.
il n'y a pas de confusion possible pour l"='enfant. A l'école il pourra dire j'ai une mère pas de père ou l'ai un père pas de mère. Il sera comme tous les enfants de divorcés ou orphelins.
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Ecrit le 10 févr.08, 03:53
Il y a une chose que je n'ai jamais compris dans ce débat, un homo peut lui même faire un enfant (par mère porteuse par ex) si vraiment il en veut un.
Donc a partir du moment où on ne voit aucun inconveniant a ce qu'il eleve son propre enfant, pourquoi pas un enfant abandonné.
Comme toute adoption des parents voulant adopté doivent répondre a des critères très precis, autant qu'un homo peut elever son propre enfant, si il corespond aux critères d'adoption je ne vois pas pourquoi ne pourrait-ils pas adopter.
Donc a partir du moment où on ne voit aucun inconveniant a ce qu'il eleve son propre enfant, pourquoi pas un enfant abandonné.
Comme toute adoption des parents voulant adopté doivent répondre a des critères très precis, autant qu'un homo peut elever son propre enfant, si il corespond aux critères d'adoption je ne vois pas pourquoi ne pourrait-ils pas adopter.
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Ecrit le 10 févr.08, 05:37
que les choses soient claires;
je ne dis pas qu'il faut ou ne faut pas autoriser les homos à d'adopter un enfant.
je pose le problème , non pas en mettant en cause les qualités éducatives et
affectives des couples homos, mais en mettant en exergue les difficultés complémentaires que l'enfant risque de rencontrer dans la structuration de sa personnalité du fait d'images identificatoires ambigües.
je n'ai pas la répônse , je ne me prononce pas sur le bienfondé ou non de l'homoparentalité. J' m'interroge.
Des psy pourraient nous éclairer Y en a t il sur ce forum.?
je ne dis pas qu'il faut ou ne faut pas autoriser les homos à d'adopter un enfant.
je pose le problème , non pas en mettant en cause les qualités éducatives et
affectives des couples homos, mais en mettant en exergue les difficultés complémentaires que l'enfant risque de rencontrer dans la structuration de sa personnalité du fait d'images identificatoires ambigües.
je n'ai pas la répônse , je ne me prononce pas sur le bienfondé ou non de l'homoparentalité. J' m'interroge.
Des psy pourraient nous éclairer Y en a t il sur ce forum.?
Ecrit le 10 févr.08, 05:48
Mais encore? Pourriez-vous être plus précis et expliquer en quoi éventuellement les droits de l'enfant entreraient en contradiction avec l'adoption par des homosexuels?bobesite a écrit :peut etre tout simplement du droit de l'enfant?
J'ai lu votre précédent message, nous faisant part d'une analyse freudienne du développement psychique de l'enfant, mais il faut savoir que chez Freud comme d'ailleurs en psychologie, le terme "père" et "mère" ne renvoient pas au père et à la mère biologique ; ce ne sont que des symboles dans l'imaginaire de l'enfant.
Par exemple, un enfant qui aura eu un père biologique absent pourra se construire psychiquement en projetant l'image du père psychologique sur le grand-père biologique ... pour un enfant, le père n'est dans un premier temps que le symbole d'une force protectrice.
- bobesite
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Ecrit le 10 févr.08, 07:07
exact encore, mais la le "père" n'est pas absent , il y en a même deux. Lequel choisir comme père. Aucun ne joue au foot, ou ne fait la bagarre avec moi ou les deux le font. Les représentations ne sont elles pas faussées??Crovax a écrit : j'ai l'impression qu'on pose le problème de l'homoparentalité en défendant le droit au couple homo d'adopter, mais je trouve qu'on ne parle pas suffisamment des conséquences que risque d'entrainer sur la construction de la personnalité de l'enfant , le fait d'etre élevé dans une famille "hors norme".
exact, mais dans une configuration classique d'un couple hétéro l'enfant (male) s'identifie au père et est amoureux de sa mère. Je ne sais pas trop comment se définissent les places de chacun au sein d'un couple homo mais je suppose qu'on ne dit pas a l'enfant :"bruno sera ton papa et stephane ta maman". Donc a qui m'identifier? Qui représente la loi? qui est plus masculin? Qui est ma mère? qui est mon père?même symbolique.
encore une fois je n'affirme rien.
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Ecrit le 10 févr.08, 08:55
san compter ceux (ou celles) qui ont étés marié(e)s et ont un enfant légitime - Je connais une lesbienne a qui le tribunal a confié la garde de sa filleW.Amadéus a écrit :Il y a une chose que je n'ai jamais compris dans ce débat, un homo peut lui même faire un enfant (par mère porteuse par ex) si vraiment il en veut un.
Donc a partir du moment où on ne voit aucun inconveniant a ce qu'il eleve son propre enfant, pourquoi pas un enfant abandonné.
Comme toute adoption des parents voulant adopté doivent répondre a des critères très precis, autant qu'un homo peut elever son propre enfant, si il corespond aux critères d'adoption je ne vois pas pourquoi ne pourrait-ils pas adopter.
Ecrit le 10 févr.08, 09:57
Il est vrai qu'il ne faudrait pas négliger l'impact éventuel sur l'enfant, mais j'ai l'impression que la réticence populaire (en France en tout cas) est plus culturelle que rationelle, avec d'un côté le fameux enfant-roi hérité de mai 68, et de l'autre la communauté homosexuelle franchement impopulaire (restes de judéo-christianisme?). Je ne suis pas psy, mais je m'intéresse beaucoup à la psychologie (comme à tous les domaines de la connaissance d'ailleurs), et je veux bien (je le souhaite même) qu'on me corrige si j'annonce des absurdités.bobesite a écrit :j'ai l'impression qu'on pose le problème de l'homoparentalité en défendant le droit au couple homo d'adopter, mais je trouve qu'on ne parle pas suffisamment des conséquences que risque d'entrainer sur la construction de la personnalité de l'enfant , le fait d'etre élevé dans une famille "hors norme".
Pour ce qui est de grandir dans une famille hors norme, il est clair qu'il faudra veiller à ce que l'insertion sociale de l'enfant se déroule dans de bonnes conditions. La question peut devenir très polémique, mais j'en pense que certains couples hétéros ne sont pas forcément mieux habilités à élever des enfants.
Je pense que le rejet de ces mesures d'adoption est culturel, mais dans votre analyse, on dirait que c'est le contexte culturel qui vous fait rejeter les mesures d'adoption. La solution pourrait alors se trouver dans un mouvement politique dynamique et volontaire.
Excusez-moi de la vigueur de mon propos, je ne suis pourtant pas gay, mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il s'agit là d'une profonde injustice.
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