Et comment saurons-nous que ce ressenti y est ou n'y est pas ?Falenn a écrit : Nous nous retrouverions alors en compagnie de robots doués d'une conscience d'un ressenti, d'un souci de ce ressenti et, par conséquent, d'une volonté.
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Et comment saurons-nous que ce ressenti y est ou n'y est pas ?Falenn a écrit : Nous nous retrouverions alors en compagnie de robots doués d'une conscience d'un ressenti, d'un souci de ce ressenti et, par conséquent, d'une volonté.
Salut,Hikari a écrit :à Maddiganed,
Pour prendre en exemple une société, ne penses tu pas que, comme elle, l'univers interragit avec ses "habitants" pour évoluer ?
Quant à l'exemple du robot: En imaginant que celui-ci puisse engendrer en fabriquant ses descendants, ne finirait-il pas par évoluer vers l'animal du fait de la surpopulation (un robot ne meurs pas), du fait des besoins en matériaux (les stocks ne sont pas infinies) et du fait de son besoin énergétique (la meilleure centale n'est elle pas le soleil ?) ? Ceux-ci ont peut-être existé dans un précédent univers et ont peut être évolué vers l'animal
L'humanité doit être prudente dans la mise en place d'I.A dans nos sociétés. L'être humain ne doit pas déléguer plus que nécessaire ses taches aux robots quitte à en être dépendant et à "subir" leur propre évolution vers l'autonomie.
Je crains fort que l'humanité n'y gagnerait pas grand chose l'égoïsme lui par contre gagnerait certainement du terrain. Je souhaite me tromper, mais au vu de mon entourage j'en doute.c'est de montrer qu'en enlevant toute pénibilité au travail humain, l'humanité y gagnera beaucoup.
Ben comme moi qui habite au quatrième, pour faire de l'exercice . Sérieusement, sans prétendre tout refuser, sans être dogmatique, ce sont des progrès quelque peu inflationnistes quelque part. Plus on lutte contre la fatigue, la douleur, le froid, les mauvaises odeurs, etc. etc. plus on y est sensible.Le Vieux a écrit :Pourquoi monter l'escalier quand il y a un ascenseur.
Le Vieux
Je ne comprend pas trop bien la question., du moins je ne vois pas comment y répondreJ'attends toujours qu'on me dise comment on peut reconnaître que les émotions existent ou n'existent pas en dehors de nous.
Evidemment que je parle des émotions d'un robot !Hikari a écrit :à Spin,
Je suppose que tu parles des émotions d'un robot car sinon, c'est que tu ne fais pas attention aux êtres qui t'entourent.
Pour les robots, tu peux le déduire en fonction de leurs actes ou en fonction de leurs expressions (si ils ont une tête à expressions).
Ben non, Descartes ! (et il n'était pas forcément le premier). Enfin, on s'est compris...Le Vieux a écrit :Je pense donc je suis disait Pascal. De cela je suis convaincu.
Oupps en effetBen non, Descartes ! Rolling Eyes
Oui. Enfin, on s'est compris...
On est d'accordLe Vieux a écrit :Salut
Il est bien entendu que les travaux pénibles, ceux qui détruisent l'être humain doivent être supprimés autant que que ce peut, en commençant par les travaux qui n'apportent aucun plus à l'être humain (parfois même des moins), mais il ne faudrait pas tomber dans des excès tel que des mécaniques ou non fassent tout à la place de l'homme. Je crains surtout du manque de sagesse de l'être humain qui a tendance à se laisser aller à la facilité.
Pourquoi monter l'escalier quand il y a un ascenseur.
Le Vieux
Toujours cette problématique de l'anthropomorphismeHikari a écrit :à Spin,
Je pense que les robots seront programmés pour simuler des émotions. Dès lors, le robot sera un individu lorsqu'il posera la question de ce qu'il est (question issue d'un sentiment d'individualité). C'est la même chose pour les êtres humains, ce sont des "robots" jusqu'au jour où ils posent la question de ce qu'ils sont.
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