La négation de la Nakba(Shoah) : 60 ans, ça suffit !
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Ecrit le 27 mai08, 03:48
quand des non juifs veulent appliquer la loi du talion voila ce que ça donne .
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Ecrit le 27 mai08, 03:50
et quand chacun reste sur sa position en comptant sur le sort des armes et le rapport de force .medico a écrit :quand des non juifs veulent appliquer la loi du talion voila ce que ça donne .
vous ne sortirez pas de l'auberge.
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Ecrit le 27 mai08, 04:05
il ni a ni l'un ni l'autre sauf des gens qui veulent avoir raison a tout prix.benhur a écrit :tu n'as pas repondu à la question
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Ecrit le 27 mai08, 05:12
il y a pas un bon coté un mauvais coté il le coté que l'homme est un loup pour l'homme .
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Ecrit le 27 mai08, 20:23
quand on parle du loup....medico a écrit :il y a pas un bon coté un mauvais coté il le coté que l'homme est un loup pour l'homme .
Charles Taze RUSSELL [1852-1916] le patriarche des témoins de jehovah un vrai loup fou de sion
UN AVOCAT PRECURSEUR ET FERME DU SIONISME
UN DEFENSEUR CAPABLE ET ZELE DU PEUPLE JUIF
De plus en plus, bien qu'il soit encore trop ignoré du peuple juif, le nom de l'un de ses meilleurs amis, Charles Taze RUSSELL [1852-1916], vient prendre sa place dans la galerie des plus ardents défenseurs d'ISRAËL et du SIONISME dont il fut l'un des précurseurs chrétiens. C'est grâce à ses écrits que les membres de la COMMISSION D'ISRAËL du M.M.I.L., peuvent accomplir le travail de réconfort envers le peuple juif, résumé en Ésaïe 40 : 1, 2 « Consolez, consolez mon peuple », et rappeler, spécialement devant les non-Juifs, les droits légitimes du peuple juif sur SA terre. Ces chrétiens laïcs, en dehors de toute dénomination, officielle ou occulte, suivent la ligne de conduite de C.T. RUSSELL ; nous allons donner un résumé très bref de son œuvre à ce sujet, car des volumes seraient nécessaires pour rappeler tout ce qu'a écrit C.T. RUSSELL sur les Juifs, ERETZ ISRAËL (ou la PALESTINE de son temps) et particulièrement sur le SIONISME.
détails: http://israelcommission.free.fr/eb173.htm
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Ecrit le 28 mai08, 02:25
RUSSEL n'a rien a voir avec la fondation d'ISRAËL car il est mort en 1916.
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Ecrit le 28 mai08, 02:44
medico a écrit :RUSSEL n'a rien a voir avec la fondation d'ISRAËL car il est mort en 1916.
c'est un un grand receleur de la palestine et des palestiniens
étymologyquement Russel= Recel
Code pénal
- Article 321-1 - Le recel est le fait de dissimuler, de détenir ou de transmettre une chose, ou de faire office d'intermédiaire afin de la transmettre, en sachant que cette chose provient d'un crime ou d'un délit.
Constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d'un crime ou d'un délit.
Le recel est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 375 000 euros d'amende.
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Ecrit le 28 mai08, 03:48
n'importe quoi tu dois être fatigué.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
Ecrit le 09 oct.08, 03:23
HERTZEL n'a rien à voir avec la fondation d'israel car il est mort en 1904!medico a écrit :RUSSEL n'a rien a voir avec la fondation d'ISRAËL car il est mort en 1916.
HERTZEL a écrit : * « Aujourd’hui, j’ai fondé l’État juif. Si je le disais publiquement, on me rirait au nez, mais dans cinq ans peut-être et dans cinquante ans, sûrement, on comprendra. » (après le congrès de Bâle, 1897) Journal.
* « Pour l'Europe, nous formerons là-bas un élément du mur contre l'Asie ainsi que l'avant-poste de la civilisation contre la barbarie. » (L'Etat des Juifs, Paris, La Découverte, 2003, p. 47)
Ecrit le 09 oct.08, 06:12
Il est d'usage pour les rhéteurs de la cause palestinienne de parler de la Nakba, c'est-à-dire la «catastrophe» en arabe, soit, selon eux, la création d'Israël et l'exil des Palestiniens. Cet exil aurait été causé par les violences faites aux Palestiniens dans la guerre qui opposa cinq armées arabes à un embryon d'armée israélienne et qui finit par l'établissement de lignes de cessez-le-feu de Rhodes en 1949.
Premier point que nous voulons faire: cet exil fut largement causé par les dirigeants arabes eux-mêmes. Sûrs de leur victoire, les rois et dictateurs arabes, dont les armées étaient largement équipées, financées et entraînées par les Britanniques, pensaient ne faire qu'une bouchée de ces quelques milliers de Juifs, mal armés et mal entraînés. Quelque 600 000 Arabes ont quitté le territoire confié par la Société des Nations (SDN, ancêtre de l'ONU) aux Britanniques, la province ottomane de Palestine, par peur d'être perçus comme des traîtres par les frères de la Ligue arabe.
Le mensonge
Début 1949, Émile Ghoury, homme d'État libanais et dernier président chrétien de la Ligue arabe, écrivait dans son discours de démission qu'il refusait de continuer à vivre avec le mensonge selon lequel les Israéliens avaient chassé leurs concitoyens arabes. Ghoury disait que le temps était venu que les États frontaliers d'Israël assument la responsabilité d'avoir demandé que les Israéliens et les Arabes palestiniens quittent leurs domiciles pour des raisons militaires tactiques, afin de permettre aux armées arabes de faire pleuvoir la dévastation sur les seuls Juifs. La promesse était que les Arabes reviendraient «d'ici deux semaines après avoir mis les Juifs à la mer».
Cinquante ans plus tard, le 19 mars 2001, Fouad Abu Higla, éditorialiste régulier du quotidien de l'Autorité Palestinienne, Al Hayat Al Jadida, écrivait un article pour le Sommet arabe, critiquant les États arabes pour une série d'échecs. L'une d'entre elles était que les dirigeants arabes avaient forcé les Arabes du mandat britannique à quitter leurs terres en 1948.
La leçon ne semble pas avoir été apprise. Nasrallah, le leader du Hezbollah a fait, en août 2006, très exactement le même appel au départ: il exigeait que les Arabes vivant dans la région de Haïfa quittent d'urgence leurs domiciles plutôt que de subir les bombardements du Hezbollah.
Un élément mis de côté
Mais, en 1948, le scénario ne se déroula pas comme les dirigeants arabes l'avaient prévu. Tout d'abord, plusieurs milliers d'Arabes, chrétiens et musulmans, druzes et autres, refusèrent d'écouter ces voix étrangères: ils restèrent sur place. Eux et leurs descendants sont aujourd'hui un million deux cent mille citoyens de l'État d'Israël, soit près de 20 % de sa population. C'est le premier aspect de la «Nakba» que les rhéteurs supposés pro-palestiniens mettent systématiquement de côté dans leurs prétendues démonstrations.
Ensuite et surtout, contre toute attente, les Israéliens ont battu les cinq armées arabes. Un expert militaire français de l'époque, prédisait, sans que d'ailleurs cela émeuve concrètement aucun État de cette Europe où l'on venait de découvrir les camps d'extermination nazis, «les Juifs sont foutus».
Présence et culture
Il est un deuxième aspect tout aussi important: l'autre «Nakba», celle subie par les Juifs vivant dans les pays arabes. 900 000 Juifs vivaient après la Seconde Guerre mondiale dans les pays aujourd'hui membres de la Ligue arabe. De ces 900 000 Juifs il ne reste pratiquement rien, sinon quelques milliers, surtout au Maroc. Rien de leur présence physique, rien de leur culture: des synagogues dévastées, des cimetières en ruine. Leur longue et fertile histoire est entièrement passée sous silence par les manuels d'histoire officiels des pays arabes.
Les Juifs se sont établis dans ces pays des siècles avant l'invasion arabo-musulmane du VIIe et VIIIe siècle. Sur un plan ethnique, le Maghreb a été -- faut-il le rappeler? -- berbère (amazigh), punique, romain et même germain (vandale) avant d'être arabe. Sur un plan religieux, il a été animiste, polythéiste, juif et chrétien longtemps avant d'être musulman.
Le petit royaume judéo-berbère établi autour de Bougie (dans l'actuelle Algérie) résista 70 ans à l'invasion arabo-musulmane, en particulier sous la conduite d'une femme, la Kahena. Les Juifs avaient établi une communauté en Tunisie depuis sans doute des millénaires sur l'île de Djerba. Que dire de ceux d'Égypte, présents au moins depuis l'époque grecque? Et des Juifs de l'actuelle Irak, qui y furent transplantés après la destruction du premier Temple de Jérusalem, soit six siècles avant l'ère chrétienne et qui y vécurent jusqu'aux persécutions du Baas!
Pogroms
Les pogroms, en particulier ceux de 1945 à Constantine (Algérie) ou celui de Bagdad commis à l'instigation du Mufti de Jérusalem, Al-Husseini avec les encouragements de ses alliés nazis, ont fait prendre les menaces antisémites très sérieusement par les communautés juives. Ces pogroms se situent dans une tradition des pogroms antisémites (mais aussi antichrétiens) à travers l'Empire ottoman.
Les juifs qui ont quitté le monde arabe dans les années 1950-60 ont été pour la plupart obligés d'abandonner leurs biens avec l'active complicité des institutions judiciaires locales. Ils ont trouvé refuge principalement en Israël, mais aussi en France et au Canada. Ils ont pu retrouver là des occasions de développement et une vie normale, malgré une profonde déchirure personnelle et collective.
Aucun d'eux n'est aujourd'hui à la charge des programmes sociaux des Nations unies. Ils n'ont pas alimenté de partis totalitaires et ne commettent pas d'attentats suicide. C'est sans doute parce qu'ils ne se sont pas livrés à la politique du pire que l'expulsion et le dépouillement sans scrupules dont ils ont été victimes sont systématiquement oubliés.
Il y a aujourd'hui un million deux cent mille arabes (musulmans et chrétiens) sur la terre d'Israël, soit deux fois plus que le nombre de ceux qui en sont partis. En revanche, s'il faut le redire, il n'y a plus de Juifs dans les pays de la Ligue arabe. Il est grand temps que l'on rende justice à ces Juifs déracinés de leurs terres ancestrales. Qui le fera?
Premier point que nous voulons faire: cet exil fut largement causé par les dirigeants arabes eux-mêmes. Sûrs de leur victoire, les rois et dictateurs arabes, dont les armées étaient largement équipées, financées et entraînées par les Britanniques, pensaient ne faire qu'une bouchée de ces quelques milliers de Juifs, mal armés et mal entraînés. Quelque 600 000 Arabes ont quitté le territoire confié par la Société des Nations (SDN, ancêtre de l'ONU) aux Britanniques, la province ottomane de Palestine, par peur d'être perçus comme des traîtres par les frères de la Ligue arabe.
Le mensonge
Début 1949, Émile Ghoury, homme d'État libanais et dernier président chrétien de la Ligue arabe, écrivait dans son discours de démission qu'il refusait de continuer à vivre avec le mensonge selon lequel les Israéliens avaient chassé leurs concitoyens arabes. Ghoury disait que le temps était venu que les États frontaliers d'Israël assument la responsabilité d'avoir demandé que les Israéliens et les Arabes palestiniens quittent leurs domiciles pour des raisons militaires tactiques, afin de permettre aux armées arabes de faire pleuvoir la dévastation sur les seuls Juifs. La promesse était que les Arabes reviendraient «d'ici deux semaines après avoir mis les Juifs à la mer».
Cinquante ans plus tard, le 19 mars 2001, Fouad Abu Higla, éditorialiste régulier du quotidien de l'Autorité Palestinienne, Al Hayat Al Jadida, écrivait un article pour le Sommet arabe, critiquant les États arabes pour une série d'échecs. L'une d'entre elles était que les dirigeants arabes avaient forcé les Arabes du mandat britannique à quitter leurs terres en 1948.
La leçon ne semble pas avoir été apprise. Nasrallah, le leader du Hezbollah a fait, en août 2006, très exactement le même appel au départ: il exigeait que les Arabes vivant dans la région de Haïfa quittent d'urgence leurs domiciles plutôt que de subir les bombardements du Hezbollah.
Un élément mis de côté
Mais, en 1948, le scénario ne se déroula pas comme les dirigeants arabes l'avaient prévu. Tout d'abord, plusieurs milliers d'Arabes, chrétiens et musulmans, druzes et autres, refusèrent d'écouter ces voix étrangères: ils restèrent sur place. Eux et leurs descendants sont aujourd'hui un million deux cent mille citoyens de l'État d'Israël, soit près de 20 % de sa population. C'est le premier aspect de la «Nakba» que les rhéteurs supposés pro-palestiniens mettent systématiquement de côté dans leurs prétendues démonstrations.
Ensuite et surtout, contre toute attente, les Israéliens ont battu les cinq armées arabes. Un expert militaire français de l'époque, prédisait, sans que d'ailleurs cela émeuve concrètement aucun État de cette Europe où l'on venait de découvrir les camps d'extermination nazis, «les Juifs sont foutus».
Présence et culture
Il est un deuxième aspect tout aussi important: l'autre «Nakba», celle subie par les Juifs vivant dans les pays arabes. 900 000 Juifs vivaient après la Seconde Guerre mondiale dans les pays aujourd'hui membres de la Ligue arabe. De ces 900 000 Juifs il ne reste pratiquement rien, sinon quelques milliers, surtout au Maroc. Rien de leur présence physique, rien de leur culture: des synagogues dévastées, des cimetières en ruine. Leur longue et fertile histoire est entièrement passée sous silence par les manuels d'histoire officiels des pays arabes.
Les Juifs se sont établis dans ces pays des siècles avant l'invasion arabo-musulmane du VIIe et VIIIe siècle. Sur un plan ethnique, le Maghreb a été -- faut-il le rappeler? -- berbère (amazigh), punique, romain et même germain (vandale) avant d'être arabe. Sur un plan religieux, il a été animiste, polythéiste, juif et chrétien longtemps avant d'être musulman.
Le petit royaume judéo-berbère établi autour de Bougie (dans l'actuelle Algérie) résista 70 ans à l'invasion arabo-musulmane, en particulier sous la conduite d'une femme, la Kahena. Les Juifs avaient établi une communauté en Tunisie depuis sans doute des millénaires sur l'île de Djerba. Que dire de ceux d'Égypte, présents au moins depuis l'époque grecque? Et des Juifs de l'actuelle Irak, qui y furent transplantés après la destruction du premier Temple de Jérusalem, soit six siècles avant l'ère chrétienne et qui y vécurent jusqu'aux persécutions du Baas!
Pogroms
Les pogroms, en particulier ceux de 1945 à Constantine (Algérie) ou celui de Bagdad commis à l'instigation du Mufti de Jérusalem, Al-Husseini avec les encouragements de ses alliés nazis, ont fait prendre les menaces antisémites très sérieusement par les communautés juives. Ces pogroms se situent dans une tradition des pogroms antisémites (mais aussi antichrétiens) à travers l'Empire ottoman.
Les juifs qui ont quitté le monde arabe dans les années 1950-60 ont été pour la plupart obligés d'abandonner leurs biens avec l'active complicité des institutions judiciaires locales. Ils ont trouvé refuge principalement en Israël, mais aussi en France et au Canada. Ils ont pu retrouver là des occasions de développement et une vie normale, malgré une profonde déchirure personnelle et collective.
Aucun d'eux n'est aujourd'hui à la charge des programmes sociaux des Nations unies. Ils n'ont pas alimenté de partis totalitaires et ne commettent pas d'attentats suicide. C'est sans doute parce qu'ils ne se sont pas livrés à la politique du pire que l'expulsion et le dépouillement sans scrupules dont ils ont été victimes sont systématiquement oubliés.
Il y a aujourd'hui un million deux cent mille arabes (musulmans et chrétiens) sur la terre d'Israël, soit deux fois plus que le nombre de ceux qui en sont partis. En revanche, s'il faut le redire, il n'y a plus de Juifs dans les pays de la Ligue arabe. Il est grand temps que l'on rende justice à ces Juifs déracinés de leurs terres ancestrales. Qui le fera?
Ecrit le 27 oct.08, 01:14
TIM a écrit :. Cet exil causé par les violences faites aux Palestiniens
[b][color=blue]Israel SHAHAK: Le racisme de l'etat d'israel, edition Guy Authier, paris 1975[/color][/b] a écrit :Je ne crains pas de faire une comparaison entre la situation d'Israël et celle qui régnait en Allemagne entre les deux guerres; et je ne crains pas de dire que les Juifs israéliens - et avec eux la plupart des Juifs dans le monde -connaissent actuellement un processus de nazification. Un peuple qui traite de héros national un homme tel que Meir Har-Zion mérite-t-il un autre nom? Donnerions-nous un autre nom à des gens dont le héros national dirait sa joie de tuer des Juifs avec un couteau, et de voir leur sang jaillir? N'est-ce pas le nazi Horst Wesel qui parlait du plaisir qu'il avait à voir le sang gicler sous son couteau?
Israeli Officers (1955): Lieutant Meir Har-Zion, Major Arik Sharon,Lieutant General Moshe Dayan (Chief of Staff),Captain Dani Matt, Lieutant Moshe Efron,Major General Asaf Simchoni, Captain Aharon Davidi,Lieutant Ya'akov Ya'akov, Captain Raful Eitan
********************************************************************
Il me semble qu'il est difficile de trouver un homme plus digne du nom de terroriste que Meir Har-Zion. Dans ses mémoires et dans les nombreuses interviews de lui qu'a publiées la presse israéliennes, il a révélé quel assassin il a été, et avec quel plaisir -un pur et simple plaisir -il tuait. Combien il se plaisait à tuer un Arabe, surtout avec un couteau, parce qu'il se sentait alors un "mâle" (Ha'aretz Supplement, 9 novembre 1965). Il raconte comment il a demandé à son commandant la permission de tuer -avec son couteau -un berger arabe désarmé, et décrit avec une jubilation sadique comment son camarade tenait ce malheu- reux, tandis que lui-même lui plongeait son couteau dans le dos, et comment le sang jaillissait. Si nous avons besoin d'autres exemples des exploits de Meir Har-Zion, nous les trouvons dans les mémoires de Moshe Sharett, qui raconte comment Har-Zion, avec un groupe de terroristes de son espèce, traversa la frontière, ramena six Arabes, en tua cinq avec son couteau, l'un après l'autre, chacun attendant son tour, et laissa en vie le sixième pour qu'il puisse raconter ce qui s'était passé. Or, cet homme est considéré par la majorité des Israéliens comme un héros national. Il a été loué, et proposé comme modèle à la jeunesse par le ministre de la Défense et le général commandant la région sud (Moshe Dayan et Arik Sharon) -et personne n'a protesté, même pas les gens qui parlent de paix.
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