Jérusalem

[catherine]

LA RELATION ENTRE LA SPIRITUALITÉ MUSULMANE ET JÉRUSALEM


La relation entre l'Islam et Jérusalem débute au cours du 7ème siècle de l'ère ordinaire. La personnalité centrale de l'Islam, Mahomet, est né et a grandi dans ce qui est aujourd'hui l'Arabie Saoudite et il a fondé l'Islam au début du 7ème siècle. L'an Un de l'Hégire (le calendrier musulman ) correspond à l'année 622 du calendrier chrétien .

Les historiens s'entendent à penser que Mahomet subit l'influence du Judaïsme (et du Christianisme). Cette influence était telle que, pour Mahomet, la direction initiale vers laquelle on se tournait pour prier (la Kibla) était Jérusalem. Plus tard, Mahomet changea la direction de la prière au profit de la Mecque, en Arabie, dont le statut passa de lieu de pèlerinage païen à celui de "ville éternelle", centre de la religion musulmane. Les Musulmans situent également à la Mecque le lieu où Abraham s'était apprêté à sacrifier Ishmaël, le frère d'Isaac.

Après avoir fondé l'Islam et remporté la victoire sur ses rivaux païens, Mahomet mourut. Bien qu'il ne soit jamais parvenu , avec son armée conquérante, jusqu'à Jérusalem, son successeur, le calife Omar remporta la victoire sur les Byzantins en 638 et s'empara de Jérusalem. Lorsqu' Omar se rendit pour la première fois sur les ruines du Mont du Temple, il pria en se tournant délibérément vers le Sud, vers la Mecque, pour que personne ne pût penser qu'il priait en se tournant vers la même direction que les Juifs.

Le texte saint de l'Islam est le Coran, qui contient, selon la tradition musulmane, les enseignements de Mahomet. Le mot "Jérusalem" n'y apparaît pas une seule fois, alors qu'il est cité des centaines de fois dans la Bible juive. Quelle est donc la nature de la relation entre la spiritualité musulmane et Jérusalem ? Pour répondre à cette question, il est nécessaire de mieux connaître l'histoire des débuts de l'Islam.



LA RELATION HISTORIQUE ENTRE L'ISLAM ET JÉRUSALEM


Lorsque O'mar arrive à Jérusalem en 638, les Musulmans se tournent déjà vers la Mecque pour prier, et les deux villes saintes de la Mecque et Médine sont solidement établies. L'Islam, dont les racines spirituelles, comme celles du Christianisme, sont en grande partie issues du Judaïsme, reconnaît la relation existant entre les Juifs et le Mont du Temple, et donne même à celui-ci, après la conquête, le nom de "Beit al Maqdis" (littéralement "le Temple saint"). Le nom actuel "Al Kouds" vient de HaKodech ("le Saint" en hébreu). Les Musulmans utilisent aussi le terme "Sahyoun" ou "Sihyoun", la forme arabe de Sion.

Les historiens avancent plusieurs raisons pour expliquer la construction d'édifices religieux musulmans sur le Mont du Temple. L'instauration de la dynastie des Omayyades en 658 correspond à une période d'instabilité dans le monde islamique, caractérisée par des luttes pour le pouvoir et des assassinats. L'un des cinq piliers de l'Islam est le pèlerinage à la Mecque, la ville la plus sainte pour les Musulmans. A la fin du 7ème siècle, le califat omayyade basé à Damas perd le contrôle de la Mecque. La nécessité de réduire l'importance de la Mecque, et donc de créer un lieu saint musulman plus près de Damas, peut fort bien avoir incité le calife omayyade Abd al Malik à entreprendre, en 688, la construction du Dôme du Rocher sur le site où s'élevait le Temple.

Une autre raison avancée par les historiens pour expliquer la présence musulmane à Jérusalem pourrait être le désir du calife de rivaliser avec l'imposante église du Saint-Sépulcre où se trouve, selon la tradition chrétienne, la tombeau de Jésus. Il est intéressant de noter que les dimensions actuelles du Dôme du Rocher sont les mêmes que celles de la rotonde du Saint-Sépulcre.

Mais, étant donné que Jérusalem n'est pas mentionnée dans le Coran, quel est donc le rapport particulier qui unit l'Islam à ce lieu ? La réponse à cette question se trouve dans la sourate 17 du Coran. Ce chapitre nous relate la vision du voyage nocturne de Mahomet (al Isra) sur son cheval ailé "al Bourak", qui avait le visage d'une femme, le corps d'un cheval et la queue d'un paon. Voici ce que dit la sourate 17 du Coran :

"Gloire à celui qui a transporté son serviteur la nuit, de la mosquée sacrée (al Masjid al Ahram, à la Mecque) à la mosquée lointaine (al Masjid al Aqsa) dont nous avons béni le pourtour, afin de lui faire voir certains de nos signes".

Dans le voyage nocturne de Mahomet, le lieu exact d'Al Aqsa (la mosquée lointaine) n'est jamais précisé. D'après la tradition mystique chii'te, cette mosquée lointaine serait une mosquée céleste.

A la fin du 7ème siècle, les Omayyades affirment que le site réel d'Al Aqsa est en fait le Mont du Temple. Plus tard, ce sera le site plus restreint de l'actuelle mosquée Al Aqsa, qui se trouve du côté sud du Mont du Temple. La première mosquée, située probablement à l'endroit où Omar se tint pour prier lorsqu'il arriva à Jérusalem en 638, fut construite par le calife omayyade Al Walid au début du 8ème siècle. Elle fut détruite à plusieurs reprises par des tremblements de terre et reconstruite à nouveau.

Le Coran décrit plus loin comment Mahomet, étant arrivé à Al Aqsa, monte vers le septième ciel (al Miraj : l'ascension) accompagné par l'ange Gibril (Gabriel). Il voyage de ciel en ciel et parle avec Allah et différents prophètes. Pour les Omayyades, à Jérusalem, le point de départ de l'ascension céleste de Mahomet était la surface rocheuse dénudée située au sommet du Mont Moriah. C'est la raison pour laquelle le calife Abd al Malik voulut consacrer cet endroit en y construisant le magnifique Dôme du Rocher.

De 638 à 1917 ( à l'exception de la période d'occupation des Croisés de 1099 à 1187) , Jérusalem fut dominée par différentes dynasties islamiques basées en Syrie, en Egypte et en Turquie. Jérusalem, tout en demeurant une ville de pélerinage, ne fut jamais choisie comme capitale par ces différentes dynasties islamiques. Les seuls occupants à avoir choisi Jérusalem comme capitale au cours de ces 3000 dernières années furent les Croisés lorsqu'ils fondèrent le Royaume latin de Jérusalem, de 1099 à 1187.

Au cours de cette période d'occupation musulmane de 1300 ans, et malgré son statut de troisième ville sainte de l'Islam, Jérusalem a pratiquement toujours été, bien que sous contrôle islamique, une petite ville délaissée et sans grande importance. Les deux seules exceptions sont la période des Omayyades ( du 7ème au milieu du 8ème siècle) et la période des Mamelouks (de la moitié du 13ème siècle au début du 16ème) pendant lesquelles de grands projets architecturaux furent réalisés.

[Adnocturne]

Donc que doit ton tirer comme conclusion de cela ?

[saladin]

Auteur Message
Adnocturne Posté le: Lun Nov 22, 2004 12:27 pm Sujet du message: Re: Jérusalem

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Donc que doit ton tirer comme conclusion de cela ?

la conclusion c'est que catherine-esther est judéo-sioniste reviSIONiste son but est de détruire la mosuée el adsa pour y batir le 3eme temple

Attempt to Burn Al Aqsa Mosque in 1969

A complaint was submitted to the United Nations Security Council on August 28, 1969, by

twenty-four Muslim countries due to the attempt to burn Al Aqsa Mosque. Ambassador

Mohammad El Farra of Jordan made a statement to the Council in which he stated:

Today, my delegation joins the 24 other members, representing 750 million adherents of

the Moslem faith, which requested a meeting to consider another, more serious tragedy,

namely of Al Aqsa Mosque, and the fire which severely damaged that historic Holy Place

on the morning of 21 August 1969. The Israeli authorities introduced more than one

explanation for the start of the fire and at last charged an Australian with the arson.

According to news that originated from Israel sources, the Australian suspect is a friend of

Israel who was brought by the Jewish Agency to work for Israel. The Jewish Agency

arranged for the Australian to work in a Kibbutz for some months, so that he could learn the

Hebrew language and acquire more of the Zionist teaching. The report published in the

Jerusalem Post- an Israeli semi-official newspaper-of 25 August 1969 concerning the life of

this Australian in the Kibbutz and his dreams of building Solomon’s temple casts doubt on

the case and adds to the fears and worries of the Moslems about their holy shrines; it also

throws light on who is the criminal and who is the accomplice.

We have not forgotten statements in the early days of the 5 June 1967 Israeli occupation

about the future of Jerusalem, nor have we forgotten the report of Menahem Borsh, which

was published in Yediot Aharanot of 18 August, 1969, only three days before the burning

of the Mosque, emphasizing that the Temple would be built anew in the same spot that

“Strangers tried to seize”. The desecration of this holy Mosque by a group of the BETAR
members only three days before the arson is a living example of Israeli motives and designs.
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<img src="http://www.ifrance.com/tagar/betarberli ... aPROG.jpeg">
History: The national emblem of the State of Israel includes a seven branched-candelabrum, called Menorah, flanked by two olive branches. The stylized image of the Menorah that appears below was adopted as the emblem of Israel by the decision of The Provisional Council of State on 11 Shevat 5709 (10 February 1949). The Bible (Exodus) includes specifications for the design of the Menorah to be placed in the Temple. Menorah has been used as one of the oldest Jewish symbols that appeared on coins, and on the walls and floors of synagogues. After the destruction of the Temple by the Romans, the Menorah was transported to Rome. A stone relief in the Triumphal Arch of Titus in Rome depicts the parade that carried the Menorah in the streets of Rome. There is a controversy whether the Menorah pictured in this relief reflects accurately the shape of the Menorah that was in the Temple. For further historical information see Israel Foreign Ministry site.

NOTE: By Israeli law, the official Menorah symbol of the State of Israel can only be displayed in official governmental sites. If you wish to use a symbol for Israel in your web site, please use the flag of Israel.

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Let us see what did and what did not happen on Thursday, 21 August 1969. In the early

hours of that morning fire broke out the Al Aqsa Mosque. Moslems praying in the Mosque

and others rushed to the scene to remove some of the valuables in the Mosque and

extinguish the fire. The Jordanian fire brigade in Jerusalem was called. Moslem religious

leaders as well as Jordanian officials within the Israeli-occupied area came to the scene.

To the outside world news of the fire came in Arabic from Radio Israel at 8:30 a.m., that

is, one hour and ten minutes after the fire started. The broad cast carried the news of the

arson; it did not give any reason for the fire and did not say whether it was extinguished.

Meanwhile, Jordanian fire brigades from Ramallah, and even those from Al Khalil (Hebron)

and Nablus, were sent to the scene- and we all know it takes an ordinary car more than one

hour to reach Jerusalem from those two cities. With the help of those brigades and the

co-operation of the local population, the fire was at last extinguished and contained.

According to Reuters, it took the fire brigades over five hours to extinguish the fire; this, to

a certain extent, was substantiated by Israeli authorities. As stated at a press conference

that same day by Teddy Kollek, the illegally appointed Mayor, and according to Radio Israel

, it took them until 10:30 a.m. to extinguish the fire. We think Mr. Tekoah should have

exchange notes with his authorities, with Radio Israel and Mr. Kollek, before coming here to

say that it took about one hour. We find it took them until 10:30 to extinguish the fire.

Certainly Mr. Tekoah seems to disagree with the Israeli eyewitness who admitted that there

was delay and tried to find justification for that delay. There was no doubt among the

inhabitants and eyewitnesses that the arrival of the Israeli fire brigades, in short reach of the

scene, was delayed and their job was unsatisfactory.

That same afternoon the commander of the fire brigades told the journalists that the

pumping of water was working swiftly and in an orderly manner at the beginning but that

eight minutes later something happened-the pumping of the water was interrupted and

could not work as before. This is something for every member to ponder. The commander

of the fire brigades reported that it had not been indicated whether that was due to a

technical mishap or to a premeditated act. It must be remembered, however, that after the

Israeli occupation the water system in the city was connected to the western part so that the

Israelis would be in full control of the water system. This, among other things, elicited sharp

criticism and apprehension from Arab Mayor Rouhi El-Khatib and the former President of

the Moslem Council, Abdul Hamid Es-Sayeh, both of whom were expelled from Jerusalem

to the East Bank of Jordan.

Was Rohan, after all, acting on his own initiative? Was he not brought to Israel and

sponsored by the Jewish Agency? Where did he get all the money which he offered to the

guards of Al Aqsa on the morning of the fire and which the guards declined to take?

According to The Times of London, of 12 September 1969: “On Rohan’s way out he

offered each 110 pounds sterling but they declined, Mr. Hilwani said.” The Sheikh, thinking

there must be something wrong, then entered into the Mosque and rushed out crying”

“They have burnt the pulpit.” According to the same semi-official Israeli newspaper, The

Jerusalem Post of 25 August 1969, Rohan’s foster-parents in the kibbutz said: “He never

appeared to be short of money to us.”

After several meetings by the Security Council to discuss the complaint, it adopted on

September 15, 1969, Resolution 271 (1969), which condemned the act of destruction and

profanation of the Holy Al Aqsa Mosque. It states:



Resolution 271 (1969) of 15 September 1969
The Security Council,

Grieved at the extensive damage caused by arson to the Holy Al Aqsa Mosque in

Jerusalem on 21 August 1969 under the military occupation of Israel.

Mindful of the consequent loss to human culture,

Having heard the statements made before the Council reflecting the universal outrage

caused by the act of sacrilege in one of the most venerated shrines of mankind,

Recalling its resolution 252 (1968) of 21 May 1968 and 267 (1969) of 3 July 1969 and the

earlier General Assembly resolutions 2253 (ES-V) and 2254 (ES-V) of 4 and 14 July 1967,

respectively, concerning measures and actions by Israel affecting the status of the City of

Jerusalem.

Reaffirming the established principle that acquisition of territory by military conquest is

inadmissible.

1.Reaffirms its resolution 252 (1968) and 267 (1969);

2. Recognizes that any act of destruction or profanation of the Holy Places, religious

buildings and sites in Jerusalem or any encouragement of, or connivance at, any such act

may seriously endanger international peace and security;

3. Determines that the execrable act of desecration and profanation of the Holy Al Aqsa

Mosque emphasizes the immediate necessity of Israel’s desisting from acting forthwith all

measures and actions taken by it designed to alter the status of Jerusalem;

4.Calls upon Israel scrupulously to observe the provisions of the Geneva Convention and

international law governing military occupation and to refrain from causing any hindrance to

the discharge of the established functions of the Supreme Moslem Council may desire

from countries with predominantly Moslem population and from Moslem communities in

relation to its plan for the maintenance and repair of the Islamic Holy Places in Jerusalem;

5. Condemns the failure of Israel to comply with the aforementioned resolutions and calls

upon it to implement forthwith the provisions of these resolutions;

6.Reiterates the determination in paragraph 7 of resolution 267 (1969) that, in the event of

a negative response or no response, the Security Council shall convene without delay to

consider what further action should be taken in this matter;

7. Request the Secretary-general to follow closely the implementation of the present

resolution and to report thereon to the Security Council at the earliest possible date.



Adopted at the 1512th meeting by 11 votes to none, with 4 abstentions (Columbia,

Finland, Paraguay, United States of America.)

[saladin]

les plans sont prets:

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http://www.campsci.com/museum/room17.htm
***************************************************
http://www.betar.org.il/history%20of%20betar.htm
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[saladin]

voici ce que veut détruire catherine-esther la reviSIONiste

<img src="http://www.moonsighting.com/aqsa/aqsa0.jpg">

[Patrice1633]

Les musulmans peuvent se rendre à Jérusalem
Mais Jérusalem a ete construit par des juifs qui croyait dans le nom de Jehovah ..

[orion]

Oh jour béni, où tout le monde pourra se rendre à Jérusalem avec la joie et la paix au coeur, tous unis, et emplis d'amour les uns envers les autres...

[Patrice1633]

Le temple était une représentation terrestre pour nous purifier nos pécher et offrire un sacrifice animal pour payer nos fautes, mais bien entendu, cela.ne payais pas nos fautes complètement
Jesus est venu ave son corps parfait offrir sa vie en sacrifice pour nous...

Maintenant plus besoin de temple pour le faire car Jesus a payer pour nos fautes une fois pour tout ...

Ajouté 12 secondes après :
Le temple était une représentation terrestre pour nous purifier nos pécher et offrire un sacrifice animal pour payer nos fautes, mais bien entendu, cela.ne payais pas nos fautes complètement
Jesus est venu ave son corps parfait offrir sa vie en sacrifice pour nous...

Maintenant plus besoin de temple pour le faire car Jesus a payer pour nos fautes une fois pour tout ...