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Le christianisme est une religion monothéiste et abrahamique, issue d'apôtres célébrant la vie et les enseignements de Jésus. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, Fils de Dieu, ou Dieu incarner, néanmoins Prophete.
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JP

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Ecrit le 07 juil.08, 03:27

Message par JP »

sceptique a écrit :
:) J'en conviens... cette déclaration de Jésus de Nazareth est en rapport avec la profanation et la désolation du temple de Jérusalem décrite dans les versets 15 à 20 de ce même chapitre. Et la destruction du temple a bien eu lieu en 70 AD par les troupes romaines.

Dans ce cas, s'il est vrai qu'aucune "détresse" ne pourrait être aussi grande qu'en 70 AD, alors comment expliquer que, une vingtaine d'années plus tard, un certain Jean ait reçu une révélation sur l'île de Patmos qui lui faisait voir qu'une "grande tribulation", elle-même associée à une quelconque "marque de la bête" sans laquelle personne sur cette terre ne pourrait ultimement acheter ni vendre quoi que ce soit pour survivre à une certaine époque de l'histoire humaine, restait toujours à venir? (Apoc 13,15-18) :roll:

Serait-ce à dire que Jésus de Nazareth ne savait pas du tout de quoi il parlait lorsqu'il a dit qu'il n'y aurait aucune autre "détresse" qui saurait être aussi grande que celle qui devait se produire lors de la destruction du Temple de Jérusalem en 70 AD ? :roll:

Non, mais, c'est vraiment hallucinant, cette affaire-là, si vous voulez mon avis!
L'addition au texte vient du fait que la Révélation de Jésus-Christ à son disciple Jean sur l'île de Patmos lui a vraisemblablement été donnée vers les années 90 AD!.. soit une vingtaine d'années après la destruction du Temple de Jérusalem!.. ce qui fait que cette nouvelle prophétie devait nécessairement s'accomplir dans un certain futur!.. non? Alors, c'est quoi la joke? :roll:
Dans ce cas, autant dire que la Révélation de Jésus-Christ à son disciple Jean n'était rien d'autre qu'une grosse farce!.. s'il est vrai qu'il ne devait pas y avoir de "détresse" plus grande que celle qui devait se produire en 70 AD!.. selon les dires mêmes de Jésus de Nazareth en Mat 24,21.

Mes vieux!.. c'est vraiment hallucinant cette histoire-là! :)

J'aimerais porter ton attention sur le fait que le gros de ton argument est basé sur la rédaction de 90. Les érudits sont de plus en plus d'accord avec 68 alors qu'est-ce qui reste.

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Ecrit le 07 juil.08, 03:33

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JP

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Ecrit le 07 juil.08, 07:10

Message par JP »

sceptique a écrit :
:) J'en conviens... cette déclaration de Jésus de Nazareth est en rapport avec la profanation et la désolation du temple de Jérusalem décrite dans les versets 15 à 20 de ce même chapitre. Et la destruction du temple a bien eu lieu en 70 AD par les troupes romaines.

Dans ce cas, s'il est vrai qu'aucune "détresse" ne pourrait être aussi grande qu'en 70 AD, alors comment expliquer que, une vingtaine d'années plus tard, un certain Jean ait reçu une révélation sur l'île de Patmos qui lui faisait voir qu'une "grande tribulation", elle-même associée à une quelconque "marque de la bête" sans laquelle personne sur cette terre ne pourrait ultimement acheter ni vendre quoi que ce soit pour survivre à une certaine époque de l'histoire humaine, restait toujours à venir? (Apoc 13,15-18) :roll:

Serait-ce à dire que Jésus de Nazareth ne savait pas du tout de quoi il parlait lorsqu'il a dit qu'il n'y aurait aucune autre "détresse" qui saurait être aussi grande que celle qui devait se produire lors de la destruction du Temple de Jérusalem en 70 AD ? :roll:

Non, mais, c'est vraiment hallucinant, cette affaire-là, si vous voulez mon avis!
L'addition au texte vient du fait que la Révélation de Jésus-Christ à son disciple Jean sur l'île de Patmos lui a vraisemblablement été donnée vers les années 90 AD!.. soit une vingtaine d'années après la destruction du Temple de Jérusalem!.. ce qui fait que cette nouvelle prophétie devait nécessairement s'accomplir dans un certain futur!.. non? Alors, c'est quoi la joke? :roll:
Dans ce cas, autant dire que la Révélation de Jésus-Christ à son disciple Jean n'était rien d'autre qu'une grosse farce!.. s'il est vrai qu'il ne devait pas y avoir de "détresse" plus grande que celle qui devait se produire en 70 AD!.. selon les dires mêmes de Jésus de Nazareth en Mat 24,21.

Mes vieux!.. c'est vraiment hallucinant cette histoire-là! :)
Le gros de ton argument repose sur une rédaction de l'Apoc en 90 mais de plus en plus de spécialistes contemporains comme Kenneth Gentry, Gary Demarr et RC Sproul et même des dispensationalistes comme Bob Wilkin et Zane Hodges pensent à une date de 68 AD. Alors qu'est-ce qui te reste pour argumenter.

Matt 24 est inséparable. Une seule Parousie. Jésus dit je suis La résurrection pas Une résurrection.

Le NT est rempli d'allusions au fait que leur salut n'était pas complet et qu'ils attendaient le retour du Christ. Il est revenu en 70 tel qu'Il l'a prophétiser et promis.

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Ecrit le 07 juil.08, 07:17

Message par JP »

Serait-ce à dire que Jésus de Nazareth ne savait pas du tout de quoi il parlait lorsqu'il a dit qu'il n'y aurait aucune autre "détresse" qui saurait être aussi grande que celle qui devait se produire lors de la destruction du Temple de Jérusalem en 70 AD ? Rolling Eyes

Non, mais, c'est vraiment hallucinant, cette affaire-là, si vous voulez mon avis!
Les options ne sont pas nombreuses.

1 Jésus mentait
2 Jésus ne savait pas et disait n'importe quoi
3 Jésus s'est trompé
4 Jésus a dit la vérité mais plusieurs ont mal compris

sceptique

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Ecrit le 07 juil.08, 08:28

Message par sceptique »

JP a écrit :Le gros de ton argument repose sur une rédaction de l'Apoc en 90 mais de plus en plus de spécialistes contemporains comme Kenneth Gentry, Gary Demarr et RC Sproul et même des dispensationalistes comme Bob Wilkin et Zane Hodges pensent à une date de 68 AD. Alors qu'est-ce qui te reste pour argumenter?
:) Mon avis est que cette hypothèse selon laquelle la prophétie de l'Apocalypse aurait été écrite en 68 AD n'a aucune espèce de bon sens! Car, s'il est vrai que cette prophétie s'est déjà accomplie, éh bien cela signifierait que le dragon aurait été enfermé dans l'abîme depuis belle lurette déjà (étant donné que le Christ serait finalement venu dans son règne à cette époque-là!) et aussi que la "première résurrection", à savoir celle où les Élus de Dieu devaient normalement aller à la rencontre du Christ, sur le nuées du ciel, dans les airs, se serait déjà produite depuis bien longtemps! (Apoc 20,1-3 et 1 Thes 4,16-17) :|

Ce faisant, il ne resterait plus grand chose à espérer pour l'ensemble des Chrétiens, eschatologiquement parlant, car ce livre (la Bible) ne serait bon qu'à être exposé dans un musée comme relique d'un âge révolu! :D

Ceci étant dit, je serais bien curieux d'avoir l'avis d'autres forumeurs chrétiens sur la possible date de rédaction du livre de l'Apocalypse qui aurait été rédigé en 68 AD, selon ta théorie.
Matt 24 est inséparable. Une seule Parousie. Jésus dit je suis La résurrection pas Une résurrection.

Le NT est rempli d'allusions au fait que leur salut n'était pas complet et qu'ils attendaient le retour du Christ. Il est revenu en 70 tel qu'Il l'a prophétiser et promis.
Vraiment? :D À ton avis, était-ce pour détruire l'impie qui avait vraisemblablement élu domicile dans le temple de Jérusalem qu'il était revenu en 70 AD? (2 Thes 2,8) :roll: Parce que, si c'est le cas, éh bien je me demande bien sérieusement ce que pouvaient être les "miracles, les signes et les prodiges mensongers" que cet impie avait apparemment la possibilité d'accomplir par la puissance de Satan lorsqu'il s'est manifesté à cette époque-là! (2 Thes 2,9)

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Ecrit le 07 juil.08, 10:55

Message par JP »

Smile Mon avis est que cette hypothèse selon laquelle la prophétie de l'Apocalypse aurait été écrite en 68 AD n'a aucune espèce de bon sens! Car, s'il est vrai que cette prophétie s'est déjà accomplie, éh bien cela signifierait que le dragon aurait été enfermé dans l'abîme depuis belle lurette déjà (étant donné que le Christ serait finalement venu dans son règne à cette époque-là!) et aussi que la "première résurrection", à savoir celle où les Élus de Dieu devaient normalement aller à la rencontre du Christ, sur le nuées du ciel, dans les airs, se serait déjà produite depuis bien longtemps! (Apoc 20,1-3 et 1 Thes 4,16-17) Neutral

Ce faisant, il ne resterait plus grand chose à espérer pour l'ensemble des Chrétiens, eschatologiquement parlant, car ce livre (la Bible) ne serait bon qu'à être exposé dans un musée comme relique d'un âge révolu! Very Happy



La résurrection, il n'y en a qu'une et Jésus dit je suis la résurrection. Elle a déjà eu lieu.
(Eph 2:6) il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus Christ,

(Col 2:12) ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l'a ressuscité des morts.

(Col 3:1) Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d'en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu.


Je te reviens là dessus....

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Ecrit le 07 juil.08, 14:11

Message par JP »

Si tu lis l'anglais je peux te trouver du matériel sur le net sur le sujet de la date pré 70.

The Date of

THE APOCALYPSE

Frederic W. Farrar
(c.1831-1903) ; D.D., F.R.S.

Head master of Marlborough College, Canon of Westminster, Archdeacon of Westminster, Chaplain to the House of Commons, Dean of Canterbury.

1882 - London

VOLUME II, CHAPTER XXVII



MILTON has spoken of the Apocalypse as "the majestic image of a high and stately tragedy, shutting up and intermingling her solemn scenes and acts with a seven-fold chorus of hallelujahs and harping symphonies." [1] In this aspect of the book - though the notion of its dramatic form must be rejected - we may perhaps be content with the arrangement which places it as the last book of Holy Writ. But the whole weight of evidence now tends to prove that it is not the last book in chronological order ; that it was written nearer the beginning than the end of St. John's period of apostolic activity amid the Churches of Asia ; [2] that the last accounts of revelation which fall upon our ears are not those of a treatise which, though it ends in such perfect music, contains so many terrible visions of blood and fire, but are rather those of the Gospel which tells us that "the Word was made flesh," and of the Epistle which first formulated the most blessed truth which was ever uttered to human hearts - the truth the "God is Love." [3]..

This then is the order which we here shall follow. In the Apocalypse the New Testament seems to be still speaking in the voice and in the tones of the Old Testament. In trying to see something of the meaning of the Apocalypse, we shall see the mind of St. John when he first emerged from the overshadowing influence of St. James and the Elders of Jerusalem ; when, from the narrowing walls of the metropolis of Judaism, he passed forth into the Christian communities which had grown up in the heathen world. We shall see how he wrote and what he thought while under the guidance indeed of God's Holy Spirit, but before he had profited by his thirty last years of continuous education, and while yet he was but imperfectly acquainted with the language in which his greatest message was to be delivered. The Apocalypse was written before he had witnessed the Coming of Christ and the close of the Old Dispensation, in the mighty catastrophe which, by the voice of God in history, abrogated all but the moral precepts which had been uttered by the voice of God on Sinai. The moral conceptions of the Gospel transcend the symbolism of visions, and the kabbalism of numbers. We do not pass from the purest and more etherial region of thought to dim images of plague and was, foreshadowed by fire-breathing horses and hell-born frogs. When we have grasped the abstract and absolute forms in which the Gospel and the Epistles set forth to us the eternal conflict of life with death, and light with darkness, we have learnt higher and deeper lessons than when we haze on the material symbols of scarlet dragons and locust-horsemen, and the warring of Michael with the devil and the beast.

A few words from one of our latest and best students of the writings of St. John, though not written with this purpose, may serve to show what we lose by our customary reversal of the proper order.

"In the Apocalypse," Canon Westcott, "the thought is of an outward coming for the open judgment of men ; in the Gospel, of a judgment which is spiritual and self-executing. In the Apocalypse, the scene of the consummation is a renovated world ; in the Gospel, the Father's House. In the former, the victory and the transformation are from without, by might, and the 'future' is painted in historic imagery ; in the latter, the victory and the transformation are from within, by a spiritual influence, and the 'future' is present and eternal ... The Apocalypse gives a view of the action of God in regard to men in a life full of sorrow, and partial defeats and cries for vengeance ; the Gospel gives a view of the action of God with regard to Christ, who establishes in the heart of the believers a presence of completed joy... In a word, the study of the Synoptists, of the Apocalypse, and of the Gospel of St. John in succession, enables us to see under what human condition the full majesty of Christ was perceived and declared, not all at once, but step by step, and by the help of the old prophetic teaching." [4]

SECTION I. DATE OF THE APOCALYPSE.

But before we enter on the difficult task of attempting to see the significance of the Apocalypse, we must once more pause to cast a glance over the condition of the world at the time when it was written.

The chief obstacle to the acceptance of the true date of the Apocalypse, arises from the authority of Irenaeus. Speaking of the number of the Beast, and repeating those early conjectures which, as I shall show elsewhere, practically agree with what is now known to be the true solution, he remarks that he cannot give any positive decision since he believes that, if such a solution had been regarded as necessary, it would have been furnished by "him who saw the Apocalypse. For it is not so long ago that it (the Apocalypse) was seen, but almost in our generation, towards the close of the reign of Domitian." Three attempts have been made to get rid of this evidence. Guericke proposes to take "Dometianou" as an adjective, and to render the clause "near the close of the Domitian rule," i.e., the rule of Domitius Nero. [5] But the absence of the article on which he relies gives no support to his view, and no scholar will accept this hypothesis, though he may admit the possibility of some confusion between the names Domitius and Domitian. [6]

Others again make the word ?????? mean "he, i.e., St. John, was seen," since no nominative it expressed. Now Irenaeus, in the same passage and elsewhere, dwells so much on the fact of testimony given by those who had seen John face to face, that we cannot set aside this suggestion as impossible. [7] It has the high authority of Wetstein. Again, the Latin translator of Irenaeus renders the verb not "visa est," "the Apocalypse was seen," but "visum est," "The Beast (?? ??????) was seen." The language is, unfortunately, ambiguous, and as, in uncritical times, it would naturally be understood in what appears to be the most obvious sense, it is not surprising that St. Jerome follows the supposed authority of Irenaeus in dating the Apocalypse from the later epoch. Eusebius says that St. John was banished to Patmos in the reign of Domitian, but, even if he be not misunderstanding the meaning of Irenaeus, his evidence goes for litte, since he leant to the view that the Apocalypse was written by John the Presbyter, and not by the Apostle. But the authority of Irenaeus was not regarded as decisive, even if his meaning be undisputed. Tertullian places the banishment to Patmos immediately after the deliverance from the cauldron of boiling oil, and Jerome says that this took place in the reign of Nero. [8] Epiphanius says that St. John was banished in the reign of Claudius, and the earliest Apocalyptic commentators, as well as the Syriac and Theophylact, all place the writing of the Apocalypse in the reign of Nero. To these must be added the author of the "Life of Timotheus," of which extracts are preserved by Photius. Clemens of Alexandria and Origen only say that "John was banished by the tyrant," and this on Christian lips may mean Nero much more naturally than Domitian. [9] Moreover, if we accept erroneous tradition of inference from the ambiguous expressions of Irenaeus, we are landed in insuperable difficulties. By the time that Domitian died, St. John was, according to all testimony, so old and so infirm that even if there were no other obstacles in the way, it is impossible to conceive of him as writing the fiery pages of the Apocalypse. Irenaeus may have been misinterpreted ; but even if not, he might have made a "slip of memory," and confused Domitian with Nero. I myself, in talking to an eminent statesman, have heard him make a chronological mistake of some years, even in describing events in which he took one of the most prominent parts. We cannot accept a dubious expression of the Bishop of Lyons as adequate to set aside an overwhelming weight of evidence, alike external and internal, in proof of the fact that the Apocalypse was written, at the latest, soon after the death of Nero. [10]..

Did St. John ever see that frightful spectacle of a monster in human flesh? Was he a witness of the scenes which made the circus and the gardens of Nero reek with the fumes of martytdom? We have already observed that tradition points in that direction. In the silence which falls over many years of his biography, it is possible that he may have been compelled by the Christians to retire from the menace of the storm before it actually burst over their devoted heads. St. Paul, we believe, was providentially set free from his Roman imprisonment just in time to be preserved from the first outburst of the Neronian persecution. [11] Had it not been for this, who can tell whether St. Paul and St. John and St. Peter might not have been clothed in the skins of wild beasts to be torn to pieces by the bloodhounds of the amphitheatre? or have stood, each in his pitchy tunic, to form one of those ghastly human torches which flared upon the dark masses of the abominable crowd? But even if St. John never saw Rome at this period, many a terrified fugitive of the "vast multitude" which Tacitus mentions must have brought him tidings about those bloodstained orgies in which the Devil, the Beast, and the False Prophet -- "that great Anti-Trinity of hell" -- were wallowing through the mystic Babylon in the blood of the martyrs of the Lord.

Supposing that St. John had written an apocalyptic book at this time, is it not a priori certain that these events, and the appalling figure of the Antichrist who then filled the world's eye, would have been prominent in such a book? Do not contemporary events and contemporary persecutions figure in every one of the numerous Apocalypses in which Jews and Christians at this epoch expressed their hopes and fears? Is it not a matter of certainty to every reasonable man, that the Apocalypse must be interpreted by laws similar to those which regulate every other specimen of that Semitic form of literature to which it avowedly belongs? Does not the fact that the anticipated Antichrist of Daniel is the persecutor Antiochus Epiphanes, make it in the highest degree probable that the incarnate Antichrist of St. John is the persecutor Nero?

The Neronian persecution, then, was one of the two events which awoke in Christian hearts those thundering echoes of which the Apocalypse of St. John is the prolonged and perpetuated reverberation. The other event was the outbreak of the Jewish war and the siege of Jerusalem. If we succeed in fixing the date of the Apocalypse, we shall be able to know what was the exact condition of the Empire and of the Holy Land, of Judaism, Heathendom, and Christianity -- of the world and of the Church of Christ -- when St. John saw and wrote.

But while the date may be fixed with much probability, it cannot be fixed with certainty. All that can be asserted is that the book was written before the destruction of Jerusalem, and the burning of the Temple. This is clear from the beginning of the eleventh chapter. The Temple is there spoken of as still standing, in language which closely resembles, and indeed directly refers to, the language of our Lord in his great Eschatological discourse. Such language, and the whole sequel of it, would have been unreal and misleading, if, at the time when it was penned, nothing remained of the Temple and city of Jerusalem but heaps of bloodstained stones. But though Jerusalem was not yet taken, there are signs that the armies had already gathered for her anticipated destruction, and that the whole length of the land had been deluged and drenched with the blood of its sons. We cannot tell the exact year in which the Christians -- warned, as Eusebius says, "by a certain oracle given to their leaders by revelation ;" [12] or, as Epiphanius tells us, "by an angel" [13] -- left the doomed and murderous city and took refuge across the Jordan, in the Peraean town of Pella. [14] There can be little doubt that their flight took place before the actual blockade of Jerusalem by Titus, and probably in A.D.68. It seems to be alluded to in Rev. xii. 14. Now the first threatening commotions in Judaea began in A.D.64, shortly after the fire of Rome. The actual revolt burst forth at Caesarea in A.D.65. Vespasian was despatched to Judaea by Nero during his visit to Greece in A.D.66. He arrived in Palestine early in A.D.67. The years 67 and 68 were spent in suppressing the brave resistance of Galilee and Peraea. Nero died in June, 68. Political uncertainties caused a suspension of the Roman measures during the year 69, but when Vespasian felt himself secure of the throne, in A.D.70, he sent Titus to besiege Jerusalem. The siege began early in March, 70, and was brought to its terrible conclusion in August of the same year.

But there are two passages, Rev. xiii. 3, and xvii. 10,11, which might seem to give us the very year in which the book was written. The former tells us about the Wild Beast, and how "one of his heads was smitten to death and his deathstroke was healed ;" the other, explaining the previous symbols, tells us that the seven heads of the Beast "are seven kings ; the five are fallen ; the one is ; the other is not yet come." Now we shall see hereafter, with perfect certainty, that the Wild Beast, and the wounded head of the Wild Beast, are interchangeable symbols for Nero. The five "kings" then can be no other than Augustus, Tiberius, Gaius, Claudius, and Nero. The reckoning of the "kings" [15] from Augustus is the natural reckoning, and is the one adopted by Tacitus. If Suetonius begins his Twelve Caesars with the life of Julius, the greatest of them all, the reason is that he wishes to give an account of the Caesarean family, and of the hero eponymus who raised them to the summit of earthly power. [16] So far then it might be regarded as certain that Galba is the sixth emperor, and therefore that the Apocalypse was written between June, 68, when Nero committed suicide, and January, 69, when Galba was murdered. And since the news of Galba's successful rebellion could not have been known without a little delay, we might fix the date of the Vision in the summer or autumn of A.D.68.

This is, indeed, the all but certain date of the book. We have already seen reason to set aside the notion of its having been written in the reign of Domitian, as due partly to the mistake of Irenaeus, [17] and partly to idle repetition and idle inference. It is not, however, impossible that Vespasian and not Galba may have been regarded by the Apostle, no less than by others, as having been in reality the sixth emperor. Galba, Otho, and Vitellius passed like phantoms across the imperial stage. The Sibyllist dismisses them in the single line -- "After him three kings shall be destroyed by one another." [18] They neither belonged to the old imperial family, nor did they found a new one. Between them they barely covered the space of a year and a half. It is true that they are spoken of as "Caesars" both by Tacitus and Suetonius, though Vitellius refused the name. But when Vespasian succeeded the murdered Vitellius, at the end of A.D.69, it was believed that the Flavian dynasty would be secure and lasting, and the fashion arose of regarding the reigns of Galba, Otho, and Vitellius as a mere "rebellion of three military chiefs." [19] If this were the view of the seer, the date of the Apocalypse would be brought down to A.D.70. The earlier date accords better with his own indications.

The tension of feeling caused by the tremendous conflict of the Antichrist against the Saints must have been still further strained by the imminent destruction which seemed to threaten the existence of the Jewish race. To minds already glowing with expectations of the Coming of Christ, and the close of the ages, the signs of the times must have worn a portentous aspect. The sunset sky of the ancient dispensation was red and lowering with the prophecy of storm. The "woes of the Messiah" -- the travail throes of the Future Age -- the pangs which were to accompany the new birth of the Messianic kingdom -- were already shaking the world. [20] There were wars and rumours of wars. There were famines and earthquakes. The Church had barely passed through the anguish of the great tribulation. Christians had realised what a tremendous thing it was to be "hated of all men," and to be treated as the offscourings of the world. Hundreds of martyrs had been baptized in blood. The name of "Christian" was regarded as the synonym for malefactor ; and all the world hated Christians, on the false charge that Christians hated all the world. Many were faltering in the faith; many had proved false to it. Even within its sacred fold many regarded each other with suspicion and hatred. There were false Christs and false Prophets. The powers of heaven were being shaken. Suns and moons and stars -- from Roman Emperors down to Jewish Priests -- were one after another waxing dim, and shooting from their spheres. Clearly the day must be at hand of which the Lord had said that it would come ere that generation passed away, and that all the things of which He had spoken would be fulfilled. Men were not expecting it. They were eating and drinking, as in the days of Noah, marrying and giving in marriage, drinking with the drunken, and beating their fellow servants in all the security of greed, in all the insolence of oppression. But, none the less were the powers of vengeance nursing the impatient earthquake, and a belief in the eternal laws of morality was alone sufficient to make every Christian feel that the fiat had gone forth --

"ROME SHALL PERISH ! write that word
In the blood that she hath spilt :
Perish hopeless and abhorred,
Deep in ruin as in guilt."

The fields were white for the harvest, the grapes were purple for the vintage of the world. The carcases of a corrupt Judaism and a yet corrupter heathendom seemed already to be falling in the wilderness ; and on the distant horizon were visible the dark speks which the seer knew to be the gathering vultures of retribution, which would soon fill the air with "the rushing of their congregated wings."





Notes

[1] Reasons of Church Government

[2] Modern criticism tends more and more to the conclusion that the Apocalypse is a genuine work of the Apostle St. John. Even Baur and Zeller regard it as one of the most certainly authenticated of the Apostolic writings. The Alogi at the close of the second century rejected it only on internal grounds, and their judgment is of no importance. Gaius (circ. 200) appears to attribute it to Cerinthus. Dionysius of Alexandria (A.D. 247) was inclined, on the grounds of style, to assign it to some other John, but speaks of it with reverence. Eusebius wavers about it, placing it among the spurious books in one passage, and among the acknowledged books in another. Cyril of Jerusalem (386) deliberately excludes it from the Canon. The Council of Laodicea (A.D. 381) omits it. Amphilochius, in his Jamb. ad Selecus, says that "most" regard it as spurious. Junilius, even in the sixth, says that among the members of the Eastern Church it was viewed with great suspicion. Theodore of Mopsuestia (429) never cites it. Theodoret (457) alludes to it very slightly. It is not found in the Peshito. The Nestorian Church rejected it. It is not mentioned in the sixth century by Cosmas Indicopleustes. Nicephorus (ninth century) in his Chronographia omits it. Even in the fourteenth century Nicephorus Callistus, while accepting it, thinks it necessary to mention that some held it to be the work of "John the Presbyter," regarded as a different person from "John the Apostle." But, on the other hand, these adverse views are to some extent accounted for by dislike to the difficulty and obscurity of the book, and by the dangerous uses to which it was often turned. Dislike to chiliastic fanaticism, as well as obvious critical difficulties, also led to its disparagement in many quarters. The positive evidence in its favour is very strong. It was accepted by Papias, Justin Martyr, Dionysius of Corinth, Hermas, Melito of Sardis, Theophilus of Antioch, Apollonius, and Irenaeus, the Canon of Muratori, and the Vetus Itala, in the second century ; by Clemes of Alexandria and Origen in the third ; by Victorinus of Pettau, Ephraem Syrus, Epiphanius, Basil, Hilary, Athanasius, Gregory of Nyssa, Didymus, and Ambrose, in the fourth. Besides this, the internal evidence, in spite of differences and difficulties, is too clear to be overlooked, and too subtle to have been forged.

[3] It is hardly worthy while to mention the Apocryphal writings attributed to St. John, such as the one on the Descent from the Cross, on the Death of the Virgin Mary, &c. See Lampe, Prolegomena, p. 131 ; Fabricus, Cod. Apocr. N.T. pt. iii. p. 200.

[4] Introd., pp. lxxxv-lxxxvii.

[5] Guericke, Einleit. ins N. Test. p. 285

[6] This is the view of Niermeyer.

[7] μαρτυροΰντων έκείνων των κατ' όψιν 'Іωάννην έωρακότων (Iren. ad Haer. v.30)

[8] Tert. De Praescr. 36, Jer. c. Jovin. i. 26

[9] See Epiphan. Haer. li 23 and 33 ; Andreas on Rev. vi. 12 ; Arethas on Rev. vii. 1-8 ; Syriac MS. No. 18 ; Theophylact. Comment. in Joann.

[10] This result is now accepted, not only by Lücke, Schwegler, Baur, Züllig, De Wette, Renan, Krenkel, Bleek, Reuss, Réville, Volkmar, Bunsen, Düsterdieck, &c., but also by such writers as Stier, Neander, Guericke, Auberlen, F.D. Maurice, Moses Stuart, Neirmeyer, Desprez, S. Davidson, the author of The Parousia, Aubé, &c.

[11] See my Life of St. Paul, ii. 604-607

[12] Euseb. H.E. iii. 5 (κατά τινα Хρησμόν κ.τ.λ). Probably the leading Presbyters of the Church pointed out that the signs of the times indicated by our Lord, as He sat two days before His death on the Mount of Olives (Matt. xxiv. 15, seq.), now clearly required obedience to His warning.

[13] Epiph. De Mensuris, 15. In Haer. xxix. 7, he refers directly to the command of Christ. Jerusalem might be said to be "circled with armies" (Luke xxo. 20), long before its actual circumvallation by Titus.

[14] Which might well be described as in "the mountains." Pella is in a lofty position, and is on one side surrounded by precipices. It was the nearest city to Jerusalem which was at once safe and neutral. Though a free city, it had placed itself more or less under the protection of Agrippa II., and by so doing had severed its fortunes from those of the Jews. By their flight to this town, the Jewish Christians cast in their lot with the opponents of Jewish fanaticism. It was one of the steps in that Divine education which showed them that the days of Mosaism and of the synagogue were past.

[15] "Kings" was a common title for the Roman Emperors in the Eastern provinces (see Ewald, Gesch. vi. 604, seqq.)

[16] "Imperator" was a title which Julius Caesar bore, in common with Cicero and other private persons. He never was "Princeps." The last private Imperator was Junius Blaesus, in the reign of Tiberius.

[17] The Commentary of Andreas, Bp. of Cappadocian Caesarea, in the fifth century, rightly says, in contradiction of Irenaeus, that is was supposed to have been written before A.D.70

[18] Orac. Sib. v. 35.

[19] The language of Suetonius is very remarkable, and certainly lends some sanction to the views of those who regard Vespasian as the sixth Emperor. He says, "Rebellione trium principum et caede incertum diu et quasi vagum Imperium suscepit firmavitque tandem gens Falvia" (Vesp. 1).

[20] This is the term used not only by the Rabbis, but also by the Evangelists, άρХή ωδίνων (Matt. xxiv. 8; Mark xiii. 8). It is a rendering of the Hebrews Chebeli hammeschiach. (See Hos. 13:14; Isa. 37:3; Mic. 4:9, v.2, &c.)


Traduction Google (désolé c'est mécanique mais si tu veux j'en traduirai un texte)

La date de

L'Apocalypse

Frederic W. Farrar
(c.1831-1903); D.D., F.R.S.

Chef d'Etablissement de Marlborough College, Canon de Westminster, archidiacre de Westminster, aumônier à la Chambre des communes, Doyen de Canterbury.

1882 - Londres

Volume II, chapitre XXVII



MILTON a parlé de l'Apocalypse comme "le majestueux une image de haute et stately tragédie, la fermeture et l'interpénétration son solennel des scènes et des actes avec une sept fois chœur de hallelujahs et harping symphonies." [1] Dans cet aspect du livre - bien que la notion de sa forme dramatique doit être rejeté - mai nous peut-être se contenter de l'accord qui la place comme le dernier livre de la Sainte bref. Mais tout le poids de la preuve maintenant tend à prouver que ce n'est pas le dernier livre dans l'ordre chronologique, qu'il a été écrit plus proche du début de la fin de St. John's période de l'activité apostolique au milieu des Églises de l'Asie, [2] que le dernière comptes de la révélation qui incombent aux nos oreilles ne sont pas celles d'un traité qui, si elle se termine en parfait tels la musique, contient tant de terribles visions de sang et de feu, mais sont plutôt ceux de l'Evangile qui nous dit que "le Verbe était fait chair »et de l'Épître qui formulé pour la première fois la Très Sainte vérité qui n'a jamais été prononcé à cœur de l'homme - la vérité« Dieu est Amour ". [3] ..

Tel est donc l'ordre que nous suivrons ici. Dans l'Apocalypse le Nouveau Testament semble être parlait encore dans la voix et dans les tons de l'Ancien Testament. En essayant de voir quelque chose du sens de l'Apocalypse, nous allons voir l'esprit de Saint-Jean lors de sa première apparition de l'occulter l'influence du Saint-James et Sages de Jérusalem, lorsque, de la réduction des murs de la métropole du judaïsme , Il passe de suite dans les communautés chrétiennes qui ont grandi dans le monde païen. Nous allons voir comment il a écrit et ce qu'il en pensait alors que sous la direction de Dieu en effet l'Esprit Saint, mais avant, il avait profité de sa trente dernières années de formation continue et, même si il était encore imparfaite, mais la connaissance de la langue dans laquelle son plus grand message devait être livré. L'Apocalypse a été écrit avant, il avait été témoin de la venue du Christ et la clôture de la vieille dispense, dans la catastrophe puissant qui, par la voix de Dieu dans l'histoire, abrogé, mais tous les préceptes moraux qui ont été prononcées par la voix de Dieu sur Sinaï. La morale des conceptions de l'Evangile transcendent le symbolisme de visions, et le nombre de kabbalism. Nous ne faisons pas passer de la plus pure et plus etherial région de pensée pour atténuer les images de la peste et, préfiguré par le feu-la respiration des chevaux et de l'enfer-né grenouilles. Lorsque nous avons saisi l'abstrait et absolu formes sous lesquelles l'Evangile et les épîtres énoncés pour nous l'éternel conflit de la vie avec la mort, et la lumière et les ténèbres, nous avons appris plus élevé et plus profonde des leçons que lorsque nous la brume sur le matériel de symboles écarlate dragons-acridienne et cavaliers, et les belligérants de Michael avec le diable et la bête.

Quelques mots de l'un de nos plus récentes et les meilleurs étudiants des écrits de Saint-John, mais pas par écrit à cette fin, mai servir à montrer ce que nous perdons par notre coutumier renversement de l'ordre.

"Dans l'Apocalypse,« Canon Westcott, "la pensée est une de perfectionnement à venir pour l'ouverture jugement des hommes, dans l'Evangile, d'un jugement qui est spirituel et l'auto-exécution. Dans l'Apocalypse, la scène de la consommation est un rénové monde, dans l'Evangile, la Maison du Père. Dans le premier cas, la victoire et la transformation sont de l'extérieur, peut-être par, et "l'avenir" est peint dans l'imagerie historique, dans ce dernier, la victoire et la transformation sont de l'intérieur , Par une influence spirituelle, et "l'avenir» est présent et éternel ... l'Apocalypse donne une vue de l'action de Dieu en ce qui concerne les hommes dans une vie pleine de tristesse et une partie défaites et les cris de vengeance; l'Evangile donne une vue de l'action de Dieu en ce qui concerne le Christ, qui établit dans le coeur des croyants la présence de joie terminé ... En un mot, l'étude de la Synoptists, de l'Apocalypse, et de l'Evangile de saint Jean dans la succession, nous permet de voir dans quelles condition humaine la pleine majesté du Christ a été perçu et déclaré, pas tous à la fois, mais étape par étape, et par l'aide de l'ancien enseignement prophétique. " [4]

SECTION I. date de l'apocalypse.

Mais avant d'entrer sur la difficile tâche d'essayer de voir l'importance de l'Apocalypse, nous devons une fois de plus une pause pour jeter un regard sur l'état du monde au moment où elle a été écrite.

Le principal obstacle à l'acceptation de la vraie date de l'Apocalypse, se pose à l'autorité de Irénée. Parlant du nombre de la Bête, et de répéter ces premières conjectures qui, comme je l'ai fait apparaître ailleurs, pratiquement d'accord avec ce qui est maintenant connu pour être la vraie solution, il remarque qu'il ne peut pas donner une décision positive car il estime que, si de telles une solution a été considérée comme nécessaire, il aurait été fournie par "lui qui a vu l'Apocalypse. Car il n'ya pas si longtemps qu'il (l'Apocalypse) a été vu, mais presque dans notre génération, vers la fin du règne de Domitien. Trois tentatives ont été faites pour se débarrasser de cette preuve. Guericke propose de prendre "Dometianou" comme un adjectif, et de fournir à la clause "près de la clôture de la règle Domitien», c'est-à-dire, l'état de Domitius Nero. [5] Mais l'absence de l'article sur lequel il s'appuie donne aucun appui à son point de vue, et aucun savant accepte cette hypothèse, bien qu'il mai admettre la possibilité d'une certaine confusion entre les noms et Domitien Domitius. [6]

D'autres encore font le mot ?????? signifie-t-il, c'est-à-dire, Saint-Jean, a été vu, "car aucun nominatives y sont énoncés. Maintenant Irénée, dans le même passage et d'ailleurs, insiste tellement sur le fait de témoignage de ceux qui ont vu John face à face, que nous ne pouvons pas mettre de côté cette proposition comme impossible. [7] Il a la haute autorité de Wetstein. Encore une fois, le traducteur de latin Irénée rend pas le verbe «visa est", "l'Apocalypse a été vu", mais "regarder est", "The Beast (? ??????) Été observée." La langue est, malheureusement, ambigu, et que, sans esprit critique fois, il devrait naturellement être comprise dans ce qui semble être le plus évident sens, il n'est pas surprenant que Saint-Jérôme suit la supposée autorité de Irénée dans la datation de l'Apocalypse plus tard époque. Eusèbe dit que Saint-Jean a été banni à Patmos sous le règne de Domitien, mais, même s'il est pas trahir le sens de l'Irénée, son témoignage vaut pour petit, car il leant à l'idée que l'Apocalypse a été écrit par le prêtre Jean - , Et non par l'Apôtre. Mais l'autorité de Irénée n'a pas été considéré comme décisif, même si son sens être incontesté. Tertullien lieux le bannissement à Patmos immédiatement après la délivrance du chaudron de l'huile bouillante, et Jérôme dit que cela a eu lieu sous le règne de Néron. [8] Epiphane dit que Saint-Jean a été banni sous le règne de Claude, et la première apocalyptique commentateurs, ainsi que le syriaque et Theophylact, place de la rédaction de l'Apocalypse sous le règne de Néron. Il faut ajouter l'auteur de "La vie de Timothée," dont des extraits sont conservés par Photius. Clément d'Alexandrie et Origène seulement dire que "John a été bannie par le tyran", et ce, sur les lèvres chrétienne mai Nero signifie beaucoup plus naturellement que Domitien. [9] De plus, si nous acceptons la tradition erronée de l'inférence de l'ambiguïté des expressions Irénée, nous sommes débarqués dans des difficultés insurmontables. Par le temps que Domitien est mort, Saint-Jean était, selon tous les témoignages, si ancien et si infirme que même s'il n'y a pas d'autres obstacles sur la voie, il est impossible de concevoir que l'écriture lui le fougueux pages de l'Apocalypse. Irénée mai ont été mal interprété, mais même si elle n'est pas, il aurait peut-être fait une "erreur de mémoire", et Domitien confondre avec Nero. J'ai moi-même, en parlant à un éminent homme d'État, ont entendu lui faire une erreur chronologique de quelques années, même dans la description des événements auxquels il a pris une des plus importantes parties. Nous ne pouvons pas accepter une expression douteuse de l'évêque de Lyon comme suffisant pour mettre de côté une écrasante poids de la preuve, tant externes et internes, dans la preuve du fait que l'Apocalypse a été écrit, au plus tard, peu après la mort de Néron. [10] ..

Aller à St. John jamais voir que le spectacle effrayant d'un monstre dans la chair humaine? Était-il un témoin des scènes qui ont fait le cirque et les jardins de Néron grec avec les fumées de martytdom? Nous avons déjà observé que la tradition dans cette direction. Dans le silence qui tombe sur de nombreuses années de sa biographie, il est possible qu'il ait mai ont été contraints par les chrétiens de se retirer de la menace de la tempête avant même l'éclatement de leurs chefs consacrée. Saint-Paul, à notre avis, a été providentiellement libéré de sa prison romaine juste à temps pour être préservée de la première explosion de la Neronian persécution. [11] N'eût été cela, qui peut dire si Saint-Paul et Saint-John et Saint-Pierre n'aurait pas été vêtu de peaux de bêtes sauvages à être mis en pièces par les bloodhounds de l'amphithéâtre? ou ont résisté, chacun dans sa tunique pitchy, pour former une de ces épouvantables torches humaines qui a éclaté à la tombée de la nuit masses de l'abominable foule? Mais même si Saint-Jean n'a jamais vu de Rome à cette époque, de nombreux terrifiés une fuite de la "multitude", qui mentionne Tacite doit lui ont apporté annonce au sujet de ces orgies de sang dans laquelle le diable, la Bête et le faux prophète - " ce grand anti-Trinité de l'enfer "- ont été wallowing par la mystique de Babylone dans le sang des martyrs du Seigneur.

En supposant que Saint-John avait écrit un livre apocalyptique à ce moment-là, est-il pas, a priori, que certains de ces événements, et l'effroyable chiffre de l'Antéchrist qui ensuite rempli les yeux du monde, ont joué un rôle dans un tel livre? Ne pas des événements contemporains et contemporain persécutions figure dans toutes une des nombreuses Apocalypses dans laquelle les juifs et les chrétiens à cette époque ont exprimé leurs espoirs et leurs craintes? N'est-il pas une question de certitude à chaque homme raisonnable, que l'Apocalypse doit être interprété par des lois similaires à celles qui régissent tous les autres spécimens de cette forme sémitique de la littérature à laquelle il appartient ouvertement? T-elle pas le fait que le prévoit l'Antéchrist de Daniel est le persécuteur Antiochus Épiphane, il est au plus haut degré probable que l'Antéchrist incarné de Saint-Jean est le persécuteur Nero?

Le Neronian persécution, alors, était l'un des deux événements qui se réveille dans les coeurs Christian échos de tonnerre dont l'Apocalypse de Saint-Jean est la longue réverbération et perpétué. L'autre événement a été le déclenchement de la guerre juive et le siège de Jérusalem. Si nous réussissons en fixant la date de l'Apocalypse, nous serons en mesure de savoir quelle est la situation exacte de l'Empire et de la Terre Sainte, du judaïsme, Heathendom, et le christianisme - du monde et de l'Eglise du Christ -- -- Lorsque St. John vu et écrit.

Mais tandis que la date fixée mai avec beaucoup de probabilité, il ne peut être fixée avec certitude. Tout ce qu'on peut affirmer est que le livre a été écrit avant la destruction de Jérusalem, et l'incendie du Temple. C'est clair dès le début de la onzième chapitre. Le Temple est-il parlé comme toujours debout, dans un langage qui ressemble de près et, en fait, fait directement référence à la langue de notre Seigneur dans son grand discours eschatologique. Cette langue, et toute la suite de celui-ci, aurait été irréaliste et trompeuse, si, au moment où il a été écrit, rien ne restait du Temple et la ville de Jérusalem, mais les tas de pierres de sang. Mais si Jérusalem n'est pas encore prise, il ya des signes que les armées avaient déjà recueillies pour sa destruction prévu, et que toute la longueur des terres avaient été inondés et trempé avec le sang de ses fils. Nous ne pouvons pas dire exactement année au cours de laquelle les chrétiens - a mis en garde, comme Eusèbe dit, "par un certain oracle donné à leurs dirigeants par la révélation" [12] ou, selon Epiphane nous dit, "par un ange» [13] -- -- La gauche et meurtriers condamnés ville et a pris refuge dans le Jourdain, Peraean dans la ville de Pella. [14] Il ne fait guère de doute que leur vol a eu lieu avant le blocus de Jérusalem par Titus, et probablement dans AD68. Il semble être fait allusion à l'xii Rev. 14. Maintenant, la première menace commotions en Judée a commencé en AD64, peu de temps après l'incendie de Rome. La révolte a éclaté suite à Césarée dans AD65. Vespasien a été envoyée à la Judée par Nero lors de sa visite en Grèce en AD66. Il est arrivé en Palestine au début de A.D.67. Les années 67 et 68 ont été dépensés pour réprimer la résistance courageuse de Galilée et Peraea. Nero est mort en Juin, 68. Les incertitudes politiques a entraîné une suspension des mesures romaine au cours de l'année 69, mais quand Vespasien se sentait sûr du trône, dans AD70, il a envoyé Titus pour assiéger Jérusalem. Le siège a commencé au début de Mars, 70, et a été porté à sa terrible conclusion, en août de la même année.

Mais il ya deux passages, xiii Rev. 3, et XVII. 10,11, ce qui peut paraître de nous donner l'année même où le livre a été écrit. Le premier nous parle de la bête sauvage, et comment "l'un de ses chefs a été frappé à mort et son deathstroke fut guéri; l'autre, expliquant les symboles précédents, nous dit que les sept chefs de la Bête" sont sept rois, la cinq sont tombés, l'un est l'autre ne l'est pas encore venu. " Maintenant, nous le verrons ci-après, avec une parfaite certitude, que la bête sauvage, les blessés et chef de la bête sauvage, sont interchangeables symboles de Nero. Les cinq "rois" alors peut être pas d'autre que Auguste, Tibère, Gaius, Claudius, et Nero. Le calcul des "rois" [15] de Augustus est l'élément naturel calcul, et est celle adoptée par Tacite. Si Suétone commence son Douze Césars de la vie de Jules, le plus grand de tous, la raison en est qu'il tient à donner un compte de la césarienne famille, et du héros qui eponymus élevés au sommet du pouvoir terrestre. [16] À ce jour, il pourrait être considéré comme certain que Galba est le sixième empereur, et donc que l'Apocalypse a été écrit entre Juin, 68, lorsque Nero s'est suicidé, et Janvier, 69, lorsque Galba a été assassiné. Et depuis la nouvelle de la réussite de Galba rébellion n'aurait pas pu être connue sans un peu de retard, nous pourrions fixer la date de la Vision au cours de l'été ou en automne de AD68.

C'est, en effet, le tout mais certaine date du livre. Nous avons déjà vu de raison de mettre de côté la notion d'avoir été écrite sous le règne de Domitien, comme étant dû en partie à l'erreur d'Irénée, [17] et en partie au ralenti et ralenti la répétition d'inférence. Il n'est cependant pas impossible que Vespasien pas Galba et mai ont été considérés par l'Apôtre, non moins que par d'autres, comme ayant été en réalité le sixième empereur. Galba, Otho, Vitellius et adopté de fantômes à travers le stade impérial. Le Sibyllist rejette dans la seule ligne - "Après lui trois rois sont détruits par un autre." [18] Ils appartenaient ni à l'ancienne famille impériale, ni ont-ils trouvé un nouveau. Entre eux, ils couverts à peine l'espace d'un an et demi. Il est vrai qu'ils sont parlé de «Césars» à la fois par Tacite et Suétone, Vitellius refusé si le nom. Mais lorsque Vespasien a succédé à l'assassinat Vitellius, à la fin de AD69, on croyait que la dynastie flavienne serait sûre et durable, et la mode se pose de savoir en ce qui concerne les règnes de Galba, Otho et Vitellius comme une simple "rébellion de trois chefs militaires. " [19] Si tel était le point de vue du voyant, la date de l'Apocalypse serait ramené à AD70. La date antérieure accords de mieux avec ses propres indications.

Le sentiment de tension provoquée par l'énorme conflit de l'Antéchrist contre les Saints doivent avoir été encore à rude épreuve par la destruction imminente qui semble menacer l'existence de la race juive. Pour les esprits déjà brillant aux attentes de la venue du Christ, et la fin des siècles, les signes des temps doivent avoir porté un aspect portentous. Le coucher de soleil ciel de l'ancienne dispense était rouge et l'abaissement de la prophétie de la tempête. Les "malheurs du Messie" - le travail affres de l'avenir âge - les affres qui devaient accompagner la nouvelle naissance du royaume messianique - étaient déjà secouent le monde. [20] Il ya eu des guerres et des rumeurs de guerres. Il y avait des famines et des tremblements de terre. L'Eglise avait à peine passé par l'angoisse de la grande tribulation. Les chrétiens ont compris ce qu'est une chose énorme, il devait être "haï de tous les hommes», et d'être traité comme la offscourings du monde. Des centaines de martyrs ont été baptisés dans le sang. Le nom de «chrétien» a été considéré comme le synonyme de malfaiteur, et tout le monde détestait les chrétiens, sur la fausse accusation selon laquelle les chrétiens détesté tout le monde. Beaucoup ont été dégrade dans la foi, beaucoup se sont révélées fausses à celui-ci. Même au sein de son sacré de nombreuses fois considéré les uns les autres avec méfiance et la haine. Il y avait de faux Christs et de faux prophètes. Les pouvoirs des cieux sont ébranlés. Soleils et lunes et d'étoiles - de empereurs romains jusqu'à prêtres juifs - étaient l'un après l'autre fartage faible, et le tir de leurs domaines. Il est clair que le jour doit être à portée de main de qui le Seigneur avait dit qu'il viendrait ere que la production est décédé, et que toutes les choses dont il a parlé seraient remplies. Hommes n'attendiez pas. Ils mangeaient et buvaient, comme aux jours de Noé, de se marier et de donner dans le mariage, de boire avec la ivre, et les coups de leurs collègues fonctionnaires dans toute la sécurité de la cupidité, dans tous les insolence de l'oppression. Mais, n'en demeure pas moins sont les pouvoirs de la vengeance de soins infirmiers les impatients tremblement de terre, et une foi en l'éternel lois de la morale était seul suffisant pour rendre tous les chrétiens pensent que la Fiat a été de suite --

"ROME EST Perish! Écrire ce mot
Dans le sang qu'elle l'a répandu:
Périr sans espoir et horreur,
Deep en ruine comme dans la culpabilité. "

Les champs sont blancs pour la moisson, les raisins ont été violet pour le millésime du monde. Les carcasses d'un judaïsme corrompu et un corrupteur encore heathendom semble déjà être à la baisse dans le désert, ainsi que sur l'horizon lointain étaient visibles speks la tombée de la nuit qui le voyant savait être la collecte des vautours de la vengeance, qui allait bientôt remplir avec l'air " le bruissement des ailes leur rassemblés. "





Notes

[1] Pour des raisons de gouvernement Eglise

[2] critique moderne tend de plus en plus à la conclusion que l'Apocalypse est un véritable travail de l'Apôtre Saint-Jean. Même Zeller Baur et la considèrent comme un des plus certainement de authentifié apostolique écrits. Le Alogi à la fin du deuxième siècle, il a rejeté uniquement sur les motifs, et leur jugement est sans importance. Gaius (Circulaire 200) semble l'attribuer à Cérinthus. Denys d'Alexandrie (AD 247) est enclin, pour des raisons de style, de l'attribuer à un autre John, mais il parle avec de révérence. Eusèbe oscille à ce sujet, mise parmi les faux livres dans un passage, et reconnu parmi les livres dans un autre. Cyrille de Jérusalem (386) exclut délibérément de Canon. Le Conseil de Laodicée (A.D. 381) omet. Amphilochius, dans son Jamb. annonce Selecus, affirme que "la plupart" considèrent comme fausses. Junilius, même dans les sixième, dit que parmi les membres de l'Eglise d'Orient elle est considérée avec beaucoup de suspicion. Théodore de Mopsueste (429) cite jamais. Théodoret (457) fait allusion à très légèrement. Il n'est pas trouvée dans la Peshito. L'Eglise nestorienne rejeté. Il n'est pas mentionné dans le sixième siècle par Cosmas Indicopleustès. Nicéphore (neuvième siècle) dans son Chronographia omet. Même dans le quatorzième siècle Nicéphore Calixte, tout en acceptant, il estime nécessaire de mentionner que certains tenu à être le travail de "Jean le prêtre," considérée comme une personne différente de «John the Apostle." Mais, d'autre part, ces effets indésirables sont vues dans une certaine mesure, représenté par n'aiment pas la difficulté et l'obscurité de l'ouvrage, ainsi que par les utilisations dangereuses à laquelle il est souvent tourné. N'aiment pas à chiliastic fanatisme, ainsi que évident de crise, a également conduit à son dénigrement dans de nombreux milieux. Les éléments de preuve positifs en sa faveur est très forte. Il a été accepté par Papias, Justin Martyr, Denys de Corinthe, Hermas, Méliton de Sardes, Théophile d'Antioche, Apollonius, et Irénée, le Canon de Muratori, et la Vetus Itala, au deuxième siècle, par Clemes d'Alexandrie et Origène en la troisième, par Victorinus de Pettau, Éphrem Syrus, Epiphane, Basilic, Hilaire, Athanase, Grégoire de Nysse, Didymus et Ambrose, dans la quatrième. En outre, l'intérieur des éléments de preuve, en dépit des différences et des difficultés, est trop clair pour être négligée, et trop subtiles pour avoir été contrefaite.

[3] Il n'est guère digne de mention alors que les écrits apocryphes attribué à St. John, comme celui sur la Descente de Croix, sur la mort de la Vierge Marie, & c. Voir Lampe, Prolégomènes, p. 131; Fabricus, Cod. Apocr. N.T. PT. III. P. 200.

[4] Introd., Pp. LXXXV-LXXXVII.

[5] Guericke, Einleit. N. ins d'essai. P. 285

[6] C'est l'avis de Niermeyer.

[7] μαρτυροΰντων έκείνων των κατ 'όψιν' І ωάννην έωρακότων (Iren. annonce Haer. V.30)

[8] tertiaire. De Praescr. 36, Jer. C. Jovin. I. 26

[9] Voir Epiphan. Haer. que les 23 et 33; Andreas sur vi Rev. 12; Arethas sur Rev vii. 1-8; syriaque États membres. N ° 18; Theophylact. Commentaire. dans Joann.

[10] Ce résultat est maintenant accepté, non seulement par Lücke, Schwegler, Baur, Züllig, De Wette, Renan, Krenkel, Bleek, Reuss, Réville, Volkmar, Bunsen, Düsterdieck, & c., mais aussi par des auteurs comme Stier, Neander, Guericke, Auberlen, FD Maurice, Moïse Stuart, Neirmeyer, Desprez, S. Davidson, auteur de la Parousie, Aubé, & c.

[11] Voir ma vie de Saint-Paul, ii. 604-607

[12] Euseb. H.E. III. 5 (κατά τινα Х ρησμόν κ.τ.λ). Probablement le premier presbytres de l'Eglise a fait observer que les signes des temps indiqué par notre Seigneur, car Il a siégé deux jours avant sa mort sur le Mont des Oliviers (Mt xxiv. 15, suiv.), Désormais clairement nécessaire obéissance à Son avertissement.

[13] Epiph. De Mensuris, 15. En haer. XXIX. 7, il se réfère directement au commandement du Christ. Jérusalem peut être considérée comme "encerclé avec des armées" (Luc xxo. 20), bien avant son circumvallation par Titus.

[14], qui pourrait bien être désignées comme dans "les montagnes." Pella est dans une position haute, et se trouve sur un côté entouré de précipices. Il a été la ville la plus proche de Jérusalem, qui est à la fois sûr et neutre. Même si une ville libre, il a placé lui-même plus ou moins sous la protection de Agrippa II., Et, ce faisant, a rompu ses fortunes de ceux des Juifs. Par leur vol à destination de cette ville, les Juifs chrétiens exprimés dans leur sort avec les adversaires du fanatisme juif. Il a été une des étapes que l'éducation Divine qui leur a montré que les jours de Mosaism et de la synagogue a été passé.

[15] "Kings" est un titre commun pour les empereurs romains dans les provinces de l'Est (voir Ewald, gesch. Vi. 604, seqq.)

[16] "Imperator" est un titre qui portait Julius Caesar, en commun avec Cicéron et d'autres personnes privées. Il n'a jamais été «Princeps». Le dernier a été privé Imperator Junius Blaesus, sous le règne de Tibère.

[17] Le commentaire d'Andreas, BP. Césarée de Cappadoce, au cinquième siècle, à juste titre l'indique, en contradiction avec Irénée, qui était censée avoir été écrite avant AD70

[18] Orac. Sib. v. 35.

[19] La langue de Suétone est tout à fait remarquable, et certainement prête une sanction à l'opinion de ceux qui Vespasien ce qui concerne le sixième empereur. Il dit, "Rebellione trium principum et caede incertum diu et quasi vagum Imperium suscepit firmavitque tandem gens Falvia" (Vesp. 1).

[20] C'est le terme utilisé non seulement par les rabbins, mais aussi par les Évangélistes, άρ Х ή ωδίνων (Mt xxiv. 8; Mark xiii. 8). Il est un rendu des Hébreux Chebeli hammeschiach. (Voir Os. 13:14; Isa. 37:3; Mic. 4:9, v.2, & c.)

sceptique

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Ecrit le 08 juil.08, 00:30

Message par sceptique »

JP a écrit :La résurrection, il n'y en a qu'une et Jésus dit je suis la résurrection. Elle a déjà eu lieu. (Eph 2:6) il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus Christ,

C'est bien beau tout ça, JP!.. mais il reste que cette résurrection devrait un jour s'accomplir de façon bien réelle et concrète!.. du moins, selon ce que Saul de Tarse a écrit en 1 Cor 15,51-52 et 1 Thes 4,16-17... à moins que ce qu'il a écrit dans ce dernier passage ne soit là qu'une histoire qu'il a lui-même inventée de toutes pièces! Mais ça m'étonnerait, faut dire!

À ton avis, à quel moment les Élus de Dieu pourraient-ils avoir la possibilité d'aller à la rencontre du Fils de l'homme sur les nuées du ciel, dans les airs, selon ce qui est écrit en 1 Thes 4,16-17, si ce n'est pas au moment où devrait normalement sonner la septième et dernière trompette de l'Apocalypse? :roll:

Soyons clairs! Pour moi, il n'y aurait que de cette façon-là que les Élus de Dieu pourraient possiblement être "ressuscités ensemble" de façon à pouvoir s'asseoir tous ensemble dans les lieux célestes en même temps! Je veux dire... c'est bien évident! Ce n'est pas individuellement que le processus de la résurrection est censé se produire... mais uniquenent au son de la "dernière trompette" afin que cette résurrection soit "générale" pour l'ensemble des Croyants! (1 Cor 15-51-52)
(Col 2:12) ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l'a ressuscité des morts.

Reste que cette résurrection devrait un jour finir par se concrétiser pour de vrai, et ce, afin de changer ou de transformer la nature humaine et ainsi la rendre conforme à un tout nouvel état d'être ("l'image du céleste" décrite en 1 Cor 15,49) qui s'apparenterait vraisemblablement à celui des anges!.. du moins, d'après ce que Jésus de Nazareth a dit en Luc 20,34-36.
(Col 3:1) Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d'en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu.
À ce que je peux comprendre de ce verset, cette résurrection n'est qu'une résurrection en espérance!.. et elle s'accomplira réellement que lorsque le Fils de l'homme viendra sur les nuées du ciel, avec la "trompette retentissante", pour rassembler ses élus des quatre vents! (Mat 24,30-31) Chose certaine, celle-ci devra nécessairement se concrétiser, de façon bien réelle et tangible, à un moment donné!.. soit à la "dernière trompette" à laquelle Saul de Tarse fait lui-même allusion en 1 Cor 15,51-52 !!! Autrement, toute cette histoire n'a plus aucun sens et ne veut absolument plus rien dire!

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Ecrit le 08 juil.08, 02:25

Message par JP »

sceptique a écrit :
C'est bien beau tout ça, JP!.. mais il reste que cette résurrection devrait un jour s'accomplir de façon bien réelle et concrète!.. du moins, selon ce que Saul de Tarse a écrit en 1 Cor 15,51-52 et 1 Thes 4,16-17... à moins que ce qu'il a écrit dans ce dernier passage ne soit là qu'une histoire qu'il a lui-même inventée de toutes pièces! Mais ça m'étonnerait, faut dire!

À ton avis, à quel moment les Élus de Dieu pourraient-ils avoir la possibilité d'aller à la rencontre du Fils de l'homme sur les nuées du ciel, dans les airs, selon ce qui est écrit en 1 Thes 4,16-17, si ce n'est pas au moment où devrait normalement sonner la septième et dernière trompette de l'Apocalypse? :roll:

Soyons clairs! Pour moi, il n'y aurait que de cette façon-là que les Élus de Dieu pourraient possiblement être "ressuscités ensemble" de façon à pouvoir s'asseoir tous ensemble dans les lieux célestes en même temps! Je veux dire... c'est bien évident! Ce n'est pas individuellement que le processus de la résurrection est censé se produire... mais uniquenent au son de la "dernière trompette" afin que cette résurrection soit "générale" pour l'ensemble des Croyants! (1 Cor 15-51-52)

Reste que cette résurrection devrait un jour finir par se concrétiser pour de vrai, et ce, afin de changer ou de transformer la nature humaine et ainsi la rendre conforme à un tout nouvel état d'être ("l'image du céleste" décrite en 1 Cor 15,49) qui s'apparenterait vraisemblablement à celui des anges!.. du moins, d'après ce que Jésus de Nazareth a dit en Luc 20,34-36.
À ce que je peux comprendre de ce verset, cette résurrection n'est qu'une résurrection en espérance!.. et elle s'accomplira réellement que lorsque le Fils de l'homme viendra sur les nuées du ciel, avec la "trompette retentissante", pour rassembler ses élus des quatre vents! (Mat 24,30-31) Chose certaine, celle-ci devra nécessairement se concrétiser, de façon bien réelle et tangible, à un moment donné!.. soit à la "dernière trompette" à laquelle Saul de Tarse fait lui-même allusion en 1 Cor 15,51-52 !!! Autrement, toute cette histoire n'a plus aucun sens et ne veut absolument plus rien dire!
La résurrection est quelque chose qui s'est commencé pendant la génération qui précédait 70AD. La résurrection est le (Act 3:21) ...rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints prophètes.

La Nouvelle Naissance du reste d'Israël.
Un évènement du Corps du Christ par rapport au Corps d'Adam .

L'idée "d'ensemble" est ce que l'on appelle le "corporate body"...tous ensemble nous formons le Corps du Christ (le second Adam) de même que tous ensemble nous formions le corps d'Adam (premier Adam).

L'espérance de voir un jour la chair ressusciter est étrangères aux écritures en ce qui concerne les croyants. (1Co 15:50) Ce que je dis, frères, c'est que la chair et le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n'hérite pas l'incorruptibilité.

Certes Jésus lui même est ressuscité avec son même corps mais cet évènement était unique tout comme Jésus était un homme unique

Ce que Jésus est venu faire c'est de réparer un problème spirituel. Cette résurrection est une résurrection spirituelle.
Nous étions, en Adam, séparés de Dieu mais Christ nous a réconcilié en nous incorporant dans Son corps. 1 Cor 12 nous parle du Corps du Christ (L'église) et lorsqu'il arrive à 1 Cor 15 il n'a pas changé de sujet ou de sens au mot corps. Tout comme une lecture de Rom chap. 5-8 nous révèle un tel corps.

Lorsque Adam et Eve ont péché, ils sont morts spirituellement le même jour, tel que Dieu leur avait dit.


à suivre je travaille....

medico

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Ecrit le 08 juil.08, 02:32

Message par medico »

Lorsque Adam et Eve ont péché, ils sont morts spirituellement le même jour, tel que Dieu leur avait dit.
et physiquement aussi.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

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Ecrit le 08 juil.08, 03:45

Message par JP »

medico a écrit : et physiquement aussi.
(Gen 2:17) mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.


Adam est mort 900 quelques années plus tard. (Gen 5:5) Tous les jours qu'Adam vécut furent de neuf cent trente ans; puis il mourut.


Dieu a créé Adam mortel puis l'a placé dans le jardin.

Lorsqu'il dit son jugement :"Il dit à l'homme: Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre: Tu n'en mangeras point! le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie,(Gen 3:17) il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l'herbe des champs. (Gen 3:18) C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière."
(Gen 3:19)

Retourner à la poussière comme avant lorsqu'il a été formé. Cela n'était pas une malédiction que de retourner à la poussière. Cela montrait qu'il ne s'en sortirait jamais de toute sa vie.

Dieu donne la vie et la durée de la vie tous. Dieu est Souverain et il détermine ces choses. Sinon , Il n'est pas Dieu.

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Ecrit le 08 juil.08, 04:20

Message par medico »

pour DIEU un jour = 1000 ans donc ADAM est mort le jour même selon le calendrier de DIEU.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

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Ecrit le 08 juil.08, 04:56

Message par JP »

medico a écrit :pour DIEU un jour = 1000 ans donc ADAM est mort le jour même selon le calendrier de DIEU.
2 PIERRE 3:8

• Si Dieu ne sait pas lire l’heure : comment saura-t-Il quand les Derniers Jours seront arrivés ?
• Matthieu 24:36 – Le Père connaît le jour et l’heure !
• Actes 17:30-31 – Un jour a été fixé !
• Comment a-t-il pu fixer un jour, et connaître le jour et l’heure, s’Il est en dehors du temps ?
• Galates 4:4 “Lorsque les temps ont été accomplis”
• Apocalypse 1:1-3 – Le Père a révélé que le temps était proche !

LUC 21:8 ET 2 PIERRE 3

• « Plusieurs viendront disant “C’est moi” et “Le temps approche” – Ne les suivez pas ! »
• Jésus a condamné les déclarations précoces de la proximité de la fin des temps !
• Donc l’argument que chaque génération se “tienne prête” pour la fin des temps est invalide.
• Jésus ne voulait pas que chaque génération dise que la fin était proche !

LUC 21:8 ET LES APÔTRES

• Jésus a condamné les déclarations prématurées de la fin des temps.
• “Mais quand vous voyez toutes ces choses, sachez que la fin est proche, à la porte même” (Matthieu 24:32)
• Les apôtres devaient rejeter les déclarations prématurées, mais quand ils verraient les signes, ils pouvaient savoir que la fin était réellement proche !
• Jacques 5:8 / 1 Pierre 4:5 / Apoc. 1:1-3 !
• Jésus a condamné les déclarations prématurées de la fin des temps.
• Les mêmes apôtres qui ont entendu Ses avertissements ont plus tard dans leur vie déclaré :
« La fin est proche ! »
• Si la fin n’était pas réellement proche, alors les apôtres faisaient partie de ces faux docteurs dont Jésus nous a averti !
• Tous ceux qui l’ont dit AVANT les apôtres étaient dans l’erreur ; tous ceux qui l’ont dit APRES les apôtres étaient dans l’erreur !

De plus si on utilise l'herméneutique de un jour pour mille ans pourquoi ne pas l'utiliser partout? Serait-ce une application sélective?

"Un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour" est une manière de dire que le timing de Dieu n'est pas nécessairement le nôtre.
Ce pourrait aussi bien dire 1 million d'années, y'a rien là pour Dieu.
Modifié en dernier par JP le 08 juil.08, 05:50, modifié 2 fois.

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Ecrit le 08 juil.08, 05:01

Message par medico »

tu saute du coq a l'âne il n'est pas question de savoir si DIEU posséde une Rolex . mais du jour de la mort d'ADAM. il est mort le jour même aux yeux de DIEU .
(2 Pierre 3:8) 8 Mais que ceci notamment ne vous échappe pas, bien-aimés : c’est qu’un jour devant Jéhovah est comme mille ans et mille ans comme un jour [...]
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

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Ecrit le 08 juil.08, 05:56

Message par JP »

medico a écrit :tu saute du coq a l'âne il n'est pas question de savoir si DIEU posséde une Rolex . mais du jour de la mort d'ADAM. il est mort le jour même aux yeux de DIEU .
(2 Pierre 3:8) 8 Mais que ceci notamment ne vous échappe pas, bien-aimés : c’est qu’un jour devant Jéhovah est comme mille ans et mille ans comme un jour [...]
Parlant de sauter du coq a l'âne de 2 Pier 3 concerne "le jour du Seigneur"et de donner une age de la mort à Adam dans Genèse..Allo!

De plus si on utilise l'herméneutique de un jour pour mille ans pourquoi ne pas l'utiliser partout? Serait-ce une application sélective?

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