mario a écrit :
Tu ne m'as pas compris : mais l'existence traditionnelle des castes en Inde est une conséquence logique du dogme de la réincarnation .
Ce qui n'est pas le cas de celui qui se purifie, qui s'épure, qui se spiritualise, lui-même, sans passer par des corps qui lui sont étrangers, et cela par cet état du Purgatoire, dogme catholique que tu ne connais apparemment pas !
Purgatoire que je trouve infiniment plus fiable et performant que ces réincanations infinies !!!!!!!
Cordialement.
merci je connais parfaitement le purgatoire
mais le purgatoire ne sert pas a s'épurer du karma négatif
pas entièrement
le purgatoire sert a continuer son travail de prise de conscience
il n'empeche en rien la réincarnation
il ne faut pas oublier que la réincarnation est un principe incoutournable pour tout etre humain jusqu'a la 4è initiation
l'humanité ordinaire en est qu' a la première
les etres exceptionnels ont acquis la deuxieme et le troisième
jésus était un initié de 3è degré, venu passer sa 4è initiation
celle que l'on appelle symboliquement la crucifixion
sauf que lui, il l'a vécu physiquement
la 4è initiation est la mort de l'égo
quand on atteint ce degré, on n'a plus d'égo, on ne souhaite plus rien pour nous memes, mais pour l'humanité,
on est parfait amour inconditionnel, et don de soi
a partir de ce degré seulement, on brise la chaine des réincarnations
et on peut venir se réincarner si on le souhaite pour aider l'humanité
c'est le cas de beaucoup de maitres qui s'incarnent en inde principalement et dans les pays pauvres
car les maitres qui viennent aider l'humanité ne le font pas dans les pays ou tout le monde croule sous la graisse et l'opulence
bref
vous etes tellement loin de cette doctrine, qui est le véritable enseignement du christ et de l'église (car je le répète c'est un évèque, ex pretre exorciste qui m'a enseigné la doctrine cachée de jésus) que je ne sais par quel bout commencer
vos esprits sont tellemnet enfermés dans vos fausses croyances ancestrales et vos écritures déformées par le temps
soyez bénis toutefois