dix questions (qui tuent) à TIM.............................
dix questions (qui tuent) à TIM.............................
Ecrit le 03 nov.08, 05:18pourquoi les alliés et à leur tetes les américains ont refusés de bombarder les camps de concentrations pendant la seconde guerre mondiale alors qu'ils ont reçu des messages des prisonniers des camps leur demandant de bombarder les camps?
on a le témoignage du rabbin Michael Dov Weissmandel survivant de l'hololocaust qui fut un vaillant héros de l'œuvre de sauvetage des Juifs pendant le massacre. Dans une lettre aux responsables sionistes chargés de ces "organisations de secours", proposa une série de mesures pour sauver les juifs promis à la liquidation à Auschwitz. Il fournit des cartes exactes des trains et réclama d’urgence le bombardement des voies sur lesquelles les juifs hongrois étaient transportés vers les fours crématoires. Il appelait au bombardement des fours crématoires d’Auschwitz, au parachutage de munitions aux 80 000 prisonniers, au parachutage de saboteurs pour faire sauter tous les moyens d’annihilation et ainsi mettre fin à l’extermination de 13 000 juifs par jour. Si les alliés refusaient de répondre à cet appel organisé et public des "organisations de secours", Weissmandel proposait que les sionistes, qui avaient des fonds et une organisation, se procurent des avions, recrutent des volontaires juifs et réalisent ce sabotage.
Dix questions (qui tuent) à poser aux sionistes
Weissmandel est le doyen de la Yeshiva Nitra, et il est l'auteur de min hametzar = du fond de la detresse, Publié par l'auteur en 1948.
1/ Est-il vrai qu'en 1941, puis à nouveau en 1942, la Gestapo allemande a offert à tous les juifs européens la possibilité de transiter en Espagne, s'ils renoncent à tous leurs biens en Allemagne et en France occupée, aux deux conditions ci-après :
a) aucun des déportés ne devraient partir d'Espagne pour la Palestine ;
b) tous les déportés seraient acheminés d'Espagne aux Etats-Unis ou dans des colonies britanniques, afin d'y demeurer ; des visas d'entrée seraient accordés aux juifs vivant dans ces contrées ; une rançon d'un montant de 1 000 dollars pour chaque famille serait fournie par l'Agence [juive], à l'arrivée desdites familles à la frontière espagnole, au rythme de mille familles par jour ?
2/ Est-il vrai que les dirigeants sionistes de Suisse et de Turquie ont accepté cette offre, pleinement conscient du fait que l'exclusion de la Palestine, comme destination des déportés, était fondée sur un accord passé entre la Gestapo et le Mufti [de Jérusalem] ?
3/ Est-il exact que la réponse faite par les dirigeants sionistes fut négative, et accompagnée des commentaires suivants :
a) Seule, la Palestine pourrait être considérée une destination acceptable pour les déportés ;
b) Les juifs européens doivent souffrir davantage et mourir en plus grand nombre que les autres nations, afin que les alliés, une fois victorieux, avalisent un « Etat juif » à la fin de la guerre ;
c) Aucune rançon ne sera payée ?
4/ Est-il exact que la réponse à l'offre de la Gestapo a été faite dans une connaissance totale du fait que l'alternative à cette offre, c'étaient les chambres à gaz ?
5/ Est-il vrai qu'en 1944, à l'époque des déportations en Hongrie, une offre similaire avait été faite, ce qui aurait permis de sauver tous les juifs de ce pays ?
6/ Est-il vrai que cette même hiérarchie sioniste a, à nouveau, refusé cette offre (après que les chambres à gaz aient déjà prélevé leur effroyable tribut de plusieurs millions de victimes) ?
7/ Est-il vrai qu'au plus haut des tueries, durant la guerre, 270 membres du Parlement britannique ont proposé d'évacuer quelque 500 000 juifs d'Europe, et de les réinstaller dans des colonies britanniques, dans le cadre de négociations diplomatiques avec l'Allemagne ?
8/ Et n'est-il pas vrai que cette offre a été rejetée par les dirigeants sionistes, avec ce commentaire : « Vers la Palestine, sinon rien ! » ?
9/ Est-il exact que le gouvernement britannique a accordé des visas à 300 rabbins et membres de leur famille, leur permettant de se rendre dans l'Île Maurice, ainsi qu'un sauf-conduit pour les personnes évacuées via la Turquie. Les dirigeants de l' « Agence juive » ont saboté ce plan, faisant remarquer qu'il était déloyal vis-à-vis de la Palestine et que les 300 rabbins, ainsi que les membres de leur famille méritaient d'être gazés.
10/ Est-il vrai que durant les négociations mentionnées plus haut, Chaim Weitzman, le premier « homme d'Etat juif » déclara : « La partie la plus précieuse de la nation juive est d'ores et déjà en Palestine, et ces juifs-là, qui vivent en-dehors de la Palestine, n'ont pas tellement d'importance ». L'adjoint de Weitzman, Greenbaum, aggrava cette déclaration, faisant la remarque suivante : « Une vache, en Palestine, est plus précieuse que tous les juifs d'Europe » ?
on a le témoignage du rabbin Michael Dov Weissmandel survivant de l'hololocaust qui fut un vaillant héros de l'œuvre de sauvetage des Juifs pendant le massacre. Dans une lettre aux responsables sionistes chargés de ces "organisations de secours", proposa une série de mesures pour sauver les juifs promis à la liquidation à Auschwitz. Il fournit des cartes exactes des trains et réclama d’urgence le bombardement des voies sur lesquelles les juifs hongrois étaient transportés vers les fours crématoires. Il appelait au bombardement des fours crématoires d’Auschwitz, au parachutage de munitions aux 80 000 prisonniers, au parachutage de saboteurs pour faire sauter tous les moyens d’annihilation et ainsi mettre fin à l’extermination de 13 000 juifs par jour. Si les alliés refusaient de répondre à cet appel organisé et public des "organisations de secours", Weissmandel proposait que les sionistes, qui avaient des fonds et une organisation, se procurent des avions, recrutent des volontaires juifs et réalisent ce sabotage.
Dix questions (qui tuent) à poser aux sionistes
Weissmandel est le doyen de la Yeshiva Nitra, et il est l'auteur de min hametzar = du fond de la detresse, Publié par l'auteur en 1948.
1/ Est-il vrai qu'en 1941, puis à nouveau en 1942, la Gestapo allemande a offert à tous les juifs européens la possibilité de transiter en Espagne, s'ils renoncent à tous leurs biens en Allemagne et en France occupée, aux deux conditions ci-après :
a) aucun des déportés ne devraient partir d'Espagne pour la Palestine ;
b) tous les déportés seraient acheminés d'Espagne aux Etats-Unis ou dans des colonies britanniques, afin d'y demeurer ; des visas d'entrée seraient accordés aux juifs vivant dans ces contrées ; une rançon d'un montant de 1 000 dollars pour chaque famille serait fournie par l'Agence [juive], à l'arrivée desdites familles à la frontière espagnole, au rythme de mille familles par jour ?
2/ Est-il vrai que les dirigeants sionistes de Suisse et de Turquie ont accepté cette offre, pleinement conscient du fait que l'exclusion de la Palestine, comme destination des déportés, était fondée sur un accord passé entre la Gestapo et le Mufti [de Jérusalem] ?
3/ Est-il exact que la réponse faite par les dirigeants sionistes fut négative, et accompagnée des commentaires suivants :
a) Seule, la Palestine pourrait être considérée une destination acceptable pour les déportés ;
b) Les juifs européens doivent souffrir davantage et mourir en plus grand nombre que les autres nations, afin que les alliés, une fois victorieux, avalisent un « Etat juif » à la fin de la guerre ;
c) Aucune rançon ne sera payée ?
4/ Est-il exact que la réponse à l'offre de la Gestapo a été faite dans une connaissance totale du fait que l'alternative à cette offre, c'étaient les chambres à gaz ?
5/ Est-il vrai qu'en 1944, à l'époque des déportations en Hongrie, une offre similaire avait été faite, ce qui aurait permis de sauver tous les juifs de ce pays ?
6/ Est-il vrai que cette même hiérarchie sioniste a, à nouveau, refusé cette offre (après que les chambres à gaz aient déjà prélevé leur effroyable tribut de plusieurs millions de victimes) ?
7/ Est-il vrai qu'au plus haut des tueries, durant la guerre, 270 membres du Parlement britannique ont proposé d'évacuer quelque 500 000 juifs d'Europe, et de les réinstaller dans des colonies britanniques, dans le cadre de négociations diplomatiques avec l'Allemagne ?
8/ Et n'est-il pas vrai que cette offre a été rejetée par les dirigeants sionistes, avec ce commentaire : « Vers la Palestine, sinon rien ! » ?
9/ Est-il exact que le gouvernement britannique a accordé des visas à 300 rabbins et membres de leur famille, leur permettant de se rendre dans l'Île Maurice, ainsi qu'un sauf-conduit pour les personnes évacuées via la Turquie. Les dirigeants de l' « Agence juive » ont saboté ce plan, faisant remarquer qu'il était déloyal vis-à-vis de la Palestine et que les 300 rabbins, ainsi que les membres de leur famille méritaient d'être gazés.
10/ Est-il vrai que durant les négociations mentionnées plus haut, Chaim Weitzman, le premier « homme d'Etat juif » déclara : « La partie la plus précieuse de la nation juive est d'ores et déjà en Palestine, et ces juifs-là, qui vivent en-dehors de la Palestine, n'ont pas tellement d'importance ». L'adjoint de Weitzman, Greenbaum, aggrava cette déclaration, faisant la remarque suivante : « Une vache, en Palestine, est plus précieuse que tous les juifs d'Europe » ?
Ecrit le 04 nov.08, 02:04
Fallait-il pour autant bombarder Auschwitz ? André Kaspi répond que les renseignements fournis par les photos ne sont pas aussi évidents, qu’elles ont du reste été prises par hasard et que « leur interprétation n’aurait rien donné à l’épo- que », non seulement parce qu’« on ne trouve que ce qu’on cherche » et que les interprètes de ces documents n’avaient pas pour mission d’y rechercher des chambres à gaz, mais aussi parce que les instruments dont ils disposaient n’étaient pas suffisamment au point. Il fait aussi valoir qu’un bombardement d’Auschwitz, par-delà les difficultés techniques, aurait comporté de sérieux risques pour les déportés eux-mêmes : « Comment bombarder les cham- bres à gaz sans tuer des milliers de prisonniers ? » Et fournir du même coup des arguments à la propagande nazie. En outre, les opérations militaires d’alors focalisaient tous les efforts… Enfin, rappelle-t-il, « lorsque Washington et Londres reçoivent (de juin à novem- bre 1944) des appels pour que les chambres à gaz soient bombardées, près de cinq millions de juifs ont été massacrés ; les juifs de Hongrie ont déjà été raflés. Dans le courant de l’été, ils sont - gazés ». Il interroge donc : « Pour- quoi n’acceptons-nous pas en 2005 que les nazis portent la seule responsabilité d’un crime contre l’humanité ? ». Et de conclure : « Le débat sur le bombardement d’Auschwitz révèle les complexités de notre temps plus que celles de 1944. »
Ecrit le 06 nov.08, 00:23
André Kaspi, professeur à la Sorbonne, a écrit la postface au livre de David S. Wyman. J'en cite ici un court passage caractérisant le livre en question: "David S. Wyrnan ne se contente pas de dresser un réquisitoire contre Roosevelt et la communauté juive."TIM a écrit :Fallait-il pour autant bombarder Auschwitz ? André Kaspi répond que les renseignements fournis par les photos ne sont pas aussi évidents, qu’elles ont du reste été prises par hasard et que « leur interprétation n’aurait rien donné à l’épo- que »
Un écrivain célèbre a préfacé cette oeuvre dont je recommande la lecture et la relecture . Elie Wiesel, auteur de la préface, constate:
"Les Juifs furent bel et bien abandonnés. Livrés aux bourreaux, ils ne purent compter sur personne. Pas même sur leurs frères qui vivaient librement en Amérique. Constatation triste et révoltante: les grandes organisations juives, les grandes figures de la communauté juive n'avaient pas voulu ou n'avaient pas pu forger un front unique de sauvetage."
David S. Wyman, enseignant à l'Université du Massachusetts, L ‘abandon des Juifs publié en français par les Editions Flammarion en 1987 d'après l'édition originale américaine de 1984.
Ecrit le 06 nov.08, 01:41
tu laisses le temoignage de deux témoins occulaires: le rabbin Michael Dov Weissmandel et Elie Weisel et tu cites andré kaspi qui dit la chose et son contraire!TIM a écrit :a a place d'essayer de détourner comme d'habitude, lis ce qu'il dit
rabbin Michael Dov Weissmandel survivant de l'hololocaust qui fut un vaillant héros de l'œuvre de sauvetage des Juifs pendant le massacre. Il fournit des cartes exactes des trains et réclama d’urgence le bombardement des voies sur lesquelles les juifs hongrois étaient transportés vers les fours crématoires. Il appelait au bombardement des fours crématoires d’Auschwitz
Ecrit le 06 nov.08, 02:38
"N’accordez jamais une confiance aveugle à un système de cryptographie "TIM a écrit :les chefs militaires ont dit pourquoi ils n'avaient pas bombardé et c'était en 44, ils n'étaient pas le cul dans leur fauteuil face a un écran !
Gilles Dubertret
" les forces militaires " alliés savaient trés bien ce que faisaient les allemand car ils ont dechiffré le code secret allemand de communication qui utilisait la machine ENIGMA,avant la 2d guerre mondiale.
Durant toute la guerre, plus de 18 000 messages par jours furent décryptés, et permirent aux forces de l'alliance de connaître les intentions de l'Allemagne. Le dernier message chiffré fut trouvé en Norvège, signé par l'Amiral Doenitz : « Le Führer est mort. Le combat continue ». Les Allemands ne se sont jamais doutés que leur précieuse machine pouvait être décryptée.
ENIGMA et la Seconde guerre mondiale
Comment la célèbre machine à crypter allemande influença le cours de la guerre.
« Machine électro-mécanique de cryptage allemande dont l'usage fut répandu, en nécéssité de la Blitzkrieg. Elle est le symbole de la victoire des briseurs de chiffres Alliés, dont les efforts auraient écourté la guerre d'un an. »
http://perso.ens-lyon.fr/guillaume.munch/enigma/
diabo.free.fr/enigma/dossier/tpe_enigma.pdf
L'histoire de Enigma
C'est à la fin de la première guerre mondiale qu'est apparue la nécessité de crypter les messages (bien que les techniques de chiffrement existaient déjàdepuis fort longtemps).
C'est un Hollandais résidant en Allemagne, le Dr Arthur Scherbius qui mit au point à des fin commerciales la machine Enigma, servant à encoder des messages.
Le modèle A de la machine (Chieffrienmaschinen Aktien Gesellschaft) fût présentée en 1923 au Congrès Postal International de Bern. Le prix de cette machine à l'époque (équivalent à 30000 euros aujourd'hui) en fit un échec cuisant. Mais l'idée fit son chemin et la marine de guerre allemande reprit le projet en 1925 et en confia son évolution au service de chiffrement (Chiffrierstelle) du ministère de la guerre allemand. Le modèle Enigma M3 fût finalement adopté par la Wehrmacht (armée Allemande) le 12 janvier 1937.
Ce que les Allemands ignoraient, c'est que les services de contre-espionnage français et Polonais travaillaient également depuis 1930 sur une méthode de déchiffrement. Le Commandant Gustave Bertrand des services secrets français, recruta pour cela Hans Thilo Schmidt (dont le nom de code était Asche), qui travaillait à l'époque pour le Chiffrierstelle.
Lorsque la seconde guerre mondiale éclata en 1939, les alliés savaient décrypter les messages d'Enigma. Le 24 juillet 1939, Marian Rejewski ( responsable du Biuro Szyfrow - service européen le plus avancé dans les recherches sur le chiffrement allemand ) remit un modèle de la machine Enigma au Commandant Bertrand et à Alistair Denniston, chef du service de déchiffrement de l'Intelligence Service (IS) britannique.
La guerre s'est ensuite intensifiée et la cadence de déchiffrement augmenta. Ainsi, entre les mois d'octobre et juin 1939, plus de 4000 messages chiffrés furent décodés par les services secrets français. Ces opérations portaient désormais un nom : Opération Z pour les français et Code Ultra (pour Ultra Secret) pour les Anglais.
En Août 1939 les Anglais installèrent à Bletchley Park (80 km de Londres) les services du Code et du Chiffre. Ce n'étaient pas moins de 12000 scientifiques et mathématiciens Anglais, Polonais et français qui travaillaient à casser le code d'Enigma. Parmi ces mathématiciens, on retrouve l'un des inventeurs de l'informatique moderne : Alan Turing, qui dirigeait tous ces travaux.
Les messages décryptés à Bletchley Park arrivaient par tapis roulant à la Huts 6, puis, au poste pour être traduits (2 postes par équipe) :
* un pour les messages en retard
* un pour le matériel urgent
Les messages traduits de la Luftwaffe étaient transmis aux 3A et ceux de l'armée aux 3M (A= aviation; M= militaire). On attribuait ensuite des Z en fonction de l'importance des messages (1Z: peu important; 5Z: extrêmement urgent). Les renseignements étaient résumés et envoyés en 3 exemplaires :
* un au SIS de Broadway ;
* un au service de ministère approprié ou à Withehall ;
* un au général concerné sur le terrain.
Les Anglais réussirent ainsi à déchiffrer ces messages codés. Seulement, la Kriegsmarine ( Marine de guerre Allemande), utilisant des mesures de cryptage différentes, le déchiffrement s'avèra plus difficile. La capture sur le U-110 d'une Enigma et surtout de ses instructions permit une avancée importante. Ceci permettant de connaître les positions de sous-marins et de réduire le tonnage coulé par les U-Boot (Cf : Le film U-571).
Le 1er février 1942, le modèle Enigma M4 fut mis en service. Pendant onze mois, les alliés ne réussirent pas à décrypter ces messages.
Durant toute la guerre, plus de 18 000 messages par jours furent décryptés, et permirent aux forces de l'alliance de connaître les intentions de l'Allemagne. Le dernier message chiffré fut trouvé en Norvège, signé par l'Amiral Doenitz : « Le Führer est mort. Le combat continue ». Les Allemands ne se sont jamais doutés que leur précieuse machine pouvait être décryptée.
source:
Mémorial de Caen : http://www.memorial-caen.fr/
Ecrit le 06 nov.08, 02:54
ce n'est pas une discussion privéeRyuujin a écrit :Un forum ouvert à tous, mais pas un chat : lorsque tu souhaite d'adresser à une personne en particulier, utilise les messages privés ; c'est plus pratique pour tout le monde.
TIM c'est un sioniste je ne lui reproche pas
et moi je suis anti-sioniste et on discute argument contre argumentsz.
l'holocaust est le crime contre l'humanité aboslu donc il concerne toute l'humanité!
Ecrit le 06 nov.08, 02:58
TIM a écrit :les chefs militaires ont dit pourquoi ils n'avaient pas bombardé et c'était en 44, ils n'étaient pas le cul dans leur fauteuil face a un écran !
on appel ça: Non-assistance à personne en danger.Durant toute la guerre, plus de 18 000 messages par jours furent décryptés, et permirent aux forces de l'alliance de connaître les intentions de l'Allemagne. Le dernier message chiffré fut trouvé en Norvège, signé par l'Amiral Doenitz : « Le Führer est mort. Le combat continue ». Les Allemands ne se sont jamais doutés que leur précieuse machine pouvait être décryptée.
Le droit américain et canadien ne possèdent pas d'obligation de porter secours,.
La non-assistance à personne en danger est l'engagement de la responsabilité pénale d'une personne qui n'interviendrait pas face à une personne courant un danger.
L'engagement a lieu si :
* la personne a connaissance du danger ;
* elle est en mesure d'agir ;
* l'action ne présente pas de danger pour la personne ni pour un tiers.
Cette notion existe dans plusieurs pays, par exemple :
* dans le Code pénal français (art. 223-6[1])
* dans le code pénal de la Principauté d'Andorre (art. 199, 278, 279, 310)
* dans le Code pénal allemand (art. 323c, Unterlassene Hilfeleistung)
Le droit américain et canadien ne possèdent pas d'obligation de porter secours,.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Non-assist ... _en_danger
Ecrit le 06 nov.08, 03:14
si'il est illisible comment tu sais que c'est un chat?Ryuujin a écrit :Si ce n'est pas une discussion privée, prière de changer immédiatement de ton, et de poster de façon à être compréhensible par tous.
J'ai beau être intéressé par le sujet, ce topic n'en est pas moins illisible.
tu dois avoir un oeil de lynx!
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