interprétation des textes sacrés

Science et religion ne sont plus considérées comme incompatibles. The Daily Telegraph, Londres, 26 mai 1999.
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gerardP

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Enregistré le : 07 nov.08, 10:58
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interprétation des textes sacrés

Ecrit le 07 nov.08, 20:39

Message par gerardP »

Bonjour à chacun, d'un nouvel inscrit sur votre site.
Retraité d'un parcours long et sinueux; un culte : le souvenir des anciens; une préoccupation et un loisir : la terre et les vieux papiers.

Veuillez me pardonner cette entrée en matière, d'une manière aussi cavalière. Elle répond cependant à une interrogation : comment sortir un livre de l'anonymat, parmi les centaines paraissant chaque mois ?
Celui ci peut intéresser quelques uns parmi vous.
Les quelques lignes suivantes sont extraites d'un document de présentation.
Je vous remercie pour votre attention. Bonne journée.
......................................................
"".................En un temps où la culture générale du clergé se développait amplement et touchait à toutes les disciplines nouvelles – parallèlement au phénoménal avancement de la science durant cette époque – de nombreux prêtres se trouvaient à même, de par leurs connaissances étendues, leur perspicacité et leur capacité d’analyse, de lire dans le symbolisme des textes sacrés, de découvrir dans l’enseignement et les exégèses les anachronismes, voire les incohérences, de se projeter dans une recherche spirituelle personnelle, parfois marginale ou même divergente. Une démarche qui, par son extension, ne pouvait que convenir ou participer à une inclinaison nouvelle du catholicisme vers un aspect beaucoup plus social de sa mission. Avec un risque pour ces "artisans" de la spiritualité: celui de parcourir des terres jusqu’alors inaccessibles, d’aborder aux frontières de l’hérésie et les franchir, ou plus grave encore, de découvrir soudain l’existence d’un lieu étrange où ni la foi ni la raison ne trouvent d’écho, un moment, comme un baptême, où il ne sera d’autre issue que de tout oublier et tout réapprendre, depuis le commencement.
Je sais que quelques uns des miens vagabondèrent vers de tels horizons. L’abbé Saunière – avec d’autres sans doute – semble bien avoir parcouru ce même chemin. Du moins en laissa-t-il des traces, comme des jalons.""

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