J'affirme simplement que tu juges inconcevable ce que je conçoisl'espoir a écrit :faudra le prouver Ren'...
Comme il se mettait en route, quelqu'un vint en courant et se jeta à genoux devant lui ; il lui demandait : "Bon Maître, que dois-je faire pour recevoir la vie éternelle en partage ?" Jésus lui dit : "Pourquoi m'appelles-tu bon ? Nul n'est bon que Dieu seul" (Mc X, 17-18)l'espoir a écrit :lis ces contradictions et donnes nous "ton" interprétation personnel
- Quelle est la méthode employée par Jésus pour dispenser son enseignement ? "Qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende !" (Mc IV, 9) ; Jésus ne donne pas tout, son auditeur a une partie du chemin à faire lui-même
- Jésus pose une question : "Pourquoi ?" ; il ne dit pas "ne m'appelle pas ainsi"
- Jésus ajoute ensuite un constat : "Nul n'est bon que Dieu seul"
Bilan : dans une démarche qui lui est familière, Jésus place son interlocuteur face à lui-même, face à ses responsabilités : "As-tu conscience de ce que tu dis en t'adressant à moi ainsi ?"
On retrouve la même démarche dans ce passage : Arrivé dans la région de Césarée de Philippe, Jésus interrogeait ses disciples : "Au dire des hommes, qui est le Fils de l'homme ?" Ils dirent : "Pour les uns, Jean le Baptiste ; pour d'autres, Elie ; pour d'autres encore, Jérémie ou l'un des prophètes" Il leur dit : "Et vous, qui dites-vous que je suis ?" Prenant la parole, Simon-Pierre répondit : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant" Reprenant alors la parole, Jésus lui déclara : "Heureux es-tu, Simon fils de Jonas, car ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux (Mt XVI, 13-17)