année contre les mariages forçés et l'excision

[VT61]

« 2009 est dédiée au combat contre
certaines pratiques coutumières »,

lance Valérie Létard. La secrétaire d’Etat à la Solidarité exposait, hier, les nouveaux outils de lutte contre les mariages forcés et les mutilations sexuelles.
Insistant sur deux messages essentiels
– «Il n’y a pas de mariage lorsqu’il n’y a pasde consentement » et
« Les mutilations sexuelles féminines sont punies par la loi »
–, 100 000 brochures comportant conseils et contacts utiles seront distribuées aux associations actives dans ces combats, tandis que des affiches seront placardées dans les lieux publics.
Grâce à cette campagne de communication,Valérie Létard « souhaite inviter les femmes à briser, enfin, la loi du silence ».« Ce sont des archaïsmes qui doivent être combattus », a renchéri Gaye Petek,
directrice de l’association Elele, qui aide les immigrés venus de Turquie.
Pratiques d’un « autre âge »
Selon le Groupe pour l’abolition des mutilations sexuelles (Gams), 70 000 adolescentes de 10 à 18 ans vivant en France sont menacées d’être unies contre leur gré à un homme par les liens du mariage.
Concernant les excisions, on estime qu’en France, entre 55 000 et
65 000 femmes et fillettes sont mutilées ou menacées de l’être. La secrétaire d’Etat a d’ailleurs insisté sur le caractère intolérable de ces violences : « Ni la tradition ni la coutume ne justifient une telle remise en cause des droits fondamentaux. » Mais Valérie Létard a aussi tenu
à préciser que « cette démarche citoyenne » ne visait pas à « stigmatiser
une catégorie sociale, ethnique ou religieuse
». Ces pratiques d’un « autre âge » ne sont pas justifiées par la religion,[l'excision] a ajouté Khady Koïta, présidente du Réseau européen pour la prévention des pratiques traditionnelles néfastes à la santé des femmes et des enfants. Isabelle Gillette-Faye, directrice du Gams, a, pour sa part, salué « la première campagnenationale contre le mariage
forcé

[IIuowolus]

». Ces pratiques d’un « autre âge » ne sont pas justifiées par la religion

Normal, la religion Egyptienne est morte avec l'Egypte ancienne et il y a trés peu de tribu africain qui pratique un pagianisme qui diabolise encore le clitoris.
Maintenant c'est un problème cuturelle et plus religieux.

[Mereck]

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[Mereck]

». Ces pratiques d’un « autre âge » ne sont pas justifiées par la religion,[l'excision] a ajouté Khady Koïta, présidente du Réseau européen pour la prévention des pratiques traditionnelles néfastes à la santé des femmes et des enfants. Isabelle Gillette-Faye, directrice du Gams, a, pour sa part, salué « la première campagnenationale contre le mariage
forcé

Grosse erreur !
(si elle est musulmane, peut-être dit-elle ça pour ne pas avoir à renier sa propre foi ?)

Il est vrai que l'excision ne semble pas être pratiquée avec le sens religieux comme l'est la circoncision, mais cela peut s'expliquer par le fait que le garçon est vu comme un énorme évènement, deux fois plus que s'il s'agit de la naissance d'une fille.
(ceci surtout dans les pays pauvres, pour des raisons socio-économiques évidentes)


Les textes premiers des religions (coran/torah/bible) ne justifient pas l'excision, mais dans le cas de l'islam, on trouve bel et bien des hadiths donnant une justification à celle-ci !
Et il y a peut-être un autre hadith qui permet à cette pratique de continuer tout simplement parce que cela l'a été permis.

Un autre indique que ce serait un "honneur pour la femme".


Il est vrai qu'ils ne semblent pas être pris comme fiable à 100%, mais ils existent malgré tout.


Notons aussi que l'excision est parfois considérée comme "la circoncision de la fille".
Et cela, on la retrouve dans les 3 religions monothéistes !