- Apocalypto de Mel Gibson, les Mayas et les sacrifices humains « SPQR
Merci d' avance de la réponse que vous me donnerez
Devant l' atrocité des sacrifices humains , la main de DIEU guidera la destinée de Christophe Colomb , pour qu' il découvre l' amérique .
Les conquistadores n étaient rien d' autre que la manifestation de la colère DIVINE.
Et la foudre était tombé à plusieurs reprises sur les temples maya qui pratiquaient le culte du sacrifice humain . Ces derniers n' En comprenaient pas
la siginification . :[*spqr7.wordpress.com/2007/01/29/apocalypto-de-mel-gibson-les-mayas-et-les-sacrifices-humains/ ]
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Depuis quelques années les archéologues ont découverts des montagnes de preuve matérielles qui corroborent les chroniques espagnoles en substance, si pas en nombre.
Utilisant des outils de haute technicité, les archéologues ont prouvé que les sacrifices pré-hispaniques utilisaient souvent des enfants et mettaient en œuvre un large éventail de méthodes pour tuer brutalement et intentionnellement.
Durant des décennies, de nombreux chercheurs crurent que les récits espagnols des XVIe et XVIIe siècles étaient faussés pour dénigrer les cultures indiennes, d’autres prétendaient que les sacrifices étaient limités aux guerriers capturés, tandis que d’autres encore admettaient que les aztèques étaient sanguinaires mais croyaient que les mayas l’étaient moins.
« Nous avons à présent les preuves matérielles pour confirmer les chroniques littéraires et picturales », déclara l’archéologue Leonardo Lopez Lujan.
Il ajouta : « Certains courants “pro-indiens” ont toujours nié ce qui était arrivé ; ils disaient que les textes mentaient ».
« Les espagnols ont probablement exagéré le nombre des victimes pour justifier une guerre supposée juste contre l’idolâtrie, déclara David Carrasco, un expert en religions d’Amérique Centrale de la Harvard Divinity School. (1)
Mais il n’y a plus l’ombre d’un doute sur la nature des tueries. Les textes illustrés indiens connu sous le nom de Codex, aussi bien que les chroniques espagnoles de l’époque, indiquent que les indiens pratiquaient de multiples formes de sacrifices humains.
Outre les preuves archéologiques et picturales, pour Lopez Lujan une confirmation est venue sous la forme de tests chimiques poussés sur les planchers de stuc des temples aztèques, où fut découvert qu’ils avaient été maculés de fer, d’albumine et de matériaux génétiques correspondant à du sang humain.
Les fresques murales d’une des chambres de Bonampak (Maya) montrent comment les prisonniers étaient mutilés (je vous épargne les détails), puis ensuite précipités au bas des marches des pyramides puis livrés à la foule déchaînée. Je vous fait grâce de ce qu’ils faisaient d’eux ensuite. Voici une des fresques montrant les prisonniers mutilés destinés aux sacrifices :Les Mayas ne faisaient pas de pitié. Les prisonniers étaient ramenés comme butin, gardés en réserve et puis ils les exécutaient en masse.
Ces peuples considéraient que le Soleil avait besoin de sang humain pour se lever chaque matin et réservaient un grande partie de ces prisonniers de guerre aux sacrifices.
L’élite était obsédée par le sang – le sien et celui des prisonniers – et le rite de la saignée constituait un important aspect de tout grand événement du calendrier maya. La saignée servait aussi à se concilier les dieux et au début du déclin de la civilisation maya.
Pour les Mayas, le sacrifice sanglant était nécessaire à la survie tant des dieux que des humains, faisant monter l’énergie humaine vers le ciel et recevant en retour le pouvoir divin.
Ces sacrifices humains ont longtemps imprégné la mémoire des peuples d’Amérique Centrale, un des signes en est cette fresque du peintre mexicain Jose Clemente Orozco, datant de 1932 :