Les croisés de l’Apocalypse de Saint georges ben bu$h

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rahmatel

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Les croisés de l’Apocalypse de Saint georges ben bu$h

Ecrit le 04 janv.05, 05:27

Message par rahmatel »

<img src="http://images-eu.amazon.com/images/P/22 ... ZZZZZZ.jpg" align="left">Les évangéliques : La secte qui veut conquérir le monde



C’est le courant religieux qui progresse le plus vite aujourd’hui. Ils sont déjà 500 millions qui croient à l’Armageddon, la bataille finale et prochaine entre les forces du Bien et du Mal. Ils s’appuient sur la télévision, internet, les jeux vidéo ou les romans de science-fiction pour convertir en masse. George W. Bush, comme nombre de ses ministres et conseillers, partage leur vision messianique du monde et de l’avenir. Jusqu’à l’extrême?



Les croisés de l’Apocalypse

Que faire contre un homme qui dispose d’une ligne directe avec le Tout-Puissant? Qui s’estime investi d’une mission divine? Qui croit que l’apocalypse est proche? Que dire quand cet homme est le président des Etats-Unis? A la fin de l’hiver 2003, quelques semaines avant la guerre d’Irak, George W. Bush tente une dernière fois de ranger le président français à ses arguments, de le convaincre d’admettre enfin que la cause est juste et l’opération Liberté pour l’Irak la volonté de Dieu. Pas moins. Tout à sa démonstration, Bush junior fustige les « Etats voyous », stigmatise l’«axe du Mal», évoque Gog et Magog. Gog et Magog? Jacques Chirac en reste coi, sidéré par l’énigmatique référence. Un conseiller de l’Elysée, prié de décrypter la citation en vitesse, finit par trouver la réponse auprès de la Fédération protestante de France. Il s’entend dire qu’à la Fin des Temps, selon le prophète Ezéchiel, Gog et Magog déferleront de Babylone sur Israël. Or Gog et Magog sont l’incarnation des forces du Mal, et Babylone, qui se dresse dans les environs de Bagdad, a été restaurée par... Saddam Hussein!

L’homme le plus puissant du monde n’est ni un exégète de haut vol ni un fou. C’est tout simplement un fidèle d’une curieuse Eglise, protestante, expansionniste, millénariste et apocalyptique. George Bush est un Born Again Christian, littéralement un chrétien né une deuxième fois. Les Born Again Christians sont l’un des mouvements qui composent les très dynamiques et très prospères Evangelical Churches of Jesus Christ, dont les adeptes sont appelés «évangéliques» (1). Ces Eglises, qui par de nombreux aspects évoquent une fédération de sectes, entendent convertir l’Amérique avant de conquérir le monde! Ni plus ni moins. Avec un homme comme Bush à la Maison-Blanche, elles tiennent déjà un bon début.
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La doctrine évangélique, dont la terre d’élection reste l’Amérique, est aujourd’hui le courant religieux qui progresse le plus dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale. Au détriment de l’Eglise catholique, des Eglises protestantes historiques (baptistes, méthodistes) et même de l’islam. Les chiffres décrivant cet essor colossal donnent le tournis: de 4 millions en 1940 - sur un total de 560millions de chrétiens -, les évangéliques sont aujourd’hui 500 millions, néopentecôtistes et charismatiques confondus, sur 2 milliards de chrétiens, soit un sur quatre! On estime que 52000conversions se produisent par jour. Déjà, il existe 14000dénominations évangéliques, comprenant 1million d’églises qu’animent 1million de pasteurs à plein temps. Harvey Cox, professeur de théologie à Harvard et auteur du «Retour de Dieu. Voyage en pays pentecôtiste» (Desclée de Brouwer), prédit que le courant évangélique devrait toucher, à l’horizon 2050, un disciple du Christ sur deux et qu’il deviendra la religion dominante du xxiesiècle. Les Born Again Christians, quant à eux, s’appellent ainsi parce qu’ils doivent leur conversion, leur seconde naissance, non point à un baptême classique mais à un contact direct, à une rencontre «d’homme à homme, d’homme à Dieu» avec Jésus.

Jésus, George W. Bush l’a rencontré à l’âge de 40 ans, quand il buvait trop, beaucoup trop même, et que sa vie partait à vau-l’eau. Le révérend Billy Graham, le «pape évangélique», a servi d’ambassadeur au Christ et de traducteur au futur président. Celui-ci a cessé de boire et changé de vie. Renaître en Christ lui a donné des ailes et lui a assuré des alliés qui lui ont permis d’accéder au poste de gouverneur du Texas puis à la Maison-Blanche. De là il peut affirmer qu’il se fixe pour objectif de «promouvoir une vision biblique du monde».

Mal élu par les électeurs, George W. Bush n’en passe pas moins pour l’élu de Dieu aux yeux des évangéliques américains - dont il a réussi à capter les trois quarts des suffrages. Mi-janvier encore, le pasteur Pat Robertson, fondateur de la puissante Christian Coalition et ex-patron de la chaîne évangélique The Family Channel, annonce: «J’entends Dieu me dire que l’élection en 2004 sera une explosion.» Et que «George W. Bush gagnera facilement. Peu importe ce qu’il fait, bien ou mal, Dieu le soutient car c’est un homme pieux et Dieu le bénit». Auteur d’un manifeste au titre éloquent, «The New World Order», le révérend met en exergue la vocation messianique de l’Amérique en estimant qu’«il n’y aura jamais de paix mondiale avant que la maison de Dieu et le peuple de Dieu n’assument leur rôle de leadership à la tête du monde» (voir p. 22). Cette conviction tranquille, et souvent sincère, d’une «destinée manifeste» de l’Amérique entretient un véritable prurit prosélyte, un désir de convertir autrui. Ainsi le courant évangélique, qui englobe déjà 70millions d’Américains, soit un citoyen sur quatre, s’exporte aussi facilement que le fast-food, le Coca ou le rap, et s’enracine partout, de l’Amérique latine au Japon en passant par l’Afrique, l’Europe, la Russie, l’Inde, la Chine... Il s’enhardit même à investir avec force l’univers islamique, ultime zone de mission.

L’enjeu saute aux yeux: l’Amérique, berceau et terre d’élection de la doctrine évangélique, en serait donc La Mecque. Washington, à l’origine, n’est-elle pas la «ville illuminée sur la colline», la Nouvelle Jérusalem, la Sion du Nouveau Monde? La Maison-Blanche suit avec un grand intérêt l’expansion des Eglises évangéliques. Un bureau spécial, sorte d’observatoire officiel de la liberté des cultes à travers le monde, édite chaque année un annuaire de la «persécution» des religions, où voisinent parmi les oppresseurs l’Arabie Saoudite, la Russie, la Chine et la France, tous coupables de «sévir» contre des obédiences évangéliques.

Rien de tel en Amérique latine, continent où vit un catholique sur deux et où les Eglises évangéliques prolifèrent sur des terres interdites aux protestants jusqu’au milieu du xixesiècle. Le mouvement de néo-évangélisation commence vers 1970. C’est l’âge d’or de la théologie de la libération, ce courant catholique marxisant et opposant résolu, y compris par les armes, aux impérialistes yankees. Et pourtant, l’Amérique centrale se laisse gagner par les partisans de la «libération de la théologie» - c’est ainsi que se présente le courant évangélique. Le Guatemala élit ainsi Rios Montt à la tête de l’Etat. Pasteur de l’Eglise du Verbe de Dieu, ce président très croyant n’hésitera pourtant pas à décimer des milliers de paysans indiens.

Le pape Jean-Paul II, à peine élu, met à l’index la théologie de la libération et écarte peu à peu les évêques «rouges» au profit de prélats conservateurs. Mû par la volonté d’abattre le rideau de fer, le souverain pontife conclut un pacte avec le président - évangélique - Ronald Reagan, qui accepte en retour, courant 1984, d’établir enfin des relations diplomatiques avec le Saint-Siège. Les courants évangéliques en profitent pour essaimer d’un bout à l’autre du continent américain grâce au zèle missionnaire de milliers d’étudiants américains Born Again parlant, outre l’espagnol ou le portugais, le guarani, l’aymara, le tupi. «Il s’agit, annonce alors Ben Armstrong, le directeur exécutif des Télévisions religieuses nationales américaines, de conquérir un territoire bien défini pour le Christ: l’Amérique latine. La télévision est notre force aérienne, tous les convertis qui vont de maison en maison forment notre infanterie.» Et il émet le voeu de «voir tout le monde uni par le satellite, comme l’annonce l’Apocalypse XIV, 6». Plus d’un prélat latino croit y déceler l’oeuvre de la CIA.

Ainsi aura-t-il suffi d’un quart de siècle de mission évangélique pour que l’Amérique latine, pourtant colonisée au nom de la Contre-Réforme, se laisse détourner de l’Eglise catholique. Déjà un Chilien sur quatre est un Born Again. Quant au Brésil, il n’est plus seulement la plus grande nation catholique, il est devenu également le deuxième pays évangélique, juste après les Etats-Unis (voir p. 26). A tel point que, lors du dernier scrutin électoral, même le très papiste Lula da Silva a dû solliciter les suffrages des groupes néopentecôtistes. Y compris ceux de l’Eglise universelle du Règne de Dieu ou l’Universal, dont le fondateur, Edir Macedo, un ancien employé de la Loterie nationale, fait l’objet de procès pour corruption et fraude fiscale. Le Sénat brésilien compte aujourd’hui 60 députés - sur 512 - issus d’Eglises évangéliques!
Et désormais le Brésil, avec 30 millions de convertis, «rivalise» avec les Etats-Unis pour diffuser la «bonne nouvelle» évangélique. Surtout en Afrique ex-portugaise - Angola, Cap-Vert, Guinée-Bissau, Mozambique -, où l’Universal recrute à tour de bras. Au Congo, en Afrique du Sud, au Bénin, au Burkina, les sectes néopentecôtistes dament le pion à leurs homologues islamistes. Elles en viennent de plus en plus aux mains (armées, le plus souvent!), causant des centaines de morts, comme au nord du Nigeria. En Côte d’Ivoire, une garde rapprochée d’évangéliques conseille et soutient le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo.
Le Maghreb n’échappe pas non plus au zèle évangélique. Environ 150missionnaires «travaillent» au Maroc, selon un responsable de l’archevêché catholique de Rabat. En Algérie, le mouvement est encore plus visible: des Eglises néoprotestantes ont déjà pignon sur rue. Des pasteurs étrangers, français, égyptiens ou jordaniens se rendent souvent en visite pastorale, surtout en Grande Kabylie. Au grand dam de la presse locale, qui s’étonne non seulement d’une telle liberté de mouvement mais aussi de l’impunité dont jouissent les convertis auprès des islamistes, aux yeux de qui ils sont pourtant des apostats passibles, selon la charia, de la peine de mort.

Faut-il expliquer cette étonnante indulgence de la part de l’Etat et des barbus par la protection qu’apporte Washington aux Eglises évangéliques? Quoi qu’il en soit, la Maison de l’Islam - désignation classique du monde islamique - fait l’objet d’une véritable stratégie de conquête des âmes. Ainsi l’Université internationale Columbia, en Caroline du Sud, forme-t-elle des missionnaires de choc. Leur objectif? «Liquider l’islam», si l’on en croit l’imposant dossier que leur consacre, mi-2002, le mensuel américain «Mother Jones». 3000 Born Again relevant de la Convention des Baptistes du Sud - l’unique Eglise à avoir béni l’invasion de l’Irak, contraignant l’ex-président Jimmy Carter à la quitter - s’apprêtent à partir évangéliser des musulmans chez eux, et assument de bonne grâce le risque d’y mourir en martyrs. En Irak, la Convention entretient une ONG évangélique, la Samaritan’s Purse, que parraine le pasteur Franklin Graham, fils du célèbre Billy Graham. Elle y diffuse, entre autres, une Bible dont la couverture imite l’uniforme des GI : un lot de 50000 exemplaires aurait déjà trouvé preneur.

De quoi conforter la croyance de George W. Bush en la vocation messianique de l’Amérique. Lorsqu’il clame, au lendemain du 11septembre, que «l’Amérique doit diriger le monde» , il ne réagit pas par orgueil écorné, il réaffirme le credo essentiel du catéchisme national américain: celui de la «destinée manifeste». Un concept dont un sénateur de l’Indiana, Albert Beveridge, résumait déjà l’esprit conquérant lorsqu’il déclarait fin 1898 - l’année où Washington boute manu militari la très catholique Espagne hors de Cuba et des Philippines: «Dieu a fait des Américains les maîtres organisateurs du monde afin d’instituer l’ordre là où règne le chaos.»

Le chaos. C’est ce que prévoit Philip Jenkins, auteur d’un ouvrage impertinent sur le phénomène évangélique, «la Prochaine Chrétienté» («The Next Christendom»). Prenant acte du basculement du centre de gravité de la chrétienté de l’Occident au tiers-monde, du Nord développé et libéral vers le Sud pauvre et conservateur, il craint une cassure radicale entre chrétiens postmodernes et néochrétiens ayant renoué, croyances folkloriques aidant, avec l’Eglise du Moyen Age. Pis encore, ces néochrétiens, en proie à la misère, aux passions nationalistes, tribales et messianiques, et qui vivent au milieu de catholiques, d’hindouistes ou de musulmans - au Pérou, au Mexique, en Inde, en Indonésie, au Nigeria, au Soudan, aux Philippines -, ne manqueront pas d’entrer tôt ou tard en guerre totale contre leurs voisins. L’Occident n’y échappera pas non plus, conclut le chercheur, car il incarnera la nouvelle Babylone, la «prostituée» dont l’Apocalypse de saint Jean considère la destruction comme la condition sine qua non du retour de Jésus-Christ, le Messie attendu.


(1) «Evangéliques» et non évangélistes, comme Matthieu, Marc, Luc et Jean, les quatre disciples du Christ qui ont écrit les Evangiles.


Slimane Zeghidour, Le Nouvel Observateur,Semaine du jeudi 26 février 2004 - n°2051 - Dossier, http://www.nouvelobs.com/dossiers/p2051/a233849.html





Glossaire



Evangélique. Terme générique désignant une floraison d’obédiences néoprotestantes se réclamant d’un courant «revivaliste» - volonté de «réveiller» des chrétiens assoupis - apparu il y a un siècle au sein du protestantisme anglo-américain.

Armageddon (de l’hébreu Har Megiddo, le «mont de Megiddo» en français). Le livre de l’Apocalypse de saint Jean ainsi que la tradition islamique y situent le combat eschatologique, l’ultime confrontation des forces du Bien contre les légions du Mal, prélude à la conversion des juifs et à l’instauration du millenium.

Millenium. Croyance fortement valorisée par les évangéliques selon laquelle le règne de mille ans du Christ glorieux et ressuscité se réalisera sur terre, de manière visible.

Pentecôtisme. Courant néoprotestant né au début du xxe siècle aux Etats-Unis. Au nom d’un retour aux sources de la Bible, il met l’accent sur le don divin miraculeux - la «rencontre» avec Jésus-Christ -, la guérison par la prière, l’engagement volontaire du croyant. Il donnera naissance, au milieu du siècle, au courant charismatique.

Charismatique. Empruntant au courant pentecôtiste la croyance aux dons miraculeux, il se caractérise par de vibrantes réunions de prière avec des orchestres, y compris de rock ou de rap «évangélique», des pleurs, des transes, des exorcismes publics, des impositions des mains, des guérisons miraculeuses, un grand dévouement aux autres, une disponibilité constante au service de l’Eglise. Un courant charismatique catholique se développe, avec l’aval de Rome, qui y voit un moyen efficace d’endiguer la marée évangélique.

Slimane Zeghidour, Le Nouvel Observateur, Semaine du jeudi 26 février 2004 - n°2051



IIuowolus

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Ecrit le 10 janv.05, 20:12

Message par IIuowolus »

la société et le reflet de notre mentale disait nietzche
et je ne pense pas qu'il faillent prendre nos désirent caché
pour des éventualités qui n'arriveront pas.

Ma viends du présumérien qui veux dirent "pur".
OG viends du présumérien qui veux dirent "fils de"
G symbolise l'oeil de Ra
ainsi la traduction exacte est.

Magog "pur fils de dieu"
GOG "fils de dieu"

souvent magog et gog on était associer à la partie par de là des montagne au nords du bassin présumerien.

A l'époque il y habitait les scythe qui sont adpete de culte qui resemble étrangement à ceux de la chrétienneté et plus particulièrement à l'origine de l'orthodoxie actuelle.


Maintenant on pourrais aussi voire se problème d'un aspect athée et scientifique par l'antrophologie ou l'histoire et découvrir que tout les mille-an l'homme veux aller prendre jérusalem, c'est plus qu'un simple envie c'est un obscession qui déclenche des schémas collectives qui se repettent tout les milles ans.

le conflit israelo-palestinien, les croisées, la venue de jésus.
au totu début c'est de l'histoire à l'époque d'abraham c'est UR
qui piller les villes de la vallé de la mer mort et détruite par un explosion
de un type spéciale "voir l'histoire de lot" tout la vallée créant la mer morte.

Ensuite c'est les égyptien qui annexe israel est ce le font reprendre par moise, Jésus arrrive et c'est rome qui annéantis Israel et la pousse à l'exode jusqu'en 1947, ensuite en l'an mille c'est les croisée le premier pacte entre pays europeen pour récupére jérusalem entre le mains des arabes et en l'an 2000 le reste de Jérusalem est et annexer de force par la pose du mur et denouveau de prés ou de long c'est toujours la grands puissance du moment qui y est pour quelques choses.

Alors même si la plus part des gens sur terre se disent athée ou des confession tellement diverse qu'on est loin d'établir un relation entre les espoir spirituelle de chacun et la realité,il ne faut pas oublier que c'est l'esprit qui dirent le corps, mais qu'on ne sais pas ce qui dirige l'esprit.

aussi la sagesse veux qu'on prennends l'histoire comme référence et pas nos idées car on sais que l'homme n'est pas infaillible et plutot centrer sur ses centres d'intérêts et ses reveries plutot que la réalité et l'acceptation de celle-ci.

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