Alors, la question se posait bien. Que pouvais-je bien avoir? Écoeurée, je m'écriai à la docteresse de me faire passer toute les teste de sangs auxquels elle pouvait songé! Ce qu'elle fit immidiatement, parce qu'elle aussi en était écoeuré de me voir dans son cabinet.
Peu de temps après cette dernière série de prélèvements sanguins, ma docteur me téléphona. Et ce, juste quatres jours plutard! Elle m'avisa d'une voix de plus sérieuses, que l'on avait détecté la présence d'épathite "C" dans un de mes prélèvements. ET elle m'informa que c'était fort probable que mon chum l'avait déjè poigné de moi maintenant. Elle voulait qu'il aille se faire tester à son tour. Je vous dits, qu'une nouvelle frappe fort, mais dans mon cas, au moin maintenant je savais pourquoi j'étais si faible que ça. Mais la partie la plus terrible face à avoir cette maladie là était le fait meme, de la possiblilité d'avoir contaminer la personne que j'aimais le plus au monde. Car ça se peut meme, qu'il est la seule personne que j'ai aimé au monde, à part mes bébés.
Cela m'acharna beaucoup. Comment donc, lui annoncé cette mauvaise nouvelle. D'une part j'avais terriblement honte de moi-meme, je me sentais "salle". De l'autre, je craignais qu'il me batterais, ou quelque chose comme çà. C'est pas croyable ce qui nous passe par la tete dans une circonstance comme celle-là. J'ai meme penser de ne pas lui dire et faire comme si toute était correcte. De juste le quitter en lui disant que je ne l'aimait pas! Je me sentais lache...
Le meme soir que la docteur m'avait téléphoné, nous étions assis dans le camion attendant qu'une réunion commence. Nous étions arrivés un peu trop top pour y rentrer tout de suite. Et le fait qu'il y avait plusieurs autres hommes dehors dans le 'parking' entrain de fumer leur cigarettes, m'encouragea de lui dire. Rassemblant tout me forces intérieures, je lui ai quaisiment toute craché. Quoiqu'un peu saisie de par le genre de nouvelle, il demeura solide et ferme. Me posa quelques questions d'éclaissisements et me dit qu'il était avec moi à vie! Nous étions ensembles.
Comme nous étions des Chrétiens, nous croyons dans le pouvoir de la prière et aux guérisons. Dumoins, je le pensais bien que j'avais la cette croyance et la foi, moi. Mais là, a ce moment précis de ma ma vie, me ressentant attristée et misérable face à ce nouveau fléau du siécle précédent, je vous avouerai personnellement ici que n'y croyais plus pour moi-meme. Très certainement pour les autres, mais pas en ce qui me concernait personnellement. C'etait quelque chose, selon moi, qui était pour les autres par ce que je savais, selon mes croyances, que Dieu pouvait les guérir. Mais, je ne croyais pas que Dieu m'aimait assez pour m'en guérir, moi.
Mais pas mon Chum lui! Lui il avait une plus grande foi que moi. Ce fut donc à partir de ce soir là meme, qu'à tout les soirs lorque nous nous couchions, que le gars qui se promène partout en disant "que Jésus te bénisse" à tout le monde", priait pour moi. Il demandait que Jésus fasse sortir de moi ce vérus provenant du malin. Je pouvais pourtant bien lui affirmé que les miracles n'étaient pas pour moi, et que je n'y croyais pas -- MOI! Mais, il avait la foi lui, quand meme, mon chum le "Chrétien"
.J'appris par une intervenante qui travaillait dans une soupe populaire locale qu'il y avait un groupe d'entraide venant en aide aux personnes au prise avec le vérus de l'hépatite "C". Et cette meme semaine là, j'assistai à ma première réunion. Depuis cette première réunion, à laquelle je participais fidèlement à tous les mardi soirs, je me sentais, à chaque fois lorsque je débarquais de notre camion, comme si je creusais ma propre tombe! Meme si, le groupe me donnais beaucoup d'informations et de support précieux, ce que j'apprécia énormément, ça me déprimait d'aller là. Mais j'y allais quand-meme! Il fallait bien, hein! Les membres du groupe, eux-memes, je les connaissaient déjà tous d'ailleurs le groupe d'entraide. C'était tous des gars bein correctes eux!
Au groupe, j'appris d'eux qu'il y avait la possibilité de prendre une cure d'interféron et des testes divers pour me faire soigner. (Ici, ne vous fier surtout pas à moi comme source principale éducative ou bien encore d'informations parce que j'étais encore trop bouleverser à cette époque là de ma vie pou etre utile à qui que ça soit en matière de connaissances sur la maladie de l'Hépatite "C".) En plus, qu'il y avait aussi d'autres testes de sangs que le docteur ne me dirait jamais d'aller prendre parce qu'ils sont trop dispendieux, et meme s'ils sont gratuits quand meme au Québec. Et que la Province paie pourtant pour! Ils (mes bons amis du groupe d'entraide) me recommendèrent fortement d'aller les prendre, et me donna le nom du teste pour pouvoir le demander à mon docteur du C.L.S.C. De plus, ma docteur d'elle-meme voulait bien prendre soin de moi. Alors elle m'envoya prendre, et ce le plus tot possible, mon premier echogramme de mon foi.
Je m'avait dans quelques peu de temps batit tout un réseau autour de moi afin d'avoir du support. J'en avais éprouvé le besoin, D'une part, mon chum lui, persistait avec ses prières remplies de foi Chrétienne, les membres de mon petit groupe d'entraide recherchaient de bien me renseigner pour que je sache comment bien prendre soin de moi et comment bien prendre charge de ma nouvelle et terrifiante maladie. Mais je dois vous avoué, que je leurs en donna de la misère. J'avais moi aussi, lu l'informations qu'il me donnaient. Eux ils persistaient à dire que ce virus ne se transmettait pas par voix sexuelles, et moi c'est ce que je craignait le plus. À un tel point que j'en devint, frigide! Je vous l'avouerai. J'avais aussi une intervenant du BRAS local, qui elle aussi, était une membre de notre petit groupe. De plus, j'attendais éventuellement d'etre référer à un spécialiste.
Enfin, le jour arriva ou je suis alllé faire faire mon premier échogram de mo foi. L'attente dans la petite salle me fut comme infernale. J'étais fort expectative, et je n'arretais pas de jongler et de m'en inquiter du terrible résultat qui m'attendait. Je ne pourrais ici que comparé celà à une autre expérience que j'ai vécu au travers quand j'étais beaucoup plus jeune, lorsque j'étais encore dans ma vingtaine. Lorsque j'étais enceinte, et j'avais une émoragie. L'attente pour savoir si mon "fétus" etait encore en vie me fut des plus anxiogène. Enfin, je rentra dans la petite salle ou sont l'appareil pour l'écho et je m'étenda. L'on pris l'Écho et le spécialiste rentra à son tour et le repris. Après ce qui me sembla comme un très long moment, le spécialiste, tout en regardant l'écran m'annonca ce qui suit: ton foi ést "très beau"!. Ce qui me permit de respirer un peu!
Ça frapper comme à retardement, une fois rendu chez-moi. "Le pire est encore à venir!" pensais-je à moi-meme.
Et c'est là que mon chum, me suggéra lui, d'en plus de me fier au monde médical et des membres de mon groupe d'entre-aide, et ai bon monde au BRAS, ainsi qu'au C.L.S.C., que je devrais aussi me fier plus à Dieu...
Il y avait un homme qu'il connaissait, lui, depuis assez longtemps maintenant et qui assistait à des déjeuners conférence auxquels mon chum allaient lui-aussi. J'avais déjà été à ces déjeuners avec mon chum à quelques reprises, et j'avais bien aimé ça. Le Saint-Esprit était présent là. Mon chum me dit que cet homme en particulier, avec sa femme, avaient ensemble un ministère de "guérison". Il me dit de lui téléphoner.
Et je vous l'admettrai drès là. Oui, j'ai téléphoné à cet homme dans le but d'obtenir une guérison "miraculeuse". Pour des raisons fortement égoistes seulement, pas parce que j'avais plus de foi que ça dans ces choses là!. Du moins, en ce qui avait trait à moi personnellement. Et les raisons égoistes que j'avais, étaient que j'avais peur de la souffrance et de la mort meme...
J'expliquai au gentil vieux monsieur à l'autre bout du fils, que j'appelais surtout parce que mon Chum avait la foi, lui. Ce monsieur, fort gentil, ne m'a jamais juger, ne m'a pas réprimandé, ni sermoné. Savez-vous ce qu'il a fait. Il a fait avec moi la petite prière pour donner sa vie à Dieu! Et ma dit quoi dire à tous les matins quand je me lèverai: de demander à tous les matins que Dieu fasse sortir ce mauvais virus de mon corps. Il ne m'a jamais demander de l'argent comme rénumération. Il m'a seulement demandé de bien vouloir lui donner un numéro de téléphone de quelqu'un d'autre que je conaissait pour qu'il puisse l'appeler et lui offir une guérison à cette tierce personne là. Et je vous le dit ici, que ça c'est ce qui me pris à l'improvice. D'offire une telle bénédiction à quelqu'un d'autre que moi-meme. Je vous l'ai bien avoué, je suis une égoiste, moi. J'ai tout de suite penser à mon vieux père qui est agé de plus de quarante ans mon sénior. Et ce monsieur là lui a téléphoné. Mon père m'appela aussitot après lui avoir parlé, et m'en remercia. Celà lui avait touché le coeur pourtant, mais il avait tout de meme une petite crainte que saura pu etre un charletant. Je le rassura que c'était un Homme d'Affaire du Plein Évangile. Ce qui rassura immidéatement mon père, puisqu'il les avaient connu au monastère ou il allait pour les Cursillo.
Quelques mois plutard, je pris ce fameux test sang dispendieux pour pouvoir compter le taux d'HÉpatites dans mon sang. Il m'est revenu "NÉGATIF"!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La docteur du C.L.S.C. me rassura que je n'avais plus d'HÉpatite "C" dans mon sang!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
De plus, mon vieux père, qui attendait sa mort venir à cause d'un cancer de la prostrate qu'il avait eu à cette époque là, c'est depuis remarier avec une jeune cocotte de 57 ans! Lui qui est agé de 86 ans. VIVRE LE VIAGRA!!!! Sérieusement, sa prière téléphonique avec les gentil monsieur des Hommes d'Affaire du Plein Évangile marcha bien pour lui aussi!
Merci mon Dieu. Alléluia. Et Amen Jésus Dieu!
J'ai eu un belle idée! Lançons tous beaucoup d'amour et de belles bénédictions. Surtout à ceux d'entre-nous qui sont dans la souffrance, soit physiqu, morale, ou spirituelle.