[Catholique] Jean Paul II et la commission trilatérale
[Catholique] Jean Paul II et la commission trilatérale
Ecrit le 16 janv.05, 14:55Bonjour,
Pourquoi en 1984, Jean Paul II a-t-il invité les 200 membres de la commission trilatérale ?
La commission trilatérale, qu'est-ce que c'est ?
Dirigeants des multinationales, gouvernants des pays riches et partisans du libéralisme économique ont vite compris qu’ils devaient se concerter s’ils voulaient imposer leur vision du monde. Dès juillet 1973, dans un monde alors bipolaire, David Rockefeller lance la Commission trilatérale, qui va marquer le point de départ de la guerre idéologique moderne. Moins médiatisée que le forum de Davos, elle demeure très active, au travers d’un réseau d’influences aux multiples ramifications.
Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. Cénacle de l’élite politique et économique internationale, ce club très fermé et toujours actif de hauts dirigeants a suscité nombre de controverses, surtout à ses débuts (1 ). La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache à développer des propositions pratiques pour une action conjointe. Les membres de la Commission regroupent plus de 200 distingués citoyens provenant des trois régions et engagés dans différents domaines (2 ). »
La création de cette organisation opaque, où se côtoient à huis clos et à l’abri de toute compromission médiatique des dirigeants de multinationales, des banquiers, des hommes politiques, des experts de la politique internationale, ou encore des universitaires, coïncide à ce moment avec une période d’incertitude et de turbulence dans la politique mondiale. La gouvernance de l’économie internationale semble échapper aux élites des pays riches, les forces de gauche paraissent de plus en plus actives, en particulier en Europe, et l’interconnexion croissante des enjeux économiques appelle une coopération plus étroite entre les grandes puissances. La Trilatérale va rapidement s’imposer comme un des principaux instruments de cette concertation, soucieuse à la fois de protéger les intérêts des multinationales et d’« éclairer » par ses analyses les décisions des dirigeants politiques (3 ).
A l’image des rois philosophes de la cité platonicienne contemplant le monde des idées pour insuffler leur sagesse transcendante dans la gestion des affaires terrestres, l’élite rassemblée au sein de cette institution fort peu démocratique et que la démocratie inquiète dès lors que des groupes autrefois silencieux s’en mêlent va s’employer à définir les critères d’une « bonne gouvernance » internationale. Elle véhicule un idéal platonicien d’ordre et de supervision, assuré par une classe privilégiée de technocrates qui place son expertise et son expérience au-dessus des revendications profanes des simples citoyens : « Un lieu protégé, la Cité trilatérale, où la technè est loi, commente Gilbert Larochelle. Et, postées en surplomb, des sentinelles veillent, surveillent. Le recours à l’expertise ne relève point d’un luxe, il offre la possibilité de mettre la société face à elle-même. Le mieux-être ne vient que par les meilleurs qui, en leur hauteur inspirée, produisent des critères pour les relayer vers le bas (4 ). »
Les thèmes débattus au sein de cette oligarchie de la politique internationale, dont les réunions annuelles se déroulent en différentes villes de la Triade, le sont dans une discrétion qu’aucun média ne semble plus vouloir troubler. Chaque sujet fait l’objet de rapports annuels (The Trialogue) et de travaux thématiques (Triangle Papers) réalisés par des équipes d’experts américains, européens et japonais triés sur le volet. Edités régulièrement depuis une trentaine d’années, ces documents publics traduisent l’attention de la Trilatérale à des problèmes globaux censés transcender les souverainetés nationales et appeler l’intervention des pays riches : réforme des institutions internationales, mondialisation des marchés, environnement, finance internationale, libéralisation des économies, régionalisation des échanges, rapports Est-Ouest (surtout au début), endettement des pays pauvres, etc.
Ces interventions s’articulent autour de quelques idées fondatrices qui ont été largement relayées par le politique. La première est la nécessité d’un « nouvel ordre international ». Le cadre national serait trop étroit pour traiter des grands enjeux mondiaux dont la « complexité » et l’« interdépendance » sont sans cesse réaffirmées. Une telle analyse justifie et légitime les activités de la Commission, à la fois observatoire privilégié et contremaître de cette nouvelle architecture internationale.
Les attentats du 11 septembre 2001 ont fourni une nouvelle occasion de rappeler, lors de la rencontre de Washington en avril 2002, la nécessité d’un « ordre international » et d’« une réponse globale » auxquels les principaux dirigeants de la planète sont enjoints de collaborer sous la houlette américaine. Lors de cette réunion annuelle de la Trilatérale, MM. Colin Powell (secrétaire d’Etat américain), Donald Rumsfeld (secrétaire à la défense), Richard Cheney (vice-président) et Alan Greenspan (président de la Réserve fédérale) étaient présents (5 ).
La seconde idée fondatrice, qui découle de la première, est le rôle tutélaire des pays de la triade, en particulier des Etats-Unis, dans la réforme du système international. Les pays riches sont invités à s’exprimer d’une seule voix et à unir leurs efforts dans une mission destinée à promouvoir la « stabilité » de la planète grâce à la généralisation du modèle économique dominant. Les démocraties libérales sont le « centre vital » de l’économie, de la finance et de la technologie. Ce centre, les autres pays devront l’intégrer en acceptant le commandement qu’il s’est donné. L’unilatéralisme américain paraît cependant avoir mis à épreuve la cohésion des pays de la triade. Leurs dissensions s’expriment dans les débats de la Commission. Ainsi, dans son discours du 6 avril 2002, lors de la réunion évoquée plus haut, M. Colin Powell a défendu la position américaine sur les principaux points de discorde avec le reste du monde : refus de signer les accords de Kyoto, opposition à la création d’une cour pénale internationale, analyse de « l’axe du Mal », intervention américaine en Irak, appui à la politique israélienne, etc.
L’hégémonie des démocraties libérales conforte la foi dans les vertus de la mondialisation et de la libéralisation des économies qui s’exprime dans le discours de la trilatérale. La mondialisation financière et le développement des échanges internationaux seraient au service du progrès et de l’amélioration des conditions de vie du plus grand nombre. Or elles supposent la remise en cause des souverainetés nationales et la suppression des mesures protectionnistes. Ce credo néolibéral est souvent au centre des débats.
Lors de la rencontre annuelle d’avril 2003, à Séoul, il a été notamment question de l’intégration économique des pays d’Asie du Sud-Est et de la participation de la Chine à la dynamique de mondialisation. Les réunions des deux années précédentes avaient été l’occasion pour le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Mike Moore, de professer dévotement les vertus du libre-échange. Après avoir vilipendé le mouvement antimondialisation, M. Moore avait même déclaré qu’il était « impératif de rappeler encore et toujours les preuves accablantes qui démontrent que le commerce international renforce la croissance économique ».
La tirade du directeur de l’OMC contre les groupes réclamant une autre mondialisation qualifiés de « e-hippies » souligne la troisième caractéristique fondatrice de la Trilatérale : son aversion pour les mouvements populaires. Elle s’était exprimée dans le célèbre rapport de la Commission sur la gouvernance des démocraties rédigé par Michel Crozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki (7 ). Dès 1975, ce texte dénonçait les « excès de la démocratie » qu’exprimaient aux yeux des auteurs les manifestations contestataires de l’époque. Celles qui, un peu comme aujourd’hui, mettaient en cause la politique étrangère des Etats-Unis (rôle de la CIA dans le putsch chilien, guerre du Vietnam, etc.) et réclamaient la reconnaissance de nouveaux droits sociaux. Ce rapport provoqua à l’époque nombre de commentaires indignés, qui dirigèrent leurs feux contre l’administration démocrate du président James Carter, qui fut membre de la Trilatérale (comme, plus tard, le président Clinton) .
Depuis le début des années 1980, l’attention de la presse pour ce genre d’institution semble s’être plutôt portée sur des rencontres moins fermées et surtout plus médiatisées, comme le forum de Davos. L’importance des enjeux débattus au sein de la Trilatérale et le niveau de ceux qui ont participé à ses réunions ces dernières années soulignent néanmoins son influence persistante (9 ).
Loin d’être un « vieux serpent de mer » qui referait surface au ravissement de quelques adeptes d’ésotérisme et de « théorie du complot », la Commission trilatérale est une institution bien établie, dont la discrétion facilite la collusion entre responsables politiques et grandes entreprises. « J’espère bien que les points de vue qui sont formulés par ces gens d’expérience ont une influence réelle sur la politique internationale ! », nous a répliqué un ancien ministre canadien qui a participé à plusieurs des travaux de la Commission trilatérale. Il faisait ainsi écho aux propos du fondateur, M. David Rockefeller : « Quelquefois, les idées mises en avant par les rapports de la Commission trilatérale sont devenues des politiques officielles. Ses recommandations ont toujours été sérieusement débattues à l’extérieur de notre cercle, et elles ont joué un rôle dans les réflexions des gouvernements et dans la formulation de leurs décisions (10 ). »
Ainsi se dessine la trame d’un pouvoir diffus, opaque, presque insaisissable, qui tisse ses liens à travers des clubs fermés et des rencontres internationales dont le forum de Davos représente l’expression la plus ostentatoire. Dans ces lieux de rencontres, d’échanges, de tractations gravitent les mêmes protagonistes, s’élaborent les analyses et les compromis qui précèdent souvent les grandes décisions. La Commission trilatérale est une des pièces de cet échiquier polymorphe. Elle consolide l’alliance entre le pouvoir des multinationales, de la finance et de la politique, grâce à un réseau d’influences dont les ramifications s’étendent aux principaux secteurs de la société.
OLIVIER BOIRAL
(Le Monde Diplomatique) ajouté le 3-2-2004
Vous pouvez prendre gratuitement toutes nos infos pour vos sites, émissions de radio, lettres de nouvelles, bulletins d'églises, sites web... Vous devrez mentionner: Trouvé sur http://voxdei2.free.fr/infos Point Final - Informations chrétiennes et eschatologiques au quotidien.
Regroupement de perssonne avec leur théories en ce qui regarde le développement du <<NOUVEL ORDRE MONDIAL>>
Parmi les membres de la commission trilatérale nous trouvons des franc maçons du Rite Ecossais Rectifié dont le 33 è et plus haut degré est appelé Illuminati, mais les francs maçons et donc illuminatis ne sont que des membres comme les autres de cette commission trilatérale. Toutefois en 1984, Jean Paul levait l'excommunion de tous les francs maçons...
A presque tous les niveaux élevés du monde des affaires et du gouvernement, partout dans le monde, des homme et des fammes se sont infiltrés, sont devenus les administrateur en contrôle et travaillent à manipuler effectivement chaque aspect de la vie du <<citoyen du monde>>
Cependent Un des aspects de cette infiltration qui n'a été adéquatement fouillé, c'est la filière <<religieuse>>. Assurément, vu que la plus grosse portion du monde est religieuse, et dans le courant de la super-puissante nation régnante des États-Unis, à prédominance <<chrétienne>> il serait tout à fait sensé de croire que ces organisation aient infiltré l'Église elle-même et la conduisent activement vers le NOUVEL ORDRE MONDIAL.
Or nous observons que l'Eglise catholique romaine affirme d'une part que l'ONU (instrument de mondialisation et de Nouvel Ordre Mondial) est l'unique voie de paix... Nous observons aussi que depuis que un président américain a pour la première fois proclamée le 11/09/1990 l'entrée dans une nouvelle ère, celle du Nouvel Ordre Mondial, débutant par la première guerre du Golfe... alors depuis les années 90 l'église catholique romaine développe soudainement un immense effort pour construire une religion oecuménique mondiale... Le Nouvel Ordre Mondial est pourtant soupçonné d'être l'objectif premier des francs maçons. Sous la pyramide au haut détaché formant un triangle avec l'oeil d'horus dedans sous laquelle sur les billets de 1 $ est écrit "Novus Ordo Seclorum"... A la base de cette pyramide est écrit en chiffre romain "1776" année de l'indépendance américaine signée par 9 francs maçons sur la 50 aine de signataires.
On se rapellera aussi le scandale de 1976 Vatican / Propaganda Due la loge franc maçonnique la plus puissante d'Italie dit P2.
Pourquoi en 1984, Jean Paul II a-t-il invité les 200 membres de la commission trilatérale ?
La commission trilatérale, qu'est-ce que c'est ?
Dirigeants des multinationales, gouvernants des pays riches et partisans du libéralisme économique ont vite compris qu’ils devaient se concerter s’ils voulaient imposer leur vision du monde. Dès juillet 1973, dans un monde alors bipolaire, David Rockefeller lance la Commission trilatérale, qui va marquer le point de départ de la guerre idéologique moderne. Moins médiatisée que le forum de Davos, elle demeure très active, au travers d’un réseau d’influences aux multiples ramifications.
Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. Cénacle de l’élite politique et économique internationale, ce club très fermé et toujours actif de hauts dirigeants a suscité nombre de controverses, surtout à ses débuts (1 ). La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache à développer des propositions pratiques pour une action conjointe. Les membres de la Commission regroupent plus de 200 distingués citoyens provenant des trois régions et engagés dans différents domaines (2 ). »
La création de cette organisation opaque, où se côtoient à huis clos et à l’abri de toute compromission médiatique des dirigeants de multinationales, des banquiers, des hommes politiques, des experts de la politique internationale, ou encore des universitaires, coïncide à ce moment avec une période d’incertitude et de turbulence dans la politique mondiale. La gouvernance de l’économie internationale semble échapper aux élites des pays riches, les forces de gauche paraissent de plus en plus actives, en particulier en Europe, et l’interconnexion croissante des enjeux économiques appelle une coopération plus étroite entre les grandes puissances. La Trilatérale va rapidement s’imposer comme un des principaux instruments de cette concertation, soucieuse à la fois de protéger les intérêts des multinationales et d’« éclairer » par ses analyses les décisions des dirigeants politiques (3 ).
A l’image des rois philosophes de la cité platonicienne contemplant le monde des idées pour insuffler leur sagesse transcendante dans la gestion des affaires terrestres, l’élite rassemblée au sein de cette institution fort peu démocratique et que la démocratie inquiète dès lors que des groupes autrefois silencieux s’en mêlent va s’employer à définir les critères d’une « bonne gouvernance » internationale. Elle véhicule un idéal platonicien d’ordre et de supervision, assuré par une classe privilégiée de technocrates qui place son expertise et son expérience au-dessus des revendications profanes des simples citoyens : « Un lieu protégé, la Cité trilatérale, où la technè est loi, commente Gilbert Larochelle. Et, postées en surplomb, des sentinelles veillent, surveillent. Le recours à l’expertise ne relève point d’un luxe, il offre la possibilité de mettre la société face à elle-même. Le mieux-être ne vient que par les meilleurs qui, en leur hauteur inspirée, produisent des critères pour les relayer vers le bas (4 ). »
Les thèmes débattus au sein de cette oligarchie de la politique internationale, dont les réunions annuelles se déroulent en différentes villes de la Triade, le sont dans une discrétion qu’aucun média ne semble plus vouloir troubler. Chaque sujet fait l’objet de rapports annuels (The Trialogue) et de travaux thématiques (Triangle Papers) réalisés par des équipes d’experts américains, européens et japonais triés sur le volet. Edités régulièrement depuis une trentaine d’années, ces documents publics traduisent l’attention de la Trilatérale à des problèmes globaux censés transcender les souverainetés nationales et appeler l’intervention des pays riches : réforme des institutions internationales, mondialisation des marchés, environnement, finance internationale, libéralisation des économies, régionalisation des échanges, rapports Est-Ouest (surtout au début), endettement des pays pauvres, etc.
Ces interventions s’articulent autour de quelques idées fondatrices qui ont été largement relayées par le politique. La première est la nécessité d’un « nouvel ordre international ». Le cadre national serait trop étroit pour traiter des grands enjeux mondiaux dont la « complexité » et l’« interdépendance » sont sans cesse réaffirmées. Une telle analyse justifie et légitime les activités de la Commission, à la fois observatoire privilégié et contremaître de cette nouvelle architecture internationale.
Les attentats du 11 septembre 2001 ont fourni une nouvelle occasion de rappeler, lors de la rencontre de Washington en avril 2002, la nécessité d’un « ordre international » et d’« une réponse globale » auxquels les principaux dirigeants de la planète sont enjoints de collaborer sous la houlette américaine. Lors de cette réunion annuelle de la Trilatérale, MM. Colin Powell (secrétaire d’Etat américain), Donald Rumsfeld (secrétaire à la défense), Richard Cheney (vice-président) et Alan Greenspan (président de la Réserve fédérale) étaient présents (5 ).
La seconde idée fondatrice, qui découle de la première, est le rôle tutélaire des pays de la triade, en particulier des Etats-Unis, dans la réforme du système international. Les pays riches sont invités à s’exprimer d’une seule voix et à unir leurs efforts dans une mission destinée à promouvoir la « stabilité » de la planète grâce à la généralisation du modèle économique dominant. Les démocraties libérales sont le « centre vital » de l’économie, de la finance et de la technologie. Ce centre, les autres pays devront l’intégrer en acceptant le commandement qu’il s’est donné. L’unilatéralisme américain paraît cependant avoir mis à épreuve la cohésion des pays de la triade. Leurs dissensions s’expriment dans les débats de la Commission. Ainsi, dans son discours du 6 avril 2002, lors de la réunion évoquée plus haut, M. Colin Powell a défendu la position américaine sur les principaux points de discorde avec le reste du monde : refus de signer les accords de Kyoto, opposition à la création d’une cour pénale internationale, analyse de « l’axe du Mal », intervention américaine en Irak, appui à la politique israélienne, etc.
L’hégémonie des démocraties libérales conforte la foi dans les vertus de la mondialisation et de la libéralisation des économies qui s’exprime dans le discours de la trilatérale. La mondialisation financière et le développement des échanges internationaux seraient au service du progrès et de l’amélioration des conditions de vie du plus grand nombre. Or elles supposent la remise en cause des souverainetés nationales et la suppression des mesures protectionnistes. Ce credo néolibéral est souvent au centre des débats.
Lors de la rencontre annuelle d’avril 2003, à Séoul, il a été notamment question de l’intégration économique des pays d’Asie du Sud-Est et de la participation de la Chine à la dynamique de mondialisation. Les réunions des deux années précédentes avaient été l’occasion pour le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Mike Moore, de professer dévotement les vertus du libre-échange. Après avoir vilipendé le mouvement antimondialisation, M. Moore avait même déclaré qu’il était « impératif de rappeler encore et toujours les preuves accablantes qui démontrent que le commerce international renforce la croissance économique ».
La tirade du directeur de l’OMC contre les groupes réclamant une autre mondialisation qualifiés de « e-hippies » souligne la troisième caractéristique fondatrice de la Trilatérale : son aversion pour les mouvements populaires. Elle s’était exprimée dans le célèbre rapport de la Commission sur la gouvernance des démocraties rédigé par Michel Crozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki (7 ). Dès 1975, ce texte dénonçait les « excès de la démocratie » qu’exprimaient aux yeux des auteurs les manifestations contestataires de l’époque. Celles qui, un peu comme aujourd’hui, mettaient en cause la politique étrangère des Etats-Unis (rôle de la CIA dans le putsch chilien, guerre du Vietnam, etc.) et réclamaient la reconnaissance de nouveaux droits sociaux. Ce rapport provoqua à l’époque nombre de commentaires indignés, qui dirigèrent leurs feux contre l’administration démocrate du président James Carter, qui fut membre de la Trilatérale (comme, plus tard, le président Clinton) .
Depuis le début des années 1980, l’attention de la presse pour ce genre d’institution semble s’être plutôt portée sur des rencontres moins fermées et surtout plus médiatisées, comme le forum de Davos. L’importance des enjeux débattus au sein de la Trilatérale et le niveau de ceux qui ont participé à ses réunions ces dernières années soulignent néanmoins son influence persistante (9 ).
Loin d’être un « vieux serpent de mer » qui referait surface au ravissement de quelques adeptes d’ésotérisme et de « théorie du complot », la Commission trilatérale est une institution bien établie, dont la discrétion facilite la collusion entre responsables politiques et grandes entreprises. « J’espère bien que les points de vue qui sont formulés par ces gens d’expérience ont une influence réelle sur la politique internationale ! », nous a répliqué un ancien ministre canadien qui a participé à plusieurs des travaux de la Commission trilatérale. Il faisait ainsi écho aux propos du fondateur, M. David Rockefeller : « Quelquefois, les idées mises en avant par les rapports de la Commission trilatérale sont devenues des politiques officielles. Ses recommandations ont toujours été sérieusement débattues à l’extérieur de notre cercle, et elles ont joué un rôle dans les réflexions des gouvernements et dans la formulation de leurs décisions (10 ). »
Ainsi se dessine la trame d’un pouvoir diffus, opaque, presque insaisissable, qui tisse ses liens à travers des clubs fermés et des rencontres internationales dont le forum de Davos représente l’expression la plus ostentatoire. Dans ces lieux de rencontres, d’échanges, de tractations gravitent les mêmes protagonistes, s’élaborent les analyses et les compromis qui précèdent souvent les grandes décisions. La Commission trilatérale est une des pièces de cet échiquier polymorphe. Elle consolide l’alliance entre le pouvoir des multinationales, de la finance et de la politique, grâce à un réseau d’influences dont les ramifications s’étendent aux principaux secteurs de la société.
OLIVIER BOIRAL
(Le Monde Diplomatique) ajouté le 3-2-2004
Vous pouvez prendre gratuitement toutes nos infos pour vos sites, émissions de radio, lettres de nouvelles, bulletins d'églises, sites web... Vous devrez mentionner: Trouvé sur http://voxdei2.free.fr/infos Point Final - Informations chrétiennes et eschatologiques au quotidien.
Regroupement de perssonne avec leur théories en ce qui regarde le développement du <<NOUVEL ORDRE MONDIAL>>
Parmi les membres de la commission trilatérale nous trouvons des franc maçons du Rite Ecossais Rectifié dont le 33 è et plus haut degré est appelé Illuminati, mais les francs maçons et donc illuminatis ne sont que des membres comme les autres de cette commission trilatérale. Toutefois en 1984, Jean Paul levait l'excommunion de tous les francs maçons...
A presque tous les niveaux élevés du monde des affaires et du gouvernement, partout dans le monde, des homme et des fammes se sont infiltrés, sont devenus les administrateur en contrôle et travaillent à manipuler effectivement chaque aspect de la vie du <<citoyen du monde>>
Cependent Un des aspects de cette infiltration qui n'a été adéquatement fouillé, c'est la filière <<religieuse>>. Assurément, vu que la plus grosse portion du monde est religieuse, et dans le courant de la super-puissante nation régnante des États-Unis, à prédominance <<chrétienne>> il serait tout à fait sensé de croire que ces organisation aient infiltré l'Église elle-même et la conduisent activement vers le NOUVEL ORDRE MONDIAL.
Or nous observons que l'Eglise catholique romaine affirme d'une part que l'ONU (instrument de mondialisation et de Nouvel Ordre Mondial) est l'unique voie de paix... Nous observons aussi que depuis que un président américain a pour la première fois proclamée le 11/09/1990 l'entrée dans une nouvelle ère, celle du Nouvel Ordre Mondial, débutant par la première guerre du Golfe... alors depuis les années 90 l'église catholique romaine développe soudainement un immense effort pour construire une religion oecuménique mondiale... Le Nouvel Ordre Mondial est pourtant soupçonné d'être l'objectif premier des francs maçons. Sous la pyramide au haut détaché formant un triangle avec l'oeil d'horus dedans sous laquelle sur les billets de 1 $ est écrit "Novus Ordo Seclorum"... A la base de cette pyramide est écrit en chiffre romain "1776" année de l'indépendance américaine signée par 9 francs maçons sur la 50 aine de signataires.
On se rapellera aussi le scandale de 1976 Vatican / Propaganda Due la loge franc maçonnique la plus puissante d'Italie dit P2.
Ecrit le 16 janv.05, 15:03
Extrait : "Elle véhicule un idéal platonicien d’ordre et de supervision"
Comme le Patriot Act ?... Ou le INFORMATION AWARENESS OFFICE du département spécial de la défense sur le contrôle mondial des communications ?...
Ce département spécial a été créé à la suite des évènements du 11 septembre 2001. Son logo a été supprimé peu de temps après son apparition, car certaines "polémiques" commençaient à circuler... c'était une pyramide dont le haut est détaché et forme un triangle avec dedans un oeil... symbole déjà vu sur les billets américains de 1 dollar, mais cette fois l'oeil éclairait et surveillait la terre...
Sinon ce qui me "surprend" c'est que les attentats servent si bien en fin de compte les intérêts de la commission trilatérale... elle excelle du moins lorsqu'il s'agit d'utiliser le terrorisme a ses argument idéologiques pour faire avancer son idéologie de nouvel ordre mondial (novus ordo seclorum) à l'image de l'économie des pays membres de la triade de cette commission trilatérale.
Mais lorsque l'on sait que ce sont les pays membres de cette trilatérale qui avaient armés Sadam Hussein et armés et entraîner les soldats de Ben Laden...
Les sources sont fiables, après "Le Monde diplomatique", un extrait du "Washington Post" :
Bush Wants To Create A 'New World Order' With Pre-Emptive Strikes :
http://www.freepressinternational.com/b ... 47684.html
Comme le Patriot Act ?... Ou le INFORMATION AWARENESS OFFICE du département spécial de la défense sur le contrôle mondial des communications ?...
Ce département spécial a été créé à la suite des évènements du 11 septembre 2001. Son logo a été supprimé peu de temps après son apparition, car certaines "polémiques" commençaient à circuler... c'était une pyramide dont le haut est détaché et forme un triangle avec dedans un oeil... symbole déjà vu sur les billets américains de 1 dollar, mais cette fois l'oeil éclairait et surveillait la terre...
Sinon ce qui me "surprend" c'est que les attentats servent si bien en fin de compte les intérêts de la commission trilatérale... elle excelle du moins lorsqu'il s'agit d'utiliser le terrorisme a ses argument idéologiques pour faire avancer son idéologie de nouvel ordre mondial (novus ordo seclorum) à l'image de l'économie des pays membres de la triade de cette commission trilatérale.
Mais lorsque l'on sait que ce sont les pays membres de cette trilatérale qui avaient armés Sadam Hussein et armés et entraîner les soldats de Ben Laden...
Les sources sont fiables, après "Le Monde diplomatique", un extrait du "Washington Post" :
Bush Wants To Create A 'New World Order' With Pre-Emptive Strikes :
http://www.freepressinternational.com/b ... 47684.html
Ecrit le 16 janv.05, 15:06
Je parlais à la fin de mon premier message dans ce thread de l'infiltration des sphères religieuses par la COMMISSION TRILATERALE...
Le Vatican est probablement la plus riche organisation du monde. Une grande partie de son capital se trouve dans les banques Rothschild...
Et nous allons voir les potentielles infiltrations de la franc maçonnerie dans l'église catholique romaine...
Les infos que je vais donné sont en parties relatées dans un livre très rare, le livre de livre de David Yallup "Au nom de Dieu" chez un bouquiniste. Les Jésuites ont fait interdire ce livre et... récupéré tous les exemplaires en vente.
Le service secret du Vatican était, depuis toujours, l' ordre des Jésuites. Je vais décevoir ceux qui croient que les Jésuites n'ont été qu'une simple organisation religieuse de plus. Le serment d'initiation du 2ème degré exige la mort de tous les protestants et francs-maçons. Les Jésuites ont été, par exemple, l'instance qui a organisé les massacres des Huguenots et à qui on doit d'innombrables têtes décapitées chez les protestants et francs-maçons en Angleterre aux 16ème et 17ème siècles.
L'ordre des Jésuites fut fondé en 1534 par Ignace de Loyola, qui était d'origine JUIVE, comme le furent les trois premiers généraux de l'ordre. Le général des Jésuites (le chef) est si puissant qu'il est appelé le "PAPE NOIR".
Oui, jusque là, la franc maçonnerie avait été chassé par les catholiques...
Pourtant...
De loges secrètes infiltrèrent en force l'Eglise catholique dans les siècles suivants et notamment lors de la Deuxième Guerre mondiale. Ce fut le cas, entre autres, de l'OSS (le précurseur de la CIA), du MI 6, des membres du "Black Mobility", des francs-maçons et LA LOGE P2 (Propaganda Due) ; toutes ces loges étaient sous la protection du "Comité des 300". LA LOGE P2 EST LA LOGE FRANC-MACONNIQUE LA PLUS INFLUENTE EN ITALIE.
C'est là que ça devient intéressant car :
La "GRANDE LOGE DU VATICAN" y est annexée. C'est elle qui fut à l'origine du "SCANDALE P2" EN 1976. Une liste des membres de la loge fut produite au Vatican avec les noms et les dates d'entrée de 121 grands dignitaires ecclésiastiques avec, parmis eux, des cardinaux de la curie, des archevêques, des évêques, des prélats et des laïques. On fit une vraie chasse aux sorcières pour trouver ceux qui avaient publié cette liste au lieu de demander des comptes aux personnes citées sur cette liste...
Entre autres noms, celui du secrétaire d'Etat du cardinal Jean Villot, du ministre des Affaires étrangères du Vatican Agostino Casaroli, du cardinal Sebastiano Baggio, du cardinal Ugo Poletti et du chef de la banque du Vatican, l'évêque Paul Marcinkus.
Un autre membre intéressant du "Comité des 300" : Joseph Retinger (Ratzinger ?). La CIA lui apporta son soutien après la guerre afin qu'il puisse conclure des contrats avec le Vatican. Il gagna, entre autres, à sa cause le Dr Luigi Gedda, conseiller médical du pape Pie VII et dirigeant des activités catholiques.
En 1971, Marcinkus devint archevêque et chef de la BANQUE DU VATICAN.
Il développa aussi d'étroites relations avec Michele Sindonna, membre de la loge franc-maçonnique P2, et avec Roberto Calvi (l'auteur de la fameuse liste et du livre qui fut retiré, sur la loge P2). Le grand maître de la loge P2 était Licio Gelli. Roberto Calvi, chef de la BANQUE D'AMBROSIANO, aida le Vatican à transférer plus de 100 millions de dollars au mouvement "Solidarité" en Pologne. Il fut mêlé, plus tard, au grand scandale de cette banque. En 1982, on trouva son corps suspendu au pont Blackfriars à Londres. Dans chacune de ses poches se trouvaient deux briques et ses jambes étaient garrottées en angle droit. C'était un MEUTRE RITUEL CHEZ LES FRANCS MACONS. Mais les journaux passèrent outres ces détails et annoncèrent : "Roberto Calvi s'est suicidé ! ..."
Un autre exemple : celui de l'assassinat du pape Jean XXIII. L'annonce de sa mort parut, par erreur, trop tôt dans le quotidien mexicain "El Informador",publié par la grande loge des francs-maçons de l'ouest du Mexique (l'annonce fut publiée le 3 juin 1963, le pape mourut le 3 juin 1963 à 19h49...
Le PAPE JEAN-PAUL II ... il leva "officiellement" le 27 novembre 1983 l'excommunication de tous les francs-maçons, notifié dans le "Codex Iuris Canonici". Le pape actuel connaît intimement le langage secret franc-maçonnique, la "poignée de main des francs-maçons" (une pression de la main particulière qui permet aux initiés de se reconnaître entre eux) mais aussi son discours lors d'une audience le 15 septembre 1982 en sont des preuves "manifestes" : A propos de la mort du président libanais Gemayel, il parlait de Jérusalem,la ville de Dieu. Il dit mot à mot : "Jérusalem peut devenir aussi "la cité de l'homme" (City of man ).
"La "cité de l'homme" est un mot clé des franc-maçons pour la dictature mondiale.
Le 18 avril 1983, le pape reçut toute la "COMMISSION TRILATERALE", c-à-d. environ 200 personnes, pour une audience. Cette organisation secrète fut fondée en juin 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski puisque les organisations établies, comme l'ONU ou d'autres, mettaient trop de temps à instaurer le "gouvernement mondial". La Commission trilatérale, organisation élitiste, a pour but de réunir en un seul groupement les géants les plus éminents de l'industrie et de l'économie, donc des nations trilatérales des Etats-Unis, du Japon et de l'Europe de l'Ouest pour créer de force et une fois pour toutes le "Nouvel Ordre mondial".
Vous pouvez bien imaginer que le PAPE JEAN-PAUL II n'a pas invité tous ces gens pour une tasse de thé...
Trouvé sur http://voxdei2.free.fr/infos Point Final - Informations chrétiennes et eschatologiques au quotidien
Le Vatican est probablement la plus riche organisation du monde. Une grande partie de son capital se trouve dans les banques Rothschild...
Et nous allons voir les potentielles infiltrations de la franc maçonnerie dans l'église catholique romaine...
Les infos que je vais donné sont en parties relatées dans un livre très rare, le livre de livre de David Yallup "Au nom de Dieu" chez un bouquiniste. Les Jésuites ont fait interdire ce livre et... récupéré tous les exemplaires en vente.
Le service secret du Vatican était, depuis toujours, l' ordre des Jésuites. Je vais décevoir ceux qui croient que les Jésuites n'ont été qu'une simple organisation religieuse de plus. Le serment d'initiation du 2ème degré exige la mort de tous les protestants et francs-maçons. Les Jésuites ont été, par exemple, l'instance qui a organisé les massacres des Huguenots et à qui on doit d'innombrables têtes décapitées chez les protestants et francs-maçons en Angleterre aux 16ème et 17ème siècles.
L'ordre des Jésuites fut fondé en 1534 par Ignace de Loyola, qui était d'origine JUIVE, comme le furent les trois premiers généraux de l'ordre. Le général des Jésuites (le chef) est si puissant qu'il est appelé le "PAPE NOIR".
Oui, jusque là, la franc maçonnerie avait été chassé par les catholiques...
Pourtant...
De loges secrètes infiltrèrent en force l'Eglise catholique dans les siècles suivants et notamment lors de la Deuxième Guerre mondiale. Ce fut le cas, entre autres, de l'OSS (le précurseur de la CIA), du MI 6, des membres du "Black Mobility", des francs-maçons et LA LOGE P2 (Propaganda Due) ; toutes ces loges étaient sous la protection du "Comité des 300". LA LOGE P2 EST LA LOGE FRANC-MACONNIQUE LA PLUS INFLUENTE EN ITALIE.
C'est là que ça devient intéressant car :
La "GRANDE LOGE DU VATICAN" y est annexée. C'est elle qui fut à l'origine du "SCANDALE P2" EN 1976. Une liste des membres de la loge fut produite au Vatican avec les noms et les dates d'entrée de 121 grands dignitaires ecclésiastiques avec, parmis eux, des cardinaux de la curie, des archevêques, des évêques, des prélats et des laïques. On fit une vraie chasse aux sorcières pour trouver ceux qui avaient publié cette liste au lieu de demander des comptes aux personnes citées sur cette liste...
Entre autres noms, celui du secrétaire d'Etat du cardinal Jean Villot, du ministre des Affaires étrangères du Vatican Agostino Casaroli, du cardinal Sebastiano Baggio, du cardinal Ugo Poletti et du chef de la banque du Vatican, l'évêque Paul Marcinkus.
Un autre membre intéressant du "Comité des 300" : Joseph Retinger (Ratzinger ?). La CIA lui apporta son soutien après la guerre afin qu'il puisse conclure des contrats avec le Vatican. Il gagna, entre autres, à sa cause le Dr Luigi Gedda, conseiller médical du pape Pie VII et dirigeant des activités catholiques.
En 1971, Marcinkus devint archevêque et chef de la BANQUE DU VATICAN.
Il développa aussi d'étroites relations avec Michele Sindonna, membre de la loge franc-maçonnique P2, et avec Roberto Calvi (l'auteur de la fameuse liste et du livre qui fut retiré, sur la loge P2). Le grand maître de la loge P2 était Licio Gelli. Roberto Calvi, chef de la BANQUE D'AMBROSIANO, aida le Vatican à transférer plus de 100 millions de dollars au mouvement "Solidarité" en Pologne. Il fut mêlé, plus tard, au grand scandale de cette banque. En 1982, on trouva son corps suspendu au pont Blackfriars à Londres. Dans chacune de ses poches se trouvaient deux briques et ses jambes étaient garrottées en angle droit. C'était un MEUTRE RITUEL CHEZ LES FRANCS MACONS. Mais les journaux passèrent outres ces détails et annoncèrent : "Roberto Calvi s'est suicidé ! ..."
Un autre exemple : celui de l'assassinat du pape Jean XXIII. L'annonce de sa mort parut, par erreur, trop tôt dans le quotidien mexicain "El Informador",publié par la grande loge des francs-maçons de l'ouest du Mexique (l'annonce fut publiée le 3 juin 1963, le pape mourut le 3 juin 1963 à 19h49...
Le PAPE JEAN-PAUL II ... il leva "officiellement" le 27 novembre 1983 l'excommunication de tous les francs-maçons, notifié dans le "Codex Iuris Canonici". Le pape actuel connaît intimement le langage secret franc-maçonnique, la "poignée de main des francs-maçons" (une pression de la main particulière qui permet aux initiés de se reconnaître entre eux) mais aussi son discours lors d'une audience le 15 septembre 1982 en sont des preuves "manifestes" : A propos de la mort du président libanais Gemayel, il parlait de Jérusalem,la ville de Dieu. Il dit mot à mot : "Jérusalem peut devenir aussi "la cité de l'homme" (City of man ).
"La "cité de l'homme" est un mot clé des franc-maçons pour la dictature mondiale.
Le 18 avril 1983, le pape reçut toute la "COMMISSION TRILATERALE", c-à-d. environ 200 personnes, pour une audience. Cette organisation secrète fut fondée en juin 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski puisque les organisations établies, comme l'ONU ou d'autres, mettaient trop de temps à instaurer le "gouvernement mondial". La Commission trilatérale, organisation élitiste, a pour but de réunir en un seul groupement les géants les plus éminents de l'industrie et de l'économie, donc des nations trilatérales des Etats-Unis, du Japon et de l'Europe de l'Ouest pour créer de force et une fois pour toutes le "Nouvel Ordre mondial".
Vous pouvez bien imaginer que le PAPE JEAN-PAUL II n'a pas invité tous ces gens pour une tasse de thé...
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Ecrit le 17 janv.05, 00:11
CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOIDauphin a écrit :Le PAPE JEAN-PAUL II ... il leva "officiellement" le 27 novembre 1983 l'excommunication de tous les francs-maçons, notifié dans le "Codex Iuris Canonici".
DÉCLARATION SUR L'INCOMPATIBILITÉ ENTRE L'APPARTENANCE À L'ÉGLISE ET LA FRANC-MAÇONNERIE
On a demandé si le jugement de l'Eglise sur les associations maçonniques était changé, étant donné que dans le nouveau Code de droit canonique il n'en est pas fait mention expresse, comme dans le Code antérieur.
Cette Congrégation est en mesure de répondre qu'une telle circonstance est due au critère adopté dans la rédaction, qui a été suivi aussi pour d'autres associations également passées sous silence parce qu'elles sont inclues dans des catégories plus larges.
Le jugement négatif de l'Eglise sur les associations maçonniques demeure donc inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l'Eglise, et l'inscription à ces associations reste interdite par l'Eglise. Les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion.
Les autorités ecclésiastiques locales n'ont pas compétence pour se prononcer sur la nature des associations maçonniques par un jugement qui impliquerait une dérogation à ce qui a été affirmé ci dessus, dans la ligne de la déclaration de cette Congrégation du 17 février 1981 (cf. AAS 73, 1981, p. 240-241: DC 1981, n° 1805, p. 349. Voir aussi la déclaration de l'épiscopat allemand du 12 mai 1980, DC 1981, n° 1807, p. 444-448).
Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans l'audience accordée au cardinal préfet soussigné, a approuvé cette déclaration, qui avait été délibérée en réunion ordinaire de la Congrégation, et en a ordonné la publication.
A Rome, au siège de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, le 26 novembre 1983.
Joseph, card. RATZINGER
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Ecrit le 17 janv.05, 00:15
VexillumRegis a écrit : CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI
DÉCLARATION SUR L'INCOMPATIBILITÉ ENTRE L'APPARTENANCE À L'ÉGLISE ET LA FRANC-MAÇONNERIE
On a demandé si le jugement de l'Eglise sur les associations maçonniques était changé, étant donné que dans le nouveau Code de droit canonique il n'en est pas fait mention expresse, comme dans le Code antérieur.
Cette Congrégation est en mesure de répondre qu'une telle circonstance est due au critère adopté dans la rédaction, qui a été suivi aussi pour d'autres associations également passées sous silence parce qu'elles sont inclues dans des catégories plus larges.
Le jugement négatif de l'Eglise sur les associations maçonniques demeure donc inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l'Eglise, et l'inscription à ces associations reste interdite par l'Eglise. Les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion.
Les autorités ecclésiastiques locales n'ont pas compétence pour se prononcer sur la nature des associations maçonniques par un jugement qui impliquerait une dérogation à ce qui a été affirmé ci dessus, dans la ligne de la déclaration de cette Congrégation du 17 février 1981 (cf. AAS 73, 1981, p. 240-241: DC 1981, n° 1805, p. 349. Voir aussi la déclaration de l'épiscopat allemand du 12 mai 1980, DC 1981, n° 1807, p. 444-448).
Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans l'audience accordée au cardinal préfet soussigné, a approuvé cette déclaration, qui avait été délibérée en réunion ordinaire de la Congrégation, et en a ordonné la publication.
A Rome, au siège de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, le 26 novembre 1983.
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Ecrit le 17 janv.05, 00:52
Dauphin a écrit :Un autre membre intéressant du "Comité des 300" : Joseph Retinger (Ratzinger ?). La CIA lui apporta son soutien après la guerre afin qu'il puisse conclure des contrats avec le Vatican. Il gagna, entre autres, à sa cause le Dr Luigi Gedda, conseiller médical du pape Pie VII et dirigeant des activités catholiques.
Pie VII a été pape de 1800 à 1823 ; Luigi Gedda, son médecin, devait donc être fort âgé lorsqu'il fut contacté par le cardinal Ratzinger...
- VR -
Ecrit le 17 janv.05, 03:34
Mince ! Une erreur de frappe ! C'est pas Pie VII, c'est Pie XII je crois.
Je fais remarquer que cela date d'avant la levée de l'excomunion par Jean Paul II en 1983.
Mes délires conspirationnistes ? Tu écriras cela à "Le Monde Diplomatique" et "Washington Post"... les deux sources que j'ai cité... Ce sont deux sources très sérieuses, fiables.
Je voudrais sinon rappeler qu'il y a plusieurs franc maçonnerie mais que celles ci se divisent principalement en deux :
- La franc maçonnerie francophone : elle ne fait pas reférence à un dieu, elle est humaniste. Même si elle tolère toutes croyances, elle encourage souvent à se défaire des cultures religieuses, y compris chrétiennes.
- La franc maçonnerie anglo-saxon : La plupart font clairement référence au Dieu de la Bible, Yahweh. Elles font reférences aussi au deux colonnes du temple de Salomon Jakin et Booz. Mais curieusement font aussi référene à la pyramide dont le haut est détaché et forme un delta avec l'oeil d'Horus dedans...
Enfin, il existe des francs maçons luciférien comme le fut par exemple le général Pike.[/quote]
Le jugement est très certainement resté négatif, certes, et je ne le nie pas. Mais il faut de dire que ceux-ci ne peuvent pas participer à la sainte communion toutefois, car l'excommunion a été levée par Jean Paul II en fin 1983.Le jugement négatif de l'Eglise sur les associations maçonniques demeure donc inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l'Eglise, et l'inscription à ces associations reste interdite par l'Eglise. Les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion.
Les autorités ecclésiastiques locales n'ont pas compétence pour se prononcer sur la nature des associations maçonniques par un jugement qui impliquerait une dérogation à ce qui a été affirmé ci dessus, dans la ligne de la déclaration de cette Congrégation du 17 février 1981 (cf. AAS 73, 1981, p. 240-241: DC 1981, n° 1805, p. 349. Voir aussi la déclaration de l'épiscopat allemand du 12 mai 1980, DC 1981, n° 1807, p. 444-448).
Je fais remarquer que cela date d'avant la levée de l'excomunion par Jean Paul II en 1983.
Mes délires conspirationnistes ? Tu écriras cela à "Le Monde Diplomatique" et "Washington Post"... les deux sources que j'ai cité... Ce sont deux sources très sérieuses, fiables.
Je voudrais sinon rappeler qu'il y a plusieurs franc maçonnerie mais que celles ci se divisent principalement en deux :
- La franc maçonnerie francophone : elle ne fait pas reférence à un dieu, elle est humaniste. Même si elle tolère toutes croyances, elle encourage souvent à se défaire des cultures religieuses, y compris chrétiennes.
- La franc maçonnerie anglo-saxon : La plupart font clairement référence au Dieu de la Bible, Yahweh. Elles font reférences aussi au deux colonnes du temple de Salomon Jakin et Booz. Mais curieusement font aussi référene à la pyramide dont le haut est détaché et forme un delta avec l'oeil d'Horus dedans...
Enfin, il existe des francs maçons luciférien comme le fut par exemple le général Pike.[/quote]
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Ecrit le 17 janv.05, 06:24
Je voudrais simplement informer puis connaître les réactions des catholiques face à ces faits d'actualités passées et présentes.
Le Vatican prône l'ONU comme unique voie de paix diplomatioque... (je sais de quoi je parle, je suis abonné à Zenit.org presse vaticane) Mais ce ne devrait pas être Jésus Christ notre seul espoir de paix durable ? Placer ses espoirs en l'ONU n'est-il pas placer sa confiance en l'homme ? Qu'est-ce qu'il vous en semble ? Enfin, si je me trompe pas, il me semble que l'ONU est une organisation reconnaissant principalement la divinité Gaia "Notre Mère le Terre". Selon une relation géopolitique, en son siège se trouve une salle ornée d'une pierre noire dédiée à "Notre Mère la Terre".
Le Vatican prône l'ONU comme unique voie de paix diplomatioque... (je sais de quoi je parle, je suis abonné à Zenit.org presse vaticane) Mais ce ne devrait pas être Jésus Christ notre seul espoir de paix durable ? Placer ses espoirs en l'ONU n'est-il pas placer sa confiance en l'homme ? Qu'est-ce qu'il vous en semble ? Enfin, si je me trompe pas, il me semble que l'ONU est une organisation reconnaissant principalement la divinité Gaia "Notre Mère le Terre". Selon une relation géopolitique, en son siège se trouve une salle ornée d'une pierre noire dédiée à "Notre Mère la Terre".
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Ecrit le 18 janv.05, 22:26
Ratzinger. Le theoricien du Vatican. L'homme le plus hais des liberauxVexillumRegis a écrit : CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI
DÉCLARATION SUR L'INCOMPATIBILITÉ ENTRE L'APPARTENANCE À L'ÉGLISE ET LA FRANC-MAÇONNERIE
On a demandé si le jugement de l'Eglise sur les associations maçonniques était changé, étant donné que dans le nouveau Code de droit canonique il n'en est pas fait mention expresse, comme dans le Code antérieur.
Cette Congrégation est en mesure de répondre qu'une telle circonstance est due au critère adopté dans la rédaction, qui a été suivi aussi pour d'autres associations également passées sous silence parce qu'elles sont inclues dans des catégories plus larges.
Le jugement négatif de l'Eglise sur les associations maçonniques demeure donc inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l'Eglise, et l'inscription à ces associations reste interdite par l'Eglise. Les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion.
Les autorités ecclésiastiques locales n'ont pas compétence pour se prononcer sur la nature des associations maçonniques par un jugement qui impliquerait une dérogation à ce qui a été affirmé ci dessus, dans la ligne de la déclaration de cette Congrégation du 17 février 1981 (cf. AAS 73, 1981, p. 240-241: DC 1981, n° 1805, p. 349. Voir aussi la déclaration de l'épiscopat allemand du 12 mai 1980, DC 1981, n° 1807, p. 444-448).
Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans l'audience accordée au cardinal préfet soussigné, a approuvé cette déclaration, qui avait été délibérée en réunion ordinaire de la Congrégation, et en a ordonné la publication.
A Rome, au siège de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, le 26 novembre 1983.
Joseph, card. RATZINGER
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- VR -
Ce sont des gens comme ca qui chassent les chretiens des eglises.
Il me fait souvent penser a Michail Souslov, le theoricien du communisme sous Bregnev.
Certains disent que depuis que l'etat de sante de JP II s'est agrave, c'est lui le grand patron. Il est temps qu'on aie un peu de sang neuf au vatican et que ;l'Esprit saint ne se laisse pas prendre par les tripotage de JP dans l';election des cardinaux pour etre bien sur que celui qui le suivra fera comme lui. C'est tres difficile de rester catholique quand on voit ca.
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- desertdweller
Ecrit le 19 janv.05, 19:08
Comme certain voudraient LePen comme presidentVexillumRegis a écrit :J'espère que le Cardinal Ratzinger sera le prochain pape
- VR -
Alors ce ne sera plus une debandade mais une ruee hors des eglises. Tu tient vraimant a ce que le catholicisme se saborde?
D'apres Malachie, le prochain pape sera le dernier.
Si c'est Ratzinger, tu peux etre sur que le Vatican pourra mettre la cle sous le paillason.
Il n'y aura plus de pape parce qu'il n'y aura plus d'Eglise.
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Ecrit le 19 janv.05, 19:42
Bonjour,
Une chose est certaine : le cardinal Ratzinger est doctrinalement sûr, ce qui est déjà pas mal. Et il bénéficie de la confiance de Jean-Paul II.
Il a contribué de manière décisive à certains documents importants, telle la déclaration Dominus Iesus.
Il a aussi écrit des ouvrages semble-t-il très intéressant, quoique je ne les ai point lu.
De là à ce qu'il devienne pape, et bon pape.... Je crois qu'il manque un peu de charisme pour assumer cette lourde charge.
Une chose est certaine : le cardinal Ratzinger est doctrinalement sûr, ce qui est déjà pas mal. Et il bénéficie de la confiance de Jean-Paul II.
Il a contribué de manière décisive à certains documents importants, telle la déclaration Dominus Iesus.
Il a aussi écrit des ouvrages semble-t-il très intéressant, quoique je ne les ai point lu.
De là à ce qu'il devienne pape, et bon pape.... Je crois qu'il manque un peu de charisme pour assumer cette lourde charge.
D'après l'interprétation que l'on fait de Malachie. Je ne crois guère en ce genre de prophéties.D'apres Malachie, le prochain pape sera le dernier.
- desertdweller
Ecrit le 19 janv.05, 19:52
Doctrinalement sur. Sur de lui, oui! Ca ne veut rien dire. Plus on est sur, plus on tombe de haut.VexillumRegis a écrit :Bonjour,
Une chose est certaine : le cardinal Ratzinger est doctrinalement sûr, ce qui est déjà pas mal. Et il bénéficie de la confiance de Jean-Paul II.
Il a contribué de manière décisive à certains documents importants, telle la déclaration Dominus Iesus.
Il a aussi écrit des ouvrages semble-t-il très intéressant, quoique je ne les ai point lu.
De là à ce qu'il devienne pape, et bon pape.... Je crois qu'il manque un peu de charisme pour assumer cette lourde charge.
D'après l'interprétation que l'on fait de Malachie. Je ne crois guère en ce genre de prophéties.
Ratzinger est un theoricien qui ne connait rien, et surtout ne veux rien connaitre a la nature humaine. Ratzinger sur le trone de Pierre et Georges Bush a la maison blanche. Dieu protege l'humanite.
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