Qui a dit...?

Forum Athée / croyant
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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
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Shan

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Qui a dit...?

Ecrit le 03 nov.09, 05:21

Message par Shan »

La religion est née , le jour ou le premier escroc a rencontré le premier imbécile
Je ne sais pas si c'est la citation exacte mais c'est venue au cours d'une discussion IRL et personne n'a été capable de répondre. L'un d'entre vous le saurait-il?

yacoub

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 03 nov.09, 06:27

Message par yacoub »

La religion est née, le jour ou le premier escroc,a rencontré le premier imbécile !!
VOLTAIRE
Il y a un site athéisme.org rempli de citations mécréantes et amusantes :lol:
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Shan

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 03 nov.09, 06:56

Message par Shan »

Merci, j'avais posé la question à Google mais j'ai pas eu de réponse. Bon, voilà, sujet clos.

Hamza

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 03 nov.09, 08:50

Message par Hamza »

Salut.

"La religion est née, depuis le jour où le premier hypocrite a rencontré le premier imbécile". François Voltaire, (qui faisait parti d'une secte, cela dit en passant). Cependant, bien qu'il critiqua sévèrement le judaïsme, le christianisme et l'Islam (dans un premier temps, après il avoua et il exprima un profond respect et une grande admiration pour l'Islam), il y trouvait aussi des aspects positifs.

Samoth

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 03 nov.09, 10:09

Message par Samoth »

Au vue des extremistes catholiques de l' époque et au peu de choix dans la liste des religions, je pense effectivement que la découverte d' un islam souffiste (puisqu' il s' agit bien de ça visiblement) devait donner aux intellectuels des réponses à leur spiritualité ...

Shan

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 03 nov.09, 10:52

Message par Shan »

Hamza a écrit : "La religion est née, depuis le jour où le premier hypocrite a rencontré le premier imbécile". François Voltaire
Effectivement, je me disait que ça ne devait pas être la bonne citation. Merci pour ces précisions.

yacoub

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 03 nov.09, 23:47

Message par yacoub »

Voltaire a écrit une pièce Mahomet ou le fanatisme qui fait encore grincer les dents des Tark Ramadan et autres
musulmans modérés puisque ils ont réussi à la faire interdire en Suisse.
En réalité à l' époque la pièce visait le fanatisme et l' intolérance des chétiens qui même si
Jésus n' a jamais préché la violence et l' intolérance ont été violents, fanatiques et intolérants.
Des Chrétiens le deviennent en s'éloignant de leurs textes sacrés, des Musulmans en s'en rapporochant.
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Hamza

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 04 nov.09, 04:19

Message par Hamza »

Voltaire (bien qu'il critiqua violemment le christianisme et l'islam durant un temps, après avoir étudié l'histoire de cette religion, il changea d'avis):

- "J’ai dit qu’on reconnut Mohammed pour un grand homme; rien n’est plus impie, dites-vous. Je vous répondrai que ce n’est pas ma faute si ce petit homme a changé la face d’une partie du monde, s’il a gagné des batailles contre des armées dix fois plus nombreuses que les siennes, s’il a fait trembler l’empire romain, s’il a donné les premiers coups à ce colosse que ses successeurs ont écrasé, et s’il a été législateur de l’Asie, de l’Afrique, et d’une partie de l’Europe", « Lettre civile et honnête a l’auteur malhonnête de la "Critique de l’histoire universelle de M. de voltaire" » (1760), dans Oeuvres complètes de Voltaire, Voltaire, éd. Moland, 1875, t. 24, p. 164

- "Ce fut certainement un très grand homme, et qui forma de grands hommes. Il fallait qu’il fût martyr ou conquérant, il n’y avait pas de milieu. Il vainquit toujours, et toutes ses victoires furent remportées par le petit nombre sur le grand. Conquérant, législateur, monarque et pontife, il joua le plus grand rôle qu’on puisse jouer sur la terre aux yeux du commun des hommes.", « Remarque pour servir de supplément à l'Essais sur les Mœurs » (1763), dans Oeuvres complètes de Voltaire, Voltaire, éd. Moland, 1875, t. 24, chap. 9-De Mahomet, p. 590

- Sa religion est sage, sévère, chaste, et humaine: sage, puisqu’elle ne tombe pas dans la démence de donner à Dieu des associés, et qu’elle n’a point de mystères; sévère, puisqu’elle défend les jeux de hasard, le vin et les liqueurs fortes, et qu’elle ordonne la prière cinq fois par jour; chaste, puisqu’elle réduit à quatre femmes ce nombre prodigieux d’épouses qui partageaient le lit de tous les princes de l’Orient; humaine, puisqu’elle nous ordonne l’aumône bien plus rigoureusement que le voyage de la Mecque. Ajoutez à tous ces caractères de vérité, la tolérance. «Il faut prendre un parti» (1772), dans Oeuvres complètes de Voltaire, Voltaire, éd. Moland, 1875, t. 28, chap. 23-Discours d’un Turc, p. 547

- "Le plus grand changement que l’opinion ait produit sur notre globe fut l’établissement de la religion de Muhammad. Ses musulmans, en moins d’un siècle, conquirent un empire plus vaste que l’empire romain. Cette révolution, si grande pour nous, n’est, à la vérité, que comme un atome qui a changé de place dans l’immensité des choses, et dans le nombre innombrable de mondes qui remplissent l’espace; mais c’est au moins un événement qu’on doit regarder comme une des roues de la machine de l’univers, et comme un effet nécessaire des lois éternelles et immuables: car peut-il arriver quelque chose qui n’ait été déterminé par le Maître de toutes choses? Rien n’est que ce qui doit être." «Remarque pour servir de supplément à l'Essais sur les Mœurs» (1763), dans Oeuvres complètes de Voltaire, Voltaire, éd. Moland, 1875, t. 24, chap. IX-De Mahomet, p. 588

yacoub

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 04 nov.09, 04:54

Message par yacoub »

Voltaire, 1740

A FRÉDÉRIC II, ROI DE PRUSSE

(Rotterdam), décembre.

Sire, je ressemble à présent aux pèlerins de la Mecque, qui tournent les yeux vers cette ville après l’avoir quittée; je tourne les miens vers votre cour. Mon coeur, pénétré des bontés de Votre Majesté, ne connaît que la douleur de ne pouvoir vivre auprès d’elle. Je prends la liberté de lui envoyer une nouvelle copie de cette tragédie de Mahomet, dont elle a bien voulu, il y a déjà longtemps, voir les premières esquisses. C’est un tribut que je paye à l’amateur des arts, au juge éclairé, surtout au philosophe, beaucoup plus qu’au souverain.

Votre Majesté sait quel esprit m’animait en composant cet ouvrage; l’amour du genre humain et l’horreur du fanatisme, deux vertus qui sont faites pour être toujours auprès de votre trône, ont conduit ma plume. J’ai toujours pensé que la tragédie ne doit pas être un simple spectacle qui touche le coeur sans le corriger. Qu’importent au genre humain les passions et les malheurs d’un héros de l’antiquité, s’ils ne servent pas à nous instruire? On avoue que la comédie du Tartuffe, ce chef-d’oeuvre qu’aucune nation n’a égalé, a fait beaucoup de bien aux hommes, en montrant l’hypocrisie dans toute sa laideur; ne peut-on pas essayer d’attaquer, dans une tragédie, cette espèce d’imposture qui met en oeuvre à la fois l’hypocrisie des uns et la fureur des autres? Ne peut-on pas remonter jusqu’à ces anciens scélérats, fondateurs illustres de la superstition et du fanatisme, qui, les premiers, ont pris le couteau sur l’autel pour faire des victimes de ceux qui refusaient d’etre leurs disciples?

Ceux qui diront que les temps de ces crimes sont passés; qu’on ne verra plus de Barcochebas, de Mahomet, de Jean de Leyde, etc.; que les flammes des guerres de religion sont éteintes, font, ce me semble, trop d’honneur à la nature humaine. Le même poison subsiste encore, quoique moins développé; cette peste, qui semble étouffée, reproduit de temps en temps des germes capables d’infecter la terre. N’a-t-on pas vu de nos jours les prophètes des Cévennes tuer, au nom de Dieu, ceux de leur secte qui n’étaient pas assez soumis?

L’action que j’ai peinte est atroce; et je ne sais si l’horreur a été plus loin sur aucun théâtre. C’est un jeune homme né avec de la vertu, qui, séduit par son fanatisme, assassine un vieillard qui l’aime, et qui, dans l’idée de servir Dieu, se rend coupable, sans le savoir, d’un parricide; c’est un imposteur qui ordonne ce meurtre, et qui promet à l’assassin un inceste pour récompense. J’avoue que c’est mettre l’horreur sur le théâtre; et Votre Majesté est bien persuadée qu’il ne faut pas que la tragédie consiste uniquement dans une déclaration d’amour, une jalousie, et un mariage.

Nos historiens mêmes nous apprennent des actions plus atroces que celle que j’ai inventée. Séide ne sait pas du moins que celui qu’il assassine est son père, et, quand il a porté le coup, il éprouve un repentir aussi grand que son crime. Mais Mézerai rapporte qu’à Melun un père tua son fils de sa main pour sa religion, et n’en eut aucun repentir. On connaît l’aventure des deux frères Diaz, dont l’un était à Rome, et l’autre en Allemagne, dans les commencements des troubles excités par Luther. Barthélemy Diaz, apprenant à Rome que son frère donnait dans les opinions de Luther à Francfort, part de Rome dans le dessein de l’assassiner, arrive, et l’assassine. J’ai lu dans Herrera, auteur espagnol, que ce « Barthélemy Diaz risquait beaucoup par cette action; mais que rien n’ébranle un homme d’honneur quand la probité le conduit ». Herrera, dans une religion toute sainte et tout ennemie de la cruauté, dans une religion qui enseigne à souffrir, et non à se venger, était donc persuadé que la probité peut conduire à l’assassinat et au parricide; et on ne s’élèvera pas de tous côtés contre ces maximes infernales!

Ce sont ces maximes qui mirent le poignard à la main du monstre qui priva la France de Henri le Grand; voilà ce qui plaça le portrait de Jacques Clément sur l’autel, et son nom parmi les bienheureux; c’est ce qui coûta la vie à Guillaume, prince d’Orange, fondateur de la liberté et de la grandeur des Hollandais. D’abord Salcède le blessa au front d’un coup de pistolet; et Strada raconte que « Salcède (ce sont ses propres mots) n’osa entreprendre cette action qu’après avoir purifié son âme par la confession aux pieds d’un dominicain, et l’avoir fortifiée par le pain céleste ». Herrera dit quelque chose de plus insensé et de plus atroce: « Estando firme con el exemplo de nuestro salvador Jesu-Christo, y de sus Santos. » Balthazar Gérard, qui ôta enfin la vie à ce grand homme, en usa de même que Salcède.

Je remarque que tous ceux qui ont commis de bonne foi de pareils crimes étaient des jeunes gens comme Séide. Balthazar Gérard avait environ vingt ans. Quatre Espagnols, qui avaient fait avec lui serment de tuer le prince, étaient du même âge. Le monstre qui tua Henri III n’avait que vingt-quatre ans. Poltrot, qui assassina le grand duc de Guise, en avait vingt-cinq; c’est le temps de la séduction et de la fureur. J’ai été presque témoin, en Angleterre, de ce que peut sur une imagination jeune et faible la force du fanatisme. Un enfant de seize ans, nommé Shepherd, se chargea d’assassiner le roi George Ier, votre aïeul maternel. Quelle était la cause qui le portait à cette frénésie? C’était uniquement que Shepherd n’était pas de la même religion que le roi. On eut pitié de sa jeunesse, on lui offrit sa grâce, on le sollicita longtemps au repentir; il persista toujours à dire qu’il valait mieux obéir à Dieu qu’aux hommes et que, s’il était libre, le premier usage qu’il ferait de sa liberté serait de tuer son prince. Ainsi on fut obligé de l’envoyer au supplice, comme un monstre qu’on désespérait d’apprivoiser.

J’ose dire que quiconque a un peu vécu avec les hommes a pu voir quelquefois combien aisément on est prêt à sacrifier la nature à la superstition. Que de pères ont détesté et déshérité leurs enfants! que de frères ont poursuivi leurs frères par ce funeste principe! J’en ai vu des exemples dans plus d’une famille.

Si la superstition ne se signale pas toujours par ces excès qui sont comptés dans l’histoire des crimes, elle fait dans la société tous les petits maux innombrables et journaliers qu’elle peut faire. Elle désunit les amis; elle divise les parents; elle persécute le sage, qui n’est qu’homme de bien, par la main du fou, qui est enthousiaste; elle ne donne pas toujours de la ciguë à Socrate, mais elle bannit Descartes d’une ville qui devait être l’asile de la liberté; elle donne à Jurieu, qui faisait le prophète, assez de crédit pour réduire à la pauvreté le savant et philosophe Bayle; elle bannit, elle arrache à une florissante jeunesse qui court à ses leçons le successeur du grand Leibnitz; et il faut, pour le rétablir, que le ciel fasse naître un roi philosophe, vrai miracle qu’il fait bien rarement. En vain la raison humaine se perfectionne par la philosophie, qui fait tant de progrès en Europe; en vain, vous surtout, grand prince, vous efforcez-vous de pratiquer et d’inspirer cette philosophie si humaine; on voit dans ce même siècle, où la raison élève son trône d’un côté, le plus absurde fanatisme dresser encore ses autels de l’autre.

On pourra me reprocher que, donnant trop à mon zèle, je fais commettre dans cette pièce un crime à Mahomet, dont en effet il ne fut point coupable.

M. le comte de Boulainvilliers écrivit, il y a quelques années, la Vie de ce prophète. Il essaya de le faire passer pour un grand homme que la providence avait choisi pour punir les chrétiens, et pour changer la face d’une partie du monde. M. Sale qui nous a donné une excellente version de l’Alcoran en anglais, veut faire regarder Mahomet comme un Numa et comme un Thésée. J’avoue qu’il faudrait le respecter si, né prince légitime, ou appelé au gouvernement par le suffrage des siens, il avait donné des lois paisibles comme Numa, ou défendu ses compatriotes comme on le dit de Thésée. Mais qu’un marchand de chameaux excite une sédition dans sa bourgade; qu’associé à quelques malheureux coracites il leur persuade qu’il s’entretient avec l’ange Gabriel; qu’il se vante d’avoir été ravi au ciel, et d’y avoir reçu une partie de ce livre inintelligible qui fait frémir le sens commun à chaque page; que, pour faire respecter ce livre, il porte dans sa patrie le fer et la flamme; qu’il égorge les pères, qu’il ravisse les filles, qu’il donne aux vaincus le choix de sa religion ou de la mort, c’est assurément ce que nul homme ne peut excuser, à moins qu’il ne soit né Turc, et que la superstition n’étouffe en lui toute lumière naturelle.
Je sais que Mahomet n’a pas tramé précisément l’espèce de trahison qui fait le sujet de cette tragédie. L’histoire dit seulement qu’il enleva la femme de Séide, l’un de ses disciples, et qu’il persécuta Abusofian, que je nomme Zopire; mais quiconque fait la guerre à son pays, et ose la faire au nom de Dieu, n’est-il pas capable de tout? Je n’ai pas prétendu mettre seulement une action vraie sur la scène, mais des moeurs vraies; faire penser les hommes comme ils pensent dans les circonstances où ils se trouvent, et représenter enfin ce que la fourberie peut inventer de plus atroce, et ce que le fanatisme peut exécuter de plus horrible. Mahomet n’est ici autre chose que Tartuffe les armes à la main.

Je me croirai bien récompensé de mon travail si quelqu’une de ces âmes faibles, toujours prêtes à recevoir les impressions d’une fureur étrangère qui n’est pas au fond de leur coeur, peut s’affermir contre ces funestes séductions par la lecture de cet ouvrage; si, après avoir eu en horreur la malheureuse obéissance de Séide, elle se dit à elle-même: Pourquoi obéirais-je en aveugle à des aveugles qui me crient: Haïssez, persécutez, perdez celui qui est assez téméraire pour n’être pas de notre avis sur des choses même indifférentes que nous n’entendons pas? Que ne puis-je servir à déraciner de tels sentiments chez les hommes! L’esprit d’indulgence ferait des frères; celui d’intolérance peut former des monstres.

C’est ainsi que pense Votre Majesté. Ce serait pour moi la plus grande des consolations de vivre auprès de ce roi philosophe. Mon attachement est égal à mes regrets; et si d’autres devoirs m’entraînent, ils n’effaceront jamais de mon coeur les sentiments que je dois à ce prince qui pense et qui parle en homme; qui fuit cette fausse gravité sous laquelle se cachent toujours la petitesse et l’ignorance; qui se communique avec liberté, parce qu’il ne craint point d’être pénétré; qui veut toujours s’instruire, et qui peut instruire les plus éclairés.

Je serai toute ma vie, avec le plus profond respect et la plus vive reconnaissance, etc
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Hamza

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 04 nov.09, 05:46

Message par Hamza »

yacoub a écrit :Voltaire, 1740

Oui, au départ, par méconnaissance de l'Islam, il critiquait très sévèrement cette religion. Après l'avoir étudié, comme le démontre les citations postés (datant d'après 1760), son avis changea radicalement, bien qu'il n'attestait pas pour autant, de la véracité de la mission prophétique de Muhammed (saw).

Aryen

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 04 nov.09, 11:02

Message par Aryen »

De toute façon, de Voltaire, les gens ne prennent que ce qui leur plaisent et rejettent le reste.
Voltaire, de nos jours serait en prison pour délit d'opinion, ce qui montre qu'il y avait plus de liberté du temps des rois qu'à notre misérable époque:

JUIF: dictionnaire philosophique
L'argument des "historiens" officiels: « Il ne faut pas demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible ; il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu » (Le Monde, 21 février 1979, p. 23)

Battlestar Galactica: All Along the Watchtower
Beethoven - Symphonie n°7 - Allegretto

yacoub

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 05 nov.09, 01:27

Message par yacoub »

Voltaire aussi a été raciste à l' égard des Noirs et même esclavagiste comme Ibn Khaldoun.
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alexislh

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Re: Qui a dit...?

Ecrit le 05 nov.09, 04:10

Message par alexislh »

N'empchèche que sa citation est parfaitement représentative de la naissance de la religion!

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