Je ne fais que mettre en avant deux approches contradictoires quant il s'agit de trouver des vérités. Dans l'une, tu fais preuve d'une bêtise crasse, dans l'autre d'un esprit critique, et c'est tout à ton honneur. Dans l'une tu fais confiance à des charlatans ou autres farfelus, des sources non fiables, non pertinentes; dans l'autre tu ne fais pas confiance à des sources fiables, des méthodes rigoureuses établies péniblement pour assurer le caractère certain de ses affirmations.pauline.px a écrit : On ne parle pas de D-ieu, ici, pourquoi ressentez-vous le besoin de botter en touche ?
Ce n'est tout de même pas l'inexistence de D-ieu qui prouve le néodarwinisme !
Y'a rien à faire, ça me dérange de faire à ce point deux poids deux mesures.
Qui plus est, quoique tu n'en aies encore rien dit de précis, je soupçonne que ta "réfutation" (je parlerais d'incompréhension plutôt) du néodarwinisme, servirait à donner à Dieu un petit rôle à jouer pour guider les mutations. Mais bon, je reconnais que je fais là du procès d'intention, pas forcément infondé (à la lecture de tes commentaires), mais je peux me tromper; tu as d'ailleurs mes excuses à l'avance, si c'est le cas.
En effet. Mais je t'ai donné deux bonnes raisons pour lesquelles il est logique de ne pas constater de mutations positives sur 5000 ans:pauline.px a écrit : Ce n'est pas parce que je ne risque pas de voir surgir un homme avec trois poumons que je comprends mieux comment le coeur des vertébrés est passé de deux à trois puis quatre cavités.
Me dire qu'il m'est impossible de constater des mutations positives sur 5000 ans ne me prouve pas que je pourrais en voir davantage sur 5.000.000 d'années.
1. l'écart temporel est beaucoup trop court, surtout compte tenu des longues générations humaines (par rapport à une bactérie par exemple)
2. plus on est complexe, plus les chances d'une mutation positive sont faibles (à moins d'un changement drastique du milieu; et encore, dans le cas de l'homme, son cerveau est déjà hyper bien équipé pour faire face à de nombreuses situations). Notre situation, ainsi que celle de nombreuses autres espèces, sont à un niveau de complexité déjà assez élevé.