poeme de victor(abou bkr) hugo sur mohamed(saw)

Forum Chrétien / Musulman / Judaisme (charte du forum religion)
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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desertdweller

desertdweller

Ecrit le 26 janv.05, 18:38

Message par desertdweller »

issa a écrit :y a un autre topic pour ca detourne pasl a question



la vertite est que vous etes plein de haine et bourré de préjuger ,ne dit pas non j etais comme toi y a encore 5 ans
on est ni plein de haine ni plein de prejuges, simplement on se rends compte que du moment que ca vient d'un frere, les musulmans avalent toutes les couleuvres.
Les mormons retrouvent les ancetres pour les baptiser, les musulmans pour les convertir a l'Islam.
Dans votre liste de "possibles" je vous suggere Isabelle de Castille, Charlemagne et Charles Martel.

catherine

catherine

Ecrit le 26 janv.05, 23:07

Message par catherine »

desertdweller a écrit : on est ni plein de haine ni plein de prejuges, simplement on se rends compte que du moment que ca vient d'un frere, les musulmans avalent toutes les couleuvres.
Les mormons retrouvent les ancetres pour les baptiser, les musulmans pour les convertir a l'Islam.
Dans votre liste de "possibles" je vous suggere Isabelle de Castille, Charlemagne et Charles Martel.
Très juste, cher desertd.

Simplement moi

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Ecrit le 26 janv.05, 23:16

Message par Simplement moi »

issa a écrit :y a un autre topic pour ca detourne pasl a question



la vertite est que vous etes plein de haine et bourré de préjuger ,ne dit pas non j etais comme toi y a encore 5 ans
Cela te ressemble bien d'éluder de répondre en disant qu'il y a un autre fil... sur quoi ? on se le demande.

Et tu me dis à moi de ne pas "détourner" la question ????

Mais mon cher Issa c'est TOI qui éludes, c'est toi qui détournes.

Une fois je t'ai demandé le pourquoi de ta conversion tu m'as dit de chercher dans les posts que tu avais déjà répondu. Je ne l'ai pas trouvée cette réponse non plus.

Je me répète, haine ? Aucune. Préjugé ? Non, il suffit de vous écouter et de vous lire.

Tu ne sais pas comment je suis maintenant et moi je ne sais pas comment tu étais il y a cinq ans, ni je connais tes motivations ni ton passé et puis je ne juge pas le fait que tu croies aujourd'hui en autre chose qu'hier.

Comme mé-créant je répète ce que je disais plus haut.

Revendiquer des pseudo conversions ou appartenances de gens qui ne sont pas ou plus là à l'Islam dessert NEGATIVEMENT votre religion.

Devoir chercher parmi les "kuffars" des soi disant convertis pour donner une supposée plus grande valeur à l'Islam est pathétique.

Surtout en "cherchant" tout comme avec les "miracles" la moindre phrase pouvant porter à confusion.

La vérité c'est que depuis bien longtemps l'Islam n'a produit aucune personnalité de la trempe de ceux que vous essayez de "récupérer"

Qu'apporterait à un protestant avancer qu'Avicène... s'était "secrètement" converti au christianisme ?

Un grand éclat de rire. Et qui rirait le premier ? Les chrétiens

Alors que le moindre Cousteau "musulmanisé" vous fait tomber en extase et en croyance infantile.

Voilà la réalité.

Si tu ne veux pas le voir...je n'y peux rien.

catherine

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Ecrit le 27 janv.05, 00:19

Message par catherine »

Sm, je n'aurais pas pu dire mieux.

issa

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Ecrit le 27 janv.05, 06:02

Message par issa »

simplemement moi,me suis je presenter en venant ici? oui ai je fait un poste a cet effet? oui cherche dedans tu devrais trouver logiquement

Simplement moi

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Ecrit le 27 janv.05, 06:16

Message par Simplement moi »

issa a écrit :simplemement moi,me suis je presenter en venant ici? oui ai je fait un poste a cet effet? oui cherche dedans tu devrais trouver logiquement
Puisque toi tu sais ou il est et la date, le lien te coûterait beaucoup ?

Par contre je vois que tu es venu effacer le lien Shoa... et que tu laisses en place l'autre.

Bravo !

Medhi el dar el kufr

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Ecrit le 27 janv.05, 07:05

Message par Medhi el dar el kufr »

marseillais a écrit :un autre petit poéme de abou bakr hugo pour les mal-propre:Extrait du


poème Cèdre dédié à Seydina Omar, deuxième calife de l’islam, compagnon du prophète.

Omer, le puissant prêtre, aux prophètes pareil,
Aperçut, tout auprès de la mer Rouge, à l'ombre
D'un santon, un vieux cèdre au grand feuillage sombre
Croissant dans un rocher qui bordait le chemin ;
Scheik Omer étendit à l'horizon sa main
Vers le nord habité par les aigles rapaces,
Et, montrant au vieux cèdre, au delà des espaces,
La mer Égée, et Jean endormi dans Pathmos,
Il poussa du doigt l'arbre et prononça ces mots :
« Va, cèdre ! va couvrir de ton ombre cet homme. »
Le blanc spectre de sel qui regarde Sodome
N'est pas plus immobile au bord du lac amer
Que ne le fut le cèdre à qui parlait Omer ;
Plus rétif que l'onagre à la voix de son maître,
L'arbre n'agita pas une branche .Le prêtre dit :
« Va donc ! » et frappa l'arbre de son bâton.
Le cèdre, enraciné sous le mur du santon,
N'eut pas même un frisson et demeura paisible.
Le scheik alors tourna ses yeux vers l'invisible,
Fit trois pas, puis, ouvrant sa droite et la levant :
« Va ! Cria-t-il, va, cèdre, au nom du Dieu vivant ! »
« Que n'as-tu prononcé ce nom plus tôt ? » dit l'arbre.
Et, frissonnant, brisant le dur rocher de marbre,
Dressant ses bras ainsi qu'un vaisseau ses agrès,
Fendant la vieille terre aïeule des forêts,
Le grand cèdre, arrachant aux profondes crevasses
Son tronc et sa racine et ses ongles vivaces,
S'envola comme un sombre et formidable oiseau.
Il passa le mont Gour posé comme un boisseau
Sur la rouge lueur des forgerons d'Érèbe ;
Laissa derrière lui Gophna, Jéricho, Thèbe,
L'Égypte aux dieux sans nombre, informe panthéon,
Le Nil, fleuve d'Éden, qu'Adam nommait Gehon,
Le champ de Galgala plein de couteaux de pierre,
Ur, d'où vint Abraham, Bethsad, où naquit Pierre,
Et, quittant le désert d'où sortent les fléaux,
Traversa Chanaan d'Arphac à Borcéos ;
Là, retrouvant la mer, vaste, obscure, sublime,
Il plongea dans la nue énorme de l'abîme,
Et, franchissant les flots, sombre gouffre ennemi,
Vint s'abattre à Pathmos près de Jean endormi.
Jean, s'étant réveillé, vit l'arbre, et le prophète
Songea, surpris d'avoir de l'ombre sur sa tête ;
J'espère que tu as lu la suite du poeme et compris l'allégorie du cèdre.

Voilà le troisième texte de la légende des siècles sur l'islam (au moins on les aura tous )


MAHOMET

Le divin Mahomet enfourchait tour à tour
Son mulet Daïdol et son âne Yafour;
Car le sage lui-même a, selon l'occurrence,
Son jour d'entêtement et son jour d'ignorance


si tu veux vraiment savoir ce que pensait hugo de mahomet dans la légende des siècles La Légende des Siècles
Tome I
Chapitre:XXIII LES TRONES D'ORIENT II 1453 http://www.la-litterature.com/textes/te ... =hugo_1453




Les turcs, devant Constantinople,
Virent un géant chevalier,
À l'écu d'or et de sinople,
Suivi d'un lion familier.

Mahomet deux, sous les murailles,
Lui cria : Qu'es-tu ? Le géant
Dit : " - Je m'appelle Funérailles.
Et toi, tu t'appelles Néant.

" Mon nom sous le soleil est France.
Je reviendrai dans la clarté,
J'apporterai la délivrance,
J'amènerai la liberté.

" Mon armure est dorée et verte
Comme la mer sous le ciel bleu ;
Derrière moi l'ombre est ouverte ;
Le lion qui me suit, c'est Dieu. "

(je passe sur le cri de guerre du muphti et autres poemes typiquement orientalistes)

Autre chose il considérait que mahomet a été aidé par des moines pour rédiger le coran cf la poésie l'âne strophe 151-152' Et comment Mahomet dans tous ses embarras
Consultait Sergius aidé de Batiras ' (il fait d'ailleurs erreur de traduction dans batiras tout comme dans omer)

http://www.kalliope.org/digt.pl?longdid=hugo1999091201

dans le premier poeme que tu as cité(l'an neuf de l'hégire) hugo dit que mahomet n'etait pas un illettré et qu'il a rédigé lui même le coran cf la strophe3 A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le koran de sa main même écrit" http://www.lyc-hoche-versailles.ac-vers ... nde.htm#34

Maintenant si tu veux comprendre la place de mahomet dans la légende des siècles il va falloir que tu creuses un peu le sujet( les textes répondent à une successio de cycles lesquels?)



Deux autres citations pour finir :


"La religion n'est autre chose que l'ombre portée de l'univers sur l'intelligence humaine."
(Victor Hugo / 1802-1885 / Philosophie, Commencement d'un livre)

Homme, contente-toi de cette soif béante ;
Mais ne dirige pas vers Dieu ta faculté
D'inventer de la peur et de l'iniquité,
Tes catéchismes fous, tes korans, tes grammaires,
Et ton outil sinistre à forger des chimères."
(Victor Hugo / 1802-1885 / Religions et religion / 1880)

Simplement moi

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Ecrit le 27 janv.05, 07:58

Message par Simplement moi »

Mehdi... très bonne contribution Victor Huguienne :lol:

benal

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Ecrit le 29 janv.05, 00:42

Message par benal »

mike a dit:
En général j'essaie de m'abstenir de commenter votre livre (je n'y parviens peut-être pas toujours ...). En revanche lorsque je lis certaines remarques de la part de musulmans sur la bible, je suis assez effaré. Et je n'ai pas toujours le sentiment d'honnèteté, d'absence de préjuger ou d'obstination.

"Jésus comme Abraham était musulman(=soumis a dieu), un dieu unique. ". Est-ce là de l'honnèteté ? Vous ne cesser ce vouloir tout vous approprier de la bible, qu'en même temps vous nier quand cela ne vous arrange pas trop (désole de le dire).
C'est ce que fait cette remarque. On joue sur les mots. Oui musulman veut dire "soumis à Dieu" ... Est-ce bien tout ? Soyons honnète, justement. Le musulman c'est celui qui est de la religion islamique, bien au-delà de sa signification première et restrictive. Jésus est-il islamiste ?
Jamais, il n'a traité son Dieu de trompeur (si tant est que cela soit vraiment de l'islam). Jamais il n'a menti (et pas quand il disait qu'il lui FALLAIT mourrir).
Alors par honneteté, accordons-nous pour dire que Jésus était soumis à son Dieu (puisque nous sommes d'accord sur ce point), mais de grâce, laissons cela en ces termes par respect mutuel
...

je respecte en vous votre respet de notre livre sacré, et je suis d'accord que le respect mutuel commence par le respect de l'autre.

nous pensons que le dieu qui a creé le monde est un seul est celui évoqué ds tous les livres saint à travers l'histoire humaine malgré les différentes d'appellations et nous croyons aussi que le message de tous les prophète est le même malgé les es différentes d'appellations c'est celui de la paix et de l'amour et surtout celui d'adorer ce dieu et laisser tout autre.

Dites: ‹Nous croyons en Allah et en ce qu'on nous a révélé, et en ce qu'on n'a fait descendre vers Abraham et Ismaël et Isaac et Jacob et les Tribus, et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus, et en ce qui a été donné aux prophètes, venant de leur Seigneur: nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes Soumis›. 1-137
or les législations diffèrent d'un prophète à autres suivant les siècles et les mentalité des gens, jesus etait mouslim cad soumis à allah avec une législation différente de l'islam mais pas des différence touchant à la base juste en matière de la pratique religieuse.
Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu'Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t'avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus: ‹Etablissez la religion; et n'en faites pas un sujet de division›. Ce à quoi tu appelles les associateurs leur parait énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent. aussi il faut pas confondre les termes utilsés mouslim et différent du terme islamiste.

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Ecrit le 29 janv.05, 00:53

Message par Simplement moi »

Dire que Jésus est "mouslim" est encore de la simple récupération pour conforter la "véracité" de l'Islam.

Il suffit de lire le NT pour se rendre compte clairement que le message est aux antipodes.

benal

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Ecrit le 29 janv.05, 01:13

Message par benal »

simplement moi:
Simplement moi a écrit :Dire que Jésus est "mouslim" est encore de la simple récupération pour conforter la "véracité" de l'Islam.

Il suffit de lire le NT pour se rendre compte clairement que le message est aux antipodes.
mike qui est chrétiens est d'accord sur le fait que jesus SBL est mouslim cad soumis à dieu, et toi qui n'a pas de religion d'après tes déclarations, tu ne peut pas être plus chrétiens que lui.
et toi tu parle du prophète jesus SBL comme c'est c'était un homme ordinaire sans aucune forme de politesse, les musulmans ont appris de leur prophète SBL à le respecter en le saluant à chaque momnet qu'il est évoqué par le mention SALUT ET B2N2DICTION SUR LUI cessez de parler de lui commen un homme ordinaire.

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Ecrit le 29 janv.05, 01:55

Message par Simplement moi »

benal a écrit :simplement moi: mike qui est chrétiens est d'accord sur le fait que jesus SBL est mouslim cad soumis à dieu, et toi qui n'a pas de religion d'après tes déclarations, tu ne peut pas être plus chrétiens que lui.
et toi tu parle du prophète jesus SBL comme c'est c'était un homme ordinaire sans aucune forme de politesse, les musulmans ont appris de leur prophète SBL à le respecter en le saluant à chaque momnet qu'il est évoqué par le mention SALUT ET B2N2DICTION SUR LUI cessez de parler de lui commen un homme ordinaire.
Comme effectivement je suis "sans religion" je peux parler comme je veux de qui je veux, en employant les termes qui me semblent adéquats.

Ce n'est pas en mettant après chaque nom de chaque personne un (swb-sbl-saw- etc..... etc.... etc.....)
que l'on est plus respectueux si l'on fait le contraire de ce que cette personne a prescrit ou conseillé.

benal

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Ecrit le 29 janv.05, 07:34

Message par benal »

mike a dit:
En général j'essaie de m'abstenir de commenter votre livre (je n'y parviens peut-être pas toujours ...). En revanche lorsque je lis certaines remarques de la part de musulmans sur la bible, je suis assez effaré. Et je n'ai pas toujours le sentiment d'honnèteté, d'absence de préjuger ou d'obstination.

"Jésus comme Abraham était musulman(=soumis a dieu), un dieu unique. ". Est-ce là de l'honnèteté ? Vous ne cesser ce vouloir tout vous approprier de la bible, qu'en même temps vous nier quand cela ne vous arrange pas trop (désole de le dire).
C'est ce que fait cette remarque. On joue sur les mots. Oui musulman veut dire "soumis à Dieu" ... Est-ce bien tout ? Soyons honnète, justement. Le musulman c'est celui qui est de la religion islamique, bien au-delà de sa signification première et restrictive. Jésus est-il islamiste ?
Jamais, il n'a traité son Dieu de trompeur (si tant est que cela soit vraiment de l'islam). Jamais il n'a menti (et pas quand il disait qu'il lui FALLAIT mourrir).
Alors par honneteté, accordons-nous pour dire que Jésus était soumis à son Dieu (puisque nous sommes d'accord sur ce point), mais de grâce, laissons cela en ces termes par respect mutuel

...

je respecte en vous votre respet de notre livre sacré, et je suis d'accord que le respect mutuel commence par le respect de l'autre.

nous pensons que le dieu qui a creé le monde est un seul est celui évoqué ds tous les livres saint à travers l'histoire humaine malgré les différentes d'appellations et nous croyons aussi que le message de tous les prophète est le même malgé les es différentes d'appellations c'est celui de la paix et de l'amour et surtout celui d'adorer ce dieu et laisser tout autre.

Dites: ‹Nous croyons en Allah et en ce qu'on nous a révélé, et en ce qu'on n'a fait descendre vers Abraham et Ismaël et Isaac et Jacob et les Tribus, et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus, et en ce qui a été donné aux prophètes, venant de leur Seigneur: nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes Soumis›. 1-137
or les législations diffèrent d'un prophète à autres suivant les siècles et les mentalité des gens, jesus etait mouslim cad soumis à allah avec une législation différente de l'islam mais pas des différence touchant à la base juste en matière de la pratique religieuse.
Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu'Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t'avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus: ‹Etablissez la religion; et n'en faites pas un sujet de division›. Ce à quoi tu appelles les associateurs leur parait énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent. aussi il faut pas confondre les termes utilsés mouslim et différent du terme islamiste.

desertdweller

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Ecrit le 29 janv.05, 19:51

Message par desertdweller »

benal a écrit :simplement moi: mike qui est chrétiens est d'accord sur le fait que jesus SBL est mouslim cad soumis à dieu, et toi qui n'a pas de religion d'après tes déclarations, tu ne peut pas être plus chrétiens que lui.
et toi tu parle du prophète jesus SBL comme c'est c'était un homme ordinaire sans aucune forme de politesse, les musulmans ont appris de leur prophète SBL à le respecter en le saluant à chaque momnet qu'il est évoqué par le mention SALUT ET B2N2DICTION SUR LUI cessez de parler de lui commen un homme ordinaire.
Mais Mohammed est un homme ordinaire.
Ce sont les musulmans qui l'ont deifie.
D'ailleurs les musulmans ont une occasion en or pour demontrer qu'ils ont raison.
Tout homme qui apprends le coran par coeur, son corps ne pourrira pas apres sa mort.
Tout le monde sait ou est enterre Mohammed. Deterez le et on pourra verifier si oui ou non il est ordinaire.

pastoral hide & seek

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Ecrit le 30 janv.05, 00:52

Message par pastoral hide & seek »

Ah oui j'avais entendu des rumeurs a propos d'une conversion du commandant coustaud a l'islam, mais je ne suis jamais renseigné à ce propos.

Sinon Hugo musulman ca ne colle pas trop quand on connait le personnage, le génie ( il a excellé en plusieurs domaines il mérite donc ce titre)
Très grand écrivain , très grand poète, homme politique de droite puis de gauche et de tout ce qu'on veut (c'est peut etre pour sa capacité a changé tout le temps que certains veulent en profiter pour faire de lui un musulman), il était connu jusqu'en chine, les chinois lui écrivaient pour qu'il donne son avis sur certaines de leurs préoccupations, il est même encore de nos jours sujet d'un culte en thailande, ou certains font de lui un dieu.
Hugo était effectivement déiste, il croyait en un dieu de liberté et de générosité, un dieu de l'inspiration, un dieu des écrivains, c'est cela que je retiens de sa vision, a coté de cela il a toujours rejetté toute formes de religions et surtout de clericalisation.

la lecture de Chateaubriand a failli le faire tomber dans le catholicisme, mais cela n'a pas marché, alors si ca n'a pas marché avec chateaubriand, on peut facilement se douter que ca ne marchera avec aucune autre religion, ce qu'il faut conclure c'est que le dieu d'hugo est avant tout hugolien. (et l'homme créa dieu a son image :) )


Célébration du bi-centenaire de sa naissance en 2002 par Alain Decaux :
Moi, je vais devant moi ; le poète en tout lieu
Se sent chez lui, sentant qu’il est partout chez Dieu.

insi parle Victor Hugo. À tous les âges de sa vie, il côtoie Dieu. Il n’a pas besoin de le chercher : Dieu vient à lui. Ce Dieu, d’autres le prient ; Hugo lui parle. Au bas d’une photographie de lui, il écrit : « Victor Hugo écoutant Dieu. »

Rien n’ébranle sa foi en une force infinie, créatrice et maîtresse de l’univers. Certes il n’est pas seul à y croire. Seul néanmoins à nous restituer aussi totalement l’invisible et l’insaisissable, disposant pour ce faire d’un privilège sans pareil : son style, son langage, ses mots. Il est sûr que son esthétique lui vient de Dieu. Dieu nourrit ses idéaux et jusqu'à ses choix politiques. S’il défend la liberté, c’est qu’elle est à ses yeux l’essence terrestre de Dieu. Pour lui le peuple est sacré parce que le peuple est Dieu. Le jeune poète est-il amoureux et déjà il en appelle à Dieu : « Je vois Dieu en toi, je l’aime en toi, parce que je ne puis voir et aimer autre chose que toi... Ce n’est pas offenser Dieu que d’adorer un ange. »

Écoutez Olympio qui est l’autre lui-même : « Je crois, voilà tout. La foule a les yeux faibles. C’est son affaire. Les dogmes et les pratiques sont des lunettes qui font voir l’étoile aux vues courtes. Moi je vois Dieu à l’œil nu. »

Le monde change, Hugo change mais son Dieu reste immuable. N’en doutons, pas le Dieu de Victor Hugo est hugolien.

Cette foi intangible lui est-elle venue de ses parents ? Nullement. Son père, soldat de la Révolution et franc-maçon, avait jeté aux orties la religion de ses ancêtres. De sa mère, Hugo écrira qu’elle « croyait à Dieu et à l’âme : rien de moins, rien de plus. » Elle n’entrait jamais dans une église, dira-t-il, « non à cause de l’église, mais à cause des prêtres... Elle les évitait. Elle ne parlait jamais d’eux. Elle avait pour eux une sorte de sévérité muette... » Le résultat fut clair : aucun prêtre n’a béni le mariage de Léopold Hugo et de Sophie Trébuchet. Aucun autre n’a fait couler l’eau du baptême sur le front de l’enfant Victor.

Or il a approché Dieu. Il s’est interrogé sur l’innommé :

Comment se figurer la face du profond,
Le contour du vivant sans borne, et l’attitude
De la toute-puissance et de la plénitude ?
Est-ce Allah, Brahma, Pan, Jésus que nous voyons ?
Ou Jéhovah ?

Il a vu Dieu dans Aristote, l’Iliade, l’Odyssée, la Bible, saint Augustin, Descartes, Voltaire, Leibniz, combien d’autres ! Que cette science ne lui ait pas suffi, c’est évident. Hugo fut le plus prodigieux accumulateur de sensations qui ait été. Bourgeois presque caricatural, s’il a appréhendé si profondément la souffrance des hommes, la pauvreté et l’injustice, c’est qu’il les a senties. Constatons qu’il a senti Dieu et épargnons-nous les gloses.

Doit-on considérer comme un chemin de Damas sa rencontre avec Chateaubriand ? Victor, alors jeune chantre de la monarchie restaurée, a dévoré Le Génie du christianisme et Les Martyrs dont l’auteur est devenu son idole. Pour Chateaubriand, il est exclu que le Trône puisse se séparer de l’Autel. Or il proclame Hugo « enfant sublime », lequel vacille. Faut-il se faire catholique ? L’abbé de Rohan lui demande « Avez-vous un confesseur ? — Non. — Il vous en faut un. » Lamennais est choisi qui s’en montre d’ailleurs enchanté, mais la confession n’ira pas jusqu'à la conversion. « La foi vient de l’intuition, écrira le jeune agnostique, et la foi, c’est l’ancre de la raison humaine ! »

Le Dieu de Victor Hugo ne pouvait s’ancrer qu’à lui-même.

Est-ce à dire qu’il ne se pose pas de questions, qu’il n’éprouve aucun doute ?

Qui donc êtes-vous, Dieu superbe ?
D’où vient votre souffle terrible ?
Et quelle est la main invisible
Qui garde les clefs du tombeau ?

Dieu se glisse dans les premiers recueils qui ont fait son renom. Il s’impose dans ceux qui suivent. Dans Magnitudo parvi, grand poème de 1839, Hugo dévoile à sa fille le spectacle à vrai dire terrifiant d’une immensité qui dépasse de loin les frontières terrestres pour se projeter dans des mondes supposés habités où vivent

Les ébauches, les embryons
Qui sont là ce que nous sommes...

Il lui montre le

Ciel où les univers se font et se défont
Un double précipice à la fois les réclame :
« Immensité ! » dit l’être. « Éternité ! » dit l’âme.

Du brasier solaire naissent les planètes ; d’autres s’abîment dans un lit de glace. Des ténèbres, des tourbillons, de la foudre qui frappe, du souffle qui jaillit, le visionnaire en vient à l’aboutissement qui est l’homme :

Dieu cache un homme sous les chênes
Et le sacre en d’austères lieux
Avec le silence des plaines
L’ombre des monts, l’azur des cieux !

Interdit à cet homme-là de regarder derrière lui

... Il ne voit plus Saturne pâle,
Mars écarlate, Acturus bleu,
Sirius, couronne d’opale,
Aldebaran, turban de feu ;

Ni les mondes, esquifs sans voiles,
Ni, dans le grand ciel sans milieu,
Toute cette cendre d’étoiles ;
Il voit l’astre unique : il voit Dieu.

Comment en douter ? Le Dieu hugolien est panthéiste.

Or la fille à qui il montrait Dieu au sein de l’infini, cette Léopoldine bien-aimée, va mourir noyée en baie de Seine.

Jusqu'à son dernier jour, Victor Hugo portera le poids accablant de cette douleur immense. Surtout, il survivra modifié. Nous découvrons deux Hugo : avant et après la mort de Léopoldine. S’ouvre alors ce que Maurice Levaillant a appelé La Crise mystique de Victor Hugo, véritable « effervescence religieuse » selon Emmanuel Godo, dernier explorateur du spirituel hugolien. Rien en tout cas de ce qui aurait pu être déduit des années vécues jusque-là. Il était sûr que sa fonction de poète le rapprochait spirituellement de Dieu ; sous le poids de l’insupportable souffrance, il se sent « relié physiquement » à lui. Au lendemain de la catastrophe, il écrit : « Le malheur est une clarté. » Et aussi : « La lumière pénètre en nous en même temps que la douleur. » La Bible ne répond plus à ses questions. Pourquoi ne pas découvrir le Coran ? Il y trouve cette idée qui le frappe parce qu’elle est sienne : « L’homme est de toutes parts environné de Dieu. »

Léopoldine est entrée dans l’invisible. Il y cherche son âme légère, il s’abîme dans la prière : « Il me semble impossible que la prière se perde. Nous sommes dans le mystère. La différence entre les vivants et les âmes, c’est que les vivants sont aveugles, les âmes voient. »

On sait de quelle façon, pendant l’exil à Jersey, Mme de Girardin lui a appris à interroger les tables. Et de quelle façon, dès la première séance, un esprit s’est présenté qui s’est révélé « fille » et « morte ».

Question : « Qui es-tu ? »

— Âme Soror.

Il écoute, Victor Hugo, comme il écoute ! Il guette, il attend, il voudrait tant espérer !

— De qui es-tu la sœur ?

La table répond : « Doute ». « Nous sentons tous la présence de la morte », note Auguste Vaquerie, témoin et participant. Hugo intervient :

— Es-tu heureuse ?
— Oui.
— Que faut-il faire pour aller à toi ?
— Aimer.
— Qui t’envoie ?
— Dieu.
— Vois-tu la souffrance de ceux qui t’aiment ?
— Es-tu toujours auprès d’eux ? Veilles-tu sur eux ?
— Oui.
— Dépend-il d’eux de te faire revenir ?
— Non.
— Reviendras-tu ?
— Oui.
— Bientôt ?
— Oui.

Nous les voyons, les infortunés parents : Adèle en pleurs, Hugo brisé. Si le premier esprit appelé — et venu — n’avait été cette jeune fille, les tables tournantes n’auraient représenté qu’une expérience singulière comme il s’en pratiquait partout alors en France — et sans lendemain. Ce fut une jeune fille qui répondit. La quête éperdue du père va se poursuivre durant deux années — oui, deux années entières ! Chaque jour Hugo arrachera à son œuvre de longues heures pour interroger les esprits. On sourit quand on énumère ces esprits-là, variété incroyable, exploration qui n’a de cohérence que par rapport à celui qui les appelle. Soyez-en convaincus : il ne peut, dans l’interrogation harassante, exister de supercherie. Beau sujet pour la science. Mais la science ne s’en est pas inquiétée.

Il vit dans l’insondable. Le 24 mars 1854, la table annonce que la Dame blanche — familière aux habitants de Jersey — lui rendra visite à trois heures du matin. Il n’y pense plus, se couche, s’endort. Écoutons-le : « Un coup de sonnette m’a brusquement réveillé. C’était la sonnette de la porte. Je me suis soulevé sur l’oreiller. J’ai écouté. Je me suis dit : « S’il était trois heures du matin par hasard ? » J’ai frotté plusieurs allumettes et regardé à ma montre suspendue près de mon chevet. L’aiguille marquait trois heures cinq minutes. »

Simple début. Désormais il entendra presque chaque nuit des esprits s’agiter. Partout l’accompagneront des coups sourds, des frappements, des craquements. L’extraordinaire, encore, c’est que de telles épreuves qui eussent anéanti tout autre le trouvent, au réveil, frais, dispos et doté d’un appétit dévorant. L’extraordinaire est, dans le même temps, que la chambre de Marine Terrace est devenue, selon l’expression d’André Maurois, une « forgerie de vers » : « Religion, abîmes, empires, espace et temps, il y survolait tout avec une largeur de vision égalée seulement par Dante et Milton. »

Cette œuvre se tourne plus souvent vers ce qu’il appellera — titre inspiré — la Bouche d’ombre. « Les Voix » composeront la deuxième partie de Dieu, immense poème. C’est toute la création que Hugo appelle pour l’aider à rejoindre Dieu. Il requiert les services d’une mouche, d’une chauve-souris, d’une taupe, du soleil, de l’homme, de l’arbre, de la brute. Rien.

Ô passant, comprends-tu ce mot : Rien !
Ce qu’on nomme le mal est peut-être le bien ?

Le corbeau reste impuissant et aussi le vautour. L’aigle prend le relais et — lui — se réclamant de Job, jure que Dieu existe.

Au-dessus du ciel bleu qui remue et qui tourne
Où les chars des soleils vont, viennent et s’en vont
Est le ciel immobile, éternel et parfait.
Là, vit Dieu. […]
Dieu n’a qu’un front : Lumière et n’a qu’un nom : Amour !

Les années passant, on trouve plus souvent Jésus au détour de ses vers. Comment clamer que Dieu est amour et ignorer celui qui a donné aux hommes l’ordre qui résume tout : « Aimez-vous les uns les autres » ?

Dans Les Contemplations, sous le titre « Écrit au bas d’un crucifix », on trouve ces vers insolites pour qui sait que le monde spirituel de Hugo n’admet aucune incarnation :

Vous qui pleurez, venez à ce Dieu, car il pleure.
Vous qui souffrez, venez à lui, car il guérit.
Vous qui tremblez, venez à lui, car il sourit.
Vous qui passez, venez à lui, car il demeure.

Ces vers, d’ailleurs, Michelet va les reprocher violemment à Hugo. La réponse ne se fait pas attendre : « Je ne puis oublier que Jésus a été une incarnation saignante du progrès ; je le retire au prêtre, je détache le martyr du crucifix et je décloue le Christ du christianisme. »

Vous conviendrez avec moi que, ce jour-là, Hugo n’a jamais été aussi totalement Hugo.

Il va et la forme de son Dieu se précise : il est tout ce qui est bien, tout ce qui est beau, tout ce qui est bon. Dieu est dans le regard limpide de ses petits-enfants, dans la fleur que la brise fait trembler, dans la biche qui glisse entre les branches. Il oppose au diable, au pape, aux enfers, aux satans

Cet alléluia formidable
L’éclat de rire du printemps.

La prière le tient constamment en éveil. Plusieurs fois par jour, il s’adresse à Dieu. Dans ses papiers, on trouvera cette phrase jetée d’un élan sur une feuille :

Credo in unum deum omnipotentem.

En 1880, il publie Religions (avec un s) et Religion (sans s). Il s’afflige de voir le matérialisme triompher.

Homme, contente-toi de cette soif béante
Mais ne dirige pas vers Dieu ta faculté
D’inventer de la peur et de l’iniquité.

Il est vieux mais ne redoute jamais la mort :

— Je vais mourir. Je verrai Dieu. Voir Dieu ! Lui parler ! Quelle grande chose ! Que lui dirai-je ? J’y pense souvent. Je m’y prépare.

Le 31 août 1881, il rédige son testament : « Dieu. L’âme. La responsabilité. Cette triple notion suffit à l’homme. Elle m’a suffi. »

« C’est la religion vraie. J’ai vécu en elle. Je meurs en elle. Vérité, lumière, justice, conscience, c’est Dieu. Deus, Dies. Je vais fermer l’œil terrestre ; mais l’œil spirituel restera ouvert, plus grand que jamais. »

Le 2 août 1883, Hugo ajoute un codicille à ce testament : « Je donne 50 00 francs aux pauvres. Je désire être porté au cimetière dans leur corbillard. Je refuse l’oraison de toutes les églises. Je demande une prière à toutes les âmes. »

« Je crois en Dieu. »

Dans les derniers temps, quand il retournait dans sa maison de Guernesey, il aimait aller vers les rocs rouges que l’on voit au-delà de Plainmont et portait ses pas lourds vers cette Maison visionnée dont les paysans parlaient à voix basse parce que l’on y voyait, la nuit, des fantômes. Le vieil homme ne s’en alarmait pas. Des esprits, il se savait depuis longtemps familier.

À l’extrémité d’une falaise, il s’arrêtait. On le voyait alors remuer les lèvres et sourire. J’ai cherché ce qu’étaient ces paroles. J’ai cherché ce que signifiait ce sourire.

En me portant sur la même falaise, en écoutant le fracas des mêmes vagues, enfin j’ai compris.

Là, devant l’Océan qui était son double, Victor Hugo parlait avec Dieu.

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