Oui mais on expique pas le Coran via un Larousse, mais la procédure de interprétation du Coran dans la théologie musulmane, on commence par interprète le Coran par le Coran sinon le Hadith, sinon l'effet de réflexion... si on cherche dans le Coran on trouve ceci {15.29. Lorsque Je lui aurai donné sa forme et insufflé en lui de Mon Esprit, vous vous jetterez devant lui et vous vous prosternerez !»}, est ce que Adam aussi emane de Dieu de la façon que vous la comprenez ?... mieux encore {45.13. Et Il vous a soumis tout ce qui est dans les Cieux et tout ce qui est dans la Terre, car tout procède de Lui.}, est ce que l'Univers aussi la même chose ? non, et puis en Islam Dieu n'est pas esprit pour engendrer un esprit, mais en Islam Dieu est {24.11. Rien ne Lui est comparable.}, tu va au fur et à mesure comprendre que le Coran n'est surtout pas comme la Bible ni vient de la Bible, ni l'Islam vient du Christianuime.
Oui tout ça c'est toi qui le dit mais tu ne prouves absolument rien car sache que la Bible fut écrite bien avant le Coran ou sinon d'ou le Coran tiendrait-il sa souce?
Pour comprendre il faut lire...
http://islamenquestion.free.fr/la%20que ... ue2.htm#I4
Cette question demande à être posée à propos de l'essentiel, du coeur central dont tous le reste dépend, c'est-à-dire : d'une part, Dieu considéré en lui-même, et d'autre part, Dieu dans son rapport avec sa création.
A propos de Dieu en lui-même, tout d'abord, que nous dit le Coran ?
Au vrai, bien peu de choses : Dieu est unique, et il est source d'une parole éternelle et incréée. On cherchera vainement, dans le Coran, quoi que ce soit de plus. Assurément ce n'est pas rien : mais le problème est qu'aucun de ces deux points n'était inconnu de l'homme, avant que Muhammad ne les formulât : pour le dire rapidement, le premier est très expressément révélé dans le judaïsme, et le second dans le christianisme (peut-être même déjà dans le judaïsme également).
Si l'on considère ensuite Dieu dans son rapport avec ce qui n'est pas lui, qu'en est-il ?
Le Coran affirme que Dieu est l'origine et la fin de toutes choses ; qu'il est le créateur de l'homme et du monde ; qu'il est soucieux du sort de l'homme et désireux de le guider vers son bonheur, qu'il est envers l'homme clément et miséricordieux, et qu'il le jugera en toute justice après sa vie.
En fait, tout cela était connu depuis des siècles et des siècles, par les Juifs et les Chrétiens, au moment où Muhammad l'a dit.
Ainsi, sur l'essentiel, à la question qu'apporte l'islam de nouveau par rapport au judaïsme et au christianisme ?,
il n'est pas possible de répondre autre chose que : absolument rien.
Et cela, en dépit des apparences, sans qu'il s'agisse d'une déclaration d'hostilité à l'égard de l'islam. Nous sommes ici devant un simple fait, que quiconque peut vérifier simplement en lisant le Coran après avoir lu la Bible : à propos de Dieu, de sa nature, de sa volonté, de son statut par rapport à l'homme, l'islam n'apporte aux hommes strictement rien d'inouï, rien qui n'ait déjà été dit et redit d'innombrables fois avant lui.
Sans doute de nombreux musulmans l'ignorent-ils, pour une raison simple : puisque le Coran se présente comme rendant caduques les révélations antérieures, très rares sont les musulmans qui connaissent la Bible, Ancien et Nouveau Testaments.
Cela leur paraît tout à fait inutile, puisqu'ils sont convaincus de posséder un livre qui remplace complètement ceux-ci.
Cette ignorance les conduit alors naturellement à considérer comme nouvelles et propres au Coran, des choses qui sont en vérité très anciennes et qui étaient parfaitement connues bien avant lui. Mais il y a à cela un remède bien simple, qui permettra du même coup de ne pas tomber dans la polémique : il suffit que le musulman lise avec soin le Coran, qu'il fasse le bilan de ce que ce livre lui apprend à propos de Dieu et du rapport de Dieu avec sa création, puis qu'il lise la Bible : il ne pourra manquer de constater que tous les points essentiels indiqués par le Coran s'y trouvent déjà. Ce qui est dit dans ce texte peut être dit par un homme, pourvu qu’il connaisse le judaïsme et le christianisme. Son contenu fait donc partie de ceux dont on a dit plus haut que, dans le meilleur des cas, la révélation est pour eux une forme extérieure et empruntée, et non pas la seule forme (nécessaire, absolument indispensable) de leur expression. Mais il faut tenir compte ici d’un argument important avancé par les musulmans, à savoir que Muhammad, lui, ne connaissait pas et ne pouvait pas connaître les doctrines judaïques et chrétiennes (il était illettré, dit-on) ; par conséquent, même si le contenu du Coran était déjà connu par d’autres hommes, étant donné que lui, Muhammad, ne pouvait le connaître, cela suffit à montrer que la source de son discours devait nécessairement être Dieu (car lui-même ne pouvait pas « l’inventer »). On retrouverait ainsi l’adéquation entre contenu et forme, reconnue plus haut comme critère essentiel du caractère révélé d'un discours. Or cela appelle deux remarques :
D’abord, l’adéquation entre contenu et forme reposerait entièrement, ici, non pas sur le fait que le contenu dépasse ce qu’il est possible de connaître par l’homme (en général, donc l’homme comme tel), mais seulement sur le fait qu’il dépasse ce qui pouvait être connu par un certain homme, compte tenu des circonstances particulières de la vie de cet homme-là (son entourage, son lieu et son mode de vie, etc.). Par conséquent, l’adéquation entre contenu et forme est elle-même fortuite, circonstancielle et extérieure ; elle ne tient pas à la nature précise de ce qui est dit, mais seulement à la nature particulière du mode de vie d’un individu (et d’un seul !). Autrement dit, c’est seulement pour Muhammad que ce qu’il a dit ne pouvait pas venir d’une source humaine ; mais pour des millions d’autres hommes, il était parfaitement possible d’avoir le même contenu sans qu’aucune révélation ne soit nécessaire.
De plus, tout l’argument repose sur la certitude que Muhammad ne pouvait absolument pas connaître les doctrines judaïques et chrétiennes ; car c’est uniquement cela qui rendrait nécessaire une intervention divine, pour qu’il ait pu dire ce qu’il a dit. Or c’est là une affirmation extrêmement fragile (objectivement), tant il est bien connu et admis par les musulmans eux-mêmes que, près de l’endroit où vivait Muhammad, vivaient des communautés juives et des chrétiens (même « hérétiques », et même de simples individus isolés). Il faudrait donc admettre que jamais Muhammad n’a été en contact avec ces gens, alors que cela était pourtant tout à fait possible et même facile. Evidemment, on peut le croire ; mais il faut alors mesurer toute la fragilité du support de cette foi (ceci dit, comme toujours, sans nul esprit polémique mais par simple souci de raisonner logiquement).
* * *
Résumons-nous :
1) Il est établi qu’il est possible que Muhammad ait connu les doctrines judaïque et chrétienne, et donc qu’il ait pu dire tout ce qu’il a dit (sur Dieu) sans qu’aucune révélation ne soit nécessaire. Certes, il reste que les propos de Muhammad sur Dieu peuvent s'expliquer de deux façons : soit comme étant révélés directement par Dieu, soit comme étant simplement empruntés aux deux religions monothéistes déjà existantes ; et l'on peut, certes, décider de choisir la première explication. Mais on ne peut pas contester que la seconde est parfaitement possible elle aussi (ce qui n'est pas le cas, rappelons-le, pour la révélation judaïque et la révélation chrétienne). Dès lors, le choix de la première n'apparaît-il pas comme purement gratuit ? Pourquoi croire que Muhammad a reçu une révélation de Dieu, alors que, à propos de Dieu, il ne dit rien de plus que ce que des millions de gens savaient déjà, si bien que n'importe qui pouvait donc dire exactement la même chose sans aucune nouvelle révélation ?
2) Même en admettant qu’il n’ait pas connu les doctrines judaïque et chrétienne, et donc en admettant qu’il ait bénéficié d’une révélation, cette révélation n’en était une que pour lui, non en elle-même : donc une révélation purement individuelle, qui aurait simplement appris à un individu ce que des millions d’autres savaient déjà depuis longtemps.
Ma pensée à moi
La soite disante révélation de Muhammad par l'ange Gabriel fait à Muhammad est contradictoire puisque l'ange gabriel est soumit à Dieu et selon le livre de la révélation :
Révélation selon St Jean
1:1 Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses esclaves...
Et Révélation 22:18 qui dit: “ J’atteste à tout homme qui entend les paroles de la prophétie de ce rouleau : Si quelqu’un ajoute à ces choses, Dieu lui ajoutera les plaies qui sont écrites dans ce rouleau ; 19 et si quelqu’un enlève quelque chose aux paroles du rouleau de cette prophétie, Dieu enlèvera sa part des arbres de vie et de la ville sainte, choses à propos desquelles on a écrit dans ce rouleau.
Dans le raisonnement...
Si Jésus donne la révélation à Jean, on voit mal d'un autre coté l'ange Gabriel (un simple ange) désobéir à Jésus et venir de ce fait contredire le fils de Dieu, en donnant au autre livre à Muhammad qui ressemblerait presque à la sainte Bible et qui n'apporte rien de plus comme cela est démontré plus haut.
Il faut se rappeler aussi que le livre qui selon Jésus en révélation 1:1 est scéllé.
A priori Il fut impossible à l'ange Gabriel de désobéir à Jésus Christ.
Une question se pose également: l'ange Gabriel qui aurait parlé soit disant à Mohamed, serait -il un imposteur dans ce cas et désobéissant à Dieu ?
Pour ce qui est qui vient de la sainet Bible, c'est remarquable comment le Coran parle de Jésus, d'isaac de jacob, de la création, enfin pratiquement tout, sauf que dans l'islam on aurait tendance à mettre Jésus apres Mohamed, dommage car Jésus en tant qu'Al Méssie et qui émane du Père est celui qui a été relevé et qui est aupres de Dieu et qui lui parle à coup sur
Contrrairement à Mohammad qui quand à lui n'a aucune part dans l'ordre Divin
Al Imram 128
Ps pour les hadits on en reparlera un peu plus tard stp car ils ne font pas partie iintégral du Coran
Amicalement