tancrède a écrit :-------
La Bible a toujours dit: L'âme qui pèche mourra. Et non, l'esprit qui pèche mourra.
L'esprit est l'initiateur du péché, donc il pèche, mais il est "physiquement" immortel
L'esprit ne peut péché. La Bible dit elle-même: l'esprit est bien disposé, mais la chair (l'âme) est faible.
Sous l'influence de la chair, l'esprit peut céder et renoncer à la dominer. L'esprit est toujours l'initiateur du péché, le siège de la pensée.
Même si l'esprit et l'une des composantes de l'âme, car esprit + corps = âme, c'est l'âme qui pèche et l'esprit demeure intact et pure.
Tu te contredis en disant que c'est l'âme qui pèche, parce que l'âme se compose de l'esprit et du corps, donc l'esprit pèche. On se demande qui t'a mis en tête de pareilles théories !
Ce n'est pas pour rien que le corps retournait à la poussière, mais l'esprit, lui, dans le séjour des morts. Un entrepôt saint pour garder l'esprit en attente de la promesse d'un nouveau corps, celui-là incorruptible.
Non, même le corps pur de Jésus a connu la mort. La mort et la dissolution du corps n'est qu'une conséquence de la transgression d'Adam, non la conséquence de nos péchés personnels.
Si Adam et Ève avait sut exactement qu'elle était le prix à payer pour la désobéissance, il n'aurait assurément pas tassé Dieu de leur vie dans le jardin d'Èden. À moins qu'ils aient été malades mentales ou sado-maso. Ce qui aurait fait d'eux, des êtres défectueux créés par Dieu. Ce qui est exclus évidemment. D'ailleurs, ce n'est pas pour rien que Jésus a dit sur la croix: Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font.
Adam et Eve n'avaient pas d'autre choix pour exister véritablement. Tout le monde aurait fait la même chose à leur place.
Mais dans les faits, et ceux qui ont crucifiés le Christ en sont un bon exemple, Adam et Ève nous ont tous rendus malades mentals.
Adam et Eve nous onr donné la possibilité de recevoir un corps, de marcher par la foi, d'être éprouvés, de connaître notre Sauveur et de gagner la vie éternelle par l'obéissance aux commandements.