Révolte des catholiques
Règles du forum
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 22 déc.09, 01:58Anthyme, je ne me base que sur la définition de "religion"
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 22 déc.09, 03:13Révérence ... ou référence ...
_______________________
Une définition est comparable à une unité de mesure : pour qu’un échange puisse se faire entre deux négociants, il faut que chacun mesure avec le même kilo, ou le même mètre.
Vous dites vous baser « sur la définition de ‘religion’ ».
Laquelle ?
Celle qu’édicte le Grand Larousse ; @Wiki ; le Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi ?...
La compréhension commune associe souvent « religion » avec la notion de « lien » ;
probablement parlez-vous de cette définition ?
_______________________
Avez-vous lu la dernière contribution de Vicomte ?
http://www.forum-religion.org/atheisme/ ... ml#p565047
Un texte dense, bien construit et argumenté, mais bien trop ardu pour moi.
Je n’en retiens que ce que j’en ai compris :
Chacun d’entre nous serait un centre plein, entier, de la conscience de l’Être de l’Univers.
Cet Univers étant l’Être dans sa totalité, par définition contenant tous ses centres ; la problématique du « lien » serait de lier non pas le centre avec « son » Être ; mais les centres entre eux.
En effet, placer un ‘être’ en y38, en faire un objet de révérence, un pôle d’attention « extérieure » dont le partage serait le « lien » entre les singularités adoratrices ; ça c’est de la croyance.
Cette attitude (c’est bien sûr impossible puisque le « tout » contient … tout !), crée une fracture entre le centre singulier, fini et non moins composant, et le tout infini et non moins composé.
Le « lien » entre les centres est alors non seulement indirect (puisque passant par y38) ; mais pourri car un y38 « extérieur » n’existant pas, il faut une doctrine pour en indiquer la direction.
______________________
Pour en revenir à cette définition de « religion ».
Tenter de le faire revient à définir ce qui pourrait être un « lien direct » entre deux centres.
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Une définition est comparable à une unité de mesure : pour qu’un échange puisse se faire entre deux négociants, il faut que chacun mesure avec le même kilo, ou le même mètre.
Vous dites vous baser « sur la définition de ‘religion’ ».
Laquelle ?
Celle qu’édicte le Grand Larousse ; @Wiki ; le Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi ?...
La compréhension commune associe souvent « religion » avec la notion de « lien » ;
probablement parlez-vous de cette définition ?
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Avez-vous lu la dernière contribution de Vicomte ?
http://www.forum-religion.org/atheisme/ ... ml#p565047
Un texte dense, bien construit et argumenté, mais bien trop ardu pour moi.
Je n’en retiens que ce que j’en ai compris :
Chacun d’entre nous serait un centre plein, entier, de la conscience de l’Être de l’Univers.
Cet Univers étant l’Être dans sa totalité, par définition contenant tous ses centres ; la problématique du « lien » serait de lier non pas le centre avec « son » Être ; mais les centres entre eux.
En effet, placer un ‘être’ en y38, en faire un objet de révérence, un pôle d’attention « extérieure » dont le partage serait le « lien » entre les singularités adoratrices ; ça c’est de la croyance.
Cette attitude (c’est bien sûr impossible puisque le « tout » contient … tout !), crée une fracture entre le centre singulier, fini et non moins composant, et le tout infini et non moins composé.
Le « lien » entre les centres est alors non seulement indirect (puisque passant par y38) ; mais pourri car un y38 « extérieur » n’existant pas, il faut une doctrine pour en indiquer la direction.
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Pour en revenir à cette définition de « religion ».
Tenter de le faire revient à définir ce qui pourrait être un « lien direct » entre deux centres.
Modifié en dernier par Anthyme le 22 déc.09, 08:57, modifié 1 fois.
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 22 déc.09, 07:21Oui Anthyme, j'ai lu le post de Vicomte.
http://www.linternaute.com/dictionnaire ... /religion/
" Ensemble des croyances et des pratiques culturelles qui fondent les rapports entre les hommes et le sacré [Religion]. Anglais religion, faith
Sens 2 Culte pratiqué envers certaines valeurs. Ex La religion du progrès"
(d'ailleurs, il ne semble pas qu'il oppose "croyance" et "religion).
http://www.linternaute.com/dictionnaire ... /religion/
" Ensemble des croyances et des pratiques culturelles qui fondent les rapports entre les hommes et le sacré [Religion]. Anglais religion, faith
Sens 2 Culte pratiqué envers certaines valeurs. Ex La religion du progrès"
(d'ailleurs, il ne semble pas qu'il oppose "croyance" et "religion).
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 22 déc.09, 08:32Continuer la route …
_______________________
Une définition issue de vous, je veux dire de l’homme ou de la femme qui devant son clavier construit @Pakete aurait pour moi incomparablement plus de poids que ce qui pourrait sortir de la meilleure des encyclopédies.
Votre vécu a façonné une perception unique de votre monde.
Si vous ne l’exprimez pas, elle est perdue, au moins pour moi.
Votre dernière remarque est exacte …
« Religion » et « croyances » se retrouvent dans le même sac à merde.
Quelques rares théologiens ont tenté de les distinguer.
Dietrich Bonhœffer fut l’un deux.
Pathétique contradiction de la théologie :
« Discours sur le divin » ; lorsqu’il s’agit de faire sauter le verrou du « divin » pour rapatrier le « Religieux » dans le profane.
D’autant plus pathétique que Dietrich Bonhœffer a fini au bout d’une corde dans un camp de concentration.
_______________________
Parce que la distinction entre « religion » et « croyance » serait fatale pour cette dernière ; vous ne trouverez aucun « croyant » pour franchir le pas du reniement.
Ce qui me fait dire que c’est à la « non-croyance » de le faire.
Pourquoi donc, me demanderez-vous ?
Mais … Pour continuer notre route, voyons … Répondrait @Anthyme…
______________________
… pour gagner l’autre rive …
_______________________
Une définition issue de vous, je veux dire de l’homme ou de la femme qui devant son clavier construit @Pakete aurait pour moi incomparablement plus de poids que ce qui pourrait sortir de la meilleure des encyclopédies.
Votre vécu a façonné une perception unique de votre monde.
Si vous ne l’exprimez pas, elle est perdue, au moins pour moi.
Votre dernière remarque est exacte …
« Religion » et « croyances » se retrouvent dans le même sac à merde.
Quelques rares théologiens ont tenté de les distinguer.
Dietrich Bonhœffer fut l’un deux.
Pathétique contradiction de la théologie :
« Discours sur le divin » ; lorsqu’il s’agit de faire sauter le verrou du « divin » pour rapatrier le « Religieux » dans le profane.
D’autant plus pathétique que Dietrich Bonhœffer a fini au bout d’une corde dans un camp de concentration.
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Parce que la distinction entre « religion » et « croyance » serait fatale pour cette dernière ; vous ne trouverez aucun « croyant » pour franchir le pas du reniement.
Ce qui me fait dire que c’est à la « non-croyance » de le faire.
Pourquoi donc, me demanderez-vous ?
Mais … Pour continuer notre route, voyons … Répondrait @Anthyme…
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… pour gagner l’autre rive …
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http://www.forum-religion.org/post496406.html#p496406
http://www.forum-religion.org/post496406.html#p496406
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 22 déc.09, 09:11Anthyme.
Le malheur avec "mon" interprétation, c'est que c'est... Une interprétation !
Vous qui faisiez référence à Vicomte, celui ci se base sur une définition universelle des termes qu'il emploie. Je fais de même. Car ainsi, on s'assure que l'on parle de la même chose !
Si vous me demandez de redéfinir le mot "religion" via mon interprétation, ce serait au final créer un autre mot
Le malheur avec "mon" interprétation, c'est que c'est... Une interprétation !
Vous qui faisiez référence à Vicomte, celui ci se base sur une définition universelle des termes qu'il emploie. Je fais de même. Car ainsi, on s'assure que l'on parle de la même chose !
Si vous me demandez de redéfinir le mot "religion" via mon interprétation, ce serait au final créer un autre mot
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 22 déc.09, 11:58Sortir de la chapelle ...
_______________________
Vous semblez confondre symbole et attribut.
C’est une tare de croyant …
Un mot n’est qu'un symbole ; il nous vient de notre environnement.
Son attribut réside dans notre ‘affect’ seul.
Si vous les confondez, vous faites l’impasse sur votre créativité ; c’est regrettable.
_______________________
Pour ce qui concerne @Vicomte … [je pense que vous me pardonnerez, cher Vicomte, de vous ravaler au rang d’« argument » ; mais c’est pour la « bonne cause » !]…
Pour ce qui concerne @Vicomte, je le perçois comme un extraordinaire étalon de rationalité ; indispensable sur ce forum pour délimiter le champ de l’irrationalité.
Cette « dimension », j’en ai la conviction, Vicomte (l’homme) la construit en faisant l’impasse sur sa subjectivité ; car si ce n’est pas le cas, alors Vicomte (l’homme) n’est qu’une faculté d’association :
C'est-à-dire moins encore qu’un monstre … mais une chose.
Je vous l’accorde, Pakete, dans le monde @Vicomtal, il faut prouver les « choses » : ma conviction ne valant donc rien ; je me dois de vous démontrer l’Être de Vicomte :
Vicomte (l’homme) n’est pas une chose, puisque nous partageons, lui et moi, l’amitié d’un Papou qu’il nous reste à rencontrer.
Puisque lui et moi avons cette amitié en partage ; moi, qui ne peut douter de la réalité de mon amitié, donc de l’inclination de mon Être pour ce Papou [s’il y a bien une « chose » dont je ne peux douter (au moins chez mon dentiste) ; c’est de la réalité de ma conscience d’« être » !] ; je rejoins, par ce Papou, la présence amicale de Vicomte au côté du même Papou.
Vicomte m’est donc semblable, comment pourrais-je, sans me renier moi-même, douter de son Être ?
Vicomte n’est donc pas une « chose ».
Serait-il un monstre ?
Je ne lui ferai pas cet affront ; mais la prochaine fois que vous le verrez, demandez lui ce qu’il pense de la fuite éperdue des populations Papoues devant les tronçonneuses des compagnies forestières.
Moi, je connais sa réponse comme si je l’avais déjà entendue !
N’étant ni un monstre, ni une chose, je déduis que l’expression de la « raison » @Vicomtale n’est que la facette rationaliste d’un Être semblable à moi-même, qui, avec rigueur, s’impose comme devoir de ne s’exprimer, ici, qu’en se conformant à la raison pure.
Ça, c’est le champ de créativité de l’homme qui construit @Vicomte.
« Ce n’est pas une démonstration, allez-vous me dire ! » Je sais, mais je m’en fous.
Contrairement à vous, je ne m’enferme pas dans un système de pensée qui n’est pas le mien.
Je sais que si, vous, vous doutez de l’Être de Vicomte, lui n’en doute pas, et qu'il ne viendra donc pas me contredire !
Ce que vous percevez, vous, de Vicomte, n’est qu’une partie de son Être ; une « partiellité » à laquelle vous commettez l’erreur de vouloir vous conformer.
Tenter de vous conformer serait une amputation de votre subjectivité qui vos conduirait à la « partialité ».
@Vicomte est une facette, un angle de vue.
En vertu de quoi, bon sang, @Pakete devrait-il s’y conformer ?
C’est tout ce que vous avez appris dans la petite chapelle de libertathée ?
_______________________
Je vous l’affirme, Pakete, le forum a peut-être autant besoin de votre subjectivité que de l’exemple de rationalité de @Vicomte.
Soyez donc fidèle à vous-même, sans chercher à vous conformer.
Bref … Osez la subjective folie !
_______________________
Alors, Pakete … votre définition à vous de la religion ?
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Vous semblez confondre symbole et attribut.
C’est une tare de croyant …
Un mot n’est qu'un symbole ; il nous vient de notre environnement.
Son attribut réside dans notre ‘affect’ seul.
Si vous les confondez, vous faites l’impasse sur votre créativité ; c’est regrettable.
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Pour ce qui concerne @Vicomte … [je pense que vous me pardonnerez, cher Vicomte, de vous ravaler au rang d’« argument » ; mais c’est pour la « bonne cause » !]…
Pour ce qui concerne @Vicomte, je le perçois comme un extraordinaire étalon de rationalité ; indispensable sur ce forum pour délimiter le champ de l’irrationalité.
Cette « dimension », j’en ai la conviction, Vicomte (l’homme) la construit en faisant l’impasse sur sa subjectivité ; car si ce n’est pas le cas, alors Vicomte (l’homme) n’est qu’une faculté d’association :
C'est-à-dire moins encore qu’un monstre … mais une chose.
Je vous l’accorde, Pakete, dans le monde @Vicomtal, il faut prouver les « choses » : ma conviction ne valant donc rien ; je me dois de vous démontrer l’Être de Vicomte :
Vicomte (l’homme) n’est pas une chose, puisque nous partageons, lui et moi, l’amitié d’un Papou qu’il nous reste à rencontrer.
Puisque lui et moi avons cette amitié en partage ; moi, qui ne peut douter de la réalité de mon amitié, donc de l’inclination de mon Être pour ce Papou [s’il y a bien une « chose » dont je ne peux douter (au moins chez mon dentiste) ; c’est de la réalité de ma conscience d’« être » !] ; je rejoins, par ce Papou, la présence amicale de Vicomte au côté du même Papou.
Vicomte m’est donc semblable, comment pourrais-je, sans me renier moi-même, douter de son Être ?
Vicomte n’est donc pas une « chose ».
Serait-il un monstre ?
Je ne lui ferai pas cet affront ; mais la prochaine fois que vous le verrez, demandez lui ce qu’il pense de la fuite éperdue des populations Papoues devant les tronçonneuses des compagnies forestières.
Moi, je connais sa réponse comme si je l’avais déjà entendue !
N’étant ni un monstre, ni une chose, je déduis que l’expression de la « raison » @Vicomtale n’est que la facette rationaliste d’un Être semblable à moi-même, qui, avec rigueur, s’impose comme devoir de ne s’exprimer, ici, qu’en se conformant à la raison pure.
Ça, c’est le champ de créativité de l’homme qui construit @Vicomte.
« Ce n’est pas une démonstration, allez-vous me dire ! » Je sais, mais je m’en fous.
Contrairement à vous, je ne m’enferme pas dans un système de pensée qui n’est pas le mien.
Je sais que si, vous, vous doutez de l’Être de Vicomte, lui n’en doute pas, et qu'il ne viendra donc pas me contredire !
Ce que vous percevez, vous, de Vicomte, n’est qu’une partie de son Être ; une « partiellité » à laquelle vous commettez l’erreur de vouloir vous conformer.
Tenter de vous conformer serait une amputation de votre subjectivité qui vos conduirait à la « partialité ».
@Vicomte est une facette, un angle de vue.
En vertu de quoi, bon sang, @Pakete devrait-il s’y conformer ?
C’est tout ce que vous avez appris dans la petite chapelle de libertathée ?
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Je vous l’affirme, Pakete, le forum a peut-être autant besoin de votre subjectivité que de l’exemple de rationalité de @Vicomte.
Soyez donc fidèle à vous-même, sans chercher à vous conformer.
Bref … Osez la subjective folie !
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Alors, Pakete … votre définition à vous de la religion ?
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 22 déc.09, 13:00Je ne me conforme pas à une personne en particulier.En vertu de quoi, bon sang, @Pakete devrait-il s’y conformer ?
Simplement, je prends le mot pour ce qu'il est. Ni plus ni moins et je n'ai fait le comparatif uniquement sur la façon d'utiliser un mot.
Ne désirant pas réinventer les mots, je me contente de les utiliser tel que l'académie française les a définit.
Je ne comprends pas l'importance que vous portez à ma redéfinition du mot, qui est un non sens, puisque cela a déjà été fait d'une part, et d'autre part, cela serait aller à l'encontre des origines de ce mot...
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 23 déc.09, 00:17Bon sur-place …
_______________________
Un mot ne vaut que par la phrase qui le porte, et la phrase par son contexte, or ce contexte est mouvant.
Un mot est comparable à une pierre de taille.
La plus polymorphe des pierres est celle qui verrouille une voûte ; ce qui en fait la plus importante.
Les d-ieud-ieuseurs nous ont fait du mot « religion » un cube.
Qu’ils confondent « religion » et « superstition » est logique ; comme il est logique qu’il y ait autant des religions’sss que de superstitions.
Ce qui me surprend, c’est le peu de créativité de votre « liberté ».
Comme pour Marie … Ite missa est …
[Non !! Je déconne !]
À l’année prochaine.
_______________________
Un mot ne vaut que par la phrase qui le porte, et la phrase par son contexte, or ce contexte est mouvant.
Un mot est comparable à une pierre de taille.
La plus polymorphe des pierres est celle qui verrouille une voûte ; ce qui en fait la plus importante.
Les d-ieud-ieuseurs nous ont fait du mot « religion » un cube.
Qu’ils confondent « religion » et « superstition » est logique ; comme il est logique qu’il y ait autant des religions’sss que de superstitions.
Ce qui me surprend, c’est le peu de créativité de votre « liberté ».
Comme pour Marie … Ite missa est …
[Non !! Je déconne !]
À l’année prochaine.
- Marie713
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Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 23 déc.09, 05:36 Bonsoir Anthyme
Ita missa est...
Sache que non la messe n'est pas dite une fois pour toutes Anthyme...
Etre chrétien est un choix de chaque jour... et croire ce n'est pas être un mouton quoique tu puisses en penser !
Le défaut de bien des observateurs non croyants devant nous c'est qu'ils s'en prennent à l'Eglise "institution" au lieu de vouloir apprécier les choses vu dans le chef des Chrétiens eux-mêmes !
Chaque famille, chaque organisation etc... organise sa vie en fonctioin de ce que les personnes qui en font partie ont envie de vivre... l'Institution est l'organisation de la Communauté et non le but ni le chapeau !
Mais sans doute est-il plus facile de s'en prendre à une organisation qui en elle-même n'est pas la source de l'essentiel que de vouloir aborder cet essentiel avec ceux qui l'ont choisi pour Idéal de vie !!!
Joyeux Noel ; Marie713
Tout d'abord qu'entends-tu par "le peu de créativité de votre "liberté" ?Ce qui me surprend, c’est le peu de créativité de votre « liberté ».
Comme pour Marie … Ite missa est …
Ita missa est...
Sache que non la messe n'est pas dite une fois pour toutes Anthyme...
Etre chrétien est un choix de chaque jour... et croire ce n'est pas être un mouton quoique tu puisses en penser !
Le défaut de bien des observateurs non croyants devant nous c'est qu'ils s'en prennent à l'Eglise "institution" au lieu de vouloir apprécier les choses vu dans le chef des Chrétiens eux-mêmes !
Chaque famille, chaque organisation etc... organise sa vie en fonctioin de ce que les personnes qui en font partie ont envie de vivre... l'Institution est l'organisation de la Communauté et non le but ni le chapeau !
Mais sans doute est-il plus facile de s'en prendre à une organisation qui en elle-même n'est pas la source de l'essentiel que de vouloir aborder cet essentiel avec ceux qui l'ont choisi pour Idéal de vie !!!
Joyeux Noel ; Marie713
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 23 déc.09, 06:02Seriez vous capable de me donner votre définition du mot "liberté", sans en utiliser ni son origine, ni ses sens donnés par le dictionnaire ?Anthyme a écrit : Ce qui me surprend, c’est le peu de créativité de votre « liberté ».
Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 02 janv.10, 09:03Libres et créatifs …
_______________________
J’hésite à vous dire « Bonjour », Pakete, car non seulement vous me faites du « Rabbi Jacob » en répondant à une question par une question ; mais en plus cette question est une vacherie !
En effet si, au milieu des islamistes et autres intégristes, on peut « bavardouiller religion » sans détonner par sa connerie ; s’exprimer sur le thème de la liberté conduit à s’exposer !
Le plus simple et le plus prudent serait de m’éclipser en vous faisant une démonstration de la mienne :
Je pourrais par exemple vous inviter à relire ma « signature » ; puis vous planter là en compagnie d’une ignorante !
Cette démonstration de liberté serait en accord avec le dictionnaire :
« Pouvoir d’exercer sa volonté en agissant ou n’agissant pas. »
Faire ou défaire, gratifier ou confisquer, rester ou partir, bref …
… une liberté de possédant ; de maître.
Ce serait user d’une liberté qui se décline sur tous les modes du pouvoir ; au nom de laquelle le « fort » finit toujours par marcher sur la tronche du « faible ».
J’exècre !
_______________________
Je vais donc poursuivre en vous supposant une réplique :
« Mais, la liberté peut se partager ! »
Soit… Toutefois, « l’absence de contraintes », comme dit encore le dictionnaire, n’est qu’une liberté relative qui doit s’arrêter où commence celle de son voisin.
C’est celle du petit monde « libéral » que définit le pragmatisme sociétal du « vivre ensemble » démocratique, avec ses droits et ses devoirs.
Mais que vaut l’« Egalité en Droits et en Devoirs », comme dit la constitution républicaine ; dans une société où des gens seront toujours un peu plus égaux que d’autres, comme dit le poète ?
Des « plus égaux », avec des droits de propriété légaux leur assurant prospérité, au détriment de « moins égaux » qui crouleront sous les devoirs de l’endettement !
Cette liberté sociale, même républicaine, ne me plait pas plus que celle du maître :
En parler revient à discuter de la longueur d’une laisse légaliste qu’on accepte !
Alors je me détache !
_______________________
La liberté ne peut qu’être à la mesure des espoirs des captifs : totale !
Si la demi-mesure est une mièvre fausse piste, il ne faut pas hésiter à la chercher dans l’absolu de l’extrême ; là où « ce qui n’est pas » resplendit de l’Être.
En ce lieu, la liberté m’apparaît comme une notion pleine … parce que vide !
Pleine en espérance, mais objectivement vide :
Comme le chant rayonnant d’un rossignol aveugle, cramponné au fil asymptotique d’une matérialité @Vicomtale sans esprit.
Un paradoxe qui s’aborde dans le chevauchement des extrêmes :
Vous savez, Pakete … l’acte libérateur qui fait la verticalité du fil…
Lorsque l’Espérance s’accomplit dans l’achèvement de nourrissons.
En ce lieu d’abandon, où je n’aurais eu que le courage de balbutier « Enlevez ! »
Je me serais offert la libération au côté des pendus de la nuit.
Car sur le fil du rasoir, tout est légitime :
… le suicide … comme la poursuite de la lutte … comme l’ivresse insensée du vieux Kuhn…
Car au point 0 du monde, dieu est effacé ; et les humains seuls Maîtres de Justice.
Si je peux aujourd’hui ne pas désespérer de l’humanité, c’est parce qu’au cœur de l’enfer, un garçon de 17 ans a trouvé la force et le courage d’offrir la liberté à des nourrissons…
… car dans le monde des tueurs, par delà ma mort, sa compassion est l’âme de l’humanité.
Ma solidarité est totale … et c’est pourquoi je vomis tous ceux qui jugent !!!...
_____________________
Vous vouliez ma définition de la liberté, Pakete, je vous la donne :
« La liberté, c’est d’être tels des dieux : affranchis de tout jugement ! »
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J’hésite à vous dire « Bonjour », Pakete, car non seulement vous me faites du « Rabbi Jacob » en répondant à une question par une question ; mais en plus cette question est une vacherie !
En effet si, au milieu des islamistes et autres intégristes, on peut « bavardouiller religion » sans détonner par sa connerie ; s’exprimer sur le thème de la liberté conduit à s’exposer !
Le plus simple et le plus prudent serait de m’éclipser en vous faisant une démonstration de la mienne :
Je pourrais par exemple vous inviter à relire ma « signature » ; puis vous planter là en compagnie d’une ignorante !
Cette démonstration de liberté serait en accord avec le dictionnaire :
« Pouvoir d’exercer sa volonté en agissant ou n’agissant pas. »
Faire ou défaire, gratifier ou confisquer, rester ou partir, bref …
… une liberté de possédant ; de maître.
Ce serait user d’une liberté qui se décline sur tous les modes du pouvoir ; au nom de laquelle le « fort » finit toujours par marcher sur la tronche du « faible ».
J’exècre !
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Je vais donc poursuivre en vous supposant une réplique :
« Mais, la liberté peut se partager ! »
Soit… Toutefois, « l’absence de contraintes », comme dit encore le dictionnaire, n’est qu’une liberté relative qui doit s’arrêter où commence celle de son voisin.
C’est celle du petit monde « libéral » que définit le pragmatisme sociétal du « vivre ensemble » démocratique, avec ses droits et ses devoirs.
Mais que vaut l’« Egalité en Droits et en Devoirs », comme dit la constitution républicaine ; dans une société où des gens seront toujours un peu plus égaux que d’autres, comme dit le poète ?
Des « plus égaux », avec des droits de propriété légaux leur assurant prospérité, au détriment de « moins égaux » qui crouleront sous les devoirs de l’endettement !
Cette liberté sociale, même républicaine, ne me plait pas plus que celle du maître :
En parler revient à discuter de la longueur d’une laisse légaliste qu’on accepte !
Alors je me détache !
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La liberté ne peut qu’être à la mesure des espoirs des captifs : totale !
Si la demi-mesure est une mièvre fausse piste, il ne faut pas hésiter à la chercher dans l’absolu de l’extrême ; là où « ce qui n’est pas » resplendit de l’Être.
En ce lieu, la liberté m’apparaît comme une notion pleine … parce que vide !
Pleine en espérance, mais objectivement vide :
Comme le chant rayonnant d’un rossignol aveugle, cramponné au fil asymptotique d’une matérialité @Vicomtale sans esprit.
Un paradoxe qui s’aborde dans le chevauchement des extrêmes :
Vous savez, Pakete … l’acte libérateur qui fait la verticalité du fil…
Lorsque l’Espérance s’accomplit dans l’achèvement de nourrissons.
En ce lieu d’abandon, où je n’aurais eu que le courage de balbutier « Enlevez ! »
Je me serais offert la libération au côté des pendus de la nuit.
Car sur le fil du rasoir, tout est légitime :
… le suicide … comme la poursuite de la lutte … comme l’ivresse insensée du vieux Kuhn…
Car au point 0 du monde, dieu est effacé ; et les humains seuls Maîtres de Justice.
Si je peux aujourd’hui ne pas désespérer de l’humanité, c’est parce qu’au cœur de l’enfer, un garçon de 17 ans a trouvé la force et le courage d’offrir la liberté à des nourrissons…
… car dans le monde des tueurs, par delà ma mort, sa compassion est l’âme de l’humanité.
Ma solidarité est totale … et c’est pourquoi je vomis tous ceux qui jugent !!!...
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Vous vouliez ma définition de la liberté, Pakete, je vous la donne :
« La liberté, c’est d’être tels des dieux : affranchis de tout jugement ! »
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http://www.forum-religion.org/post496406.html#p496406
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Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 02 janv.10, 09:11Loin de moi l'idée de me moquer de vous mais...
Vous me faîtes de la philosophie autour du mot, et non une définition.
Vous comprenez la nuance ?
(et rassurez vous, rien de plus effrayant que la liberté pour un croyant: sortir d'un carcan érigé en protection contre le mal et la corruption est plus que jamais flippant...)
Bonnes fêtes tout de même, Monsieur
Vous me faîtes de la philosophie autour du mot, et non une définition.
Vous comprenez la nuance ?
(et rassurez vous, rien de plus effrayant que la liberté pour un croyant: sortir d'un carcan érigé en protection contre le mal et la corruption est plus que jamais flippant...)
Bonnes fêtes tout de même, Monsieur
- petite fleur
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Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 02 janv.10, 09:18pas sur moi... car il est libre comme l'air et nous emmene avec lui!ien de plus effrayant que la liberté pour un croyant
ce qui ne nous tue pas nous rends plus forts!
le temps dévoilera ce que l'astuce cache en ses replis:la honte finira par confondre ceux qui dissimulent leurs vices!
témoin de Jésus.
http://www.lelivredevie.com/
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Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 02 janv.10, 10:25Sophisme.petite fleur a écrit :pas sur moi... car il est libre comme l'air et nous emmene avec lui!
Je cesse (sans doute définitivement) toute activité sur ce forum. J'en explique les raisons là-bas : http://www.forum-religion.org/post638027.html#p638027 là-bas : http://www.forum-religion.org/post638076.html#p638076 et enfin là-bas : http://www.forum-religion.org/post639549.html#p639549
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Re: Révolte des catholiques
Ecrit le 02 janv.10, 10:29Vicomte a écrit : Sophisme.
non convaincu serais le mot plus juste frère.
ce qui ne nous tue pas nous rends plus forts!
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