Il ne s’agit pas de jouer au prof il s’agit de savoir de quoi on parle, les crapauds ne forment pas une espèces mais de nombreuses espèces, si tu veux parler de transition entre espèces il faut d’abord que tu comprennes ce qu’est une espèce mais aussi que lorsqu’une espèce se scindent en plusieurs populations donnant naissance à de nouvelles espèces, alors ces nouvelles espèces sont toujours très similaires à l’ « espèce mère » dont elles sont issues. Par exemple nous ne sommes pas passer de l’ancêtre commun que nous partageons avec la chimpanzé à l’homme moderne en une seule spéciation, il y en a eu plusieurs avec à chaque fois des «espèces filles» qui n’étaient que légèrement différentes des «espèces mères» respectives dont elles ont été issues.agecanonix a écrit :Tiel
Tu pèches toujours par les mêmes excés.
Je développe des idées, tu te crois prof en fac.
Quand je parle d'espèce pour les crapauds , les ours et autres animaux, tu me comprends parfaitement. Mais tu ne peux pas t'empécher de ressortir ton costume de prof. Ca te permet de faire beaucoup de lignes, mais une fois expurgées toutes tes rectifs inutiles à ta démo, je reste sur ma faim.
Fais moi signe lorsque tu auras compris ce point car cela mettra fin à pas mal de confusions dans lesquels tu sembles baigner depuis le début.
L’ours polaire se distingue de l’ours brun pas un métabolisme et des caractéristiques morphologiques particuliers et déterminés génétiquement. Cette divergence génétique entre les ours bruns et les ours polaire s’expliquant par l’accumulation et la fixation de mutations différentes au sein des populations d’ours. L’ours polaire ayant acquis des mutations lui conférant différentes caractéristiques tel que:agecanonix a écrit :QU'un ours polaire par un régime alimentaire uniquement carnivore et par une période où il va accumuler les graisses (lorsque ses proies sont plus accessible), puisse survivre au froid et passer une longue période de jeun, se soit adapter à son environnement, est une chose. Mais que tu y vois une preuve de l'évolution, est une autre chose. Ou alors, je suis évolutionniste, dans ces conditions là.
1. Des pattes plus longues et un arrière-train très puissants.
2. Un museau beaucoup plus grand et fosses nasales comportent un réseau complexe d’échangeurs thermiques, permettant à l’air expiré de réchauffer un peu l’air polaire glacial avant qu’il n’atteigne les poumons.
3. Un réflexe de plongée : quand il s’immerge, ses narines se ferment, son rythme cardiaque ralentit et son métabolisme musculaire aérobie à la surface devient anaérobie, limitant ainsi la consommation d’oxygène.
4. Une membrane nictitante différente de celle des autres ours qui lui améliorerait sa vision sous l’eau en agissant comme une lentille supplémentaire.
5. Une fourrure blanche et plus dense que celle des autres ours. Même les coussinets des pattes sont recouverts de fourrure en particulier vers la fin de l’hiver ; cela permet à l’ours polaire des déplacements plus sûrs sur la banquise et ces poils apportent une couche d’isolation supplémentaire entre la patte et le sol de glace et de neige.
6. Des doigts partiellement palmés, lui permettant d’être un excellent nageur. Il n’utilise que ses pattes avant pour nager en effectuant un mouvement de pédalage, ses pattes arrière lui servant de gouvernail...
L’ours polaire n’est pas adapté au même régime alimentaire que nous et il n’accumule pas les graisses de la même manière que nous ni même ne possède un métabolisme similaire au nôtre. M’enfin qu’est ce que tu crois avec l’ours polaire on ne parle pas d’une plus grande résistance des individus suite à un gavage mais d’un métabolisme hérité génétiquement permettant une plus grande résistance, tu peux gaver des ours brun de graisses autant que tu veux ils ne disposeront jamais de la même résistance au froid que les ours polaires car ne possédant pas le même bagage génétique que ces derniers, les divergences génétiques ayant été accumulé par mutations.agecanonix a écrit :Si je me tape des milliers de big mac , des viandes grasses et me prends 50 kilos de graisse en quelques mois, nulle doute que je pourrais supporter quelques longues semaines de diette. Aurais je évoluer, certainement pas ! Je possède la capacité de stocker les graisses comme tous les humains. C'est esthétiquement moche, c'est cardiaquement dangereux, mais ça me serait utile si j'avais à subir une période maigre. Tous les Zoologistes s'accordent pour dire que le régime des ours polaires nuit à une éventuelle longue vie, mais en tout cas ils survivent.
Concrètement c’est quoi la boîte à outil des ours dont tu parles?agecanonix a écrit :Je n'y vois pas une évolution, mais l'utilisation d'une option présente dans la boite à outil des ours, et qui est utilisée quand necessité fait loi.
Les ours polaire se distinguent génétiquement des ours bruns, ces divergences génétiques étant le fruit de mutations comme toutes divergences génétiques entre différentes populations et cela que ces populations appartiennent au nom à la même espèce.
Certaines populations humaines sont par exemple porteuses d’une mutation permettant la digestion du lactose à l’âge adulte, d’autres non.
Les ours polaires se sont distingués des ours brun par les mêmes processus connu et observé chez toutes les espèces dont les populations divergent (et parfois forment de nouvelles espèces) l’accumulation de mutations et leur fixation au sein de différentes populations par les processus sélectifs et/ou la dérive génétique.
Il n’y a pas de boîte à outil, tu mets un ours brun porteur d’aucune particularité rendant l’ours polaire plus résistant au froid, sur la banquise, ben je ne donne pas cher de la peau de ton ours brun et cela même si tu l’auras au préalables gaver de nourriture bien grasse. Idem pour toi d’ailleurs.
1. On ne parle pas des aveux d’un criminel, ni même du moindre aveu qui soit.agecanonix a écrit :Pour les équilibres ponctués, que tu me cites Gould qui affirme que sa théorie n'est pas une béquille pour expliquer l'apparition brutale d'espèce differentes est une chose. Mais si tu me cites Landru qui jure ses grands Dieux qu'il est innocent, ne me convaincra pas plus. Trop de commentaires, d'évolutionnistes, sont allés dans le sens que je defends pour que je me laisse convaincre par un simple commentaire de l'auteur de cette théorie.
2. Tu n’as toujours pas compris le commentaire en question et la différence entre intermédiaire entre espèce (espèce issus de spéciations, en rappelant que des spéciations déjà observées) et les intermédiaires entre taxon plus vastes demandant plusieurs dizaines de spéciations (avec dont autant d’espèces intermédiaires, espèces intermédiaires que l’on trouve bel et bien dans le registre fossiles).
Le minimum serait que tu capte bien ce dont il est question dans la théorie des équilibres ponctués, je veux bien que tu ais du mal mais quand même là c’est à se demander si tu ne fait pas exprès. Les grandes transitions évolutives (par exemple celle menant des pélycosaures aux mammifères) ont demandé plusieurs dizaines de spéciations, certes les fossiles entre espèces (donc durant ces spéciations) sont rares, mais les chaque spéciation mène à de nouvelles espèces qui elles ne sont pas si rares et qui sont donc des espèces intermédiaires entre les pélycosaures et les mammifères, on parle aussi d’intermédiaires structuraux. Ces intermédiaires abondent. Dans le cas de micro-organismes comme les foraminifères on retrouve là encore d’avantage de transitions.
Il serait vraiment temps que tu comprennes ces points.
La théorie des équilibres ponctués ne stipule pas qu’il n’y a pas de traces fossiles. Encore une fois elle stipule simplement que les spéciations se font rapidement et que les fossiles entre espèces (par exemple entre deux espèces de souris, ou de crapauds, donc espèces du même genre) sont rares, mais encore une fois les grandes transitions demandent plusieurs dizaines de spéciations à la clef et se caractérise par une succession d’espèces intermédiaires témoignant des dites transitions, ces espèces intermédiaires ont été retrouvé.agecanonix a écrit :Et tu viens m'expliquer que sur quelques milliers d'années des sauts évolutifs se sont produits, ce que la théorie des equilibres ponctués te permet maintenant, et que pas de chance, cela se soit passé si vite qu'on n'a peu ou pas de traces fossiles, pour me dire ensuite que la théorie des E P n'est pas en définitive vachement la bien venue dans ta démo. Imagine un controle de vitesse ou les gendarmes t"accuserait de rouler trop vite en expliquant leur absence de preuve par le fait que la photo n'a pas pu te prendre à cause de ta vitesse trop rapide. Ton avocat se régalerait !!
tchao !!
Par ailleurs des intermédiaires entre espèces, bien que plus rares, ont également été retrouvé, en ajoutant à cela le fait que les spéciations ont été observées.
En parlant de transitions voici un petit dossier très intéressant
Et encore depuis la date de rédaction de ces dossiers d’autres espèces intermédiaires ont été retrouvées.