pourquoi ? peut mieux faire ?en bout de ligne il est assez vertueux.
questions sur la vertu...
- geronimo van helsing
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Re: questions sur la vertu...
Ecrit le 12 avr.10, 11:54si nous admettons que dieu existe, peut-on pour autant avoir confiance en lui ?
Re: questions sur la vertu...
Ecrit le 15 avr.10, 07:00je pense que la vertu est liée à la Loi. même si on sécularise le mot, je crois que ça vient de là, pour assurer le bon et bel ordre.
Je crois que nos sociétés ont adopté des principes proches de la vertu. Elle implique évidement la connaissance du bien et du mal, et la responsabilité des personnes à faire ce qu'il y a de bon ou de mauvais. J'avais eu une discussion, sur la question du haram/halal, ou certains se plaignent que certaines façon de vivre la religion, s'inscrit en binaire, et apauvrit le discours. Or de toute façon toute société, implique aussi du licite et de l'illicite, et ce qu'il y a du tolérable à une frontière.
Meme si je ne leur donne pas tort forcément. Mais il faut aussi reconsidérer ces notions à leurs juste valeurs.
Il y a aussi une autre dimension, qui est de l'ordre du normal, de la règle, de ce qui est ou ce que l'on devrait etre, avec en opposition avec ce qu'il y a d'anormal. Voir la tare/laid en opposition au parfait/beau.
Comme on retrouve dans la meme lignée, le sain et le malsain. Du propre et du sale. Du pure et de l'impure.
Je m'étais posé la question, à propos de la question de la perversion et la perversité, en discutant avec une psychologue sur le sujet. Je n'étais pas d'accord avec son évidence à elle et sur la définition. Une définition est toujours claire. Mais de fait, pour la personne qui juge la perversité, ou la perversion, on en revient à un sujet le pervers, Meme si selon les personnes, le mot n'aura pas le meme sens, de fait, la limite peut etre assez vite franchis.
Le tolérable est une notion extremement intéressante aussi justement à ce sujet. Très large. Ce que l'on suporte de l'autre, ce que l'autre suporte de nous meme. Et les compromis d'une société. y a d'autres sujets aussi à ce propos...un sujet surlequel j'aimerai un jour travaillé sérieusement, est la question de la follie, à l'exterieur de la civilisation, ou à l'intérieur de la civilisation. Du jugement du fou, au role du fou comme bouc émissaire, avec aussi l'intermédiaire, de celui qu'on ne veut pas juger.
Ces questions m'intéressent, car je pense franchement, qu'une société a toujours conscience de vertus qu'elle définit et qu'elle doit incarner., à travers les principes qu'elle rend transcendant, et les personnes qui incarnent des société par leurs fonctions. Et la question de la vertu est toujours liée à la croyance, et au jugement raisonnable. Ces notions sont solubles dans des pratiques réelles.
Pour certaines questions, meme au quotidien, il est facile de voir le bien et le mal, pour d'autre cela est plus difficile, et de bien établis, ou de mal établis, cela peut etre remis en question. Et le cas sera toujours la règle pour la propre conscience de chacun.
Je crois que nos sociétés ont adopté des principes proches de la vertu. Elle implique évidement la connaissance du bien et du mal, et la responsabilité des personnes à faire ce qu'il y a de bon ou de mauvais. J'avais eu une discussion, sur la question du haram/halal, ou certains se plaignent que certaines façon de vivre la religion, s'inscrit en binaire, et apauvrit le discours. Or de toute façon toute société, implique aussi du licite et de l'illicite, et ce qu'il y a du tolérable à une frontière.
Meme si je ne leur donne pas tort forcément. Mais il faut aussi reconsidérer ces notions à leurs juste valeurs.
Il y a aussi une autre dimension, qui est de l'ordre du normal, de la règle, de ce qui est ou ce que l'on devrait etre, avec en opposition avec ce qu'il y a d'anormal. Voir la tare/laid en opposition au parfait/beau.
Comme on retrouve dans la meme lignée, le sain et le malsain. Du propre et du sale. Du pure et de l'impure.
Je m'étais posé la question, à propos de la question de la perversion et la perversité, en discutant avec une psychologue sur le sujet. Je n'étais pas d'accord avec son évidence à elle et sur la définition. Une définition est toujours claire. Mais de fait, pour la personne qui juge la perversité, ou la perversion, on en revient à un sujet le pervers, Meme si selon les personnes, le mot n'aura pas le meme sens, de fait, la limite peut etre assez vite franchis.
Le tolérable est une notion extremement intéressante aussi justement à ce sujet. Très large. Ce que l'on suporte de l'autre, ce que l'autre suporte de nous meme. Et les compromis d'une société. y a d'autres sujets aussi à ce propos...un sujet surlequel j'aimerai un jour travaillé sérieusement, est la question de la follie, à l'exterieur de la civilisation, ou à l'intérieur de la civilisation. Du jugement du fou, au role du fou comme bouc émissaire, avec aussi l'intermédiaire, de celui qu'on ne veut pas juger.
Ces questions m'intéressent, car je pense franchement, qu'une société a toujours conscience de vertus qu'elle définit et qu'elle doit incarner., à travers les principes qu'elle rend transcendant, et les personnes qui incarnent des société par leurs fonctions. Et la question de la vertu est toujours liée à la croyance, et au jugement raisonnable. Ces notions sont solubles dans des pratiques réelles.
Pour certaines questions, meme au quotidien, il est facile de voir le bien et le mal, pour d'autre cela est plus difficile, et de bien établis, ou de mal établis, cela peut etre remis en question. Et le cas sera toujours la règle pour la propre conscience de chacun.
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