Un manque d'arguments...? Tu veux dire que l'EFA est en manque d'arguments quand il utilise les écrits de Tertulien? Je dirais plutot un outils pour appuyer ce qui est évident et que certains hommes ont par tout les moyens essayer de démolir cette évidence tout simplement pour impliquer un bon nombre de gens dans leur guerre contre les religion acceptant le croix.jusqua preuve du contraire EUSEBE n'est pas un apôtre dons ses écrits ne sont pas inspirés et il y longtemps que l'apostasie était déjà a l'oeuvre et se servir de livres apocryphes et aussi un signe de manque d'arguments .
Au fait, c'est Elihou qui voulait démontrer que Eusèbe conteste la croix, pas les autres interlocuteurs, et tu as tout à fait raison que l'apostasie était à l'oeuvre car si tu ne le savais pas, Eusèbe trempait dans l'arianisme qui était une hérésie. Donc qui avait raison? Eusèbe qui connut constantin et qui etait partisan de l'arianisme ou Tertulien auquel l'EFA fait de temps à autre référence ainsi que les autres qui d'écrivent la croix.
Eusèbe pas inspiré et donc invalide? Alors il faut se rendre compte que le théologien W.Vine auquel l'EFA se réfère n'est pas inspiré non plus.
Et les autres théologiens dans tout cela?
"stauros ... an upright pale or stake ... the Roman instrument of crucifixion, the Cross ..." (Abbott-Smith, 1937, pp.415-416).
"stauros ... a stake sunk into the earth in an upright position; a cross-piece was oft. ...attached to its upper part, so that it was shaped like a T or thus †." (Arndt & Gingrich, 1957, p.772).
"stauros ... an upright stake. ... an instrument of torture for serious offences, .... The cross was a vertical, pointed stake ... or it consisted of an upright with a cross-beam above it ..." (Kittel & Friedrich, 1971, p.572).
"stauros ... 1. an upright stake, esp. a pointed one ... 2. a cross; ... borrowed by the Greeks and Romans from the Phoenicians ... This horrible punishment the innocent Jesus also suffered" (Thayer, 1901, p.586).
Strong:
1.un pieu droit, spécialement pointu.
2.une croix.
a.l'instrument bien connu du châtiment le plus cruel et le plus ignominieux, emprunté par les grecs et les Romains aux Phéniciens; depuis le temps de Contantin le Grand, étaient attachés à la croix les pires criminels, les plus bas des esclaves, les voleurs, les fauteurs de troubles, et même, dans certaines provinces, selon le bon plaisir des gouverneurs, des hommes justes et paisibles, et quelquefois des citoyens Romains.
b.la crucifixion que Christ a subie.
A.Westphal:
Il traduit (comme crux de la Vulgate) le grec stauros, qui signifie d'abord pieu (élément de palissade ou de fortification), pal (instrument de supplice employé par Assyriens, Perses, Carthaginois, Égyptiens), ou encore poteau auquel était attaché ou suspendu le supplicié jusqu'à ce que mort s'ensuivît. Ce pal et ce poteau sont nommés en latin crux simplex. Les Grecs et les Romains qui employèrent ce mode de supplice modifièrent de bonne heure l'aspect du poteau en le surmontant d'une traverse. C'est la crux commissa, en forme de T. La forme généralement connue (la croix) est la crux imniissa des Romains ou croix latine. Il est probable que la croix de Jésus avait cette dernière forme, portant au sommet l'inscription ...
La partie verticale (staticulum) de la croix, fort poteau
de moins de 3 m. de haut, était ordinairement implantée en permanence
sur le lieu des supplices, hors des murs de la ville. La partie
horizontale (patibulum) était une lourde poutre que le supplicié
devait, le plus souvent, porter lui-même et que les bourreaux
mettaient en place. Une cheville de bois (sedile, ou cornu)
était disposée au milieu du poteau vertical pour supporter le
crucifié, entre les jambes; peut-être y avait-il quelques fois un
autre support pour les pieds, à un demi-mètre du sol
ATSBD:
A kind of gibbet made of pieces of wood placed transversely, whether crossing at right angles, one at the top of the other, T, or below the top, t, or diagonally, X. Death by the cross was a punishment of the meanest slaves, and was a mark of infamy, De 21:23 Ga 3:13. This punishment was so common among the Romans, that pains, afflictions, troubles, etc., were called "crosses."
Nous remarquons ici que tout les theologiens ne sont pas d'accord de limiter l'utilisation de « stauros » à un simple poteau mais par contre appuyents ce que l'histoire nous révèle quand à l'utilisation du T par les romains au premier siècle. Bien que le poteau seul fut égallement utilisé par les romains l'ors d'exécutions en masse, mais sans oublier que l'utilisation du T était majoritaire et que lors de l'exécution de Jésus et des 2 larrons on peut dificilement parler d'exécution en masse.
Pensez que Jésus n'a pas choisi son instrument de supplice. Il n'a pas choisi de mourir sur le symbole païen (comme le dit la société) de la croix! les romains n'ont pas choisi la croix commme instrument de supplice parce que celui-ci était païen, ni parce que c'était soit disant le symbole du dieu Tammouz. Remarquez également que le poteau est également un symbole païen.
Sachant que les Juifs ont un mois qui s’appelle Tammouz, dois-je conclure qu’ils sont des païens, si je suis ce raisonnement? Sachant que les découvertes archéologiques nous montrent des chérubins qui ressemblent à des divinités égyptiennes ou summériennes, selon le style de sculpture, dois-je conclure qu’ils sont des païens, si je suis ce raisonnement?
la lettre Tau, c’est une lettre de l’alphabet hébreu que l’on prononce Tav ou Taw et qui correspond à notre T.
C’est aussi une lettre de l’alphabet grec qui correspond également au T français.
Ezéchiel 9: 4: «JHVH (Adonaï) lui dit: Passe au milieu de la ville, au milieu de Ieroushalaïm; trace une trace sur le front des hommes qui gémissent et geignent contre toutes les abominations qui se font en son sein.»
Le traducteur (Chouraqui) mentionne en bas de page: «Une trace: la lettre TAV, qui primitivement avait la forme d’une croix.»
Donc, en hébreu ancien, le mot «trace» (ou marque, signe) s’écrit avec une simple lettre, un Tav ou Taw qui correspond au Tau, symbole de Tammouz, et qui a la forme d’une croix.
Ezéchiel 9:4 pourrait par conséquent se lire comme suit: «...Passe au milieu de la ville ... Trace un Tav (ou un Tau, ou une croix) sur le front des hommes qui gémissent ...»
Ce qui pourait bien être la raison du signe de croix que Tertulien mentionne dans ces écrit, le signe sur le front mentioné en Révélation.