les nombreux miracle du prophéte de dieu (saw)
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- marseillais
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les nombreux miracle du prophéte de dieu (saw)
Ecrit le 25 févr.05, 08:24parmi les nombreux miracle du prophéte en voici quelques uns:
La scission de la lune
Un jour, les Mecquois demandèrent au Prophète de leur prouver qu’il était bien un prophète. Ceci eut lieu cinq ans avant l’Hégire en présence d’Al-Walîd Ibn Al-Mughîrah, de Abû Jahl, d’Al-`Âs Ibn Wâël, d’Al-Aswad Ibn Al-Muttalib, d’An-Nadr Ibn Al-Hârith et d’autres païens de La Mecque. Ils dirent au Prophète : "Si ce que tu dis est vrai, alors scinde la lune en deux moitiés !" Le Prophète s’adressa alors à Dieu afin qu’il lui octroie ce qu’ils avaient demandé. Et la lune se scinda en deux moitiés, l’une en amont de la montagne et l’autre en aval ! Et le Prophète d’appeler des témoins pour attester de ce miracle. Ce phénomène se produisit le quatorizième jour du mois lunaire, jour de la pleine lune, et dura "autant de temps qu’il y a entre l’après-midi et la nuit". Quand la lune se fendit, les païens dirent : "Muhammad nous a ensorcelés." L’un d’entre eux, qui n’était autre que Abû Jahl, dit alors : "S’il nous a ensorcelés, il ne peut pas ensorceler le monde entier. Interrogez donc les voyageurs qui viennent d’autres contrées : s’ils ont vu ce que vous avez vu, alors Muhammad aura fait ses preuves et sinon, ce que vous avez vu n’est autre que de la magie." Les Mecquois suivirent ce conseil avisé, mais tous les voyageurs arrivant à La Mecque ne firent que corroborer le récit de ce miracle. Les Mecquois dirent alors : "Ceci est une magie persistante !"
Les signes de la prophétie dans les arbres et les rochers
D’après Al-Bayhaqî, Al-Bazzâr, et Ad-Dârimî, Ibn `Umar dit :
"Pendant que nous étions avec le Prophète lors d’un voyage, un bédouin s’approcha de lui. Le Prophète lui demanda : "Où vas-tu ?" "Chez moi", répondit le bédouin. "Veux-tu que je te montre le Bien ?", demanda le Prophète. Le bédouin dit : " Oui". Le Prophète dit : " Que tu témoignes qu’il n’y a nulle autre divinité que Dieu et que Muhammad est le serviteur de Dieu et son Prophète." Le bédouin demanda : "Qui peut attester de ce que tu dis ?" Le Prophète dit : " Cet arbre là" et montra un arbre au fond de la vallée. Alors, l’arbre fendit la terre avec ses racines et accourut vers le Prophète et s’arrêta devant lui. Le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu sioent sur lui - lui demanda trois fois de témoigner qu’il était bel et bien le Prophète de Dieu. L’arbre s’exécuta et retourna à sa place. Le bédouin avant de rentrer chez lui dit au Prophète : "Si les gens de mon clan m’obéissent, je te les amènerai et sinon je viendrai vivre à tes côtés."
D’après Al-Bukhârî, Muslim, Al-Bazzâr, At-Tabarânî et Abû Ya`lâ, Jâbir Ibn `Abdillâh et `Abdullâh Ibn Mas`ûd - que Dieu les agrée dirent :
"Il y avait 360 idoles autour de la Ka`ba fixées dans les rochers avec du plomb. Le jour où le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - conquit la Mecque, il alla à la Ka`ba. Sans toucher les idoles, il pointa chacune d’entre elles et dit : "La Vérité (l’Islam) est venue et la vanité a disparu. Car la vanité est destinée à disparaître." (Coran 17:81). Chaque fois que le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - pointa une idole avec son barreau, elle s’écroulait."
D’après At-Tirmidhî et Ad-dârimî et Al-Hâkim, `Ali Ibn Abî Tâlib - que Dieu l’agrée et honore sa face - dit :
"J’avais l’habitude d’accompagner le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - partout où il allait à la Mecque. Un jour, nous partîmes dans l’une des régions de la Mecque et chaque fois que nous passions près d’un arbre ou d’un rocher, ils saluaient le Prophète disant : "Que le salut soit sur toi, Prophète de Dieu."
Les théologiens affirment que ces évènements avaient lieu au début de la mission du Prophète en guise d’appui et pour lui prouver que la création lui obéira et que son appel sera écouté.
Le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - avait pour habitude de s’appuyer sur un tronc de palmier pendant qu’il faisait le sermon du vendredi à la mosquée de Médine. Un jour, on lui proposa de lui construire un Minbar [une chaire] où il se tiendrait pour faire le sermon. Le Prophète accepta. Quand la chaire fut installée et que le vendredi vint, le Prophète monta sur la chaire et c’est alors que le tronc de palmier émit un gémissement de douleur pour sa séparation du Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui -. Le Prophète accourut vers lui et passa la main sur le tronc qui se calma. Ce miracle est véhiculé par une pléthore de témoins parmi les compagnons du Prophète. A titre d’exemple on cite : ’Ubayy Ibn Ka`b, Jâbir Ibn `Abdillâh, Anas Ibn Mâlik, `Abdullâh Ibn `Omar Ibn Al-Khattâb, `Abdullâh Ibn `Abbâs, Sahl Ibn Sa`d, Abu Sa`îd Al-Khudri, Burâ’idah Ibn Al-Hasib Al-Aslamî, Om Salamah, et Al-Mottalib Ibn Abi Wadâ`ah As-Sahmî.
D’après An-Nasâ’î dans son livre As-Sunan Al-Kubrâ, d’après Sahl Ibn Sa`d :
"Les gens se mirent à pleurer quand ils entendirent le tronc gémir jusqu’à ce que le Prophète l’eut consolé en passant sa main dessus. Le Prophète dit : "Par Celui qui possède mon âme, si je ne l’avais pas consolé, il aurait continué ainsi jusqu’au jour du Jugement Dernier."
Le jaillissement de l’eau et la pluie
Al-Bukhâri et Muslim rapportent d’après Anas - que Dieu l’agrée : "Je vis le Prophète à l’heure de la prière du `Asr [la prière de l’après-midi] à Az-Zaourâ’, un endroit dans le marché de Médine. Les gens cherchèrent de l’eau pour le Woudou’ [les purifications rituelles qui précèdent la prière] mais n’en trouvèrent pas suffisamment. On apporta au Prophète un peu d’eau dans un récipient où il immergea sa main. Puis, il ordonna aux gens de venir en prendre pour leurs purifications. Et, là, je vis l’eau jaillir de ses nobles doigts. Tous les gens purent accomplir leurs purifications. On demanda à Anas : " Combien étiez-vous ?" Il répondit : " Environ trois cents."
Al-Bukhâri et Muslim relatent d’après le témoignage de Jâbir - que Dieu l’agrée - que les musulmans eurent soif le jour d’Al-Hudaïbiyah. Alors que le Prophète avait devant lui un récipient avec un peu d’eau dont il se servait pour faire son Wudû’, les gens se précipitèrent autour de lui. Alors, il leur demanda : "Qu’y a-t-il ?" Ils dirent : "Ô Prophète de Dieu, nous n’avons plus d’eau pour faire nos purifications ni même pour boire sauf le peu que tu as là." Alors le Prophète mit sa main dans le récipient et l’eau se mit à jaillir d’entre ses doigts comme des sources. Alors nous bûmes et accomplîmes nos purifications. Sâlim celui qui rapporte ce témoignage de Jâbir, s’enquit : "Combien étiez-vous ?" Jâbir répondit : "Si nous étions cent mille, l’eau nous aurait suffit. Mais, nous n’étions que mille cinq cents."
Parmi les miracles qui eurent lieu pendant la bataille de Tabûk, on relate que les combattants furent sujets à une soif très forte. Alors Abû Bakr - que Dieu l’agrée, le compagnon du Prophète - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui, lui dit : " Ô Prophète de Dieu, Dieu ne t’a jamais refusé une prière. Si tu priais pour qu’Il nous donne à boire." Le Prophète demanda : "Est-ce votre souhait ?" Abû Bakr répondit par l’affirmative. Alors le Prophète - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui - leva ses mains vers le ciel et ne les baissa pas avant que les nuages apparurent dans le ciel et la pluie tomba. Les troupes remplirent les récipients dont ils disposaient et levèrent les yeux vers le ciel pour s’apercevoir qu’en fait les nuages ne dépassaient pas leur camp ! Il faut se rendre compte que ces évènements ont eu lieu en plein été en Arabie où on ne voit que très rarement les nuages et en tout cas il n’est pas du tout question de pluie !
Autre miracle
Le premier miracle eut lieu dès le premier instant de l’Hégire. En effet, pendant les treize années qui précédèrent l’Hégire, le Prophète - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui - appela inlassablement les Qurayshites au droit chemin, à un Dieu unique, à l’égalité des hommes, à l’humilité et à l’amour du prochain.
Dès que le départ du Prophète fut signalé, les Qurayshites se lancèrent sur ses traces et arrivèrent à l’entrée d’une grotte où le Prophète et son Compagnon Abû Bakr s’étaient réfugiés... Dieu allait-il livrer Son Prophète à cette horde d’assassins ? Tout de suite, après l’entrée des deux compagnons dans la grotte, une araignée tissa sa toile sur l’entrée de la grotte et une colombe y pondit ses œufs et les couva. Quoi de plus faibles qu’une toile d’araignée ou une colombe qui couve ses œufs ? Avec si peu de choses, Dieu troubla les Qurayshites : les traces de pas menaient bien à cette grotte mais visiblement, elle n’était pas fréquentée (puisque une colombe s’y était nichée et que la toile d’araignée prouvait clairement que personne n’y était entré depuis un bon moment !). Plus bas, dans la grotte, Abû Bakr dit à son ami Muhammad - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui : "Si l’un d’eux regarde sous ses pieds, il nous verra..." Et le Prophète de répondre : "Que penses-tu de deux personnes dont Dieu est le Troisième ?" Cette scène fut consignée par le Coran, sourate 9, le Repentir, verset 40 : "Si vous ne lui portez pas secours... Allah l’a déjà secouru, lorsque les mécréants l’avaient banni, deuxième de deux. Quand ils étaient dans la grotte et qu’il disait à son compagnon : ‹Ne t’afflige pas, car Dieu est avec nous.› Dieu fit alors descendre sur lui Sa sérénité et le secourut par des agents que vous ne voyiez pas, et Il rabaissa ainsi la parole des mécréants, tandis que la Parole d’Allah eut le dessus. Et Allah est Puissant et Sage." D’après le recueil intitulé As-Sîrah Al-Halabiyyah, le Prophète aurait répondu à Abû Bakr : "Sais-tu ce qui arriverait, s’ils venaient à rentrer dans la grotte ?" "Qu’arriverait-il ô Prophète de Dieu", demanda Abû Bakr. "Regarde", dit le Prophète. C’est alors que Abû Bakr vit une mer et un bateau à son bord. "S’ils rentrent dans la grotte, nous sortirons par là", dit le Prophète !
Quand ils furent débarrassés de leur poursuivants, le Prophète et Abû Bakr retrouvèrent leur guide `Abd Allâh Ibn Urayqit et le berger de Abû Bakr, `Âmir Ibn Fuhayrah, et continuèrent leur route. Ils passèrent à proximité de la tente d’une femme qu’on appelait Umm Ma`bad Al-Khuzâ`iyyah. Les voyageurs étaient alors à bout de vivres. Ils demandèrent à Umm Ma`bad de leur vendre de quoi tenir le reste du trajet. Mais la femme, gênée, leur dit : "Par Dieu, si j’avais de quoi vous donner, je vous l’aurais donné gratuitement." Le Prophète vit dans un coin une chèvre frêle. "Et cette chèvre ?", demanda le Prophète. "Elle est frêle et son lait a tari comme tu le vois", répondit la femme. Le Prophète lui demanda d’approcher la chèvre. Alors, le Prophète - que les salutations de Dieu et ses bénédictions soient sur lui - posa sa main sur la chèvre qui subitement prit des forces. Puis il toucha son pis qui se remplit de lait. Le Prophète prit du lait de la chèvre et commença par donner à ses compagnons. Ensuite, il en donna à Umm Ma`bad, il remplit un bol destiné à Abû Ma`bad (le mari de Umm Ma`bad) et il finit par en boire à son tour. Les voyageurs poursuivirent leur chemin. Quand Abû Ma`bad fut de retour, il s’étonna à la vue du bol de lait car il savait que leur chèvre ne donnait pas de lait. Umm Ma`bad lui décrivit alors le Prophète et lui raconta ce qu’il fit. Il lui dit : "C’est l’homme que Quraysh poursuit pour l’assassiner." Umm Ma`bad et Abû Ma`bad embrassèrent l’Islam.
Quand je pense que certains clament haut et fort que le Prophète Muhammad(saw) n’a pas produit de miracle.Et ce n'est là que trés peu il y en encore beaucoup comme par exemple la multiplication de nourriture, lors de la bataille de badr il recouvrit la vu d'un de ses compagnons, l'annonciation de chose qui allait ce produire,l'ascension, le coran(qui est un miracle en lui seul les arabophone me comprendrons),
La scission de la lune
Un jour, les Mecquois demandèrent au Prophète de leur prouver qu’il était bien un prophète. Ceci eut lieu cinq ans avant l’Hégire en présence d’Al-Walîd Ibn Al-Mughîrah, de Abû Jahl, d’Al-`Âs Ibn Wâël, d’Al-Aswad Ibn Al-Muttalib, d’An-Nadr Ibn Al-Hârith et d’autres païens de La Mecque. Ils dirent au Prophète : "Si ce que tu dis est vrai, alors scinde la lune en deux moitiés !" Le Prophète s’adressa alors à Dieu afin qu’il lui octroie ce qu’ils avaient demandé. Et la lune se scinda en deux moitiés, l’une en amont de la montagne et l’autre en aval ! Et le Prophète d’appeler des témoins pour attester de ce miracle. Ce phénomène se produisit le quatorizième jour du mois lunaire, jour de la pleine lune, et dura "autant de temps qu’il y a entre l’après-midi et la nuit". Quand la lune se fendit, les païens dirent : "Muhammad nous a ensorcelés." L’un d’entre eux, qui n’était autre que Abû Jahl, dit alors : "S’il nous a ensorcelés, il ne peut pas ensorceler le monde entier. Interrogez donc les voyageurs qui viennent d’autres contrées : s’ils ont vu ce que vous avez vu, alors Muhammad aura fait ses preuves et sinon, ce que vous avez vu n’est autre que de la magie." Les Mecquois suivirent ce conseil avisé, mais tous les voyageurs arrivant à La Mecque ne firent que corroborer le récit de ce miracle. Les Mecquois dirent alors : "Ceci est une magie persistante !"
Les signes de la prophétie dans les arbres et les rochers
D’après Al-Bayhaqî, Al-Bazzâr, et Ad-Dârimî, Ibn `Umar dit :
"Pendant que nous étions avec le Prophète lors d’un voyage, un bédouin s’approcha de lui. Le Prophète lui demanda : "Où vas-tu ?" "Chez moi", répondit le bédouin. "Veux-tu que je te montre le Bien ?", demanda le Prophète. Le bédouin dit : " Oui". Le Prophète dit : " Que tu témoignes qu’il n’y a nulle autre divinité que Dieu et que Muhammad est le serviteur de Dieu et son Prophète." Le bédouin demanda : "Qui peut attester de ce que tu dis ?" Le Prophète dit : " Cet arbre là" et montra un arbre au fond de la vallée. Alors, l’arbre fendit la terre avec ses racines et accourut vers le Prophète et s’arrêta devant lui. Le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu sioent sur lui - lui demanda trois fois de témoigner qu’il était bel et bien le Prophète de Dieu. L’arbre s’exécuta et retourna à sa place. Le bédouin avant de rentrer chez lui dit au Prophète : "Si les gens de mon clan m’obéissent, je te les amènerai et sinon je viendrai vivre à tes côtés."
D’après Al-Bukhârî, Muslim, Al-Bazzâr, At-Tabarânî et Abû Ya`lâ, Jâbir Ibn `Abdillâh et `Abdullâh Ibn Mas`ûd - que Dieu les agrée dirent :
"Il y avait 360 idoles autour de la Ka`ba fixées dans les rochers avec du plomb. Le jour où le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - conquit la Mecque, il alla à la Ka`ba. Sans toucher les idoles, il pointa chacune d’entre elles et dit : "La Vérité (l’Islam) est venue et la vanité a disparu. Car la vanité est destinée à disparaître." (Coran 17:81). Chaque fois que le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - pointa une idole avec son barreau, elle s’écroulait."
D’après At-Tirmidhî et Ad-dârimî et Al-Hâkim, `Ali Ibn Abî Tâlib - que Dieu l’agrée et honore sa face - dit :
"J’avais l’habitude d’accompagner le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - partout où il allait à la Mecque. Un jour, nous partîmes dans l’une des régions de la Mecque et chaque fois que nous passions près d’un arbre ou d’un rocher, ils saluaient le Prophète disant : "Que le salut soit sur toi, Prophète de Dieu."
Les théologiens affirment que ces évènements avaient lieu au début de la mission du Prophète en guise d’appui et pour lui prouver que la création lui obéira et que son appel sera écouté.
Le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - avait pour habitude de s’appuyer sur un tronc de palmier pendant qu’il faisait le sermon du vendredi à la mosquée de Médine. Un jour, on lui proposa de lui construire un Minbar [une chaire] où il se tiendrait pour faire le sermon. Le Prophète accepta. Quand la chaire fut installée et que le vendredi vint, le Prophète monta sur la chaire et c’est alors que le tronc de palmier émit un gémissement de douleur pour sa séparation du Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui -. Le Prophète accourut vers lui et passa la main sur le tronc qui se calma. Ce miracle est véhiculé par une pléthore de témoins parmi les compagnons du Prophète. A titre d’exemple on cite : ’Ubayy Ibn Ka`b, Jâbir Ibn `Abdillâh, Anas Ibn Mâlik, `Abdullâh Ibn `Omar Ibn Al-Khattâb, `Abdullâh Ibn `Abbâs, Sahl Ibn Sa`d, Abu Sa`îd Al-Khudri, Burâ’idah Ibn Al-Hasib Al-Aslamî, Om Salamah, et Al-Mottalib Ibn Abi Wadâ`ah As-Sahmî.
D’après An-Nasâ’î dans son livre As-Sunan Al-Kubrâ, d’après Sahl Ibn Sa`d :
"Les gens se mirent à pleurer quand ils entendirent le tronc gémir jusqu’à ce que le Prophète l’eut consolé en passant sa main dessus. Le Prophète dit : "Par Celui qui possède mon âme, si je ne l’avais pas consolé, il aurait continué ainsi jusqu’au jour du Jugement Dernier."
Le jaillissement de l’eau et la pluie
Al-Bukhâri et Muslim rapportent d’après Anas - que Dieu l’agrée : "Je vis le Prophète à l’heure de la prière du `Asr [la prière de l’après-midi] à Az-Zaourâ’, un endroit dans le marché de Médine. Les gens cherchèrent de l’eau pour le Woudou’ [les purifications rituelles qui précèdent la prière] mais n’en trouvèrent pas suffisamment. On apporta au Prophète un peu d’eau dans un récipient où il immergea sa main. Puis, il ordonna aux gens de venir en prendre pour leurs purifications. Et, là, je vis l’eau jaillir de ses nobles doigts. Tous les gens purent accomplir leurs purifications. On demanda à Anas : " Combien étiez-vous ?" Il répondit : " Environ trois cents."
Al-Bukhâri et Muslim relatent d’après le témoignage de Jâbir - que Dieu l’agrée - que les musulmans eurent soif le jour d’Al-Hudaïbiyah. Alors que le Prophète avait devant lui un récipient avec un peu d’eau dont il se servait pour faire son Wudû’, les gens se précipitèrent autour de lui. Alors, il leur demanda : "Qu’y a-t-il ?" Ils dirent : "Ô Prophète de Dieu, nous n’avons plus d’eau pour faire nos purifications ni même pour boire sauf le peu que tu as là." Alors le Prophète mit sa main dans le récipient et l’eau se mit à jaillir d’entre ses doigts comme des sources. Alors nous bûmes et accomplîmes nos purifications. Sâlim celui qui rapporte ce témoignage de Jâbir, s’enquit : "Combien étiez-vous ?" Jâbir répondit : "Si nous étions cent mille, l’eau nous aurait suffit. Mais, nous n’étions que mille cinq cents."
Parmi les miracles qui eurent lieu pendant la bataille de Tabûk, on relate que les combattants furent sujets à une soif très forte. Alors Abû Bakr - que Dieu l’agrée, le compagnon du Prophète - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui, lui dit : " Ô Prophète de Dieu, Dieu ne t’a jamais refusé une prière. Si tu priais pour qu’Il nous donne à boire." Le Prophète demanda : "Est-ce votre souhait ?" Abû Bakr répondit par l’affirmative. Alors le Prophète - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui - leva ses mains vers le ciel et ne les baissa pas avant que les nuages apparurent dans le ciel et la pluie tomba. Les troupes remplirent les récipients dont ils disposaient et levèrent les yeux vers le ciel pour s’apercevoir qu’en fait les nuages ne dépassaient pas leur camp ! Il faut se rendre compte que ces évènements ont eu lieu en plein été en Arabie où on ne voit que très rarement les nuages et en tout cas il n’est pas du tout question de pluie !
Autre miracle
Le premier miracle eut lieu dès le premier instant de l’Hégire. En effet, pendant les treize années qui précédèrent l’Hégire, le Prophète - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui - appela inlassablement les Qurayshites au droit chemin, à un Dieu unique, à l’égalité des hommes, à l’humilité et à l’amour du prochain.
Dès que le départ du Prophète fut signalé, les Qurayshites se lancèrent sur ses traces et arrivèrent à l’entrée d’une grotte où le Prophète et son Compagnon Abû Bakr s’étaient réfugiés... Dieu allait-il livrer Son Prophète à cette horde d’assassins ? Tout de suite, après l’entrée des deux compagnons dans la grotte, une araignée tissa sa toile sur l’entrée de la grotte et une colombe y pondit ses œufs et les couva. Quoi de plus faibles qu’une toile d’araignée ou une colombe qui couve ses œufs ? Avec si peu de choses, Dieu troubla les Qurayshites : les traces de pas menaient bien à cette grotte mais visiblement, elle n’était pas fréquentée (puisque une colombe s’y était nichée et que la toile d’araignée prouvait clairement que personne n’y était entré depuis un bon moment !). Plus bas, dans la grotte, Abû Bakr dit à son ami Muhammad - que les salutations de Dieu et Ses bénédictions soient sur lui : "Si l’un d’eux regarde sous ses pieds, il nous verra..." Et le Prophète de répondre : "Que penses-tu de deux personnes dont Dieu est le Troisième ?" Cette scène fut consignée par le Coran, sourate 9, le Repentir, verset 40 : "Si vous ne lui portez pas secours... Allah l’a déjà secouru, lorsque les mécréants l’avaient banni, deuxième de deux. Quand ils étaient dans la grotte et qu’il disait à son compagnon : ‹Ne t’afflige pas, car Dieu est avec nous.› Dieu fit alors descendre sur lui Sa sérénité et le secourut par des agents que vous ne voyiez pas, et Il rabaissa ainsi la parole des mécréants, tandis que la Parole d’Allah eut le dessus. Et Allah est Puissant et Sage." D’après le recueil intitulé As-Sîrah Al-Halabiyyah, le Prophète aurait répondu à Abû Bakr : "Sais-tu ce qui arriverait, s’ils venaient à rentrer dans la grotte ?" "Qu’arriverait-il ô Prophète de Dieu", demanda Abû Bakr. "Regarde", dit le Prophète. C’est alors que Abû Bakr vit une mer et un bateau à son bord. "S’ils rentrent dans la grotte, nous sortirons par là", dit le Prophète !
Quand ils furent débarrassés de leur poursuivants, le Prophète et Abû Bakr retrouvèrent leur guide `Abd Allâh Ibn Urayqit et le berger de Abû Bakr, `Âmir Ibn Fuhayrah, et continuèrent leur route. Ils passèrent à proximité de la tente d’une femme qu’on appelait Umm Ma`bad Al-Khuzâ`iyyah. Les voyageurs étaient alors à bout de vivres. Ils demandèrent à Umm Ma`bad de leur vendre de quoi tenir le reste du trajet. Mais la femme, gênée, leur dit : "Par Dieu, si j’avais de quoi vous donner, je vous l’aurais donné gratuitement." Le Prophète vit dans un coin une chèvre frêle. "Et cette chèvre ?", demanda le Prophète. "Elle est frêle et son lait a tari comme tu le vois", répondit la femme. Le Prophète lui demanda d’approcher la chèvre. Alors, le Prophète - que les salutations de Dieu et ses bénédictions soient sur lui - posa sa main sur la chèvre qui subitement prit des forces. Puis il toucha son pis qui se remplit de lait. Le Prophète prit du lait de la chèvre et commença par donner à ses compagnons. Ensuite, il en donna à Umm Ma`bad, il remplit un bol destiné à Abû Ma`bad (le mari de Umm Ma`bad) et il finit par en boire à son tour. Les voyageurs poursuivirent leur chemin. Quand Abû Ma`bad fut de retour, il s’étonna à la vue du bol de lait car il savait que leur chèvre ne donnait pas de lait. Umm Ma`bad lui décrivit alors le Prophète et lui raconta ce qu’il fit. Il lui dit : "C’est l’homme que Quraysh poursuit pour l’assassiner." Umm Ma`bad et Abû Ma`bad embrassèrent l’Islam.
Quand je pense que certains clament haut et fort que le Prophète Muhammad(saw) n’a pas produit de miracle.Et ce n'est là que trés peu il y en encore beaucoup comme par exemple la multiplication de nourriture, lors de la bataille de badr il recouvrit la vu d'un de ses compagnons, l'annonciation de chose qui allait ce produire,l'ascension, le coran(qui est un miracle en lui seul les arabophone me comprendrons),
Re: les nombreux miracle du prophéte de dieu (saw)
Ecrit le 26 févr.05, 12:13J'aimerais te poser une question, est-ce que tu es musulmane ou?
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Ecrit le 26 févr.05, 18:14
Ce sont en effet des miracles... impressionnants
La lune qui se cache derrière une montagne, des pierres et arbres qui parlent, une araignée qui tisse une toile et une chèvre qui donne du lait.
Et un orage.
Juste en passant, vous qui aimez citer les contradictions bibliques...il ont bu combien :
On demanda à Anas : " Combien étiez-vous ?" Il répondit : " Environ trois cents."
et
"Combien étiez-vous ?" Jâbir répondit : "Si nous étions cent mille, l’eau nous aurait suffit. Mais, nous n’étions que mille cinq cents."
La lune qui se cache derrière une montagne, des pierres et arbres qui parlent, une araignée qui tisse une toile et une chèvre qui donne du lait.
Et un orage.
Juste en passant, vous qui aimez citer les contradictions bibliques...il ont bu combien :
On demanda à Anas : " Combien étiez-vous ?" Il répondit : " Environ trois cents."
et
"Combien étiez-vous ?" Jâbir répondit : "Si nous étions cent mille, l’eau nous aurait suffit. Mais, nous n’étions que mille cinq cents."
- abou rachid
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Ecrit le 28 févr.05, 04:05
Je suis pas spécialiste des hadiths...abou rachid a écrit :simple :
t'es sur que ces citation parle de la Meme anecdote,
entre les 5.000 et les 3.00
tu es sur que c'est au meme moment, et pas une anecdocte qui c'est passé il y a un certain temps et une autre anecdote apres ...
lol !
@+ ou plutot @-d'autre ...
- abou rachid
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Ecrit le 28 févr.05, 11:16
autres miracles:
Pendant la bataille de Ohod, Qatâdah Ibn An-No'mân étaient parmi les combattants musulmans. Pendant la bataille, il reçut un coup qui exorbita l'un de ses yeux. Il le prit dans sa main et trouva le Prophète. "Ô Prophète de Dieu, prie pour que Dieu me restitue mon oeil!", dit-il. Le Prophète lui dit: "Si tu le veux, je peux demander à Dieu de te restituer ton oeil. Et, si tu le veux, je peux aussi lui demander de t'admettre au Paradis." Alors il répondit: "Prie donc pour qu'il me restitue mon oeil et m'admette au Paradis." Sur ce, le Prophète prit son oeil, l'humecta de sa noble salive et le remit à sa place. Qatâdah recouvra sa vue et cet oeil fut par la suite le meilleur de ses yeux !
D’après Abû Huraïrah - que Dieu l’agrée, le Prophète dit : "J’étais à Al-Hijr [un endroit où les Qoraïshites les plus influents se retrouvaient pour discuter et s’amuser] et Qoraïsh m’interrogeait sur mon passage à Jérusalem. Ils m’interrogèrent sur certains détails du Temple Sacré (bayt al-maqdis) auxquels je n’avais pas prêté attention. Je sentis un énorme malaise comme je n’en avais jamais senti auparavant. Alors Dieu dévoila le Temple Sacré à mon regard et je répondis à toutes leurs interrogations."
Il convient de souligner que le Prophète ne connaissait pas Jérusalem avant ce voyage miraculeux et c’est ce qui justifie les questions que son peuple lui posa à propos de la ville car ils savaient pertinemment que Mohammad n’en avait pas une connaissance préalable.
Un autre récit donne un autre éclairage sur cet interrogatoire : Om Hâni’ - que Dieu l’agrée - dit : "Le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - dormait chez nous la nuit où le miracle d’al-Isrâ’ eut lieu. Je constatai son absence cette nuit là et je ne pus fermer l’œil de peur qu’un malheur ne lui soit arrivé. [A son retour], le Prophète m’expliqua : "Gabriel - que la paix soit sur lui - vint me voir, il me prit par la main et nous sortîmes de la maison. Devant la porte, je trouvai une monture entre la mule et l’âne. Il me fit monter dessus et nous partîmes.
Arrivés au Temple de Jérusalem, il me montra Abraham qui était de la même constitution que moi. Il me montra Moïse : il était basané et grand de taille avec des cheveux blancs, il ressemblait aux gens de Azd Shanu’ah (une tribu arabe). Il me montra Jésus, fils de Marie, il était blanc de teint avec un peu de rougeur. Il ressemblait à `Urwah Ibn Mas`ûd Ath-Thaqafî. Il me montra aussi l’Imposteur [l’Antéchrist]. Borgne de l’œil droit, il ressemblait à Qotn Ibn `Abd Al-`Ozzâ." Puis il me dit : "Je veux sortir raconter tout ce que j’ai vu à Qoraïsh." Je le retins par ses vêtements et lui dit : "Je t’en conjure, tu sais bien que ses gens te démentissent et je crains qu’il ne te fassent du mal !" Il libéra ses vêtements de ma main et sortit.
Il alla les voir dans leur lieu de rencontres et leur raconta son récit. Mut`am Ibn `Udayy se leva et lui dit : "Ô Muhammad, si tu étais aussi jeune que tu l’étais dans le temps, tu n’aurais pas dit une telle chose et resté impuni !" Un autre homme lui dit : "As-tu vu sur ton chemin des chameaux qui nous appartiennent à tel endroit ?" Le Prophète répondit : "Oui, ils ont égaré un chameau et sont actuellement à sa recherche." L’homme lui demanda : "As-tu vu le troupeau de mon cousin un tel ?" Le Prophète dit : "Oui, je l’ai croisé à tel endroit. Une chamelle rouge s’est cassé [un membre]. Ils avait un récipient d’eau que j’ai bu." Ils lui demandèrent de donner le nombre de bêtes dans le troupeau et le nom des bergers. Il répondit qu’il n’y avait pas fait attention puis il tomba subitement en sommeil. Il vit le troupeau devant lui et compta les bêtes et prit connaissance des bergers qui étaient avec le troupeau. Quand il se réveilla, il leur donna le nombre de bêtes dans le troupeau et leur dit que les bergers était Ibn Abî Quhâfah et un tel et un tel. Il leur dit aussi que le troupeau allait rentrer à la Mecque le lendemain de telle direction.
Le lendemain, ils attendirent à l’endroit indiqué et virent les chameaux arriver. Ils les interrogèrent et purent vérifier qu’un chameau s’était bien égaré. Ils interrogèrent le deuxième troupeau et vérifièrent qu’une chamelle rouge s’était cassé un membre. Ils les interrogèrent à propos du récipient d’eau. Abû Bakr Ibn Abî Qohâfah qui accompagnait le troupeau répondit qu’ils avaient bien un récipient et qu’il l’avait remplit lui même et qu’il ne savait pas qui avait bien pu la boire. Quand Abû Bakr prit connaissance de toute l’histoire il fit foi au Prophète et cru ce que le Prophète avait relaté. C’est depuis ce moment là qu’il fut qualifié d’As-Siddîq (i.e. celui qui croit).
Pendant la bataille de Ohod, Qatâdah Ibn An-No'mân étaient parmi les combattants musulmans. Pendant la bataille, il reçut un coup qui exorbita l'un de ses yeux. Il le prit dans sa main et trouva le Prophète. "Ô Prophète de Dieu, prie pour que Dieu me restitue mon oeil!", dit-il. Le Prophète lui dit: "Si tu le veux, je peux demander à Dieu de te restituer ton oeil. Et, si tu le veux, je peux aussi lui demander de t'admettre au Paradis." Alors il répondit: "Prie donc pour qu'il me restitue mon oeil et m'admette au Paradis." Sur ce, le Prophète prit son oeil, l'humecta de sa noble salive et le remit à sa place. Qatâdah recouvra sa vue et cet oeil fut par la suite le meilleur de ses yeux !
D’après Abû Huraïrah - que Dieu l’agrée, le Prophète dit : "J’étais à Al-Hijr [un endroit où les Qoraïshites les plus influents se retrouvaient pour discuter et s’amuser] et Qoraïsh m’interrogeait sur mon passage à Jérusalem. Ils m’interrogèrent sur certains détails du Temple Sacré (bayt al-maqdis) auxquels je n’avais pas prêté attention. Je sentis un énorme malaise comme je n’en avais jamais senti auparavant. Alors Dieu dévoila le Temple Sacré à mon regard et je répondis à toutes leurs interrogations."
Il convient de souligner que le Prophète ne connaissait pas Jérusalem avant ce voyage miraculeux et c’est ce qui justifie les questions que son peuple lui posa à propos de la ville car ils savaient pertinemment que Mohammad n’en avait pas une connaissance préalable.
Un autre récit donne un autre éclairage sur cet interrogatoire : Om Hâni’ - que Dieu l’agrée - dit : "Le Prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - dormait chez nous la nuit où le miracle d’al-Isrâ’ eut lieu. Je constatai son absence cette nuit là et je ne pus fermer l’œil de peur qu’un malheur ne lui soit arrivé. [A son retour], le Prophète m’expliqua : "Gabriel - que la paix soit sur lui - vint me voir, il me prit par la main et nous sortîmes de la maison. Devant la porte, je trouvai une monture entre la mule et l’âne. Il me fit monter dessus et nous partîmes.
Arrivés au Temple de Jérusalem, il me montra Abraham qui était de la même constitution que moi. Il me montra Moïse : il était basané et grand de taille avec des cheveux blancs, il ressemblait aux gens de Azd Shanu’ah (une tribu arabe). Il me montra Jésus, fils de Marie, il était blanc de teint avec un peu de rougeur. Il ressemblait à `Urwah Ibn Mas`ûd Ath-Thaqafî. Il me montra aussi l’Imposteur [l’Antéchrist]. Borgne de l’œil droit, il ressemblait à Qotn Ibn `Abd Al-`Ozzâ." Puis il me dit : "Je veux sortir raconter tout ce que j’ai vu à Qoraïsh." Je le retins par ses vêtements et lui dit : "Je t’en conjure, tu sais bien que ses gens te démentissent et je crains qu’il ne te fassent du mal !" Il libéra ses vêtements de ma main et sortit.
Il alla les voir dans leur lieu de rencontres et leur raconta son récit. Mut`am Ibn `Udayy se leva et lui dit : "Ô Muhammad, si tu étais aussi jeune que tu l’étais dans le temps, tu n’aurais pas dit une telle chose et resté impuni !" Un autre homme lui dit : "As-tu vu sur ton chemin des chameaux qui nous appartiennent à tel endroit ?" Le Prophète répondit : "Oui, ils ont égaré un chameau et sont actuellement à sa recherche." L’homme lui demanda : "As-tu vu le troupeau de mon cousin un tel ?" Le Prophète dit : "Oui, je l’ai croisé à tel endroit. Une chamelle rouge s’est cassé [un membre]. Ils avait un récipient d’eau que j’ai bu." Ils lui demandèrent de donner le nombre de bêtes dans le troupeau et le nom des bergers. Il répondit qu’il n’y avait pas fait attention puis il tomba subitement en sommeil. Il vit le troupeau devant lui et compta les bêtes et prit connaissance des bergers qui étaient avec le troupeau. Quand il se réveilla, il leur donna le nombre de bêtes dans le troupeau et leur dit que les bergers était Ibn Abî Quhâfah et un tel et un tel. Il leur dit aussi que le troupeau allait rentrer à la Mecque le lendemain de telle direction.
Le lendemain, ils attendirent à l’endroit indiqué et virent les chameaux arriver. Ils les interrogèrent et purent vérifier qu’un chameau s’était bien égaré. Ils interrogèrent le deuxième troupeau et vérifièrent qu’une chamelle rouge s’était cassé un membre. Ils les interrogèrent à propos du récipient d’eau. Abû Bakr Ibn Abî Qohâfah qui accompagnait le troupeau répondit qu’ils avaient bien un récipient et qu’il l’avait remplit lui même et qu’il ne savait pas qui avait bien pu la boire. Quand Abû Bakr prit connaissance de toute l’histoire il fit foi au Prophète et cru ce que le Prophète avait relaté. C’est depuis ce moment là qu’il fut qualifié d’As-Siddîq (i.e. celui qui croit).
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Ecrit le 28 févr.05, 12:36
Or il y avait là, destinés aux ablutions des Juifs, six auges de pierre, qui contenaient chacune deux ou trois mesures. Jésus leur dit : « Remplissez d'eau ces auges. » Ils les remplirent jusqu'au bord. « Puisez maintenant, leur dit-il, et portez-en au maître d'hôtel. » Et ils en portèrent. Le maître d'hôtel goûta cette eau changée en vin et, ignorant sa provenance (tandis que les serviteurs qui avaient puisé l'eau la connaissaient bien), il se tourna vers l'époux et lui dit : « L'usage est de servir d'abord le bon vin, puis, lorsqu'on a bu copieusement, le moins bon. Mais toi, tu as gardé le meilleur jusqu'à maintenant. »
"Tel fut, à Cana en Galilée, le premier des miracles de Jésus. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui. Après cela, il descendit à Capharnaüm avec sa mère, ses frères et ses disciples."
"Tel fut, à Cana en Galilée, le premier des miracles de Jésus. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui. Après cela, il descendit à Capharnaüm avec sa mère, ses frères et ses disciples."
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Re: les nombreux miracle du prophéte de dieu (saw)
Ecrit le 03 sept.12, 04:32Le miracle du prophète, c'est vraiment le nombre de gens qui croient en lui sincèrement.
C'est un vrai miracle.
C'est un vrai miracle.
"Rien n'est plus dangereux au monde que la véritable ignorance et la stupidité consciencieuse".
Martin Luther King
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