Tom Nisciant a écrit :Tguiot, je suis désolé si mon ton est parfois cassant, mais il y a quelque chose de nauséabond dans le discours de Shlomo qui se complait dans l'attaque ad hominem et intervient pour ne rien dire. Vous noterez que chacun de mes post (ou la plupart) cherche malgré tout à poursuivre le débat. Mon contradicteur ne sait que me traiter d'idiot. J'imagine qu'il se sent très intelligent chaque fois qu'il traite quelqu'un d'idiot, mais ce forum n'est pas une thérapie.
Nous sommes sur le topic de l'homophobie. Ce monsieur vient nous dire qu'il est homophobe.
Soit.
Il nous dit que la science n'a aucune valeur dans ce débat. (si elle doit suivre un 'dogme politique' alors ce n'est plus de la science : elle n'a plus de valeur, si cela ne correspond pas à sa pensée, libre à lui de la préciser plutôt que de cracher des insultes)
Re-soit.
Si on cherche un dialogue, il me semble que l'étape suivante est de demander à ce personnage les raisons de son homophobie.
Mais là, visiblement on touche un point sensible, il regimbe et prétend qu'on change de sujet. Ben, écoutez, si c'est pas l'homophobie le sujet, de quoi on parle, ici ? Encore des juifs ? [oups, pardon, ça c'est un procès d'intention, je ne recommencerai plus]
Je suis pour la modération, mais j'espère que vous savez faire la part des choses et reconnaitre qui fait pourrir le débat. Je n'en demande pas plus.
Oui, Shlomo est homophobe, oui il est antisémite, à ce stade c'est clairement pas un procès d'intention. Mais tu ne fais que rentrer dans son jeu en "dialoguant" avec lui. Shlomo est un provocateur qui aime bien ramener son gros cynisme dans le débat. Soit. Si ça te dérange, ou si tu vois que malgré tes tentatives, rien de concret n'aboutit dans le dialogue, eh bien ignore-le, tout simplement.
Quant à Shlomo, qu'il daigne montrer une participation honnête aux débats. Ou qu'il s'abstienne.
Mon but ici est pas de faire de la censure (sauf si les attaques personnelles devenaient trop virulentes). Mais j'aimerais conserver un peu de civilités dans mes sections, si ce n'est pas trop demander aux participants.