QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 01 nov.12, 20:35@ Ghazali :
Merci de nous avoir exprimé vos croyances irrationnelles. Mais nous sommes ici dans la partie scientifique du forum, alors merci de nous produire des preuves scientifiques. (Votre name-dropping n'impressionne personne : ce sont des argumenta ad verecundiam.)
Merci de nous avoir exprimé vos croyances irrationnelles. Mais nous sommes ici dans la partie scientifique du forum, alors merci de nous produire des preuves scientifiques. (Votre name-dropping n'impressionne personne : ce sont des argumenta ad verecundiam.)
Je cesse (sans doute définitivement) toute activité sur ce forum. J'en explique les raisons là-bas : http://www.forum-religion.org/post638027.html#p638027 là-bas : http://www.forum-religion.org/post638076.html#p638076 et enfin là-bas : http://www.forum-religion.org/post639549.html#p639549
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 08:23Bonsoir,Vicomte a écrit : Merci de nous faire part de vos croyances irrationnelles. Mais à défaut de preuve scientifique, cela n'en fera pas une vérité objective.
Désolé de m'immiscer dans ce très long topic.
Je serais intéressé de connaître les raisons (anatomiques, biologiques, environnementales, physiques, que sais-je encore) invalidant la possibilité de l'existence des géants mythologiques. Mes connaissances en sciences sont basiques (niveau lycée) mais ce genre de problématique suscite mon intérêt depuis longtemps, d'où mon inscription ce soir.
J'apprécierais vraiment que vous puissiez m'apporter une réponse, merci d'avance.
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 09:09Certains objets étaient même conçus avec une précision allant jusqu'au nanomètre ! En effet, le 6 décembre 2011 (http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2360.htm?theme1=4), en Turquie*, le plus ancien bracelet en obsidienne révèle l'étonnante technicité des artisans du 8e millénaire avant J.C. Des chercheurs de l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul (IFEA, CNRS/MAEE (Ministère des Affaires étrangères et européennes)) et du Laboratoire de tribologie et de dynamiques des systèmes (LTDS, CNRS/Ecole centrale de Lyon/Ecole nationale d'ingénieurs de Saint Etienne) ont analysé le plus ancien bracelet en obsidienne (verre volcanique, riche en silice, de toute couleur (grise, vert foncé, rouge ou noire…) : matériau à comportement mécanique fragile) recensé à ce jour, découvert dans les années 1990 sur le site turc d'Aşıklı Höyük. En étudiant la surface de l'anneau et ses micro-reliefs avec des méthodes high-tech développées par le LTDS, les chercheurs ont révélé l'étonnante technicité des artisans du 8e millénaire avant J.C. Une maîtrise impressionnante pour la Préhistoire récente, digne de nos techniques de polissage actuelles.
Ces travaux publiés dans le Journal of Archaeological Science de décembre 2011 éclairent les sociétés du Néolithique, des communautés encore très énigmatiques. De même que les différentes pyramides, le sphynx, la pile de Bagdad, le pilier de fer de Delhi (Inde), etc. qui restent encore des mystères du passé pour les scientifiques modernes. Même au niveau artistique, le monde moderne est à la traîne (des objets et fresques de la préhistoire comme de l'Antiquité comme du Moyen-âge révèlent une grande inspiration, une intelligence qui transparait des oeuvres passés) et ne produit généralement que du laid (absence de géométrique sacrée, de spiritualité et de beauté), car la quantité remplace la qualité.
A partir de 1991, des prospecteurs d'or, puis des expéditions scientifiques ( mandatées par l'institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et non-ferreux de Moscou ), ont découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre !
Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des montagnes de l'Oural, sur les rives de plusieurs cours d'eau dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène supérieur, à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres.
Ces objets ont été étudiés par l'Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que par un institut scientifique d'Helsinki en Finlande :
Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène ( point de fusion de 3410°c. ) ou en molybdène ( point de fusion de 2650°c. ).
En fonction du site et de la profondeur où ils ont été trouvés, l'âge de ces objets est estimé entre 20 000 et 318 000 ans !!!
L'Institut de Moscou a publié un rapport d'expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut :
"Les données obtenues permettent d'envisager la possibilité d'une technologie d'origine extra-terrestre.". Cependant cette conclusion est dû à l'ignorance des modernes par rapport à la connaissance sacrée et subtile des anciennes civilisations, qui étaient plus intelligentes que nous (lors de l'âge d'or de chaque civilisation, qui correspond au moment où ils sont encore proches de leur centre spirituel, jusqu'à s'en éloigner et sombrer progressivement dans le littéralisme avec le rejet de l'esprit pour n'en retenir que la lettre qui est extérieure, puis verser dans le matérialisme jusqu'à la fin du cycle, en attendant le nouveau cycle ; cela est confirmé par tout un tas de prédictions et de preuves historiques fournies dans les différentes traditions spirituelles, notamment dans l'hindouisme, cf. René Guénon et Gaston Georgel) à bien des égards... (http://jaxov.com/streams/science)
En Egypte :
De nombreux objets, découverts notamment en 1850 par M. Mariette près du sphinx, ( vases et bijoux dorés à l'or ), font penser à l'usage de la galvanoplastie, car les couches sont parfaitement uniformes, sans traces de soudure ou de travail manuel.
Au Moyen Orient :
On a retrouvé des vases en cuivre plaqué argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C.
A noter que les tubes en cuivre des piles de Bagdad portent une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent.
En Arménie :
Le Dr Korioun Meguertchian a mis à jour le plus ancien complexe métallurgique à Medzamor (quasi similaire à celui rapporté par Erich Von Däniken à El Fuerte en Bolivie).
On a en effet retrouvé de nombreux objets métalliques dans ce complexe vieux de plus de 5000 ans, où l'on traitait entre autre, le cuivre, le bronze (14 variétés !), le plomb, le zinc, le fer, l'or, l'étain, le manganèse etc. et on y fabriquait également de l'acier, on y a en effet retrouvé une pince semblable à une pince à épiler âgée de 3 000 ans.
En Inde :
Le pilier de fer de Delhi : il mesure plus de 7 mètres de haut pour 50 centimètres de diamètre, il pèse près de 6 tonnes et malgré la rigueur du climat ( mousson ), ne s'oxyde jamais !!!
Il porte, gravée, une épitaphe de Kumara Gupta datée de 413, mais était déjà connu comme beaucoup plus ancien.
Malheureusement, aucune étude approfondie n'était possible du fait qu'il était considéré comme un objet sacré...jusqu'au printemps 2002...Le 18 juillet 2002, les métallurgistes de l'Institut Indien de Technologie de Kanpur ont annoncé qu'ils avaient percé le mystère ! C'est une fine couche de "misawite", un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène qui protège le pilier de la rouille. Elle se serait formée de façon naturelle dans les trois années qui suivirent l'érection du piler et ce film protecteur aurait poursuivi sa croissance pour atteindre son épaisseur actuelle de 1/20ème de millimètre. Cette protection s'est formée par catalyse grâce à la présence importante de Phosphore. Cette forte concentration étant elle-même le résultat de la fabrication du fer par les anciens indiens qui mélangeaient directement le minerai avec du charbon de bois. Rappelons quand même pour mémoire que les pseudo-rationalistes nous expliquaient que cette absence de corrosion était due au climat sec de Delhi ( sic !),la mousson épargnerait-elle Delhi ? Et parce que les croyants hindous le badigeonnaient de graisse quotidiennement ! (eh oui ! jusqu'à plus de 7 mètres de hauteur sans que jamais personne ne les voit). Nous avons donc là, avec ce pilier, un parfait exemple d'une connaissance perdue... retrouvée...Les chercheurs du IIT espèrent que cela pourra ouvrir de nouvelles perspectives, notamment dans le domaine du stockage nucléaire.
Source : http://www.expressindia.com/news/fullst ... wsid=12824 et Publication scientifique dans la revue "Current Science", (fichier pdf) : http://tejas.serc.iisc.ernet.in/~currsc ... 2/1357.pdf
En Chine :
Les chinois du IIe siècle ont fabriqué un bronze d'aluminium. Or, l'occident a commencé à les produire industriellement à partir de 1819.
En Amérique :
On trouve de nombreux bijoux en or et en platine, notamment des masques. Ce dernier métal fond à une température de 1770°c. En Europe, nous avons commencé à le travailler entre 1730 et 1752 !
Au XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d'une mine du Pérou, il mesurait 18 centimètres.
Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir. La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75 000 et 100 000 ans. (Archives de Madrid, 1572).
Entre 1786 et 1788, près d'Aix-en-Provence, plusieurs trouvailles ont été faites dans une carrière de calcaire, dans laquelle les couches de roche alternent avec des strates de sable et d'argile.
A une quinzaine de mètres sous le niveau du sol, dans une couche de sable, des ouvriers trouvèrent tout d'abord des bouts de colonnes et des blocs déjà taillés ; plus bas, des pièces métalliques faisant penser à des pièces de monnaie, des manches d'outils en bois pétrifiés, une grande planche de bois également pétrifiée. Et tout cela daterait de 300 millions d'années, si l'on admet que les théories classiques de la géologie, quant à la formation des roches d'une part et du délai de pétrification d'autre part, sont exactes.
En 1851, à Dorchester (Massachusetts), au cours d'une opération de minage, les deux parties d'un vase ont été arrachées de la roche dynamitée. Ce vase fait 11,3 centimètres de hauteur, il est en alliage de zinc, à très forte teneur d'argent semble-t-il, et finement décoré ; âge estimé, 100 000 ans. Il a, à l'époque, voyagé de musée en musée, puis a disparu... (Scientific American vol. 7 p.298, juin 1852).
La même année, dans le même Etat, à Springfield, monsieur De Witt brisa accidentellement un morceau de quartz aurifère qu'il avait ramené de Californie. A l'intérieur, se trouvait un clou en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé, absolument droit avec une tête parfaitement formée. La pierre est âgée d'un million d'années. (The Times, Londres, 24/12/1851).
Toujours en 1851, dans le Comté de Whiteside (Illinois), deux objets en cuivre ont été remontés d'une profondeur de 36 mètres lors d'un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d'environ 150 000 ans.
En 1865, un morceau de feldspath, retiré d'une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les restes oxydés d'une vis effilée.
La pierre est âgée de 21 millions d'années. (UFO Report, été 1975).
n août 1870, à Lawn Ridge près de Peoria (Illinois), avec deux autres compagnons, J.W. Moffit trouva une pièce dans les gravats du puits artésien qu'ils étaient en train de forer.
Le Professeur A. Winchell étudia l'objet composé d'un alliage de cuivre non identifié à l'époque. Malgré la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes bien découpées et une épaisseur remarquablement uniforme. Le dessin, représentant un visage féminin surmonté d'une couronne, semblait avoir été gravé à l'acide. Sur l'autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une longue queue effilochée, était accompagné d'un autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces, les caractères d'une écriture inconnue se laissaient deviner. Trouvée à plus de 30 mètres de profondeur, elle pourrait être âgée de 100 000 à 150 000 ans. (Professeur A. Winchell, "Sparks from a geologist's hammer").
En automne 1885, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon du tertiaire ( datant de 60 millions d'années ) dans une mine en Allemagne. Le parallélépipède a été étudié par le Dr A. Gurlt. D'après les publications faites en 1886 sur cet objet, il est interprété tout d'abord comme une météorite fossile, et semble avoir été "retravaillé, usiné" ! L'objet fait 7 centimètres sur 7 sur 4,5 , et a une densité de 7,75. Quatre de ses faces sont parfaitement planes, les deux autres, opposées, sont légèrement convexes. Une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur. Endommagé par les différents prélèvements effectués, on en fera un moulage en plâtre au début du siècle. En 1910, il disparaît de l'inventaire du musée de Salzbourg où il était conservé. On le retrouve exposé de 1950 à 1958, au musée national d'Oberosterreichisehes de Linz (Autriche), où est également conservé le moulage. Il est maintenant la propriété de M. O.R. Bernhardt du musée Heimathaus de Vöcklabrück, en Autriche. Des études complémentaires effectuées par divers instituts scientifiques de Vienne, en 1966-67, 1973 et 1986, concluent définitivement que l'objet en fonte, n'est pas une météorite et a été coulé dans un moule. Cet objet a-t-il été réellement trouvé dans du charbon ou bien est-il issu d'une fonderie de l'époque ? (Fossil meteorite found in coal, C.Gurlt, Nature London, 11/11/1886, p.36 ; L'astronomie, 1886, p.463).
Bien que selon les époques, et encore actuellement, la race humaine a donné forme à plusieurs espèces différentes parmi les hommes, les différences physiques n'ont jamais impliqué une supériorité intellectuelle, loin de là. Même la taille de la boite crânienne n'est pas un critère pour définir l'intelligence (cf. Jean Servier, "L'Homme et l'Invisible"). On sait que l'homme l'est lorsqu'il a conscience de soi, qu'il connait la pensée rationnelle et qu'il possède les fonctions liées à la bipédie (même les handicapés physiques ou mentales sont des être humains, car le langage n'est qu'une expression du mental, et les personnes handicapées éprouvent encore une conscience et possèdent des facultés mentales). Et l'on observe des empruntes fossiles et des objets datant de la même époque, d'hommes bipèdes, remontant parfois à plusieurs centaines de millions d'années, et dont certains mesuraient vraisemblablement plus de 3 mètres, et même parfois plus de 6 mètres. Cela n'a rien d'étonnant sachant qu'il existait de tous temps, des créatures possédant une grande taille (girafe, éléphant, mammouth, tyrex, etc.). Ainsi sur la simple base de restes fossiles, il n'est pas possible d'établir l'intelligence humaine, ce que même des crânes humains de notre époque ne permettent de conclure.
La théorie de la bipédie initiale :
La paléontologie est une science difficile.
A partir de seulement quelques infimes morceaux, ( fossiles résultants de découvertes fortuites ), les paléontologues doivent reconstituer le grand puzzle de l'Evolution de la Vie sur Terre.
Il est donc aisé de se fourvoyer dans ses conclusions qui ne sont valables qu'en fonction des éléments connus.
Plus que dans n'importe quel autre domaine de la science, chaque nouvelle découverte qui ne cadre pas avec le dogme devrait induire sa remise en cause par tous les paléontologues, et non pas seulement par quelques héritiques courageux, en faisant également appel aux autres domaines de la science.
"L'absence de preuve ne peut et ne doit pas être considérée comme une preuve de l'absence".
Les problèmes en paléontologie sont donc nombreux (une future page leur sera consacrée) puisque par essence c'est une science lacunaire.
En voici quelques exemples en relation avec la théorie de la Bipédie Initiale :
On ne possède que peu d'éléments fossiles issus de biotopes restreints, propices à leur conservation.
Des pans entiers de la faune et de la flore des grandes ères géologiques passées nous sont encore inconnus et le resteront.
Aucune certitude ne peut donc être établie quant à la chronologie (*) de l'apparition des différentes classes de vertébrés qui pourraient fort bien remonter à l'ère primaire.
Les plus anciens vertébrés connus ont plus de 450 millions d'années, il faut donc remonter jusqu'au cambrien au minimum pour espérer trouver leurs ancêtres et l'on ne retrouvera pas de fossiles dans les roches métamorphiques du précambrien.
Peut-on encore croire à la fable du poisson qui sort de l'eau et se redresse sur ses nageoires...pour regarder au-dessus des herbes !
Un poisson échoué se déplacerait en zig-zag, dans le plan horizontal, comme un serpent et les zoologistes ont du mal à comprendre comment il pourrait leur "pousser des pattes".
Il existe bien des fossiles de poissons au double système respiratoire (aérien et aquatique), de plus de 300 millions d'années, dont les descendants sont les dipneustes australiens, évolution ou retour ?
Le Coelacanthe, le "fossile vivant", semble plutôt issu d'un batracien avec ses nageoires lobées (membres atrophiés), sa nage "quadrupèdique" et son poumon primitif non-fonctionnel.
Le plus ancien animal bipède connu est un petit lézard de moins de 30 centimètres de long, l'Eudibamus Cursoris, vieux de 290 millions d'années.
Il avait cinq doigts à chacun de ses membres.
On peut donc raisonnablement penser qu'il descendait lui-même d'un ancêtre bipède.
Les plus anciens dinosaures (Eoraptor, Herrerasaure, etc. ), du trias, étaient déjà bipèdes et hautement spécialisés avec entre autre cinq doigts aux pieds et aux "mains" !
En 2000, au mois d'avril, on a découvert un coeur fossilisé de dinosaure, (découverte exceptionnelle puisqu'il est extrêmement rare que l'on retrouve des tissus mous), semblable à ceux des mammifères ou des oiseaux.
Le plus ancien mammifère officiellement connu est le Morganucodon (220 millions d'années), totalement contemporain des dinosaures !
Ce petit insectivore nocturne est déjà très évolué.
Le premier fossile de grand singe connu est celui du Dryopithécus âgé de 20 millions d'années.
Entre les Proconsuls et consorts (Rama- ou Siva-pithécus), on a découvert l'Oréopithèque, le singe des marais, bipède mais aux longs bras, âgé de 12 millions d'années.
Où et comment situer le Gigantopithécus, ce grand primate de 2 à 3 mètres de haut et pesant quelque 250 kg.
On ne connaît de lui que quelques dents et morceaux de mâchoires datés de 8 millions d'années jusqu'à 500 000 ans.
Le célèbre zoologue Bernard Heuvelmans en avait fait l'ancêtre du Sasquatch (Bigfoot) et du Yeti.
En 1974, l'anthropologue mondialement connu et reconnu, Yves Coppens (Auteur de "l'East Side Story") découvrait les 52 os fossilisés de la célèbre Lucy.
Elle est longtemps restée la doyenne de l'humanité avec ses 3 millions d'années.
En 1986, Donald Johanson a découvert en Afrique orientale les restes fossilisés d'une australopithèque âgée de 1,8 millions d'années, dont l'humérus mesure 27 millimètres de plus que celui de Lucy, pourtant plus âgée de 1,2 millions d'années...
Des bras qui rallongent ! Cela ferait plutôt penser à une évolution vers ...le singe, au lieu de l'Homme !
En 1992, l'équipe du professeur Tim White a découvert en Ethiopie, l'Ardipithécus Ramidus, âgé de 4,4 millions d'années.
En 1995, Michel Brunet et son collègue de Harvard, David Pilbeam ont découvert au Tchad Abel, plus âgé que Lucy de 500 000 ans et plus évolué...
Quid de l'East Side Story ?
En décembre 2000, Brigitte Senut, Martin Pickford et leur équipe ont découvert le " Millennium Ancestor", baptisé Orrorin Tegenensis, âgé de 6 millions d'années, plus "bipède" que Lucy....
En mars 2001, Meave Leakey et son équipe ont découvert le Kenyanthropus Platyops, "l'homme à la face plate", âgé de 3,5 millions d'années et qui appartiendrait à une nouvelle espèce et à un nouveau genre.
Loin de cadrer avec le schéma classique de l'évolution, tous ces éléments montrent plutôt que l'on assiste à un phénomène de " déshominisation ".
C'est pourquoi les paléo-anthropologues ont bien du mal à établir une lignée évolutive, d'autant plus que de nombreuses espèces d'hominidés ont co-existé (pithécantropes, australopithèques et homo-habilis, puis, plus tard les néanderthaliens et les homo-sapiens).
Fin 1999, la paléontologue Yvette Deloison fit sensation en publiant un article intitulé : "L'Homme ne descend pas d'un primate arboricole ! Une évidence méconnue".
""L'ancêtre commun des australopithèques, des grands singes et de l'Homme est un primate bipède d'il y a environ 25 millions d'années !""
Depuis ces dernières années, l'idée d'une bipédie ancienne fait son chemin.
La paléontologie en fixe les limites au fur et à mesure de ses découvertes, toujours hasardeuses.
Pour en savoir plus, il faut donc avoir recours à d'autres domaines de la science...
En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite vieux de 15 à 50 millions d'années.
Cet objet fait partie de la collection de l'Académie Minière de Freiberg en Allemagne.
A partir de 1850, divers fossiles de mammifères ( du mammouth au bison ) ont été remontés d'une mine d'or de Table Mountain près de Needles en Californie.
En 1863, un disque en pierre ( à meuler ?) ainsi qu'un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell.
En 1866, M. Mattison, propriétaire d'une mine, dégagea sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard.
Ce crâne âgé de 12 millions d'années est d'un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l'imbrication naturelle des gravats.
Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d'argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman (Colorado).
La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d'années.
En juillet 1877, à Spring Valley près d'Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune.
Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d'un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres.
La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d'années.
Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d'un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d'une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin (Missouri), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent.
Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d'autres restes (un fémur, des vertèbres et d'autres morceaux de bois carbonisés), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage.
L'âge estimé de ce minerai est de 425 millions d'années.
En novembre 1926, dans le puits n° 3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings ( Montana ), l'archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine ( seconde molaire inférieure ) dont l'émail s'était transformé en carbone et les racines en fer.
Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d'années.
Cette découverte ne suscita l'intérêt d'aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l'oubli.
En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d'Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane ( Italie ), la mâchoire écrasée d'un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne.
De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d'années, cette découverte impossible fut classée sans suite.
En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab ( Utah ), trouva des morceaux d'os et des dents.
Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d'anthropologie à l'Université de l'Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant.
Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporters munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d'apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d'années.
Les fossiles furent ramenés à l'université pour une datation, non révélée jusqu'à présent, et le professeur Marwitt fut muté...
Au début des années 1980, en explorant une mine de charbon désaffectée à ciel ouvert, près de Mahanoy ( Pennsylvanie ), Ed Conrad fit plusieurs découvertes troublantes.
Sa première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous. Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d'un grand anthropoïde. Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d'un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu'un crâne d'hominidé.
D'autres fossiles pétrifiés d'os de fémur et de tibia furent également mis à jour.
Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au "Smithsonian Institute" qui refusa de faire une étude poussée. Des os d'hominidés pétrifiés de 280 millions d'années, c'est impossible donc... sarcasmes, moqueries... Attitude classique des scientistes devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des "créationnistes" (pas forcément évangélistes, mais dans le sens d'une opposition à l'évolutionnisme). C'est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc. Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c'est à dire que, selon la science officielle, "Dame Nature" aurait eu non seulement la malice de faire un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d'hominidé mais y aurait ajouté une cavité à l'emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens (visibles seulement au microscope). Ce fameux Dieu Hasard est décidément un sacré farceur !
En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet (Maroc), dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d'un hominidé qui devait être bipède et âgé de 360 millions d'années ! (http://initial.bipedalism.pagesperso-or ... /25a.htm#1 et http://cerbi.ldi5.com/breve.php3?id_breve=74).
Confirmation de l’authenticité du petit crâne du Tafilalet, mercredi 14 juin 2006.
Le crâne de taille minuscule, découvert par un jeune paléontologue amateur en juillet dernier près d’Erfoud sur un site réputé pour ses fossiles d’Orthocères et de Goniatites, a été authentifié par des scientifiques.
"C’est un crâne authentique et non un objet façonné", a assuré Dr Alaoui Abdelkader, radiologue et directeur de l’hôpital Moulay Ali Chrif, après avoir effectué un examen tomodensitométrique (scanner à rayon X).
Le crâne dont la taille ne dépasse pas celle d’une pomme (circonférence 18,4 cm) a été découvert sur un terrain de Dévonien, ce qui donne une idée sur son âge qui pourrait dater de 360 millions d’années.
"Les résultats sont fascinants et je suis vraiment étonné devant la plasticité biologique" de ce crâne, a affirmé Dr Alaoui, soulignant que les informations numériques (densités) issues du scanner sont conformes aux valeurs de densité osseuse".
"Je crois que ce crâne cache encore des surprises", a-t-il estimé en faisant référence à l’éventuelle fossilisation du cerveau. Les images issues du scanner, révélant une architecture particulière et une densité très faible, laissent espérer de trouver un cerveau fossilisé "et non un banal moulage endocrânien naturel", a soutenu Dr Alaoui.
M. Mohamed Zarouit avait avancé, lors de l’annonce de sa découverte, que le crâne fossilisé est du genre Homo. A en juger par les dents de sagesse non usées, il s’agit bien d’un adulte, avait-il soutenu.
Le crâne présente les caractéristiques du genre Homo, comme en atteste la position du trou occipital (centrée), la mâchoire (courte, parabolique), l’angle symphysaire (obtus, se positionne en retrait), le front (haut et bombé, comme l’arrière crâne) et la formule dentaire (estimée à 32 dents, insérées verticalement), avait-il précisé.
Une étude préliminaire sur le spécimen avait été publiée dans la revue scientifique Bipédia on line N° 25. (http://cerbi.ldi5.com/article.php3 ?id_article=155)
Interrogé par la MAP sur le procédé utilisé pour dater le spécimen, M. Zarouit a expliqué s’être basé sur un procédé de datation bio chronologique, ajoutant que la même méthode a été adoptée pour dater le fameux crâne de Sahelanthropus tchadensis (6 à 7 millions d’années) qui a été également retrouvé à même le sol en dehors de toute connexion géologique.
Intéressé par le sujet, M. Eddahby Lhou, ingénieur chercheur en géologie appliquée et membre du groupe de recherche en géologie appliquée (GRGA) à la faculté des sciences et techniques d’Errachidia, a indiqué qu’une étude topographique et stratigraphique du site ainsi qu’un relevé détaillé de la faune qui y est associée seront bientôt annoncés.
M. Eddahby a toutefois souligné la nécessité de lier les études sur le crâne en question aux fouilles entreprises sur les sites de Sijilmassa.
Source : MAP
http://www.errachidia.org/
http://www.avmaroc.com/actualite/confir ... 30387.html
Dans les mêmes estimations chronologiques, il y a des empreintes fossiles tout aussi anciennes :
Au XIXe siècle, l'écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage "American Antiquities" page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown ( Caroline du nord ), d'un véritable carnaval d'empreintes de chevaux, d'ours, de dindes et d'hominidés à six orteils !
En 1822, le scientifique H. Schooleraft, rapporta l'observation d'empreintes humaines dans du calcaire sur les berges du Mississippi à 5 kilomètres au sud de St Louis. (The American Journal of Science, vol.5, 1822).
Pendant l'été 1882, des détenus de la prison de Carson city ( Nevada ) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d'animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d'empreintes d'hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l'Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes (de 50 centimètres) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l'université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua ( Nicaragua ), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d'hominidés, certaines avec sandales, d'autres indiquant l'usage d'une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans.
En 1885, au sommet de Big Hill dans les monts Cumberland, dans le comté de Jackson ( Kentucky ), une série de traces ont été découvertes dans du grès carbonifère d'environ 300 millions d'années. Parmi les traces d'ours et celles d'un animal ressemblant à un grand cheval, il y avait deux empreintes d'hominidés de bonne taille, aux orteils bien écartés. Ces traces furent examinées par le Professeur J. F. Brown, du collège de Borea. (The American Antiquarian, 7:39, Janvier 1885).
En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l'Académie des Sciences de l'Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d'années. (Anthropologist, fevrier 1896, P.66).
En 1930, le Dr W. Burrough, chef du département de géologie du collège de Berea (Kentucky), annonça la découverte de dix empreintes d'hominidés dans du grès carbonifère sur les collines au nord du comté de Rockcastle. Les empreintes mesuraient 24 centimètres de long sur 15 de large. Les photos micrographiques et infra-rouges qui furent prises ne montrèrent aucun signe de sculpture artificielle sur et autour des marques. De plus, l'analyse microscopique indiqua que les empreintes étaient bien dues à un impact suite à la pression du pied d'un hominidé. La roche de ces traces est estimée à 250 millions d'années.
Des années plus tard, ces empreintes furent totalement détruites par des vandales, sans doute choqués que l'on puisse étudier des preuves qui remettraient en cause ce que l'on croit savoir de l'histoire de l'homme... (Science Newsletter, 29 octobre 1938).
En 1959, une mission paléontologique sino-russe dirigée par le Dr. Chou Ming Chen, découvrit dans le désert de Gobi, l'empreinte fossilisée d'une semelle striée, parfaitement régulière dans une couche de grès datant de 15 millions d'années. (Soviet journal n°8, 1961).
En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d'Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d'humanoïde a été découverte à proximité d'empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen (environ 220 millions d'années).
Selon l'Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d'eau, une boue trop liquide. Relevé effectué par M. P. Bellin (Archéologia N°196 de novembre 1984, courrier des lecteurs, M. P. Bellin).
En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d'années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.
En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d'expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d'empreintes fossiles au sommet d'une colline à l'est de Tulsa (Oklahoma). Parmi les empreintes d'espèces animales disparues depuis 3 millions d'années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui le rejetèrent à cause des implications de sa découverte. (Tulsa Sunday World, 25 mai 1969.)
Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d'Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d'années.
D'autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d'années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l'Oklahoma.
En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l'Institut de géologie de l'Académie des Sciences de Turkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d'années, qui ressemble à la trace d'un pied d'humanoïde. (Archéologia N°194 de septembre 1984 p.6 et 7).
C'est en février 2002 que James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d'une balade dans la forêt nationale de Cleveland.
En sortant des sentiers battus à la recherche d'or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d'eau il y a longtemps... très longtemps...
Snyder, qui pense qu'il pourrait s'agir de l'empreinte d'un "Bigfoot", aimerait que des scientifiques fassent l'effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d'une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d'accès pour étudier sérieusement cet empreinte...
http://www.ldi5.com/paleo/domenech1.php
Sur les géants, des preuves factuelles existent : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or ... cite_ref-6 mais ce n'est pas pour autant qu'il faille adhérer aux théories new-âge qui à partir de faits scientifiquement établis, aboutissent à des conclusions fantaisistes. Ce qu'ils attribuent à des extra-terrestres sont, dans le domaine de l'ufologie, des manipulations technologiques humaines ainsi que certaines manifestations d'entités psychiques (djinns ; pour connaitre le sujet, leur existence est une réalité), et dans le cadre des civilisations disparues, des civilisations d'hommes possédant un Q.I. assez élevé et une profonde intelligence (l'érudition et le Q.I. ne sont pas synonymes d'intelligence), possédant une maîtrise de certaines sciences techniques et traditionnelles qui se sont perdues au fil du temps.
Dans les récits sacrés et traditionnels, les géants possèdent probablement une réalité physique et historique (dans des modalités qui nous sont pas très bien connues), mais il ne faut pas oublier que l'essentiel réside dans les portées symboliques et spirituelles. En tout cas, les preuves paléontologiques existent, et cela réfute la théorie synthétique de l'évolution, qui rejette l'existence des géants.
Tout cela ne contredit en rien les faits scientifiques ni la rationalité, mais cela confirme bien les données traditionnelles et infirment par la même occasion les prétentions et paradigmes modernes (matérialisme, évolutionnisme, rationalisme, pseudo-scepticisme, scientisme, etc.).
Merci à l'auteur de ce site pour le recensement et la vérification des découvertes et données scientifiques (plusieurs cas analysés se sont avérés exacts et valides, tandis que d'autres attendent encore d'être étudiés avec précision) : http://www.ldi5.com/d/archeo/dmetal.php
Ces travaux publiés dans le Journal of Archaeological Science de décembre 2011 éclairent les sociétés du Néolithique, des communautés encore très énigmatiques. De même que les différentes pyramides, le sphynx, la pile de Bagdad, le pilier de fer de Delhi (Inde), etc. qui restent encore des mystères du passé pour les scientifiques modernes. Même au niveau artistique, le monde moderne est à la traîne (des objets et fresques de la préhistoire comme de l'Antiquité comme du Moyen-âge révèlent une grande inspiration, une intelligence qui transparait des oeuvres passés) et ne produit généralement que du laid (absence de géométrique sacrée, de spiritualité et de beauté), car la quantité remplace la qualité.
A partir de 1991, des prospecteurs d'or, puis des expéditions scientifiques ( mandatées par l'institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et non-ferreux de Moscou ), ont découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre !
Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des montagnes de l'Oural, sur les rives de plusieurs cours d'eau dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène supérieur, à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres.
Ces objets ont été étudiés par l'Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que par un institut scientifique d'Helsinki en Finlande :
Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène ( point de fusion de 3410°c. ) ou en molybdène ( point de fusion de 2650°c. ).
En fonction du site et de la profondeur où ils ont été trouvés, l'âge de ces objets est estimé entre 20 000 et 318 000 ans !!!
L'Institut de Moscou a publié un rapport d'expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut :
"Les données obtenues permettent d'envisager la possibilité d'une technologie d'origine extra-terrestre.". Cependant cette conclusion est dû à l'ignorance des modernes par rapport à la connaissance sacrée et subtile des anciennes civilisations, qui étaient plus intelligentes que nous (lors de l'âge d'or de chaque civilisation, qui correspond au moment où ils sont encore proches de leur centre spirituel, jusqu'à s'en éloigner et sombrer progressivement dans le littéralisme avec le rejet de l'esprit pour n'en retenir que la lettre qui est extérieure, puis verser dans le matérialisme jusqu'à la fin du cycle, en attendant le nouveau cycle ; cela est confirmé par tout un tas de prédictions et de preuves historiques fournies dans les différentes traditions spirituelles, notamment dans l'hindouisme, cf. René Guénon et Gaston Georgel) à bien des égards... (http://jaxov.com/streams/science)
En Egypte :
De nombreux objets, découverts notamment en 1850 par M. Mariette près du sphinx, ( vases et bijoux dorés à l'or ), font penser à l'usage de la galvanoplastie, car les couches sont parfaitement uniformes, sans traces de soudure ou de travail manuel.
Au Moyen Orient :
On a retrouvé des vases en cuivre plaqué argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C.
A noter que les tubes en cuivre des piles de Bagdad portent une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent.
En Arménie :
Le Dr Korioun Meguertchian a mis à jour le plus ancien complexe métallurgique à Medzamor (quasi similaire à celui rapporté par Erich Von Däniken à El Fuerte en Bolivie).
On a en effet retrouvé de nombreux objets métalliques dans ce complexe vieux de plus de 5000 ans, où l'on traitait entre autre, le cuivre, le bronze (14 variétés !), le plomb, le zinc, le fer, l'or, l'étain, le manganèse etc. et on y fabriquait également de l'acier, on y a en effet retrouvé une pince semblable à une pince à épiler âgée de 3 000 ans.
En Inde :
Le pilier de fer de Delhi : il mesure plus de 7 mètres de haut pour 50 centimètres de diamètre, il pèse près de 6 tonnes et malgré la rigueur du climat ( mousson ), ne s'oxyde jamais !!!
Il porte, gravée, une épitaphe de Kumara Gupta datée de 413, mais était déjà connu comme beaucoup plus ancien.
Malheureusement, aucune étude approfondie n'était possible du fait qu'il était considéré comme un objet sacré...jusqu'au printemps 2002...Le 18 juillet 2002, les métallurgistes de l'Institut Indien de Technologie de Kanpur ont annoncé qu'ils avaient percé le mystère ! C'est une fine couche de "misawite", un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène qui protège le pilier de la rouille. Elle se serait formée de façon naturelle dans les trois années qui suivirent l'érection du piler et ce film protecteur aurait poursuivi sa croissance pour atteindre son épaisseur actuelle de 1/20ème de millimètre. Cette protection s'est formée par catalyse grâce à la présence importante de Phosphore. Cette forte concentration étant elle-même le résultat de la fabrication du fer par les anciens indiens qui mélangeaient directement le minerai avec du charbon de bois. Rappelons quand même pour mémoire que les pseudo-rationalistes nous expliquaient que cette absence de corrosion était due au climat sec de Delhi ( sic !),la mousson épargnerait-elle Delhi ? Et parce que les croyants hindous le badigeonnaient de graisse quotidiennement ! (eh oui ! jusqu'à plus de 7 mètres de hauteur sans que jamais personne ne les voit). Nous avons donc là, avec ce pilier, un parfait exemple d'une connaissance perdue... retrouvée...Les chercheurs du IIT espèrent que cela pourra ouvrir de nouvelles perspectives, notamment dans le domaine du stockage nucléaire.
Source : http://www.expressindia.com/news/fullst ... wsid=12824 et Publication scientifique dans la revue "Current Science", (fichier pdf) : http://tejas.serc.iisc.ernet.in/~currsc ... 2/1357.pdf
En Chine :
Les chinois du IIe siècle ont fabriqué un bronze d'aluminium. Or, l'occident a commencé à les produire industriellement à partir de 1819.
En Amérique :
On trouve de nombreux bijoux en or et en platine, notamment des masques. Ce dernier métal fond à une température de 1770°c. En Europe, nous avons commencé à le travailler entre 1730 et 1752 !
Au XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d'une mine du Pérou, il mesurait 18 centimètres.
Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir. La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75 000 et 100 000 ans. (Archives de Madrid, 1572).
Entre 1786 et 1788, près d'Aix-en-Provence, plusieurs trouvailles ont été faites dans une carrière de calcaire, dans laquelle les couches de roche alternent avec des strates de sable et d'argile.
A une quinzaine de mètres sous le niveau du sol, dans une couche de sable, des ouvriers trouvèrent tout d'abord des bouts de colonnes et des blocs déjà taillés ; plus bas, des pièces métalliques faisant penser à des pièces de monnaie, des manches d'outils en bois pétrifiés, une grande planche de bois également pétrifiée. Et tout cela daterait de 300 millions d'années, si l'on admet que les théories classiques de la géologie, quant à la formation des roches d'une part et du délai de pétrification d'autre part, sont exactes.
En 1851, à Dorchester (Massachusetts), au cours d'une opération de minage, les deux parties d'un vase ont été arrachées de la roche dynamitée. Ce vase fait 11,3 centimètres de hauteur, il est en alliage de zinc, à très forte teneur d'argent semble-t-il, et finement décoré ; âge estimé, 100 000 ans. Il a, à l'époque, voyagé de musée en musée, puis a disparu... (Scientific American vol. 7 p.298, juin 1852).
La même année, dans le même Etat, à Springfield, monsieur De Witt brisa accidentellement un morceau de quartz aurifère qu'il avait ramené de Californie. A l'intérieur, se trouvait un clou en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé, absolument droit avec une tête parfaitement formée. La pierre est âgée d'un million d'années. (The Times, Londres, 24/12/1851).
Toujours en 1851, dans le Comté de Whiteside (Illinois), deux objets en cuivre ont été remontés d'une profondeur de 36 mètres lors d'un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d'environ 150 000 ans.
En 1865, un morceau de feldspath, retiré d'une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les restes oxydés d'une vis effilée.
La pierre est âgée de 21 millions d'années. (UFO Report, été 1975).
n août 1870, à Lawn Ridge près de Peoria (Illinois), avec deux autres compagnons, J.W. Moffit trouva une pièce dans les gravats du puits artésien qu'ils étaient en train de forer.
Le Professeur A. Winchell étudia l'objet composé d'un alliage de cuivre non identifié à l'époque. Malgré la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes bien découpées et une épaisseur remarquablement uniforme. Le dessin, représentant un visage féminin surmonté d'une couronne, semblait avoir été gravé à l'acide. Sur l'autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une longue queue effilochée, était accompagné d'un autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces, les caractères d'une écriture inconnue se laissaient deviner. Trouvée à plus de 30 mètres de profondeur, elle pourrait être âgée de 100 000 à 150 000 ans. (Professeur A. Winchell, "Sparks from a geologist's hammer").
En automne 1885, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon du tertiaire ( datant de 60 millions d'années ) dans une mine en Allemagne. Le parallélépipède a été étudié par le Dr A. Gurlt. D'après les publications faites en 1886 sur cet objet, il est interprété tout d'abord comme une météorite fossile, et semble avoir été "retravaillé, usiné" ! L'objet fait 7 centimètres sur 7 sur 4,5 , et a une densité de 7,75. Quatre de ses faces sont parfaitement planes, les deux autres, opposées, sont légèrement convexes. Une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur. Endommagé par les différents prélèvements effectués, on en fera un moulage en plâtre au début du siècle. En 1910, il disparaît de l'inventaire du musée de Salzbourg où il était conservé. On le retrouve exposé de 1950 à 1958, au musée national d'Oberosterreichisehes de Linz (Autriche), où est également conservé le moulage. Il est maintenant la propriété de M. O.R. Bernhardt du musée Heimathaus de Vöcklabrück, en Autriche. Des études complémentaires effectuées par divers instituts scientifiques de Vienne, en 1966-67, 1973 et 1986, concluent définitivement que l'objet en fonte, n'est pas une météorite et a été coulé dans un moule. Cet objet a-t-il été réellement trouvé dans du charbon ou bien est-il issu d'une fonderie de l'époque ? (Fossil meteorite found in coal, C.Gurlt, Nature London, 11/11/1886, p.36 ; L'astronomie, 1886, p.463).
Bien que selon les époques, et encore actuellement, la race humaine a donné forme à plusieurs espèces différentes parmi les hommes, les différences physiques n'ont jamais impliqué une supériorité intellectuelle, loin de là. Même la taille de la boite crânienne n'est pas un critère pour définir l'intelligence (cf. Jean Servier, "L'Homme et l'Invisible"). On sait que l'homme l'est lorsqu'il a conscience de soi, qu'il connait la pensée rationnelle et qu'il possède les fonctions liées à la bipédie (même les handicapés physiques ou mentales sont des être humains, car le langage n'est qu'une expression du mental, et les personnes handicapées éprouvent encore une conscience et possèdent des facultés mentales). Et l'on observe des empruntes fossiles et des objets datant de la même époque, d'hommes bipèdes, remontant parfois à plusieurs centaines de millions d'années, et dont certains mesuraient vraisemblablement plus de 3 mètres, et même parfois plus de 6 mètres. Cela n'a rien d'étonnant sachant qu'il existait de tous temps, des créatures possédant une grande taille (girafe, éléphant, mammouth, tyrex, etc.). Ainsi sur la simple base de restes fossiles, il n'est pas possible d'établir l'intelligence humaine, ce que même des crânes humains de notre époque ne permettent de conclure.
La théorie de la bipédie initiale :
La paléontologie est une science difficile.
A partir de seulement quelques infimes morceaux, ( fossiles résultants de découvertes fortuites ), les paléontologues doivent reconstituer le grand puzzle de l'Evolution de la Vie sur Terre.
Il est donc aisé de se fourvoyer dans ses conclusions qui ne sont valables qu'en fonction des éléments connus.
Plus que dans n'importe quel autre domaine de la science, chaque nouvelle découverte qui ne cadre pas avec le dogme devrait induire sa remise en cause par tous les paléontologues, et non pas seulement par quelques héritiques courageux, en faisant également appel aux autres domaines de la science.
"L'absence de preuve ne peut et ne doit pas être considérée comme une preuve de l'absence".
Les problèmes en paléontologie sont donc nombreux (une future page leur sera consacrée) puisque par essence c'est une science lacunaire.
En voici quelques exemples en relation avec la théorie de la Bipédie Initiale :
On ne possède que peu d'éléments fossiles issus de biotopes restreints, propices à leur conservation.
Des pans entiers de la faune et de la flore des grandes ères géologiques passées nous sont encore inconnus et le resteront.
Aucune certitude ne peut donc être établie quant à la chronologie (*) de l'apparition des différentes classes de vertébrés qui pourraient fort bien remonter à l'ère primaire.
Les plus anciens vertébrés connus ont plus de 450 millions d'années, il faut donc remonter jusqu'au cambrien au minimum pour espérer trouver leurs ancêtres et l'on ne retrouvera pas de fossiles dans les roches métamorphiques du précambrien.
Peut-on encore croire à la fable du poisson qui sort de l'eau et se redresse sur ses nageoires...pour regarder au-dessus des herbes !
Un poisson échoué se déplacerait en zig-zag, dans le plan horizontal, comme un serpent et les zoologistes ont du mal à comprendre comment il pourrait leur "pousser des pattes".
Il existe bien des fossiles de poissons au double système respiratoire (aérien et aquatique), de plus de 300 millions d'années, dont les descendants sont les dipneustes australiens, évolution ou retour ?
Le Coelacanthe, le "fossile vivant", semble plutôt issu d'un batracien avec ses nageoires lobées (membres atrophiés), sa nage "quadrupèdique" et son poumon primitif non-fonctionnel.
Le plus ancien animal bipède connu est un petit lézard de moins de 30 centimètres de long, l'Eudibamus Cursoris, vieux de 290 millions d'années.
Il avait cinq doigts à chacun de ses membres.
On peut donc raisonnablement penser qu'il descendait lui-même d'un ancêtre bipède.
Les plus anciens dinosaures (Eoraptor, Herrerasaure, etc. ), du trias, étaient déjà bipèdes et hautement spécialisés avec entre autre cinq doigts aux pieds et aux "mains" !
En 2000, au mois d'avril, on a découvert un coeur fossilisé de dinosaure, (découverte exceptionnelle puisqu'il est extrêmement rare que l'on retrouve des tissus mous), semblable à ceux des mammifères ou des oiseaux.
Le plus ancien mammifère officiellement connu est le Morganucodon (220 millions d'années), totalement contemporain des dinosaures !
Ce petit insectivore nocturne est déjà très évolué.
Le premier fossile de grand singe connu est celui du Dryopithécus âgé de 20 millions d'années.
Entre les Proconsuls et consorts (Rama- ou Siva-pithécus), on a découvert l'Oréopithèque, le singe des marais, bipède mais aux longs bras, âgé de 12 millions d'années.
Où et comment situer le Gigantopithécus, ce grand primate de 2 à 3 mètres de haut et pesant quelque 250 kg.
On ne connaît de lui que quelques dents et morceaux de mâchoires datés de 8 millions d'années jusqu'à 500 000 ans.
Le célèbre zoologue Bernard Heuvelmans en avait fait l'ancêtre du Sasquatch (Bigfoot) et du Yeti.
En 1974, l'anthropologue mondialement connu et reconnu, Yves Coppens (Auteur de "l'East Side Story") découvrait les 52 os fossilisés de la célèbre Lucy.
Elle est longtemps restée la doyenne de l'humanité avec ses 3 millions d'années.
En 1986, Donald Johanson a découvert en Afrique orientale les restes fossilisés d'une australopithèque âgée de 1,8 millions d'années, dont l'humérus mesure 27 millimètres de plus que celui de Lucy, pourtant plus âgée de 1,2 millions d'années...
Des bras qui rallongent ! Cela ferait plutôt penser à une évolution vers ...le singe, au lieu de l'Homme !
En 1992, l'équipe du professeur Tim White a découvert en Ethiopie, l'Ardipithécus Ramidus, âgé de 4,4 millions d'années.
En 1995, Michel Brunet et son collègue de Harvard, David Pilbeam ont découvert au Tchad Abel, plus âgé que Lucy de 500 000 ans et plus évolué...
Quid de l'East Side Story ?
En décembre 2000, Brigitte Senut, Martin Pickford et leur équipe ont découvert le " Millennium Ancestor", baptisé Orrorin Tegenensis, âgé de 6 millions d'années, plus "bipède" que Lucy....
En mars 2001, Meave Leakey et son équipe ont découvert le Kenyanthropus Platyops, "l'homme à la face plate", âgé de 3,5 millions d'années et qui appartiendrait à une nouvelle espèce et à un nouveau genre.
Loin de cadrer avec le schéma classique de l'évolution, tous ces éléments montrent plutôt que l'on assiste à un phénomène de " déshominisation ".
C'est pourquoi les paléo-anthropologues ont bien du mal à établir une lignée évolutive, d'autant plus que de nombreuses espèces d'hominidés ont co-existé (pithécantropes, australopithèques et homo-habilis, puis, plus tard les néanderthaliens et les homo-sapiens).
Fin 1999, la paléontologue Yvette Deloison fit sensation en publiant un article intitulé : "L'Homme ne descend pas d'un primate arboricole ! Une évidence méconnue".
""L'ancêtre commun des australopithèques, des grands singes et de l'Homme est un primate bipède d'il y a environ 25 millions d'années !""
Depuis ces dernières années, l'idée d'une bipédie ancienne fait son chemin.
La paléontologie en fixe les limites au fur et à mesure de ses découvertes, toujours hasardeuses.
Pour en savoir plus, il faut donc avoir recours à d'autres domaines de la science...
En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite vieux de 15 à 50 millions d'années.
Cet objet fait partie de la collection de l'Académie Minière de Freiberg en Allemagne.
A partir de 1850, divers fossiles de mammifères ( du mammouth au bison ) ont été remontés d'une mine d'or de Table Mountain près de Needles en Californie.
En 1863, un disque en pierre ( à meuler ?) ainsi qu'un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell.
En 1866, M. Mattison, propriétaire d'une mine, dégagea sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard.
Ce crâne âgé de 12 millions d'années est d'un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l'imbrication naturelle des gravats.
Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d'argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman (Colorado).
La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d'années.
En juillet 1877, à Spring Valley près d'Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune.
Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d'un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres.
La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d'années.
Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d'un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d'une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin (Missouri), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent.
Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d'autres restes (un fémur, des vertèbres et d'autres morceaux de bois carbonisés), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage.
L'âge estimé de ce minerai est de 425 millions d'années.
En novembre 1926, dans le puits n° 3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings ( Montana ), l'archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine ( seconde molaire inférieure ) dont l'émail s'était transformé en carbone et les racines en fer.
Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d'années.
Cette découverte ne suscita l'intérêt d'aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l'oubli.
En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d'Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane ( Italie ), la mâchoire écrasée d'un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne.
De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d'années, cette découverte impossible fut classée sans suite.
En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab ( Utah ), trouva des morceaux d'os et des dents.
Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d'anthropologie à l'Université de l'Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant.
Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporters munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d'apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d'années.
Les fossiles furent ramenés à l'université pour une datation, non révélée jusqu'à présent, et le professeur Marwitt fut muté...
Au début des années 1980, en explorant une mine de charbon désaffectée à ciel ouvert, près de Mahanoy ( Pennsylvanie ), Ed Conrad fit plusieurs découvertes troublantes.
Sa première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous. Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d'un grand anthropoïde. Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d'un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu'un crâne d'hominidé.
D'autres fossiles pétrifiés d'os de fémur et de tibia furent également mis à jour.
Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au "Smithsonian Institute" qui refusa de faire une étude poussée. Des os d'hominidés pétrifiés de 280 millions d'années, c'est impossible donc... sarcasmes, moqueries... Attitude classique des scientistes devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des "créationnistes" (pas forcément évangélistes, mais dans le sens d'une opposition à l'évolutionnisme). C'est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc. Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c'est à dire que, selon la science officielle, "Dame Nature" aurait eu non seulement la malice de faire un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d'hominidé mais y aurait ajouté une cavité à l'emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens (visibles seulement au microscope). Ce fameux Dieu Hasard est décidément un sacré farceur !
En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet (Maroc), dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d'un hominidé qui devait être bipède et âgé de 360 millions d'années ! (http://initial.bipedalism.pagesperso-or ... /25a.htm#1 et http://cerbi.ldi5.com/breve.php3?id_breve=74).
Confirmation de l’authenticité du petit crâne du Tafilalet, mercredi 14 juin 2006.
Le crâne de taille minuscule, découvert par un jeune paléontologue amateur en juillet dernier près d’Erfoud sur un site réputé pour ses fossiles d’Orthocères et de Goniatites, a été authentifié par des scientifiques.
"C’est un crâne authentique et non un objet façonné", a assuré Dr Alaoui Abdelkader, radiologue et directeur de l’hôpital Moulay Ali Chrif, après avoir effectué un examen tomodensitométrique (scanner à rayon X).
Le crâne dont la taille ne dépasse pas celle d’une pomme (circonférence 18,4 cm) a été découvert sur un terrain de Dévonien, ce qui donne une idée sur son âge qui pourrait dater de 360 millions d’années.
"Les résultats sont fascinants et je suis vraiment étonné devant la plasticité biologique" de ce crâne, a affirmé Dr Alaoui, soulignant que les informations numériques (densités) issues du scanner sont conformes aux valeurs de densité osseuse".
"Je crois que ce crâne cache encore des surprises", a-t-il estimé en faisant référence à l’éventuelle fossilisation du cerveau. Les images issues du scanner, révélant une architecture particulière et une densité très faible, laissent espérer de trouver un cerveau fossilisé "et non un banal moulage endocrânien naturel", a soutenu Dr Alaoui.
M. Mohamed Zarouit avait avancé, lors de l’annonce de sa découverte, que le crâne fossilisé est du genre Homo. A en juger par les dents de sagesse non usées, il s’agit bien d’un adulte, avait-il soutenu.
Le crâne présente les caractéristiques du genre Homo, comme en atteste la position du trou occipital (centrée), la mâchoire (courte, parabolique), l’angle symphysaire (obtus, se positionne en retrait), le front (haut et bombé, comme l’arrière crâne) et la formule dentaire (estimée à 32 dents, insérées verticalement), avait-il précisé.
Une étude préliminaire sur le spécimen avait été publiée dans la revue scientifique Bipédia on line N° 25. (http://cerbi.ldi5.com/article.php3 ?id_article=155)
Interrogé par la MAP sur le procédé utilisé pour dater le spécimen, M. Zarouit a expliqué s’être basé sur un procédé de datation bio chronologique, ajoutant que la même méthode a été adoptée pour dater le fameux crâne de Sahelanthropus tchadensis (6 à 7 millions d’années) qui a été également retrouvé à même le sol en dehors de toute connexion géologique.
Intéressé par le sujet, M. Eddahby Lhou, ingénieur chercheur en géologie appliquée et membre du groupe de recherche en géologie appliquée (GRGA) à la faculté des sciences et techniques d’Errachidia, a indiqué qu’une étude topographique et stratigraphique du site ainsi qu’un relevé détaillé de la faune qui y est associée seront bientôt annoncés.
M. Eddahby a toutefois souligné la nécessité de lier les études sur le crâne en question aux fouilles entreprises sur les sites de Sijilmassa.
Source : MAP
http://www.errachidia.org/
http://www.avmaroc.com/actualite/confir ... 30387.html
Dans les mêmes estimations chronologiques, il y a des empreintes fossiles tout aussi anciennes :
Au XIXe siècle, l'écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage "American Antiquities" page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown ( Caroline du nord ), d'un véritable carnaval d'empreintes de chevaux, d'ours, de dindes et d'hominidés à six orteils !
En 1822, le scientifique H. Schooleraft, rapporta l'observation d'empreintes humaines dans du calcaire sur les berges du Mississippi à 5 kilomètres au sud de St Louis. (The American Journal of Science, vol.5, 1822).
Pendant l'été 1882, des détenus de la prison de Carson city ( Nevada ) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d'animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d'empreintes d'hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l'Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes (de 50 centimètres) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l'université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua ( Nicaragua ), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d'hominidés, certaines avec sandales, d'autres indiquant l'usage d'une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans.
En 1885, au sommet de Big Hill dans les monts Cumberland, dans le comté de Jackson ( Kentucky ), une série de traces ont été découvertes dans du grès carbonifère d'environ 300 millions d'années. Parmi les traces d'ours et celles d'un animal ressemblant à un grand cheval, il y avait deux empreintes d'hominidés de bonne taille, aux orteils bien écartés. Ces traces furent examinées par le Professeur J. F. Brown, du collège de Borea. (The American Antiquarian, 7:39, Janvier 1885).
En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l'Académie des Sciences de l'Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d'années. (Anthropologist, fevrier 1896, P.66).
En 1930, le Dr W. Burrough, chef du département de géologie du collège de Berea (Kentucky), annonça la découverte de dix empreintes d'hominidés dans du grès carbonifère sur les collines au nord du comté de Rockcastle. Les empreintes mesuraient 24 centimètres de long sur 15 de large. Les photos micrographiques et infra-rouges qui furent prises ne montrèrent aucun signe de sculpture artificielle sur et autour des marques. De plus, l'analyse microscopique indiqua que les empreintes étaient bien dues à un impact suite à la pression du pied d'un hominidé. La roche de ces traces est estimée à 250 millions d'années.
Des années plus tard, ces empreintes furent totalement détruites par des vandales, sans doute choqués que l'on puisse étudier des preuves qui remettraient en cause ce que l'on croit savoir de l'histoire de l'homme... (Science Newsletter, 29 octobre 1938).
En 1959, une mission paléontologique sino-russe dirigée par le Dr. Chou Ming Chen, découvrit dans le désert de Gobi, l'empreinte fossilisée d'une semelle striée, parfaitement régulière dans une couche de grès datant de 15 millions d'années. (Soviet journal n°8, 1961).
En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d'Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d'humanoïde a été découverte à proximité d'empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen (environ 220 millions d'années).
Selon l'Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d'eau, une boue trop liquide. Relevé effectué par M. P. Bellin (Archéologia N°196 de novembre 1984, courrier des lecteurs, M. P. Bellin).
En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d'années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.
En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d'expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d'empreintes fossiles au sommet d'une colline à l'est de Tulsa (Oklahoma). Parmi les empreintes d'espèces animales disparues depuis 3 millions d'années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui le rejetèrent à cause des implications de sa découverte. (Tulsa Sunday World, 25 mai 1969.)
Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d'Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d'années.
D'autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d'années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l'Oklahoma.
En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l'Institut de géologie de l'Académie des Sciences de Turkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d'années, qui ressemble à la trace d'un pied d'humanoïde. (Archéologia N°194 de septembre 1984 p.6 et 7).
C'est en février 2002 que James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d'une balade dans la forêt nationale de Cleveland.
En sortant des sentiers battus à la recherche d'or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d'eau il y a longtemps... très longtemps...
Snyder, qui pense qu'il pourrait s'agir de l'empreinte d'un "Bigfoot", aimerait que des scientifiques fassent l'effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d'une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d'accès pour étudier sérieusement cet empreinte...
http://www.ldi5.com/paleo/domenech1.php
Sur les géants, des preuves factuelles existent : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or ... cite_ref-6 mais ce n'est pas pour autant qu'il faille adhérer aux théories new-âge qui à partir de faits scientifiquement établis, aboutissent à des conclusions fantaisistes. Ce qu'ils attribuent à des extra-terrestres sont, dans le domaine de l'ufologie, des manipulations technologiques humaines ainsi que certaines manifestations d'entités psychiques (djinns ; pour connaitre le sujet, leur existence est une réalité), et dans le cadre des civilisations disparues, des civilisations d'hommes possédant un Q.I. assez élevé et une profonde intelligence (l'érudition et le Q.I. ne sont pas synonymes d'intelligence), possédant une maîtrise de certaines sciences techniques et traditionnelles qui se sont perdues au fil du temps.
Dans les récits sacrés et traditionnels, les géants possèdent probablement une réalité physique et historique (dans des modalités qui nous sont pas très bien connues), mais il ne faut pas oublier que l'essentiel réside dans les portées symboliques et spirituelles. En tout cas, les preuves paléontologiques existent, et cela réfute la théorie synthétique de l'évolution, qui rejette l'existence des géants.
Tout cela ne contredit en rien les faits scientifiques ni la rationalité, mais cela confirme bien les données traditionnelles et infirment par la même occasion les prétentions et paradigmes modernes (matérialisme, évolutionnisme, rationalisme, pseudo-scepticisme, scientisme, etc.).
Merci à l'auteur de ce site pour le recensement et la vérification des découvertes et données scientifiques (plusieurs cas analysés se sont avérés exacts et valides, tandis que d'autres attendent encore d'être étudiés avec précision) : http://www.ldi5.com/d/archeo/dmetal.php
Modifié en dernier par Ghazali le 04 nov.12, 09:43, modifié 1 fois.
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 09:21Voilà une belle collection de contre-vérités, d'amalgames, de fables, mythes et légendes auxquelles on donne la forme de l'énoncé archéologique et on les associe à des faits scientifiques avérés, histoire de les rendre crédible alors que tout cela n'a ni queue ni tête.Ghazali a écrit :[...] Tout cela ne contredit en rien les faits scientifiques ni la rationalité, mais cela confirme bien les données traditionnelles et infirment par la même occasion les prétentions et paradigmes modernes (matérialisme, évolutionnisme, rationalisme, pseudo-scepticisme, scientisme, etc.).
Merci à l'auteur de ce site pour le recensement et la vérification des découvertes et données scientifiques (plusieurs cas analysés se sont avérés exacts et valides, tandis que d'autres attendent encore d'être étudiés avec précision) : http://www.ldi5.com/d/archeo/dmetal.php
Il n'y manque plus que Nessie, le Yéti et les délires des Bogdanov pour que le tableau soit complet.
Bien entendu, j'imagine qu'il est inutile ici d'avoir la moindre preuve scientifique d'une seule de ces affirmations ? Un complot scientifique international "matérialiste" qui tente de nous cacher la vérité, j'imagine ?
P.S. :
Vous avez tellement l'habitude de copier-coller ce texte que vous ne prenez même plus la peine de vérifier si vos liens sont encore actifs ! http://jaxov.com/streams/science n'est plus actif, par exemple.
Je cesse (sans doute définitivement) toute activité sur ce forum. J'en explique les raisons là-bas : http://www.forum-religion.org/post638027.html#p638027 là-bas : http://www.forum-religion.org/post638076.html#p638076 et enfin là-bas : http://www.forum-religion.org/post639549.html#p639549
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 09:47Depuis le début, vous prenez jamais le temps d'argumenter, ce que je peux comprendre étant donné votre mauvaise foi (devenue légendaire sur le forum). A part hausser des épaules et avancer des affirmations sans preuves et sans démonstrations aucunes, que faites-vous de productif pour faire avancer les débats ? Votre présence ici est une blague, je me demanderais presque si vous ne ne seriez pas un troll (pas dans le sens mythique bien évidemment, quoi que...). Vous ne procédez pas en tant que scientifique ou que logicien ; vous n'avez même pas pris la peine de vérifier l'exactitude des faits et découvertes énumérées, ni n'avez montré en quoi, même théoriquement, l'existence d'hommes-géants (hominidés possédant une taille supérieure à la nôtre) serait impossible ou irrationnelle (sachant qu'il existe déjà des créatures "géantes" comme la girafe, l'éléphant, et par le passé, de nombreux dinosaures...).
PS : J'ai vérifié le lien et il n'est plus fonctionnel. Par honnêteté, j'ai préféré le laisser (au cas où le site reviendrait actif, ou pour des recherches approfondies pour les gens qui aimeraient connaitre la source de l'information). La majorité des liens fonctionnes encore.
PS : J'ai vérifié le lien et il n'est plus fonctionnel. Par honnêteté, j'ai préféré le laisser (au cas où le site reviendrait actif, ou pour des recherches approfondies pour les gens qui aimeraient connaitre la source de l'information). La majorité des liens fonctionnes encore.
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 10:29Dois-je vous rappeler que chaque fois que je vous demande des preuves scientifiques, je n'ai à la place que des argumenta ad hominem ?Ghazali a écrit :Depuis le début, vous prenez jamais le temps d'argumenter, [...]
Que penseriez-vous d'une personne qui viendrait ici, affirmerait l'existence de Twiggy (le Poussin Galactique qui par ondes télépathiques nous fait voir le ciel bleu alors qu'il est rose à pois verts) et qui, à chaque fois qu'on lui demanderait des preuves, ne ferait que par proférer des insultes, demander à ses interlocuteurs ce qu'ils ont à dire de constructif, etc. ?
Mais je veux bien vous laisser une chance d'apporter des preuves de vos dires.
Pouvez-vous donc, s'il-vous-plaît, répondre à cela ?
1. Citer une (et une seule) des hypothèses que vous énoncez. (Par exemple l'existence d'une technologie extraterrestre dont les traces seraient présentes sur notre planète.) Merci de n'en citer qu'une à la fois, afin que nous puissions approfondir.
2. Citer ce qui vous en semble la meilleure des preuves. (Donnez les références.)
3. Expliquer en détail les faits objectifs et vérifiables que tout le monde peut constater sur lesquels s'appuie cette preuve.
4. Faire la démonstration logique, pas à pas, d'inférence en inférence, du caractère probant de ce que vous avez cité en 2.
Je me ferai dans ce cas une joie d'examiner votre exposé et, s'il ne contient pas d'erreur ou de lacune logique, je serai le premier à reconnaître que j'avais tort.
La balle est dans votre camp.
Je cesse (sans doute définitivement) toute activité sur ce forum. J'en explique les raisons là-bas : http://www.forum-religion.org/post638027.html#p638027 là-bas : http://www.forum-religion.org/post638076.html#p638076 et enfin là-bas : http://www.forum-religion.org/post639549.html#p639549
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 11:18Il y a erreur, je n'ai jamais dit que j'adhérais à la théorie des extra-terrestres, je suis profondément sceptique concernant les théories de certains ufologues et des adeptes du new-âge (spiritisme).
Ici il était question d'anciens fossiles, à la fois d'être humain de taille normale (datant d'une période plus ancienne que celle officiellement admise, ce qui met à mal le postulat dominant sur l'évolution humaine, qui reste encore loin d'être entièrement connue), et de taille supérieure (des géants, en somme). Des preuves paléontologiques et scientifiques le confirment (mais vous avez préféré les ignorer sans même les examiner)...
Il existe aussi des vidéos ou des photo si jamais vous êtes dans l'incapacité de vous déplacer jusque sur le terrain.
http://www.1tv.ru/news/world/29635
Et pour le reste, j'attends encore votre argumentation, pour savoir en quoi l'existence de "géants" (être humain mesurant au moins 3-4 mètres) serait aberrant, scientifiquement parlant. Et sachant que des analogies rationnelles existent par rapport à des être vivants géants ayant déjà existé (parmi les mammifères ou les dinosaures par exemple), en plus des preuves fossiles de géants, comment pouvez-vous affirmer sans la moindre inférence logique et sans aucun élément scientifique recevable, que tout cela est absurde ou impossible ?
Ici il était question d'anciens fossiles, à la fois d'être humain de taille normale (datant d'une période plus ancienne que celle officiellement admise, ce qui met à mal le postulat dominant sur l'évolution humaine, qui reste encore loin d'être entièrement connue), et de taille supérieure (des géants, en somme). Des preuves paléontologiques et scientifiques le confirment (mais vous avez préféré les ignorer sans même les examiner)...
Il existe aussi des vidéos ou des photo si jamais vous êtes dans l'incapacité de vous déplacer jusque sur le terrain.
http://www.1tv.ru/news/world/29635
Et pour le reste, j'attends encore votre argumentation, pour savoir en quoi l'existence de "géants" (être humain mesurant au moins 3-4 mètres) serait aberrant, scientifiquement parlant. Et sachant que des analogies rationnelles existent par rapport à des être vivants géants ayant déjà existé (parmi les mammifères ou les dinosaures par exemple), en plus des preuves fossiles de géants, comment pouvez-vous affirmer sans la moindre inférence logique et sans aucun élément scientifique recevable, que tout cela est absurde ou impossible ?
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Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 21:56Le Yéti ou le Bigfoot, etc. sont un de mes dadas. Par contre je ne vois pas ce qu'ils viendraient faire pour soutenir le Coran, sujet de ce fil. Ils sont couramment considérés comme un stratagème diabolique et fallacieux pour déstabiliser l'histoire de la Création...Vicomte a écrit :Il n'y manque plus que Nessie, le Yéti et les délires des Bogdanov pour que le tableau soit complet.
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De quel droit refuserions-nous de faire usage du plus grand don de Dieu ? N'est-ce pas un formidable blasphème que de croire contre la raison ? (Vivekananda)
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Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 04 nov.12, 22:04Les photos que je connais sont des trucages grossiers. Cela posé, il parait qu'il y a des témoignages troublant concernant la Patagonie (signalé par Pigafetta, qui a tenu le journal du voyage de Magellan, puis par un compagnon de Bougainville deux siècles après). Sauf qu'on n'y trouve rien de plus autant qu'on sache.Ghazali a écrit :Ici il était question d'anciens fossiles, à la fois d'être humain de taille normale (datant d'une période plus ancienne que celle officiellement admise, ce qui met à mal le postulat dominant sur l'évolution humaine, qui reste encore loin d'être entièrement connue), et de taille supérieure (des géants, en somme). Des preuves paléontologiques et scientifiques le confirment (mais vous avez préféré les ignorer sans même les examiner)...
Il existe aussi des vidéos ou des photo si jamais vous êtes dans l'incapacité de vous déplacer jusque sur le terrain.
Mais là encore, le rapport avec le Coran ? Même si, comme le soutiennent certains, l'humanité est plus ancienne qu'on ne le croit (les données sont quand même faiblardes), ça ne remettrait pas en cause l'évolution. Bien au contraire, les Homo non sapiens (neandertalensis, rhodesiensis, erectus, habilis, floresiensis, etc.) sont couramment contestés au nom du créationisme !
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Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 05 nov.12, 00:42bonjour,Mahwen a écrit : Bonsoir,
Désolé de m'immiscer dans ce très long topic.
Je serais intéressé de connaître les raisons (anatomiques, biologiques, environnementales, physiques, que sais-je encore) invalidant la possibilité de l'existence des géants mythologiques. Mes connaissances en sciences sont basiques (niveau lycée) mais ce genre de problématique suscite mon intérêt depuis longtemps, d'où mon inscription ce soir.
J'apprécierais vraiment que vous puissiez m'apporter une réponse, merci d'avance.
plusieurs raisons physique tout d'abord ... la pression du sang qu'il faut remonter des veines vers le coeur et les poumons tout d'abord.
La girafe et la selection naturelle ont réglé le problème avec le "Rette Mirabile" sorte de structure anatomique spongieuse qui encaisse l'afflu de sang lorsqu'elle baisse la tête pour boire. Sans cette structure le cerveau exploserait sous la pression.
Un autre animal cousin biologique de la giraffe en dispose mais n'en a pas l'utilité ... l'okapi.
Le poid de la structure osseuse et des muscle rendrait impossible le mouvement sans que les tendons et muscles ne lachent.
Les cartilages s'useraient prématurément.
Les rares cas de "géant" humain et l'étude de leur pathologie montre assez bien ce qui se passerait pour un "Géant mythologique"
Enfin, le simple fait qu'il n'y ai aucune trace de tels Géant autre qu'écrite. Il semble relativement clair que le géant n'apparait pas ex-nihilo mais doit participer d'une société de géant. Et ni ethniquement, ni culturellement une telle société n'a jamais exister.
Alors que l'on trouve des trace de société humaine vieille de plusieurs millénaires.
Adopter les règles de Crocker autorise vos interlocuteurs à optimiser leur message pour le transfert d'informations sans se préoccuper d'amabilités. Elles imposent que vous acceptiez l'entière responsabilité du fonctionnement de votre esprit – si on vous offense, c'est de votre faute.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lee_Daniel_Crocker
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Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 05 nov.12, 00:50J'avoue mal comprendre ....Ghazali a écrit :Il y a erreur, je n'ai jamais dit que j'adhérais à la théorie des extra-terrestres, je suis profondément sceptique concernant les théories de certains ufologues et des adeptes du new-âge (spiritisme).
Ici il était question d'anciens fossiles, à la fois d'être humain de taille normale (datant d'une période plus ancienne que celle officiellement admise, ce qui met à mal le postulat dominant sur l'évolution humaine, qui reste encore loin d'être entièrement connue), et de taille supérieure (des géants, en somme). Des preuves paléontologiques et scientifiques le confirment (mais vous avez préféré les ignorer sans même les examiner)...
Il existe aussi des vidéos ou des photo si jamais vous êtes dans l'incapacité de vous déplacer jusque sur le terrain.
http://www.1tv.ru/news/world/29635
Et pour le reste, j'attends encore votre argumentation, pour savoir en quoi l'existence de "géants" (être humain mesurant au moins 3-4 mètres) serait aberrant, scientifiquement parlant. Et sachant que des analogies rationnelles existent par rapport à des être vivants géants ayant déjà existé (parmi les mammifères ou les dinosaures par exemple), en plus des preuves fossiles de géants, comment pouvez-vous affirmer sans la moindre inférence logique et sans aucun élément scientifique recevable, que tout cela est absurde ou impossible ?
tu nous cite des choses prouvant que la date de 318 000 ans serait tenable pour la présence de l'humanité sur terre ...j'imagine qu'il s'agit de l'homme vu que je ne vois pas qui d'autre
et par ailleurs j'ai cru comprendre que tu étais créationniste ...
tu n'es pas Yec ( 6000 ans ) pas plus que TJ ( 49 000 ) ... quelle frange créationniste dit que l'homme était présent il y a 318 000 ans ?
Si j'ai mal compris je te présente mes excuses si tu les acceptes. Mais tes messages sont tellement long et fouillis que je m'y perd un peu
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Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 05 nov.12, 01:02Bonjour, c'est faux ce que vous dites keinlezard, il y a des restes fossiles et des empruntes fossiles de géants...
Des calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, sans doute, les dinosaures étaient plus grands, plus longs, plus lourds... La gravité à la surface a souvent augmenté dans le temps. Nous savons aussi qu'en quelques décennies, la taille peut varier d'une génération à l'autre de plusieurs centimètres, et qui reste toujours viable et fonctionnelle. Les conditions géologiques, biologiques, génétiques et climatiques ne sont pas immuables et ont déjà varié sur notre planète tout au long de son existence.
http://www.youtube.com/watch?v=dRuxw-nZoJw
http://www.1tv.ru/news/world/29635
http://www.youtube.com/watch?v=zYFt03IVXw8
Des calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, sans doute, les dinosaures étaient plus grands, plus longs, plus lourds... La gravité à la surface a souvent augmenté dans le temps. Nous savons aussi qu'en quelques décennies, la taille peut varier d'une génération à l'autre de plusieurs centimètres, et qui reste toujours viable et fonctionnelle. Les conditions géologiques, biologiques, génétiques et climatiques ne sont pas immuables et ont déjà varié sur notre planète tout au long de son existence.
http://www.youtube.com/watch?v=dRuxw-nZoJw
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Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 05 nov.12, 01:22Heu, où ça ?Ghazali a écrit :Des calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui.
à+
De quel droit refuserions-nous de faire usage du plus grand don de Dieu ? N'est-ce pas un formidable blasphème que de croire contre la raison ? (Vivekananda)
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Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 05 nov.12, 02:09La gravité étant lié à la masse de la Terre ... sauf avec une terre moitié moins lourde je ne vois pas comment la gravité pourrait être moitié moins importante.Ghazali a écrit :Bonjour, c'est faux ce que vous dites keinlezard, il y a des restes fossiles et des empruntes fossiles de géants...
Des calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, sans doute, les dinosaures étaient plus grands, plus longs, plus lourds... La gravité à la surface a souvent augmenté dans le temps. Nous savons aussi qu'en quelques décennies, la taille peut varier d'une génération à l'autre de plusieurs centimètres, et qui reste toujours viable et fonctionnelle. Les conditions géologiques, biologiques, génétiques et climatiques ne sont pas immuables et ont déjà varié sur notre planète tout au long de son existence.
http://www.youtube.com/watch?v=dRuxw-nZoJw
http://www.1tv.ru/news/world/29635
Le premier lien est un hoax.
Une empreinte se forme dans une matiere meuble qui durcira au fil du temps ... cette empreinte dans du granite n'aurait pu être faite que lorsque le granite se formait et qu'il était meuble. C'est à dire environ 1800°C ... ton géant marchait donc sur du magma en fusion pied nu ...
Sur le second lien ... la tête n'est ni plus ni moins grosse que l'homme actuel. Et si les os sont impressionnants ... rien ne les relies au crane outre l'affirmation de celui qui les tient.
http://www.sydhav.no/giants/borjomi_georgia_upgrade.htm pour une traduction en anglais
Mais le problème est le suivant. Dans une découverte archéologique.
Nous effectuons un repérage: Absent de la vidéo.
Nous prenons des photos en situation : absent de la vidéo.
Nous effectuons des fouilles : absente de la vidéo. Même les traces de fouilles ne sont pas visible
Nous publions des articles dans les revues idoines : absente des références.
En fait cela ressemble simplement à une de ces nombreuses légendes qui servent à rassembler les "force vive" d'un peuple autour
d'un mythe fondateur.
Le dernier lien quant à lui est une interprétation donnée qui n'est pas validées par d'autre faute de preuve et d'arguments solides.
Il faut bien comprendre qu'une recherche / découverte scientifique doit déboucher sur un article ou un ensemble d'article dont le but est d'une part de présenté les recherches mais également de donner le protocole scientifique qui a mené à cette découverte.
Ce protocole permettra ensuite à d'autre de refaire le chemin pour valider ou non les conclusions premiere.
Actuellement nous avons 2 exemples de ce fonctionnement.
- les neutrinos supra-luminiques : la découvertes. la publication. la mise à disposition des données et du protocole expérimental.
conclusion il y avait une erreur.
- le boson de Higgs : la découverte. La publication. La mise à disposition des données et du protocole. On attend la confirmation ou l'infirmation de la découverte.
Et tous depuis Newton jusqu'a Hawkings, de Darwin à Shapiro sont soumit à cette procédure une découverte n'est que rarement reconnue au moment de sa découverte. Il faut la confirmation par l'expérience.
Adopter les règles de Crocker autorise vos interlocuteurs à optimiser leur message pour le transfert d'informations sans se préoccuper d'amabilités. Elles imposent que vous acceptiez l'entière responsabilité du fonctionnement de votre esprit – si on vous offense, c'est de votre faute.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lee_Daniel_Crocker
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lee_Daniel_Crocker
Re: QELQUES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN : topic unique !!
Ecrit le 05 nov.12, 05:35Merci pour ta réponse et pour ta pédagogie
Nous sommes d'accord. Je suis simplement interpellé par certaines déclarations lues dans ce topic (d'où mon inscription) et je ressens le besoin de me rendre compte du fossé entre rationalité scientifique et irrationalité "religieuse" (parce que je considère qu'il y a des types de croyances tout aussi irrationnelles qui ne sont pas pour autant de l'ordre de la religion).keinlezard a écrit :Enfin, le simple fait qu'il n'y ai aucune trace de tels Géant autre qu'écrite. Il semble relativement clair que le géant n'apparait pas ex-nihilo mais doit participer d'une société de géant. Et ni ethniquement, ni culturellement une telle société n'a jamais exister.
Alors que l'on trouve des trace de société humaine vieille de plusieurs millénaires.
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