Forum Chrétien / Musulman / Judaisme (charte du forum religion)
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Thémân ( F., J., T.); Théman (S.). Tribu issue d’Esaü; le territoire qu’elle occupait en Edom #Ge 36.11, 15, 34; Jer 49.20; Am 1.12 app. au N. #Eze 25.13 Cette tribu était réputée pour sa sagesse #Jer 49.7 Eliphaz, l’ami de Job, appartenait prob. à la tribu de Thémân #Job 2.11
Contrée occupée par les descendants d’Edom, donc d’Esaü; appelée à l’origine pays de Séir. #Ge 32.4; 36.20, 21, 30; Nu 24.18 Dans la pensée des Israélites, le nom géographique d’Edom s’associait sans doute à l’idée de l’établissement dans cette région d’un peuple qui leur était apparenté. C’est un pays montagneux, très accidenté, mesurant à peu près 160 km. de long, s’étendant du S. de Moab, sur les deux côtés de l’Araba, la grande dépression reliant la partie méridionale de la mer Morte au golfe d’Akaba #Ge 14.6; De 2.1, 12; Jos 15.1; Jud 11.17, 18; 1Ki 9.26 Le sommet de la montagne de Séir s’élève à env. 1066 m. au-dessus de la plaine adjacente de l’Araba. La base de la chaîne est de grès rouge de Nubie, présentant des filons de granit rouge et de porphyre. Le faîte est de calcaire datant prob. de l’époque des terrains crétacés. Il s’en faut de beaucoup que l’Idumée soit aussi fertile que la Palestine (cf. Mal. 1.2-4); mais au temps de Moïse, Edom avait des champs, des vignes, des puits et une grande voie de communication. #Nu 20.17, 19 A l’époque de la monarchie hébr., la capitale d’Edom était Séla qui prob. s’appela ensuite Pétra. Botsra et Témân étaient d’autres villes édomites importantes. Pendant la période gr., le nom d’Edom se transforma en celui d’Idumée. V. ce nom. Le désert d’Edom était l’Araba, à l’extrémité méridionale de la mer Morte. #2Ki 3.8, 20
Parân ( ou fautivement Paraân dans Gn. 14.6); Paran (S., F., J., T.). Contrée désertique, entre le Sinaï, ou plus exactement entre Hatséroth, à plusieurs jours de marche du Sinaï, et Canaan #Nu 10.12; 12.16 Parân se trouvait au S. de Juda (1 S. 25.1-5) et englobait Qadech (Nb. 13.26) sans doute aussi Elath, sur la mer Rouge #Ge 14.6 Parân était à l’E. des déserts de Beér-Chéba et de Chour. #Ge 21.14, 21 (cf. 25.9, 12-18; 28.9). Le désert de Tsîn était compris dans celui de Parân ou s’y joignait sans limites précises. #Nu 13.26; 20.1 Ces données indiquent le plateau, ou la contrée montagneuse #De 33.2; Hab 3.3 au S. de Canaan; des autres côtés, Parân était borné par le désert de Chour, par la chaîne incurvée du Djebel et Tïh, ou montagne de la pérégrination, et par l’Araba. C’est dans le désert de Parân que les Israélites errèrent 38 ans. La majeure partie de ce territoire s’élève de 600 à 762 m. d’altitude.
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