Vic a dit :
Quand à l'islam l'ambiguité est de savoir si mahomet par l'épée et la guerre n'a pas essayé d'utiliser le moyen du crime de sang pour convertir des populations par la force et ayant commis des actes de violences cela laissera toujours un doute c'est tout, tout comme sa conduite sexuelle pour avoir eu des rapports sexuels avec une fillette de 9 ans Aïcha avec qui il s'est marié de force d'office sans lui demander son avis .Maintenant il parait d'après faith 26 qu'on appelle ça l'égalité entre l'homme et la femme dans l'islam , ça m'interroge c'est normal .
Il semble que le prophète mahomet ayant eu un rapport étroit avec la violence durant sa vie ne peut que laisser perplexe sur l'usage qu'il en a fait et les limites de son utilisation et les arguments qu'il avance sur ces limites très très contestables .
Connaissez-vous seulement l'histoire d'amour entre le prophète et Aïcha, la fille d'Abu Bakr ? Le prophète a été très affecté par la mort de sa première épouse Khadija. Les compagnons voyant sa morosité et sa solitude durant plusieurs années lui proposèrent le nom de Aïcha. Le prophète a alors demandé sa main avec joie puisque c'est la fille de son ami Abu Bakr.
Aïcha l'aimait de tout son coeur. Et lui de même.
On nous rapporte qu'un Compagnon posa la question au Prophète : « Qui aimez-vous le plus ? » - « Aisha, répondit-il » - « Pour les hommes, précisa-t-il. » - « Le père de Aisha ! » - « Et après lui ? » - « 'Umar ibn Al-Khattâb. » Puis, il énuméra d'autres personnages.» [Rapporté par Bukhârî]
Le prophète est mort dans ses bras (c'est lui qui a voulu être auprès d’Aïcha sentant son heure venir).
Le prophète a refusé une invitation car Aïcha n'était pas invitée.
Une fois, un voisin perse invita le Prophète à diner. « Est ce que `Aïsha est invitée ? » demanda-t-il. « Non », répondit l'homme. « Je ne peux pas accepter l'invitation », dit alors le Prophète. L'homme revint et offrit une invitation à `Aïsha aussi. Cette fois, l'invitation fut acceptée et tous deux allèrent ensemble au dîner.
`Aïsha était avec le Prophète lors d'un voyage. Les compagnons étaient tous devant et eux, très en arrière. « Faisons une course ! », suggéra le Prophète. Ils coururent et `Aïsha gagna parce qu'elle était plus mince. Des années plus tard, `Aïsha perdit parce qu'elle avait grossi. «`Aïsha, dit le Prophète, nous sommes à égalité maintenant ! »
Au retour du pélerinage de l'Adieu, ' Aisha refusa d'alourdir son chameau avec les bagages d'une autre épouse comme le lui a demandé le Prophète. Celui ci lui proposa : « Veux-tu que Abu Ubayda arbitre entre nous ? - Non dit-elle, il ne me donnera jamais raison contre toi ! - Alors 'Umar ? Proposa-t-il. - Oh non ! J'ai peur de lui ! Même Satan a peur de lui ! - Eh bien, veux-tu que ce soit ton père, Abu Bakr ? » Elle y consentit et on fit appeler Abu Bakr , qui, apprenant la cause de l'incident et l'entêtement de sa fille avant même que le Prophète n'ait terminé son exposé et que Aisha puisse défendre sa cause - leva la main et la gifla... Le Prophète l'arrêta en disant : « Je n'ai pas voulu cela. » Il se leva et lava de ses mains le visage et la robe de sa jeune épouse. [Rapporté par Bukhârî]
Une fois elle demanda au Prophète « Comment est ton amour pour moi ? ».
Il lui répondit : « Comme le nœud de la corde », voulant ainsi dire qu'il était fort et sûr.
A maintes reprises ensuite elle lui demanda comment était le nœud, il lui répondait : « Toujours inchangé ».
Il aimait la voir heureuse.
Après la mort du prophète Aïcha était hautement respectée et consultée même pour son savoir théologique. Elle fait partie des plus illustres connaisseurs de l'Islam.
Le prophète l'aimait non pas pour sa beauté bien que Aïcha était jolie mais pour son esprit vivace et son intelligence.
Elle était nommée la Véridique, fille du véridique.
Bref. Aïcha fut très heureuse de son mariage. Ne vous inquiétez pas pour elle ! Quand à son âge, il est sujet à controverse :
http://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%AFcha
Incertitudes historiques
La question est difficile pour des raisons d'incohérences chronologiques multiples5, étant donné qu'il n'existait pas de calendrier à l'époque chez les Arabes de la péninsule arabique.
Un hadith sahih rapporté tant par Muslim que par Boukhari avec des versions variables6 (selon Hicham ibn Urwah) rapporte qu'Aïcha se serait mariée à l'âge de six ou sept ans et que ce mariage aurait été consommé avec elle quand elle eut atteint l'âge de 9 ou 10 ans ; Aïcha (dit-on) aurait dit : « J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa et neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi. Quand nous nous rendîmes à Médine, j'avais eu de la fièvre un mois durant et mes cheveux avaient poussé jusqu'à mes épaules. Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver alors que j'étais sur une balançoire, entourée de mes camarades. Quand elle m'eut appelé, je me rendis auprès d'elle sans savoir ce qu'elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester à la porte de la maison jusqu'à ce que j'eusse pris mon souffle. Elle me fit ensuite entrer dans une maison où se trouvaient des femmes des 'Ansâr qui me dirent: "A toi le bien, la bénédiction et la meilleure fortune!". Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent la tête; et se mirent à me parer. Or, rien ne m'effraya et quand l'Envoyé d'Allah vint dans la matinée; elles me remirent à lui »7.
Hicham ibn Urwah étant âgé d'une septantaine d'années souffrait de troubles de la mémoire selon les ouvrages biographiques concernant les transmetteurs de hadiths8 lorsqu'il transmettait les hadiths en Irak comme celui-ci qu'il a transmis via Ibrahim ibn Mûsâ (ibn Yazîd al Tamîmî abû Ishaq)8. Ainsi l'Imam de Médine et fondateur de l'école juridique du nom de Malik ibn Anas refusait tous les hadiths provenant de Hachim ibn Urwa. Au sujet de ce hadith, l'historien Maxime Rodinson émet une certaine réserve dans sa biographie sur Mahomet9, même s'il estime qu'à l'âge de 13 ans le mariage était consommé depuis longtemps pour les femmes arabes de l'époque.
En comparant les différentes sources anciennes, Ruqaiyyah Waris Maqsood (en) soutient5 que quoi que la différence d'âge entre Aicha et Mahomet fût importante et qu'Aicha fut jeune lors de ce mariage, celle-ci ne pouvait chronologiquement pas avoir neuf ans lorsque son mariage fut consommé et qu'il n'existait ni calendrier, ni registres à l'époque confirmant les dates de naissances pour cette période en Arabie, les arabes faisant alors des estimations à partir de dates clés et les uns par rapport aux autres. D'après ses recherches, consistant en des recoupements chronologiques indirects fondés sur les anciens écrits tels que ceux de Tabari, ibn Ishaq ou ibn Kathir, Aicha aurait eu environ 19 ans (du moins entre 14 ans et 24 ans) lorsqu'elle se maria à Mahomet12,11.
Maqsood précise que d'après l'historien Tabari, Aicha serait née plusieurs années avant que Mahomet ne prétende à la prophétie (donc Aicha serait née avant 610) et une dizaine d'années après Asmaa une sœur aînée morte centenaire en 696 (donc Aicha devrait être née vers 606). Toujours d'après l'historien Tabari, Aicha aurait déjà été fiancée (promise) à un certain Jobar Ibn Al-Moteam Ibn Oday avant que Mahomet prétendit à la prophétie, vers 610. Étant accepté qu'elle s'est mariée vers 625. Aïcha, née avant 610 et mariée vers 625 n'aurait pas pu avoir neuf ans lors de la consommation de son mariage avec Mahomet.
Ruqayyah Maqsood précise enfin qu'Aicha serait décédée à l'âge de 67 ans vers 672 selon la plupart des historiens17, il faudrait donc qu'elle soit née vers 605, et ait eu
une vingtaine d'années l'année de son mariage, vers 625. La chercheuse conclut qu'Aicha
ne pourrait donc pas avoir neuf ans, mais peut-être dix-neuf ans, lorsque fut consommé son mariage avec Mahomet, qui devait à ce moment être âgé d'une cinquantaine d'années.
Non pas de mariage forcé en Islam. Ni de pédophilie.
"Sheikh Ahmad Ash-Sharabâsî
Il est illégal de marier une femme contre son gré, en la contraignant ou sans son consentement. En effet, l’Islam a octroyé à la femme le droit de choisir son époux, tout du moins d’y consentir. Car c’est elle qui va devenir sa compagne et sa moitié dans leur vie commune. Comment pouvons-nous donc lui imposer un homme qu’elle refuse ? D’après le hadith prophétique : « La femme ayant déjà été mariée a plus de droit sur elle-même que son représentant légal (walî). Et la femme vierge doit donner son accord pour son mariage, accord qu’elle peut exprimer par son silence. »
Dans un autre hadith, le Messager de Dieu — paix et bénédiction sur lui — dit : « La femme vierge ne peut être mariée avant qu’elle n’ait donné son accord. » On demanda : « Ô Messager de Dieu, comment saura-t-on qu’elle est d’accord ? » Il répondit : « Lorsqu’elle restera silencieuse. » Un troisième hadith dit : « Si elle reste silencieuse, c’est qu’elle donne son accord. Et si elle refuse, elle ne doit pas être contrainte. » On rapporte également que le Messager de Dieu — paix et bénédiction sur lui — annula le contrat de mariage d’une femme médinoise s’appelant Al-Khansâ’ Bint Khidhâm car son père l’avait mariée contre son gré. Sa main avait été en réalité demandée par deux hommes, le premier étant le noble Compagnon Abû Lubâbah Ibn Al-Mundhir et le second étant un homme de son clan. La femme préféra Abû Lubâbah, alors que son père penchait pour le second prétendant à qui il maria sa fille sans le consentement de cette dernière. Al-Khansâ’ se rendit alors chez le Messager de Dieu — paix et bénédiction sur lui — et se plaignit à lui en ces termes : « Ô Messager de Dieu, mon père a dépassé ses limites avec moi et m’a mariée sans tenir compte de mon avis. » Le Messager dit : « Son mariage est nul. Épouse qui tu veux. » D’après une autre version, Al-Khansâ’ dit : « Mon père m’a mariée à son neveu malgré mon refus. » Le Prophète dit : « Tu peux entériner ce qu’a fait ton père. » Elle répondit : « Mais je n’aime pas ce qu’a fait mon père. » Le Prophète — paix et bénédiction sur lui — déclara : « Va, son mariage est nul. Épouse qui tu veux. » Elle reprit : « J’entérine ce qu’a fait mon père. J’ai néanmoins voulu que les gens sachent qu’il n’appartient point aux parents de forcer leurs filles à se marier avec quiconque. »
D’après `Abd Allâh Ibn `Abbâs — que Dieu l’agrée — le Messager de Dieu — paix et bénédiction sur lui — annula le mariage d’une femme vierge et celui d’une femme ayant déjà connu le mariage après que leur père les eut mariées contre leur gré. Le Prophète — paix et bénédiction sur lui — décida alors que leur mariage était nul."
Chercheur de dieu a dit :
"Je ne suis pas certain qu'il ait imposé l'islam par la force; Sinon, comment expliques-tu que l'Andalousie n'ait pas été convertie par la force ?"
Bonjour chercheur, merci de ta grande compréhension. Bien sûr que non, l'Islam ne s'est pas imposée à la pointe de l'épée, en témoignent les nombreux territoires musulmans n'ayant pas vu l'ombre d'une armée musulmane (par exemple, l'Indonésie qui est le premier pays musulman au monde). Les preuves détaillées sont dans mes précédents posts que Vic ne semble pas lire. Tant pis pour elle. Elle dit que Gandhi est sage mais quand Gandhi dit que l'Islam ne s'est pas propagée par violence mais par adhésion volontaire des peuples, elle ne le croit pas...
Vic, on ne peut contraindre le cœur de quelqu'un à croire, convertir quelqu'un de force n'a pas de sens. La force n'agit pas sur le cœur et l'âme.
Non, les religions n'utilisent pas la peur pour convertir les gens. Elles utilisent l'espoir. L'espoir d'une justice que n'offre pas ce monde illusoire qui sourit aux plus riches et aux plus forts et enterre les plus faibles et les plus pauvres. Elles offrent le cadeau de la foi. Une foi aveugle certes mais une foi qui permet au croyant sincère de tout affronter. Sans antidépresseurs, sans appel du vide. Elles apportent une valeur à chaque être humain. Une valeur non dépendante de sa naissance.
Elles apprennent l'endurance, la patience et l'abnégation. Elles donnent un sens à la vie du croyant, elles lui rappellent que chaque instant est précieux et éphémère, elles le poussent à utiliser cette vie pour devenir quelqu'un de meilleur et aider les autres. La vie est une épreuve pour le croyant. C'est un défi que chacun est libre dans son fort intérieur de relever ou non.
Enfin, elles établissent un soutien permanent, Dieu.
Les religions ne sont pas seulement une histoire d'enfer et de paradis. Le croyant ne croit pas par peur de l'enfer. Il croit parce qu'il en a envie. La crainte de Dieu n'est pas avoir peur de Dieu. La crainte de Dieu, c'est comme la crainte d'un échec. Le croyant craint de déplaire à Dieu à travers ses actes et comportements dans la vie d'ici-bas. C'est une crainte de ne pas être capable de se rapprocher de Dieu, de ne pas obtenir quelque chose que l'on désire plus que tout. Ce n'est pas la peur de subir un châtiment par peur de ce châtiment. C'est la peur d'être désavoué par quelqu'un qu'on aime, la peur de rater le rêve de sa vie.
De toute façon, que l'on croit en Dieu des religions monothéistes ou en quelque chose d'autre qui se rapproche d'une idée d'être supérieur, de grand tout etc, l'étincelle de foi ne s'explique pas. Pourquoi vouloir systématiquement justifier ce phénomène par un manque d'éducation ou une peur de quelque chose ? C'est une histoire de personne.