Ce n’est pas non plus à moi de déterminer le sens de vos concepts.Pion a écrit :
Ce n'est pas a moi de déterminer ce que doit être le Gros Bon Sens, je ne l'invente pas, il EST, il existe nonobstant qu'on en fasse usage ou pas, le GBS ne s'impose pas, on ne fait qu'espérer en faire usage mais parfois on se trompe, en pensant s'en servir pour finalement réaliser qu'on est a coté de la ''track''.
Voulez-vous dire que votre GBS ne se définit que par rapport aux religions ?Pion a écrit :C'est alors que les religions entrent en ligne de jeu, en imposant ce que elles décideront être comme étant le GBS(un faux), elles l'imprimeront dans un guide de directives a suivre, hors ce faisant elles créent l'antithèse du GBS, premièrement parce que le GBS ne peut avoir plusieurs lignes directrices différentes(plusieurs religions avec chacune un guide différent), deuxièmement le GBS s'ajuste et s'adapte continuellement suivant les situations le contexte les sujets, etc...
Hors dans les guides de directives a suivre des religions, les instructions sont fixes entre-autre.
Donc le GBS est indétectable.Pion a écrit :
Tout a fait, mais ce n'est pas parce qu'on parle en son nom, qu'on n'en fait nécessairement usage.
1 ) Comment voulez-vous créer ce que vous ne savez pas conceptualiser ?Pion a écrit :
Il existe a même titre que dieu peut-être, il suffit de le créer de l'atteindre et de le saisir, et c'est ça qui n'existe pas. Bien mal partit celui ou celle qui ne se contentera de rien de moins que la perfection ils obtiendront au mieux que l'illusion, pour ceux qui l'exigent sans craindre de se mettre la tête dans le sable, il existe comme placebo, les religions.
2 ) Quel rapport avec "placebo" ?
Mais il en est totalement incapable car tout est question de point de vue.Pion a écrit :
Oui et bien c'est comme je le disais plus haut, le GBS doit prendre en ligne de compte le contexte, le sujet etc....
« Il FAUT que vous compreniez »Pion a écrit :
Il faut que vous compreniez que ce n'est pas de la faute du GBS, si ceux qui sont en position d'autorité ne s'en servent pas.
Sachez que pour moi comprendre ne devient une nécessité que si l’on m’a suffisamment expliqué.
La perfection de ce qui n’est pas défini flirte toujours avec son inexistence.Pion a écrit :
Ce pourrait-il que rien soit parfait hormis le GBS?
Sophisme de l’épouvantail : à quel moment ai-je suggéré de faire n’importe quoi ?Pion a écrit :
Parce que de faire n'importe quoi, en aurait plus?
Je n’affirme rien du tout, je vous demande pourquoi vous parlez d’illusion.Pion a écrit :
Vous affirmez qu'il soit impossible que votre foi puisse vous apporter une certaine forme d'illusion?
Bon, si je vous comprends bien :Pion a écrit :
J'avoue ne pas douter du fait que votre foi puisse être bien réelle, mais c'est ce en quoi elle se fond, et/ou se penche et/ou se porte, pour couper court disons le divin, qui jusqu'ici n'apporte qu'illusion, d'autre part ce n'est pas parce qu'il s'agit pour l'instant qu'au mieux d'une illusion que cela n'en fera pas une vérité plus tard.
Pour nous parler du GBS il vous faut affirmer votre croyance vis-à-vis de ma foi,
pour donner du corps à votre concept il vous faut affirmer de façon péremptoire que je suis dans l’illusion.
Je deviens une sorte de preuve par l’absurde de l’existence du GBS.
C’est beaucoup d’honneur.
1 ) Voulez-vous dire que ma foi religieuse fait potentiellement de moi une infanticide par imprudence ? Il me semble que vous poussez un peu loin le principe de causalité.Pion a écrit :
Prenons ce pauvre bougre éduquant seul ses deux enfants, un garçon et une fille, a noter que sa fille souffre d'un handicap intellectuel. Un jour ils sont tous les trois inviter a aller se baigner chez un ami de la famille, dans la piscine la jeune fille s'amuse a pousser la tête de son frère sous l'eau, le père intervient et explique a sa fille de ne pas faire ça, mais elle ne comprend pas pourquoi et recommence, alors son père décide de l'expulser de la piscine, c'est alors qu'elle fait une crise de colère, essayant de la calmer le père ne porte plus attention a son fils, resté sans surveillance dans la piscine......
Tôt ou tard si vous n'avez pas la capacité d'identifier les priorités, elle vous rappelleront a l'ordre d'elles-mêmes.
2 ) Je crains qu’en pareille circonstance nous risquons toutes et tous l’erreur d’appréciation et votre GBS ne fait que dire après le drame ce qu’il aurait été préférable de faire car la jeune fille était déjà en train de courir sur l’autoroute…
3 ) Cette idée de piscine avec un seul adulte était une mauvaise idée sauf à se convaincre que l’on peut assumer seul cette responsabilité et, là, le bon sens est fortiche pour l’autosatisfaction et l’illusion de la toute-puissance.
4 ) Il était préférable de ne pas réfléchir du tout et refuser par principe, de façon dogmatique, l’idée même du bain.
5 ) Inutile de penser au GBS, il suffit d’avoir vu la vidéo sur You Tube qui montre que dès 6 mois vous pouvez apprendre à votre enfant à se retourner et faire la planche en cas de chute inopinée dans une piscine.
Mais où avez-vous eu cette idée étrange du « "passer en premier" versus "passer en deuxième" » ?Pion a écrit :
Faudrait leur demander, était-ce bien ce en quoi ils croyaient ou bien les enfants qu'ils ont aidés qui passait en premier? Mais même si les enfants passaient en deuxième, vous pouvez bien vous doutez de l'ordre qu'ils ont pour d'autres qui priorisent leurs bouteilles par exemple.
Et c’est précisément le contraire de l’Évangile… qui dit littéralement que le premier commandement est SEMBLABLE au second, il n’y a ni opposition, ni priorité mais similitude : on ne peut pas vivre l'un sans vivre l'autre.
J’ignore pourquoi vous êtes polarisé par cette idée de priorité, cela fait donc beaucoup de chose que je ne comprends pas dans ce que vous nous écrivez en ce moment.Pion a écrit :
Vos priorités vous appartiennent, sachez seulement les identifier, une fois le constat rendu, a chacun de vivre avec.
Il y a sûrement quelque chose qui m’échappe, mais il ne m’appartient pas de l’élucider.
En général, je traduis le mot « évident » par « trop difficile à justifier ».Pion a écrit : A la différence que le GBS existe c'est évident, c'est de le saisir qui ne l'est pas.
Navrée… à trois jours près !Pion a écrit :
J'attends toujours ce câlin!!
Le jour du Câlin (plus connu sous son nom anglais "Hug Day") était le 21 janvier.
Remarquez Hug, cela me fait songer au GBS : le Grand Bon Sachem…
Ceci dit, ne me prenez pas trop par les sentiments, l'instinct maternel n'est jamais loin.
Très cordialement
Votre sœur
pauline