Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
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Le christianisme est une religion monothéiste et abrahamique, issue d'apôtres célébrant la vie et les enseignements de Jésus. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, Fils de Dieu, ou Dieu incarner, néanmoins Prophete.
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Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 05:17Ce sujet revient régulièrement sur les forums TJs ou assimilés comme tels, comme par hasard surtout dans les semaines qui précèdent la célébration du Mémorial. Beaucoup disent que tous les chrétiens devraient prendre les emblèmes, voire que leur salut en dépend.
Voici quelques explications qui permettront à beaucoup de comprendre pourquoi l'enseignement officiel est bibliquement valide à cet égard.
"Que personne donc ne vous juge sur le manger et le boire, ou à propos d’une fête ou de l’observance de la nouvelle lune ou d’un sabbat ; car ces choses sont une ombre des choses à venir, mais la réalité relève du Christ." - Col. 2:16-17
Comme nous le savons tous, les prescriptions données par Moïse ainsi que les fêtes religieuses juives étaient une ombre des choses à venir (voir aussi Héb. 8:5). Elles constituent la colonne vertébrale du calendrier divin. Chacune d'entre elles correspond à une étape particulière du dessein divin visant à instaurer les conditions propices au rétablissement de ce qui avait été perdu en Éden et à l'instauration du principal moyen par lequel tout cela pourrait s'accomplir, à savoir le royaume de Dieu.
La fête de Pâque chez les juifs commémorait la fuite des Israélites du pays d’Égypte, toutes affaires cessantes, et leur départ dans le désert, l'exode, où leurs pérégrinations dureraient jusqu'à ce qu'ils atteignent la terre promise. Bien entendu, tout ceci était le type d'un anti-type autrement plus important, à savoir le fuite d'un monde marqué par le péché, l'esclavage et la mort grâce au sacrifice de Jésus, la traversée du désert spirituel (symbolisé par la Pentecôte de l'an 33, la fête estivale par excellence), dans lequel tous les chrétiens se trouvent actuellement jusqu'au moment où l'instauration du royaume de Dieu permettra à des premier-nés spirituels, les frères oints du Christ, d'entrer en terre promise (Caleb et Josué) et d'aider l'humanité à y entrer à leur tour pour les rejoindre (40 ans plus tard dans leur cas) dans cet état de condition approuvée par Dieu. Ce dernier état est symbolisé par la fête des Huttes, mais ce n'est pas ici le propos de ce fil.
La fête de Pâque symbolise donc cette fuite d’Égypte et que le sacrifice de l'agneau (et donc de l'Agneau de Dieu), et son sang apposé sur les montants des portes, permettrait à des juifs spirituels, ainsi qu'à une foule mêlée immense, de sortir du joug mortel du péché pour gagner la terre promise spirituelle.
En fait, le Repas du Seigneur tel que nous le connaissons était la célébration de la Pâque juive mais était également sur un plan symbolique la reconstitution, la simulation, par Jésus de la cérémonie de fiançailles chez les Juifs. D'ailleurs, une fois que l'on s'est familiarisé avec cette cérémonie, les paroles tenues et les gestes accomplis ce soir-là par Jésus prennent tout leur sens.
Voyons cela plus en détail :
En fait, pour les juifs, les fiançailles équivalent à un petit mariage. Les fiancés sont tenus l'un envers l'autre et seul un divorce peut dissoudre leur union, notamment par exemple au cas où la fiancée n'aurait pas été vierge.
Le jeune homme préparait une Ketubah, ou un contrat de mariage (autrement dit, une alliance) qu'il présentait à sa promise et à son beau-père. Le fiancé devait également s'acquitter d'un prix à payer, d'une dot.
Lors de la cérémonie de fiançailles, le fiancé devait s'assurer que la promise acceptait ce qu'il lui proposait et cela au moyen d'une coupe de vin qu'elle devait boire en guise de marque de consentement. Si elle buvait de cette coupe, les fiançailles étaient conclues. Le jeune homme offrait alors des cadeaux à sa belle et, plus tard, prenait congé pour une longue durée. La jeune femme devrait alors attendre le retour de son bien-aimé, qu'il revienne la chercher.
A suivre...
Voici quelques explications qui permettront à beaucoup de comprendre pourquoi l'enseignement officiel est bibliquement valide à cet égard.
"Que personne donc ne vous juge sur le manger et le boire, ou à propos d’une fête ou de l’observance de la nouvelle lune ou d’un sabbat ; car ces choses sont une ombre des choses à venir, mais la réalité relève du Christ." - Col. 2:16-17
Comme nous le savons tous, les prescriptions données par Moïse ainsi que les fêtes religieuses juives étaient une ombre des choses à venir (voir aussi Héb. 8:5). Elles constituent la colonne vertébrale du calendrier divin. Chacune d'entre elles correspond à une étape particulière du dessein divin visant à instaurer les conditions propices au rétablissement de ce qui avait été perdu en Éden et à l'instauration du principal moyen par lequel tout cela pourrait s'accomplir, à savoir le royaume de Dieu.
La fête de Pâque chez les juifs commémorait la fuite des Israélites du pays d’Égypte, toutes affaires cessantes, et leur départ dans le désert, l'exode, où leurs pérégrinations dureraient jusqu'à ce qu'ils atteignent la terre promise. Bien entendu, tout ceci était le type d'un anti-type autrement plus important, à savoir le fuite d'un monde marqué par le péché, l'esclavage et la mort grâce au sacrifice de Jésus, la traversée du désert spirituel (symbolisé par la Pentecôte de l'an 33, la fête estivale par excellence), dans lequel tous les chrétiens se trouvent actuellement jusqu'au moment où l'instauration du royaume de Dieu permettra à des premier-nés spirituels, les frères oints du Christ, d'entrer en terre promise (Caleb et Josué) et d'aider l'humanité à y entrer à leur tour pour les rejoindre (40 ans plus tard dans leur cas) dans cet état de condition approuvée par Dieu. Ce dernier état est symbolisé par la fête des Huttes, mais ce n'est pas ici le propos de ce fil.
La fête de Pâque symbolise donc cette fuite d’Égypte et que le sacrifice de l'agneau (et donc de l'Agneau de Dieu), et son sang apposé sur les montants des portes, permettrait à des juifs spirituels, ainsi qu'à une foule mêlée immense, de sortir du joug mortel du péché pour gagner la terre promise spirituelle.
En fait, le Repas du Seigneur tel que nous le connaissons était la célébration de la Pâque juive mais était également sur un plan symbolique la reconstitution, la simulation, par Jésus de la cérémonie de fiançailles chez les Juifs. D'ailleurs, une fois que l'on s'est familiarisé avec cette cérémonie, les paroles tenues et les gestes accomplis ce soir-là par Jésus prennent tout leur sens.
Voyons cela plus en détail :
En fait, pour les juifs, les fiançailles équivalent à un petit mariage. Les fiancés sont tenus l'un envers l'autre et seul un divorce peut dissoudre leur union, notamment par exemple au cas où la fiancée n'aurait pas été vierge.
Le jeune homme préparait une Ketubah, ou un contrat de mariage (autrement dit, une alliance) qu'il présentait à sa promise et à son beau-père. Le fiancé devait également s'acquitter d'un prix à payer, d'une dot.
Lors de la cérémonie de fiançailles, le fiancé devait s'assurer que la promise acceptait ce qu'il lui proposait et cela au moyen d'une coupe de vin qu'elle devait boire en guise de marque de consentement. Si elle buvait de cette coupe, les fiançailles étaient conclues. Le jeune homme offrait alors des cadeaux à sa belle et, plus tard, prenait congé pour une longue durée. La jeune femme devrait alors attendre le retour de son bien-aimé, qu'il revienne la chercher.
A suivre...
Modifié en dernier par Utuna le 01 mai14, 22:08, modifié 1 fois.
"Le sectarisme des jugements pauvres lui tenait quelque fois lieu de volonté" - Hervé Bazin
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 08:21C'est un sujet TJ. Il fallait l'indiquer.Utuna a écrit :Ce sujet revient régulièrement sur les forums TJs ou assimilés comme tels, comme par hasard surtout dans les semaines qui précèdent la célébration du Mémorial. Beaucoup disent que tous les chrétiens devraient prendre les emblèmes, voire que leur salut en dépend.
Voici quelques explications qui permettront à beaucoup de comprendre pourquoi l'enseignement officiel est bibliquement valide à cet égard.
"Que personne donc ne vous juge sur le manger et le boire, ou à propos d’une fête ou de l’observance de la nouvelle lune ou d’un sabbat ; car ces choses sont une ombre des choses à venir, mais la réalité relève du Christ." - Col. 2:16-17
Comme nous le savons tous, les prescriptions données par Moïse ainsi que les fêtes religieuses juives étaient une ombre des choses à venir (voir aussi Héb. 8:5). Elles constituent la colonne vertébrale du calendrier divin. Chacune d'entre elles correspond à une étape particulière du dessein divin visant à instaurer les conditions propices au rétablissement de ce qui avait été perdu en Éden et à l'instauration du principal moyen par lequel tout cela pourrait s'accomplir, à savoir le royaume de Dieu.
La fête de Pâque chez les juifs commémorait la fuite des Israélites du pays d’Égypte, toutes affaires cessantes, et leur départ dans le désert, l'exode, où leurs pérégrinations dureraient jusqu'à ce qu'ils atteignent la terre promise. Bien entendu, tout ceci était le type d'un anti-type autrement plus important, à savoir le fuite d'un monde marqué par le péché, l'esclavage et la mort grâce au sacrifice de Jésus, la traversée du désert spirituel (symbolisé par la Pentecôte de l'an 33, la fête estivale par excellence), dans lequel tous les chrétiens se trouvent actuellement jusqu'au moment où l'instauration du royaume de Dieu permettra à des premier-nés spirituels, les frères oints du Christ, d'entrer en terre promise (Caleb et Josué) et d'aider l'humanité à y entrer à leur tour pour les rejoindre (40 ans plus tard dans leur cas) dans cet état de condition approuvée par Dieu. Ce dernier état est symbolisé par la fête des Huttes, mais ce n'est pas ici le propos de ce fil.
La fête de Pâque symbolise donc cette fuite d’Égypte et que le sacrifice de l'agneau (et donc de l'Agneau de Dieu), et son sang apposé sur les montants des portes, permettrait à des juifs spirituels, ainsi qu'à une foule mêlée immense, de sortir du joug mortel du péché pour gagner la terre promise spirituelle.
En fait, le Repas du Seigneur tel que nous le connaissons était la célébration de la Pâque juive mais était également sur un plan symbolique la reconstitution, la simulation par Jésus de la cérémonie de fiançailles chez les Juifs. D'ailleurs, une fois que l'on s'est familiarisé avec cette cérémonie, les paroles tenues et les gestes accomplis ce soir-là par Jésus prennent tout leur sens.
Voyons cela plus en détail :
En fait, pour les juifs, les fiançailles équivalent à un petit mariage. Les fiancés sont tenus l'un envers l'autre et seul un divorce peut dissoudre leur union, notamment par exemple au cas où la fiancée n'aurait pas été vierge.
Le jeune homme préparait une Ketubah, ou un contrat de mariage (autrement dit, une alliance) qu'il présentait à sa promise et à son beau-père. Le fiancé devait également s'acquitter d'un prix à payer, d'une dot.
Lors de la cérémonie de fiançailles, le fiancé devait s'assurer que la promise acceptait ce qu'il lui proposait et cela au moyen d'une coupe de vin qu'elle devait boire en guise de marque de consentement. Si elle buvait de cette coupe, les fiançailles étaient conclues. Le jeune homme offrait alors des cadeaux à sa belle et, plus tard, prenait congé pour une longue durée. La jeune femme devrait alors attendre le retour de son bien-aimé, qu'il revienne la chercher.
A suivre...
Thème déjà très débattu.
Cordialement
Le Livre de Mormon online :
UN AUTRE TEMOIGNAGE DE JESUS-CHRIST
http://www.lds.org/scriptures/bofm?lang=fra
EGLISE de JESUS-CHRIST des SAINTS des DERNIERS JOURS
UN AUTRE TEMOIGNAGE DE JESUS-CHRIST
http://www.lds.org/scriptures/bofm?lang=fra
EGLISE de JESUS-CHRIST des SAINTS des DERNIERS JOURS
Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 09:34Bonsoir !Mormon a écrit : C'est un sujet TJ. Il fallait l'indiquer.
Thème déjà très débattu.
Cordialement
J'ai jeté un coup d’œil dans les anciens fils au cas où ce sujet aurait déjà été abordé et je n'ai rien trouvé.
Le thème est effectivement très débattu, comme je l'ai indiqué au tout début de mon post, mais je ne pense pas qu'il ait souvent été abordé sous cet angle.
"Le sectarisme des jugements pauvres lui tenait quelque fois lieu de volonté" - Hervé Bazin
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 14:36Bonjour,
pour répondre à la question "Quoi doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?",
tout ce qui se sont fait baptiser par l'autorité de Jésus-Christ, doivent prendre les emblèmes du Mémorial.
Merci.
pour répondre à la question "Quoi doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?",
tout ce qui se sont fait baptiser par l'autorité de Jésus-Christ, doivent prendre les emblèmes du Mémorial.
Merci.
Le vrai bonheur ne se trouve qu’en rendant les autres heureux. C’est l’application pratique de la doctrine du Sauveur selon laquelle il faut perdre sa vie pour la gagner. En résumé, l’Esprit de Noël est l’Esprit du Christ, qui fait luire notre cœur dans l’amour et l’amitié fraternels et nous incite à rendre service avec gentillesse
Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 18:56Salut max !La menax a écrit :Bonjour,
pour répondre à la question "Quoi doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?",
tout ce qui se sont fait baptiser par l'autorité de Jésus-Christ, doivent prendre les emblèmes du Mémorial.
Merci.
Et non justement. T'es tombé dans le panneau. Pour bien comprendre certaines vérités bibliques, il faut une bonne connaissance de la Bible et détenir certaines clés indispensables à la bonne compréhension de celle-ci.
Pourtant, rien qu'avec ce que j'avais commencé à écrire, il y avait de quoi me voir venir... avec mes gros sabots...
Tu n'as pas dû bien lire...
"Le sectarisme des jugements pauvres lui tenait quelque fois lieu de volonté" - Hervé Bazin
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Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 20:25Salut Utuna,
Très intéressant, j'ai hâte de lire la suite
Très intéressant, j'ai hâte de lire la suite
Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 21:48Bon, où en étais-je ?
Avant de partir, le jeune homme déclarait à sa belle : "Je m'en vais te préparer une place pour toi" et "Je reviendrai te chercher quand tout sera prêt". La tradition voulait que le jeune homme retourne à la maison de son Père et y construise une chambre nuptiale. Cela est symbolisé par la chuppah, ou le dais nuptial, bien caractéristique des mariage juifs. Il devait s'y consacrer avec ardeur et devait gagner l'approbation de son Père avant de considérer que tout était prêt. Si quelqu'un lui demandait quelle serait la date du mariage, il ne pouvait répondre que : "Seul mon Père la connaît".
Pendant ce temps-là, la fiancée devait elle aussi se préparer, de manière à rester pure et belle pour son fiancé. Dès les fiançailles conclues, elle devait porter un voile lorsqu'elle sortait, de manière à montrer partout et à tous qu'elle était promise en mariage. Elle avait été achetée avec un prix. A la suite de ces fiançailles, la kallah, son nouveau nom, était considérée comme sainte, ou sanctifiée, telle un temple consacré (mise à part, réservée) pour son futur époux. C'est d'ailleurs ce que signifie ce nom. Le même mot était utilisé pour qualifier la fiancée et un temple consacré.
Quand la chambre nuptiale était prête, le fiancé revenait chercher sa promise. Cela pouvait arriver à tout moment, ce qui impliquait un certain niveau de préparation de la part de la belle. La tradition voulait que la fiancée garde une lampe, un voile et d'autres choses près de son lit. Ses demoiselles d'honneur devaient elles aussi se tenir prêtes et avoir de l'huile en réserve pour leurs lampes.
Quand le fiancé et ses amis arrivaient à une certaine distance de la maison de la fiancée, ils devaient pousser un cri et sonner du shofar de manière à ce qu'elle comprenne qu'elle devait se tenir prête.
Quand la petite troupe revenait dans la maison du Père du marié, les nouveaux mariés entraient dans la chambre nuptiale pour une lune de miel de sept jours et les meilleurs amis du fiancé attendaient dehors jusqu'à ce que l'époux annonce la consommation du mariage.
La fête et le repas nuptial commençaient alors pour les amis des mariés qui sortaient de leur chambre pour recevoir les traditionnelles félicitations et démonstrations de joie.
------------------------------
Mes notes sont sur un cahier et y sont dispersées ça et là car je les y inscrivais au fur et à mesure de mes trouvailles lors de mes recherches sur ce sujet. Désolé si cette synthèse vous paraît un peu décousue mais je suis sûr que vous serez capables de recoller tous les morceaux dans le bon ordre. Je ne vais pas tout expliquer non plus sinon, j'en ai pour trois jours. Par exemple, tous ceux qui connaissent un minimum la Bible feront le lien entre le mot kallah et 1 Cor. 3:16-17...
Avant de partir, le jeune homme déclarait à sa belle : "Je m'en vais te préparer une place pour toi" et "Je reviendrai te chercher quand tout sera prêt". La tradition voulait que le jeune homme retourne à la maison de son Père et y construise une chambre nuptiale. Cela est symbolisé par la chuppah, ou le dais nuptial, bien caractéristique des mariage juifs. Il devait s'y consacrer avec ardeur et devait gagner l'approbation de son Père avant de considérer que tout était prêt. Si quelqu'un lui demandait quelle serait la date du mariage, il ne pouvait répondre que : "Seul mon Père la connaît".
Pendant ce temps-là, la fiancée devait elle aussi se préparer, de manière à rester pure et belle pour son fiancé. Dès les fiançailles conclues, elle devait porter un voile lorsqu'elle sortait, de manière à montrer partout et à tous qu'elle était promise en mariage. Elle avait été achetée avec un prix. A la suite de ces fiançailles, la kallah, son nouveau nom, était considérée comme sainte, ou sanctifiée, telle un temple consacré (mise à part, réservée) pour son futur époux. C'est d'ailleurs ce que signifie ce nom. Le même mot était utilisé pour qualifier la fiancée et un temple consacré.
Quand la chambre nuptiale était prête, le fiancé revenait chercher sa promise. Cela pouvait arriver à tout moment, ce qui impliquait un certain niveau de préparation de la part de la belle. La tradition voulait que la fiancée garde une lampe, un voile et d'autres choses près de son lit. Ses demoiselles d'honneur devaient elles aussi se tenir prêtes et avoir de l'huile en réserve pour leurs lampes.
Quand le fiancé et ses amis arrivaient à une certaine distance de la maison de la fiancée, ils devaient pousser un cri et sonner du shofar de manière à ce qu'elle comprenne qu'elle devait se tenir prête.
Quand la petite troupe revenait dans la maison du Père du marié, les nouveaux mariés entraient dans la chambre nuptiale pour une lune de miel de sept jours et les meilleurs amis du fiancé attendaient dehors jusqu'à ce que l'époux annonce la consommation du mariage.
La fête et le repas nuptial commençaient alors pour les amis des mariés qui sortaient de leur chambre pour recevoir les traditionnelles félicitations et démonstrations de joie.
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Mes notes sont sur un cahier et y sont dispersées ça et là car je les y inscrivais au fur et à mesure de mes trouvailles lors de mes recherches sur ce sujet. Désolé si cette synthèse vous paraît un peu décousue mais je suis sûr que vous serez capables de recoller tous les morceaux dans le bon ordre. Je ne vais pas tout expliquer non plus sinon, j'en ai pour trois jours. Par exemple, tous ceux qui connaissent un minimum la Bible feront le lien entre le mot kallah et 1 Cor. 3:16-17...
Modifié en dernier par Utuna le 02 mai14, 00:28, modifié 1 fois.
"Le sectarisme des jugements pauvres lui tenait quelque fois lieu de volonté" - Hervé Bazin
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
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Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 22:35Eyrusin (Betrothal)
From ancient times, the wedding canopy has been a symbol of a new household being planned (see Ps 19:5 ; Joel 2:16). During the ceremony, some items of value were exchanged (e.g., rings) and a cup of wine was shared to seal the eyrusin vows.
After this huppah ceremony, the couple was considered to be fully entered into the agreement of eyrusin. The eyrusin period would continue for one year. During this time, the couple was considered married in the modern sense of the word, yet were not allowed to cohabit until the end of the eyrusin. Hence, there were no sexual relations at this time and the couple would live in separate dwelling places.
(from God's Appointed Customs, Copyright © 1996 by Barney Kasdan. All rights reserved.)
Eyrusin (Fiançailles)
Depuis toujours, le dais nuptial a été le symbole d'une nouvelle maisonnée en projet (voir Ps19:5 ; Joël 2:16). Lors de cette cérémonie, quelques objets de valeur étaient échangés (par ex: des alliances) et on partageait une coupe de vin pour sceller le vœu de l'eyrusin.
Au terme de la cérémonie de l'huppah, le couple était considéré comme tenu par les clauses de l'eyrusin. L'eyrusin pouvait durer un an. Pendant ce temps, le couple était considéré comme marié au sens moderne du terme, mais ils ne pouvaient vivre ensemble avant la fin de l'eyrusin. Par conséquent, ils n'avaient pas de relations sexuelles et le couple vivait dans des endroits séparés.
From ancient times, the wedding canopy has been a symbol of a new household being planned (see Ps 19:5 ; Joel 2:16). During the ceremony, some items of value were exchanged (e.g., rings) and a cup of wine was shared to seal the eyrusin vows.
After this huppah ceremony, the couple was considered to be fully entered into the agreement of eyrusin. The eyrusin period would continue for one year. During this time, the couple was considered married in the modern sense of the word, yet were not allowed to cohabit until the end of the eyrusin. Hence, there were no sexual relations at this time and the couple would live in separate dwelling places.
(from God's Appointed Customs, Copyright © 1996 by Barney Kasdan. All rights reserved.)
Eyrusin (Fiançailles)
Depuis toujours, le dais nuptial a été le symbole d'une nouvelle maisonnée en projet (voir Ps19:5 ; Joël 2:16). Lors de cette cérémonie, quelques objets de valeur étaient échangés (par ex: des alliances) et on partageait une coupe de vin pour sceller le vœu de l'eyrusin.
Au terme de la cérémonie de l'huppah, le couple était considéré comme tenu par les clauses de l'eyrusin. L'eyrusin pouvait durer un an. Pendant ce temps, le couple était considéré comme marié au sens moderne du terme, mais ils ne pouvaient vivre ensemble avant la fin de l'eyrusin. Par conséquent, ils n'avaient pas de relations sexuelles et le couple vivait dans des endroits séparés.
"Le sectarisme des jugements pauvres lui tenait quelque fois lieu de volonté" - Hervé Bazin
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 01 mai14, 23:11Comme cela est toujours la coutume dans bon nombre de cultures, c'est le père du fiancé qui choisit une fiancée pour son fils, laquelle devra donner son consentement. En Genèse 24, nous voyons qu'Abraham envoya son plus fidèle serviteur afin qu'il trouve une fiancée pour son fils - une coutume alors très fréquente.
Une fois la fiancée choisie, un prix, une dot - mohar en hébreu - était négocié, moment qui s'appelait shidukkin, la cérémonie s'appelant tena'im, ou "conditions" en français.
(...)
La première partie du mariage était les fiançailles ou erusin, appelée également kidushin, ce qui signifie littéralement : "sanctification ou sainteté avec l'idée d'être mis à part". Jusqu'à douze mois avant le mariage, le fiancé et sa belle entraient dans une alliance, à laquelle ils étaient tenus de se conformer et qui ne pouvaient être rompue aisément.
(...)
Le contrat de mariage présenté au père de la mariée s'appelait la ketubah, et entre encore de nos jours dans les modalités de mariage juives, dont lecture publique était faite. Dans celle-ci, le fiancé promettait de travailler honnêtement pour honorer, soutenir et entretenir sa fiancée afin qu'elle ait nourriture et vêtement ainsi que les autres nécessités de la vie, et qu'ils vivent ensemble en tant que mari et femme".
Après l'acceptation du contrat de mariage, la fiancée et le fiancé devaient boire tous deux une coupe de vin, après les bénédictions traditionnelles appelée Birkat Erusin, afin que le contrat de mariage soit scellé :
"Dans le judaïsme, le vin a toujours symbolisé la joie. Le mariage dans la conception juive est la plus grande source de joie sur terre. Le vin est aussi un symbole du sang. L'alliance du mariage est une alliance de sang devant Dieu. Deux vies s'unissent et s'engagent pour une vie entière."
Lash, Jamie, The Ancient Jewish Wedding, Jewish Jewels: Ft. Lauderdale, FL 1997
Comme gage, le fiancé devait donner une pièce à sa fiancée, ce qui devint plus tard une bague, une alliance, que la fiancée devait glisser sur son index tout en récitant une formule de mariage traditionnelle. La pièce ou l'alliance rappellerait jour après jour ce lien entre elle et son bien-aimé, vu qu'ils allaient rester désormais séparés jusqu'au jour du mariage.
Les coutumes voulaient qu'à cette époque, le fiancé retourne à la maison de son Père pour préparer une chambre nuptiale pour sa fiancée. Cette période pouvait durer jusqu'à 12 mois, période durant laquelle la fiancée se préparait à renoncer à sa vie de célibataire entourée de ses parents et à rejoindre la maisonnée de son futur époux en tant qu'épouse. Elle était mise à part, consacrée - le mot hébreu pour fiancée est kallah, ce qui signifie "à l'écart, enfermée". Le Cantique des Cantiques en fait mention en ces termes : "C’est un jardin verrouillé ma sœur, [mon] épouse, un jardin verrouillé, une source scellée." Les mois passant, la patience et la fidélité de la fiancée pouvaient être mises à rude épreuve, alors qu'elle attendait le retour de son bien-aimé.
A suivre...
Une fois la fiancée choisie, un prix, une dot - mohar en hébreu - était négocié, moment qui s'appelait shidukkin, la cérémonie s'appelant tena'im, ou "conditions" en français.
(...)
La première partie du mariage était les fiançailles ou erusin, appelée également kidushin, ce qui signifie littéralement : "sanctification ou sainteté avec l'idée d'être mis à part". Jusqu'à douze mois avant le mariage, le fiancé et sa belle entraient dans une alliance, à laquelle ils étaient tenus de se conformer et qui ne pouvaient être rompue aisément.
(...)
Le contrat de mariage présenté au père de la mariée s'appelait la ketubah, et entre encore de nos jours dans les modalités de mariage juives, dont lecture publique était faite. Dans celle-ci, le fiancé promettait de travailler honnêtement pour honorer, soutenir et entretenir sa fiancée afin qu'elle ait nourriture et vêtement ainsi que les autres nécessités de la vie, et qu'ils vivent ensemble en tant que mari et femme".
Après l'acceptation du contrat de mariage, la fiancée et le fiancé devaient boire tous deux une coupe de vin, après les bénédictions traditionnelles appelée Birkat Erusin, afin que le contrat de mariage soit scellé :
"Dans le judaïsme, le vin a toujours symbolisé la joie. Le mariage dans la conception juive est la plus grande source de joie sur terre. Le vin est aussi un symbole du sang. L'alliance du mariage est une alliance de sang devant Dieu. Deux vies s'unissent et s'engagent pour une vie entière."
Lash, Jamie, The Ancient Jewish Wedding, Jewish Jewels: Ft. Lauderdale, FL 1997
Comme gage, le fiancé devait donner une pièce à sa fiancée, ce qui devint plus tard une bague, une alliance, que la fiancée devait glisser sur son index tout en récitant une formule de mariage traditionnelle. La pièce ou l'alliance rappellerait jour après jour ce lien entre elle et son bien-aimé, vu qu'ils allaient rester désormais séparés jusqu'au jour du mariage.
Les coutumes voulaient qu'à cette époque, le fiancé retourne à la maison de son Père pour préparer une chambre nuptiale pour sa fiancée. Cette période pouvait durer jusqu'à 12 mois, période durant laquelle la fiancée se préparait à renoncer à sa vie de célibataire entourée de ses parents et à rejoindre la maisonnée de son futur époux en tant qu'épouse. Elle était mise à part, consacrée - le mot hébreu pour fiancée est kallah, ce qui signifie "à l'écart, enfermée". Le Cantique des Cantiques en fait mention en ces termes : "C’est un jardin verrouillé ma sœur, [mon] épouse, un jardin verrouillé, une source scellée." Les mois passant, la patience et la fidélité de la fiancée pouvaient être mises à rude épreuve, alors qu'elle attendait le retour de son bien-aimé.
A suivre...
"Le sectarisme des jugements pauvres lui tenait quelque fois lieu de volonté" - Hervé Bazin
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or" - Charles Baudelaire
"S'il m'a été donné de voir un peu plus loin que les autres, c'est que je me tenais sur les épaules de géants" - Isaac Newton
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Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 02 mai14, 00:13Avec plaisir, c'est intéressant jusqu’ici !Utuna a écrit : A suivre...
1 Corinthiens 7 : 23
Vous avez été rachetés à un grand prix; ne devenez pas esclaves des hommes.
Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.Yéshoua
Actes 4 : 12
Vous avez été rachetés à un grand prix; ne devenez pas esclaves des hommes.
Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.Yéshoua
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Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 02 mai14, 00:17C'est très intéressant en effet de se plonger dans l'ambiance qui régnait au temps de Jésus, cela nous aide à mieux comprendre son message.
Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 02 mai14, 01:23"Maris, continuez à aimer vos femmes, comme le Christ aussi a aimé la congrégation et s’est livré lui-même pour elle, pour qu’il puisse la sanctifier, la purifiant avec le bain d’eau par le moyen de la parole, pour qu’il puisse se présenter à lui-même la congrégation dans sa splendeur, n’ayant ni tache, ni ride, ni rien de semblable, mais afin qu’elle soit sainte et sans défaut." - Eph. 5:25-27
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Avec le temps, cette période de temps [de séparation, NDLR] qui pouvait durer des mois fut considérablement réduite, au point de ne durer qu'une semaine, voire moins. Ce raccourcissement du délai avait aussi pour but de préserver la pureté du couple. Dans les faits, la fiancée devait accomplir un mikvah, avant que le mariage soit célébré. C'est à dire un "rite d'immersion dans l'eau à titre de préparation physique et spirituelle pour la cérémonie de mariage*" La fiancée devait commencer le rite de purification familiale environ quatre jours avant le mariage.
"En se préparant de la sorte pour leur union, et plus tard pour leurs retrouvailles conjugales mensuelles - tour à tour se séparant et se retrouvant, la fiancée s'immergeant dans le mikvah, et récitant à cet effet la bénédiction rendant grâce au Tout-Puissant de les avoir sanctifiés au travers de cette institution - le mari et sa femme reconnaissent, de la manière la plus symbolique qui soit, que leur relation est sainte et bénie, qu'elle est pure et non médiocre, sacrée et non licencieuse".
Lamm, Maurice, The Jewish Way in Love & Marriage, Harper & Row: New York, NY 1980
Alors que la fiancée seule accomplissait le mikvah, il est de coutume dans certaines traditions juives que le fiancé s'immerge lui aussi dans le mikvah, afin de se purifier et de se laver.
* Lash, Jamie, The Ancient Jewish Wedding, Jewish Jewels: Ft. Lauderdale, FL 1997
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Avec le temps, cette période de temps [de séparation, NDLR] qui pouvait durer des mois fut considérablement réduite, au point de ne durer qu'une semaine, voire moins. Ce raccourcissement du délai avait aussi pour but de préserver la pureté du couple. Dans les faits, la fiancée devait accomplir un mikvah, avant que le mariage soit célébré. C'est à dire un "rite d'immersion dans l'eau à titre de préparation physique et spirituelle pour la cérémonie de mariage*" La fiancée devait commencer le rite de purification familiale environ quatre jours avant le mariage.
"En se préparant de la sorte pour leur union, et plus tard pour leurs retrouvailles conjugales mensuelles - tour à tour se séparant et se retrouvant, la fiancée s'immergeant dans le mikvah, et récitant à cet effet la bénédiction rendant grâce au Tout-Puissant de les avoir sanctifiés au travers de cette institution - le mari et sa femme reconnaissent, de la manière la plus symbolique qui soit, que leur relation est sainte et bénie, qu'elle est pure et non médiocre, sacrée et non licencieuse".
Lamm, Maurice, The Jewish Way in Love & Marriage, Harper & Row: New York, NY 1980
Alors que la fiancée seule accomplissait le mikvah, il est de coutume dans certaines traditions juives que le fiancé s'immerge lui aussi dans le mikvah, afin de se purifier et de se laver.
* Lash, Jamie, The Ancient Jewish Wedding, Jewish Jewels: Ft. Lauderdale, FL 1997
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Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 02 mai14, 04:42La Parole de Dieu est une source inépuisable de plaisir.Liberté 1 a écrit : Avec plaisir, c'est intéressant jusqu’ici !
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Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 02 mai14, 05:14"“Vous avez entendu qu’il (...). Cependant moi je vous dis que..." - Mat. 5:21-22Estrabolio a écrit :C'est très intéressant en effet de se plonger dans l'ambiance qui régnait au temps de Jésus, cela nous aide à mieux comprendre son message.
"Vous avez entendu qu’il (...). Mais moi je vous dis que..." - Mat. 5:27-28
"Il a aussi été dit : ‘ Celui qui (...). Cependant moi je vous dis que..." - Mat. 5:31-32
Et on pourrait continuer ainsi jusqu'au verset 48...
Jésus a dit en Mat. 5:17 : "“Ne pensez pas que je sois venu pour détruire la Loi ou les Prophètes. Je suis venu, non pas pour détruire, mais pour accomplir ;" puis il commence son énumération des commandements de la Loi. Il montrait par là qu'il élevait le niveau habituel de compréhension et d'application de la Loi à un niveau jusque-là inégalé.
D'ailleurs, le fait de reprendre des commandements travestis par l'ineptie des hommes pour leur rendre leur beauté, leur force et leur profondeur originales est une des marques de fabrique de Jésus. Les exemples fourmillent. Jésus aimaient à reprendre des formules juives hyper connues pour les gratifier de saveurs inédites voire déconcertantes pour le juif moyen de l'époque. Ça fera peut-être prochainement l'objet d'un fil.
Les apôtres aussi d'ailleurs, ils ne vivaient pas dans une bulle...
Cette citation de Socrate vous rappelle-t-elle quelque chose ? : "Athéniens, je vous sais gré et je vous aime; mais j'obéirai au dieu plutôt qu'à vous;..."
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Re: Qui doit prendre les emblèmes lors du Mémorial ?
Ecrit le 16 mai14, 03:38Il est toujours utile de faire de rapprochement avec des coutumes pour mieux faire comprendre le geste de Jésus ce soir là.
Jésus disait clairement que par leurs participation aux emblèmes les disciples entraient dans une alliance pour le Royaume que Jésus avait contracté d'avec son Père Jéhovah
Celui qui est disciple de Jésus rappelle par ce geste cette alliance. Il faut également rappeler que pour une espérance terrestre il ne fallait se souvenir et participer a ce souper car tous les humains naissent avec une telle espérance.
Ceux qui pour différentes raisons n'avaient pas accepté l'alliance pour le Royaume des cieux vont recevoir une formation sous le Royaume des cieux qui viendra s'associer avec les humains qui aura pour résultat la guérison total des effets du pêché.
Mai ce sera APRES la période de mille ans.
Jésus disait clairement que par leurs participation aux emblèmes les disciples entraient dans une alliance pour le Royaume que Jésus avait contracté d'avec son Père Jéhovah
Celui qui est disciple de Jésus rappelle par ce geste cette alliance. Il faut également rappeler que pour une espérance terrestre il ne fallait se souvenir et participer a ce souper car tous les humains naissent avec une telle espérance.
Ceux qui pour différentes raisons n'avaient pas accepté l'alliance pour le Royaume des cieux vont recevoir une formation sous le Royaume des cieux qui viendra s'associer avec les humains qui aura pour résultat la guérison total des effets du pêché.
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