Salut chantallo.
Materiellement parlant, le monde existait avant le "au commencement dieu créa ....".
La terre était sans dessus dessous signifie qu'il n'y avait plus de "spiritualitée" sur terre.
L'esprit de dieu qui planait au dessus des eaux, c'est la voix qui crie dans le désert.
Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres signifie que "Dieu" sépara les justes d'avec les injustes.
Si tu préfère la version évangile, ça donne le monde est un champ de blé au milieu duquel l'ivraie à poussée.
Les moissonneurs, les anges séparent l'ivraie (les méchants) d'avec le blé (les gentils).
C'est comme ça que la bible toute entière est écrite ; en parabole.
Si on pénètre suffisament le symbolisme biblique, nous ne sommes plus dans une logique de résurrection mais de réincarnation.
La terre, selon ce qu'en font les hommes, peut être un enfer ou un paradis.
Le sel (la question) donnent soif de connaissance.
L'eau (la réponse) appaise cette soif.
Celui qui cherche trouve à conditions d'accepter de se remettre en question.
Pour cela, il faut lacher le père noël.
Ceux qui refusent cette évidence, brûle de savoir mais ne trouve pas le chemin, alors il continent à bruler de savoir dans d'éternels réincarnations.
Leurs symboles est le diable à ressort. Dès qu'il quittent un corps, ils reviennent dans un autre.
Et ça, ce sont les flammes éternelles, ils brûlent de savoir mais ils ne comprennent pas.
alors de temps en temps, on leur donne du sel, on leur tend une perche pour qu'ils puissent sortir de cette eau bouillante.
Mais la peur des flammes éternelles les empêche de quitter les flammes éternelles.
Ils ont peur de changer.
C'est pour ça que je t'ai conseiller de lire les dialogues avec l'anges.
http://sd-2.archive-host.com/membres/up ... _lAnge.pdf
G. Je me sens souvent submergée par des brumes épaisses.
Comment lutter contre cela ?
-Brumes épaisses, brouillard dense,
ils descendent sur la terre, si le soleil faiblit.
Si tu flambes et brûles devant le Seigneur
A chaque instant, où sont alors les brumes ?
Demande !
G. Comment pourrais-je détruire le mur qui se trouve entre
moi et les autres, et qui me rend insensible ?
-Le mur n’est pas là où tu le crois.
Ma réponse est étrange :
Tu es insensible envers toi-même.
G. Envers moi-même ?
-Envers toi-même. Chaque outil est sacré.
A nouveau, une brume me sépare de ce que je viens d’entendre.
Brume ?
G. Je ne comprends pas bien.
-TU T’ES DETRUITE TOI-MEME.
Même maintenant, tu ne le comprends pas.
G. Je comprends…mais comment pourrais-je réparer ce péché ?
-En protégeant les autres. Il n’y a pas d’autre moyen.
Le mur est en toi-même,
Tu l’as élevé de tes propres mains
Et tu t’y es cachée devant le Seigneur.
Presque tous les hommes se cachent
De cette manière devant LUI.
Ainsi, tu en as du travail ! Quelles prisons terribles !
Toutes les prisons s’ouvriront un jour,
Mais la prison de celui
qui est prisonnier de lui-même ne s’ouvre pas.
Ténèbres éternelles, ténèbres désolées.
Etre sans lumière, c’est terrible !
Aide donc à démolir les murs !
Ici, nous ne pouvons pas aider.
Toi, mon serviteur, tu sais ce qu’est la prison…
Si tu brûles, le Ciel est en toi.
Il n’y a donc rien d’impossible pour toi.
POUR LE FORT, LE PECHE EST ENSEIGNEMENT.
POUR LE FAIBLE, DAMNATION.
Je comprends que, se sentir responsable, efface l’interprétation traditionnelle du péché et de la culpabilité.
Demande !
G. Je ne me rends pas compte quand je me force. Comment pourrais-je le voir tout de suite ?
-Ne regarde pas l’effort, mais la force.
Tu le sais bien, si la force rayonne de toi.
G. Oui.
-Elle doit toujours rayonner.
SI tu l’arrêtes, alors tu te forces.
G. Je l’arrête, mais par quel péché ?
-Question absurde ! Comprends-tu pourquoi ?
G. Non.
-IL N’Y A QU’UN SEUL PECHE : SE DETOURNER DE LUI.
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