Je rajoute au fur à mesure, je vous conseille de ne pas répondre tant que je n'ai pas tout dit sur le Baphomet. Merci.
Le Baphomet est propre aux Israélites, et il est normalement jumeau.
Signification du terme: wikipedia
Hugh Schonfield1, spécialiste des manuscrits de la mer Morte, pensa qu'il s'agissait d'un mot codé. En effet, en appliquant le code Atbash (système de cryptage très ancien) au mot Baphomet écrit en caractères hébreux, on obtient sophia, qui signifie « sagesse » en grec. Selon son interprétation, en vénérant Baphomet, les Templiers auraient voué en vérité un culte au principe de sagesse… ou aussi à la gnose.
Pierre Klossowski, dans ses notes et éclaircissements à son roman de 1965 préfère y voir le Basileus philosophorum métallicorum : le souverain des philosophes métallurgistes, c'est-à-dire des alchimistes.
Plusieurs autres étymologies fantaisistes ont été proposées : Baphe-métous, baptême de sagesse ; Bios-phos-métis, vie-lumière-sagesse ; Bapho ou Bafo, nom d'un port de Chypre dont le Temple fut très peu de temps le propriétaire ; Abufihamat, corruption de l'expression arabe « le Père de la compréhension », Maphomet « L'Incompris », ou encore de l'arabe Ouba el-Phoumet, « Père de la bouche », etc. La signification la plus probable est que Baphomet, qui apparaît pour la première fois en 1195 dans le poème Senhor, per los nostes peccatz du troubadour Gavaudan en pleine période des Croisades, est l'occitanisation de Mahomet 2. Selon Heinrich Finke, on trouve d'ailleurs également la forme Magometus dans les interrogatoires du procès3.
Les Origines de son nom
Il y a plusieurs théories concernant les origines du nom « Baphomet ». L’explication la plus répandue prétend que c’est une corruption du vieux français désignant le prophète de l’Islam (Muhammad, latinisé en « Mahomet »). Durant les croisades, les chevaliers Templiers restèrent pour des périodes prolongées dans les pays du Moyen-Orient où ils ont eu connaissance des enseignements du mysticisme arabe. Ce contact avec des civilisations orientales leur a permis de ramener en Europe les bases de ce qui deviendra plus tard l’occultisme occidental, ce qui inclut le gnosticisme, l’alchimie, la Kabbale et l’Hermétisme. L’affinité des Templiers avec les musulmans a conduit l’Eglise à les accuser de vénérer une idole appelée Baphomet, donc il y a des liens possibles entre Baphomet et Mahomet. Cependant, il existe d’autres théories à propos de l’origine de ce nom.
Eliphas Lévi, l’occultiste français qui a fait cette fameuse description de Baphomet, avança l’argument que le nom dérivait d’un code cabalistique :
« Le nom Templier Baphomet, qui devrait être cabalistiquement écrit à l’envers, est composé de trois abréviations : Tem. Ohp. AB. : templi omnium hominum pacts abbas, « le père du temple de la paix entre les Hommes. »
Arkon Daraul, un auteur et professeur de tradition et de pratique magique soufie, prétendait que Baphomet venait du mot arabe Abu fihama(t), ce qui signifie « le père de la Compréhension ».
Le Dr. Hugh Schonfield, dont les travaux sur les parchemins de la mer Morte sont bien connus, a développé une des théories les plus intéressantes. Schonfield, qui a étudié un code secret juif appelé le code d’Atbash, qui était utilisé lors de la traduction de certains des parchemins de la mer Morte, prétendait que lorsqu’un s’appliquait au mot « Baphomet », il renvoyait au mot grec « Sophia », qui signifie « sagesse, connaissance » et qui est aussi synonyme de « déesse ».
http://www.nouvelordremondial.cc/2012/0 ... -baphomet/
Description d'Eliphas Levy:
Le Baphomet d’Eliphas Lévi
Cette description de Baphomet par Elivas Lévi, tirée de son livre Dogmes et rituels de la Haute-Magie, est devenue la représentation visuelle « officielle » de Baphomet.
En 1861, l’occultiste français Eliphas Lévi inclut dans son livre Dogmes et rituels de la Haute-Magie un dessin qui allait devenir la plus célèbre représentation de Baphomet : un bouc humanoïde ailée avec une paire de seins et une torche sur la tête, entre les cornes. Le personnage affiche de nombreuses similarités avec les déités décrites ci-dessus. Cela inclut aussi plusieurs autres symboles ésotériques faisant référence à des concepts ésotériques incarnés par le Baphomet. Dans la préface de son livre, Lévi a écrit :
« Le bouc sur le frontispice porte le signe du pentagramme sur son front, avec un point en son sommet, un symbole de lumière, ses deux mains formant le signe de l’Hermétisme, l’une pointant la lune blanche de Chesed, l’autre pointant la lune noire de Geburah. Ce signe exprime la parfaite harmonie de la compassion avec la justice. Son premier bras est féminin, l’autre masculin comme ceux de l’androgyne de Khunrath, les attributs de celui auquel nous devions nous lier avec ceux de notre bouc parce qu’il est un seul et même symbole. La flamme de l’intelligence brillante entre ses cornes est la lumière magique de la lumière de l’équilibre universel, l’image de l’âme élevée au-dessus de la matière, comme la flamme qui, bien qu’attachée à la matière, brille au-dessus d’elle. La tête laide de la bête exprime l’horreur du pécheur, dont l’agissement matériel, la partie entièrement responsable, doit supporter exclusivement la punition ; car l’âme de par sa nature est insensible et peut uniquement souffrir lorsque elle se matérialise. La canne qui se dresse à la place des organes génitaux représente la vie éternelle, le corps recouvert d’écailles l’eau, le demi-cercle au-dessus l’atmosphère, les plumes qui volent ce qui est volatile. L’humanité est représentée par les deux seins et les deux bras androgynes de ce sphinx des sciences occultes. »
Dans la description de Lévi, Baphomet incarne le point culminant du processus alchimique – l’union de forces opposées afin de créer la Lumière Astrale – la base de la magie, et, au final, de l’illumination.
Un regard approfondi sur l’image nous révèle que chaque symbole est inévitablement équilibré avec son opposé. Baphomet lui-même est un personnage androgyne qui porte les caractéristiques des deux sexes : les seins de la femme, le pénis en érection représenté par la canne. Le concept d’androgénisme tient une place importante dans la philosophie occulte car il est représentatif du plus haut niveau d’initiation dans la quête du « devenir un avec Dieu ».
Le phallus de Baphomet est en fait le Caducée d’Hermès – une baguette entremêlée de deux serpents. Cet ancien symbole a représenté l’Hermétisme pendant des siècles. Le Caducée représente ésotériquement l’activation des chakras de la base de la colonne vertébrale à la glande pinéale.
Le caducée comme symbole de l’activation des chakras
« La Science n’est réelle que pour ceux qui admettent et comprennent la philosophie et la religion ; et son processus ne réussira que pour l’adepte qui a atteint la souveraineté de la volonté, et qui devient ainsi le Roi du monde élémentaire : pour le grand agent de l’opération du Soleil, cette force décrite dans le Symbole d’Hermès, de la table d’émeraude : c’est le pouvoir magique universel ; le pouvoir spirituel, la force motrice rougeoyante ; il s’agit du Od selon les Hébreux, et la Lumière Astrale, selon les autres.
Là-dedans se trouve le feu secret, vivant et philosophique, duquel parlent tous les philosophes Hermétiques avec une réserve mystérieuse : la Graine Universelle, de laquelle ils gardaient le secret, et qu’ils représentaient seulement sous les traits du Caducée d’Hermès. » [4]
Baphomet est donc symbolique du Grand Œuvre alchimique où les forces séparées et opposées sont unies dans un équilibre parfait pour générer de la Lumière Astrale. Le procédé alchimique est représenté sur l’image de Lévi par les termes Solve et Coagula, sur les bras de Baphomet. Même s’ils donnent séparément des résultats opposés, Solve (du latin solvere : « dissoudre, désagréger », c’est-à-dire transformer un solide en liquide) et Coagula (c’est-à-dire transformer un liquide en solide) sont deux étapes nécessaires du processus alchimique – qui vise à transformer une pierre en or, ou, en termes ésotériques, transformer un profane en un homme illuminé. Les deux étapes sont inscrites pointant des directions différentes, ce qui renforce encore plus leur nature différente.
Les mains de Baphomet forment le « signe de l’Hermétisme » – qui est une représentation de l’axiome hermétique « Là haut comme ici-bas », un dicton qui résume entièrement les enseignements et objectifs de l’Hermétisme, où le microcosme (l’homme) est comme le macrocosme (l’univers). Par conséquent, comprendre l’un équivaut à comprendre l’autre. Cette Loi de Correspondance a pour origine les Tablettes d’Emeraude d’Hermès Trismégiste où il est écrit :
« Ce qui est Ici-bas correspond à ce qui est Là-haut, et ce qui est Là-haut correspond à ce qui est Ici-bas, pour accomplir les miracles de l’Unique. » [5]
La maîtrise de cette force vitale, la Vie Astrale, est ce qui est appelé « magick » par les occultistes modernes.
La carte de tarot du Magicien, qui montre l’axiome Hermétique « Là-haut comme Ici-bas ».
« La pratique de la magie – qu’elle soit blanche ou noire – dépend de l’habilité de l’utilisateur à contrôler la force vitale universelle – celle qu’Eliphas Lévi appelle le grand agent magique ou la lumière astrale. Par la manipulation de cette essence fluide se produisent les phénomènes de transcendantalisme. Le fameux bouc hermaphrodite de Mendès était une créature composite créée pour symboliser la lumière astrale. Il est identique à Baphomet, membre du panthéon mystique des ces disciples de magie cérémonielle, les Templiers, qui l’ont probablement obtenu des Arabes. » [6]
Chacune des mains de Baphomet indique des lunes opposées, que Lévi a appelées Chesed et Geburah – deux concepts opposés de la Kabbale juive. Dans l’Arbre de la Vie cabalistique, le Sephiroth, Chesed est associé avec la « gentillesse donnée aux autres » tandis que Geburah se réfère à « la retenue de l’empressement de quelqu’un à accorder sa bonté aux autres, quand le récipient de ce bien est jugé sans valeur et susceptible d’en faire mauvaise utilisation ». Ces deux concepts sont opposés et, comme avec tout dans la vie, un équilibre doit être trouvé entre les deux.
La caractéristique la plus remarquable de Baphomet est bien sûr sa tête de bouc. Cette monstrueuse représente la nature animale et pécheresse de l’homme, ses tendances égoïstes et ses bas instincts. Opposé à la nature spirituelle de l’Homme (symbolisée par la « lumière divine » sur sa tête), ce côté animal est malgré tout vu comme une part essentielle de la nature dualiste de l’Homme, où l’animal et le spirituel doivent s’unir dans l’harmonie. On pourrait aussi dire que l’apparence d’ensemble de Baphomet, grotesque, peut servir à repousser et à dégoûter le profane qui n’est pas initié à la signification ésotérique du symbole.
Baphomet, le bain du Roi Israélite, car il est juif qui portera foi à l'évangile et le Coran, c'est pourquoi les Templiers et ensuite la franc-maçonnerie le pris pour le Roi de la paix:
Nous arrivons à présent au coeur d’une figure mythique liant les rites secrets des Templiers à ceux des Ophiens, nous voulons parler du Baphomet, ce « dieu » ou symbole des Templiers. Nous insistons ici pour que le lecteur comprenne bien que nous ne voulions pas lier la Baphomet en tant que fantasme au courant Naasène. Nous voulons prendre distance avec ces rêveurs, chasseurs de gueuses considérations, qui, s’imaginant fils de Baphomet, pensent être les dieux de leurs frères humains. Nous voulons simplement montrer que le fluide coule depuis toujours, sub terraneus ou publicitaire, ayant traversé les fleuves du temps et de l’espace, afin de nous effleurer de ses vertes volutes. Les Chercheurs de Lumière ne ressentent que peu de plaisir dans les jeux généalogiques…
Le terme de Baphomet remonte au procès des Templiers, ce serait la fameuse « tête magique », prétendue idole des pauvres chevaliers du Christ. Cet objet du culte templier était tantôt une idole ayant une seule tête barbue et tantôt une idole possédant trois têtes, mais il n’est jamais fait mention – à notre connaissance – de son corps. Une de ces têtes sera d’ailleurs retrouvée avec l’inscription « CAPUT LVIII ». Dans les comptes rendus du procès, ces têtes étaient censées donner la richesse, le pouvoir et la santé aux chevaliers. Selon Hugh Schonfield, dans son « The Essene Odyssey », on ne peut qu’admettre, en considérant les implications de ces têtes et du décodage du Baphomet comme étant la Sagesse qu’« il ne peut y avoir que peu de doutes sur le fait que l’idole des Templiers représentait la Sophia en son aspect féminin et isiaque et qu’elle était liée à Marie Madeleine dans son aspect chrétien ». Baphomet n’en reste pas moins le champ psychique généré par l’ensemble des êtres vivants sur cette planète.
Depuis l’Ère Shamanique, on l’a souvent représenté comme Pan (1), Pangenitor, Pamphage, le Destructeur, Shiva-Kali – le phallus créateur et l’abominable et destructrice mère – comme Abrasax (2) comme le Démon du sexe et de la mort à tête d’animal, comme l’Archonte démoniaque qui dirige ce monde, comme Ishtar ou Astarté – déesse de l’amour et de la guerre – comme l’Anima Mundi ou Monde des Âmes ou simplement comme la « Déesse ».
D’autres représentations comprennent l’Aigle, ou le Baron Samedi, ou Thanateros, ou Cernunnos. Aucune image ne peut représenter la totalité de ce que cette force est, mais on la montre conventionnellement comme un dieu hermaphrodite, divinité sous la forme d’un homme qui comprend diverses caractéristiques mammaires ou reptiliennes. L’image contient souvent des éléments floraux et minéraux ainsi que des éléments ramenant au concept de la mort car cette force comprend aussi la mort. Vie et Mort ne sont que de simples phénomènes au travers desquels la force vitale se réincarne continuellement. Nier la mort c’est nier la vie. Les aspects de la divinité mâle et femme qu’est Baphomet sont toujours soulignés car c’est par le sexe que la vie est créée et la sexualité mesure la force vitale ou la vitalité, quelle que soit la manière dont elle est exprimée.
Presque toutes les mythologies gardent en mémoire des légendes relatives aux énergies reptiliennes qui précédèrent les dieux eux-mêmes. Ainsi, dans de nombreuses cosmologies, nous avons des serpents-Leviathans entourant l’univers, ou des Tiamat-dragons d’où émergent toutes les existences. Les dieux sont souvent décrits comme ayant emprisonné ces forces reptiliennes, ou cherchant à les détruire. Il existe un ensemble de documents templiers sur lesquels on peut examiner des symboles et des personnages dont l’essence remonterait aux cultes de Priape ou du Serpent. Sur l’un de ces documents, l’on peut examiner une figure nue portant une coiffure à la Cybèle (3) qui tient une chaîne de ses deux mains et qui est entourée de symboles divers, le soleil et la lune au-dessus d’elle, en dessous, le Pentagramme et l’Hexagramme et sous ses pieds un crâne humain. Cette chaîne est le symbole des anneaux du serpent et donc de la fraternité des ophiens.
On trouve aussi un texte en langue arabe que l’on ne peut traduire directement, mais toutefois, si l’on applique une grille de décodage, le sens est : « Que Meté soit loué ! Il fait germer et fleurir toutes choses ! Il est notre principe qui est un et sept ! Abjure ta foi et abandonne-toi à tous les plaisirs ».
Sur un autre document, on peut examiner deux personnages androgynes :
- le premier est plutôt féminin mais pourvu d’un sexe masculin. Il tient une chaîne dans chaque main.
- le second est de type masculin portant une barbe et ayant un sexe féminin. Il porte également une chaîne dans chaque main. Sur les côtés sont disposées 12 étoiles, à gauche en bas, il y a un Pentagramme et à droite un Hexagramme. Sous ses pieds, il y a un crâne humain.
Lisons à présent un extrait de « Les demeures philosophales » (4) de Fulcanelli :
« Dans l’expression hermétique pure, correspondant au travail de l’Oeuvre, Baphomet vient des racines grecques Bapheus, teinturier, et mès, mis pour mètè, la lune, à moins qu’on ne veuille s’adresser à mèter, génitif mètros, mère ou matrice, ce qui revient au même sens lunaire, puisque la lune est véritablement la mère ou la matrice mercurielle qui reçoit la teinture ou semence du soufre, représentant le mâle, le teinturier, Bapheus – dans la génération métallique. Baphè a le sens d’immersion et de teinture. Et l’on peut dire, sans trop divulguer, que le soufre, père et teinturier de la pierre, féconde la lune mercurielle par immersion, ce qui nous ramène au baptême symbolique de Mété exprimé encore par le mot baphomet. Celui-ci apparaît donc bien comme l’hiéroglyphe complet de la science, figurée ailleurs dans la personnalité du dieu Pan, image mythique de la nature en pleine activité. Le mot latin Bapheus, teinturier, et le verbe meto, cueillir, recueillir, moissonner, signalent également cette vertu spéciale que possède le mercure ou lune des sages, de capter, au fur et à mesure de son émission, et cela pendant l’immersion ou le bain du roi, la teinture qu’il abandonne et que la mère conservera dans son sein durant le temps requis. C’est là le Graal, qui contient le vin eucharistique, liqueur de feu spirituel, liqueur végétative, vivante et vivifiante introduite dans les choses matérielles. Quant à l’origine de l’Ordre, à sa filiation, aux connaissances et aux croyances des Templiers, nous ne pouvons mieux faire que citer textuellement un fragment de l’étude que Pierre Dujols, l’érudit et savant philosophe, consacre aux frères chevaliers dans sa »Bibliographie générale des Sciences occultes« . »Les frères du Temple, dit l’auteur, – on ne saurait plus soutenir la négative, furent vraiment affiliés au Manichéisme. Du reste, la thèse du baron de Hammer est conforme à cette opinion. Pour lui, les sectateurs de Mardeck, les Ismaéliens, les Albigeois, les Templiers, les Francs-maçons, les Illuminés, etc., sont tributaires d’une même tradition secrète émanée de cette Maison de la Sagesse (Dar-el-hickmet), fondée au Caire vers le XIe siècle, par Hakem. L’académicien allemand Nicolai conclut dans un sens analogue et ajoute que le fameux baphomet, qu’il fait venir du grec Baphomètos, était un symbole pythagoricien. Nous ne nous attarderons point aux opinions divergentes de Anton, Herder, Munter, etc., mais nous nous arrêterons un instant à l’étymologie du mot baphomet. L’idée de Nicolai est recevable si l’on admet, avec Hammer, cette légère variante : Baphè Mètèios, qu’on pourrait traduire par baptême de Mété. On a constaté, justement, un rite de ce nom chez les Ophites. En effet, Mété était une divinité androgyne figurant la Nature naturante. Proclus dit textuellement que Métis, nommé encore Epikarpaios, ou Natura germinans, était le dieu hermaphrodite des adorateurs du Serpent. On sait aussi que les Hellènes désignaient, par le mot Métis, la Prudence vénérée comme épouse de Jupiter. En somme, cette discussion philologique avère de manière incontestable que le Baphomet était l’expression païenne de Pan. Or, comme les Templiers, les Ophites avaient deux baptêmes : l’un, celui de l’eau, ou exotérique ; l’autre, ésotérique, celui de l’esprit ou du feu. Ce dernier s’appelait le baptême de Mété. Saint Justin et saint Irénée le nomment l’illumination. C’est le baptême de la Lumière des Francs-maçons ».
Spartakus FreeMann, 2003 e.v., issu des Oraisons du Serpent.
Illustration : Le Baphomet dans une séance maçonnique, par Leo Taxil, 1890.
(1) Pan est la divinité hellénistique des bergers et des troupeaux. D’apparence mi-humaine, mi-animale, il représente l’activité sexuelle intense et exprime la ruse bestiale. Pan en grec signifie « tout » et ce nom lui fut donné car il incarne une tendance propre à tout l’univers. Il est le grand principe régulateur, le premier principe d’amour, ou créateur, incorporé dans la matière universelle et formant le monde.
(2) Abrasax, Abracax ou Abraxas est une entité gnostique qui préside au 365 jours de l’année (365 étant sa valeur arithmosophique). Abrasax est un dieu polymorphe au corps d’homme à tête de coq et dont les jambes sont des serpents, il est vêtu d’une armure et tient un fouet et un bouclier.
(3) Déesse de la terre, fille du ciel, épouse de Saturne. Cybèle symbolise l’énergie enfermée dans la terre et elle est la source primordiale de toute fécondité. Elle est souvent représentée coiffée d’une étoile à sept branches ou d’un croissant de lune. Cybèle est le Déesse Mère, la Magna Mater dont le culte se confond avec ceux de la fécondité.
(4) [Tome 1, pp. 200 à 206 (J.J. Pauvert, 3ème édition, 1965) Livre second, la Salamandre de Lisieux, sous-titre VI].
http://www.esoblogs.net/2932/le-baphomet/
Baphomet, et la Sophia (sagesse):
BAPHOMET 4-OCCHI
Et il a vu le Baphomet. Ils n'étaient pas deux côtés, comme prévu pour tout ce qu'il avait entendu sur le démon, mais un seul visage, la moitié ivoire et bronze moitié, moitié blanc et brun moitié, moitié rasé et l'autre moitié barbus. Sur les yeux brillants glabres de saphir, deux yeux sur la topaze mûre. Tenait sa tête un corps androgyne, laminé or et d'argent enveloppé signes de lunaire et solaire en même temps, de la sexualité à définir. Une myriade de cordes nouées diversement suspendus à la tête de l'idole, comme un cheveux hirsutes ou une malédiction.
ETIMOLOGIA Machia’h nahash Israël before and after : before (malediction, feminine nahash), after (benediction, redemption, masculine, nahash ended).
C’est spirituel et non pas physique, le machia’h est né homme de chair et de sang.
Un premier puzzle concerne précisément la signification du nom , pour lequel plusieurs hypothèses ont été avancées . Selon certains, le nom serait tout simplement une contraction du nom de Mohammed , et découle des contacts secrets que les Templiers étaient au Moyen-Orient avec les maîtres arabes , pendant les croisades. D'autres considèrent qu'il corruption du mot abufihamet arabe , que les Maures d'Espagne prononcé bufihimat . Ce terme signifie «Père de la connaissance » ou « Père de la Sagesse " , et pourrait indiquer un principe surnaturel ou divin . Il n'est pas clair , cependant, ce qui pourrait différencier le Baphomet de tout autre principe divin . Ne manquez pas l'hypothèse encore plus fantaisiste : Certains voient l'anagramme de l'expression hébraïque « Tem - oph - ab » qui signifie , mot à mot , «double - oiseau - génération . " La " génération double oiseau » correspondrait à un symbole sexuel évident , semblable à l' linga et yoni du culte indien , dans ce cas, les Templiers auraient continué et renouvelé les anciens cultes phalliques de l'Est ? Il semble peu probable . D'autres tirent le mot de la racine grecque du mot baptiser , en interprétant le mot " Dieu qui baptise dans l' Esprit Saint . " Parmi les différentes hypothèses , l'un des plus accrocheur est celui formulé par le juge Hugh Schonfield , l'un des plus grands savants de la mer Morte . Dans son livre « Les Esséniens Odyssey " Schonfield décrit un système de chiffrement substitution de chiffrement appelé Code Atbash , déjà présent dans certains passages de la Bible et utilisé pour cacher les noms de certains textes Esséniens . Le code Atbash consiste à plier en deux les 22 lettres de l' alphabet Hebrew sorte que le premier est remplacé par 22 ° , la deuxième à partir de 21 ° à 11 ° , et ainsi de suite . Placer ce chiffre sur la base inférieure , les deux premières paires de substitutions sont aleph- beth et taw -shin , et ces quatre lettres , lire ci-dessous , forment le nom du chiffrement , atb- sh . Selon ce code , le nom de Baphomet devrait être divisé en ses cinq lettres du mot hébreu correspondant , qui devrait être remplacé par leurs correspondances dans le Atbash chiffre :
beth pe waw taw membre
B Ph O M M
pe yod vav tibia aleph
Sh O Ph A
De cette façon , Baphomet transcrit en Atbash de "Sophia" , le terme ésotérique qui indique la " sagesse" . ( De " L'angle d'Hermès du temple de jérusalem (beith hamikdach) »)
http://angolohermes.interfree.it/index.html
Sefer HaZohar (livre des splendeurs, cabale), interprétation d'Eliphas Levi sur le Baphomet:
Aux yeux du monde occidental, l'illustration d'Eliphas Levi de Baphomet est une représentation du chrétien diable, la source de tous les maux. L'illustration de l'occultiste français de son magnum opus Magie Transcendantale montre, une créature ailée de chèvre à tête, un pentagramme sur son front, entouré de symboles occultes-tout iconographie associée avec le diable. Une fourche et une queue de fer barbelé sont tout ce qui serait nécessaire pour compléter le stéréotype.
Cette association diabolique a été favorisée en partie par Arthur Edward Waite, qui a mal interprété l'illustration Baphomet quand il l'a utilisé comme un modèle pour la trompette diable de sa très populaire Rider-Waite Tarot. Devil atout de Waite remplace la figure du diable chrétien commun aux atouts antérieures avec une corruption de Baphomet de Levi, lui donner des ailes de chauve-souris, un visage renfrogné, et les jambes et les pieds bestiales. Waite traduit la Magie Transcendantale de Levi en anglais, mais n'était pas disposé à accepter l'interprétation de Levi de sa propre image Baphomet, comme indiqué dans son Key Pictorial au Tarot: "Avec plus de sa dérision habituelle pour les arts qu'il prétendait respecter et interpréter comme une maître y, Eliphas Lévi affirme que le chiffre Baphometic est la science occulte et magique ».
Devil atout de Waite associe Baphomet avec le diable chrétien, et il interprète la trompette pour signifier la violence, la force et le mal. Pourtant, si nous examinons ce que Lévi a écrit, nous constatons que Baphomet est un symbole complexe de la science occulte et de magie.
Discussion primaire de Lévi de Baphomet se trouve dans la haute magie, qui est divisé en deux parties, la doctrine et le rituel. Baphomet est connecté avec la trompette Diable au chapitre 15 du Rituel:
"Nous reportons une fois de plus à ce terrible nombre de quinze, symbolisé dans le Tarot par un monstre trônait sur un autel, mitre et cornu, ayant des seins d'une femme et les organes génitaux d'un homme - une chimère, un sphinx malformé, une synthèse des déformations. En dessous de ce chiffre, nous lisons une inscription franche et simple - LE DIABLE. Oui, nous sommes confrontés ici ce fantôme de toutes les terreurs, le dragon des tous theogenies, l'Ahriman des Perses, le Typhon des Egyptiens, le Python des Grecs, le serpent ancien des Hébreux, le monstre fantastique, le cauchemar, le Croquemitaine, la gargouille, la grande bête du Moyen Age, et - pire que tout cela - le Baphomet des Templiers, l'idole barbue de l'alchimiste, la divinité obscène de Mendes, le bouc du sabbat. Le frontispice de ce «rituel» reproduit le chiffre exact de l'empereur terrible de la nuit, avec tous ses attributs et tous ses personnages ".
Description initiale de Lévi de Baphomet dans le cadre de la trompette diable est sombre et sinistre, la comparant à la satanique et représentations diaboliques de nombreuses religions. Cependant, Lévi clarifie son interprétation plus tard dans le chapitre 15:
"Oui, dans notre conviction profonde, les Grands Maîtres de l'Ordre des Templiers adoraient le Baphomet, et a causé d'être adoré par les initiés; oui, il existait dans le passé, et il peut y avoir encore dans le présent, les assemblées qui sont présidées par ce chiffre, assis sur un trône et ayant une torche enflammée entre les cornes. Mais les adorateurs de ce signe ne considèrent pas, comme nous, que c'est une représentation du diable; au contraire, pour eux, c'est celui du dieu Pan, le dieu de nos écoles modernes de philosophie, le dieu de l'école théurgique d'Alexandrie et de nos propres néoplatoniciens mystiques, le dieu de Lamartine et Victor Cousin, le dieu de Spinoza et Platon, le dieu des écoles gnostiques primitifs; le Christ aussi du sacerdoce dissident ». [4]
Baphomet est un dieu des anciennes religions et écoles de pensée qui étaient actifs avant la pleine avènement du christianisme, et non une représentation du diable.
Lévi donne la justification de l'apparence monstrueuse de Baphomet dans le Livre des Splendeurs:
"[Baphomet] est une connaissance croissante dans l'opposition à l'idolâtrie, pour protester contre si la monstruosité même de l'idole.
Les Israélites ont été interdits de donner concepts divins la figure d'un homme ou d'un animal; ainsi, sur l'arche de l'alliance et dans le sanctuaire, ils ont osé sculpter seulement chérubins, c'est-à-sphinx avec les organismes de taureaux et les têtes des hommes, des aigles ou des lions.
Ces chiffres mitigés reproduites ni la forme complète d'un homme, ni celle d'un animal.
Ces créations hybrides d'animaux impossibles donné de comprendre que l'image n'était pas une idole ou reproduction d'un être vivant, mais plutôt un personnage ou représentation de quelque chose ayant son existence dans la pensée.
Baphomet n'est pas adoré; c'est Dieu qui est adoré, ce sans visage de Dieu derrière cette forme sans forme, cette image qui ne ressemble à aucun être créé.
Baphomet n'est pas un Dieu; Il est le signe de l'initiation ». [5]
Baphomet n'est pas un dieu, diable, ou un être vivant; il est le signe ou le symbole de l'initiation. Mais ce savoir ne ce symbole de l'initiation communiquer à nous? Dans l'introduction à la doctrine en la Magie Transcendantale, Lévi identifie Baphomet avec une force qu'il appelle l'agent universel:
«Il existe dans la nature une force qui est infiniment plus puissante que la vapeur, et un seul homme, qui est capable de s'adapter et de diriger, pourrait ainsi changer la face du monde entier. Cette force a été connue des anciens; il consiste en un équilibre ayant Agent universel pour sa loi suprême, tandis que sa direction est préoccupée immédiatement avec le Grand Arcane de la Magie Transcendantale. ... Cet agent ... C'est précisément ce que les adeptes du Moyen Age libellés la matière première du Grand Œuvre. Les gnostiques représentés comme le corps de feu du Saint-Esprit; il a fait l'objet de l'adoration dans les rites secrets du sabbat et le Temple, sous la figure hiéroglyphique de Baphomet ou l'Androgyne de Mendes ". [6]
Baphomet est une représentation de l'agent universel, qui est plus communément connu dans la Magie Transcendantale comme la lumière astrale. Cette connexion est retraité plus tard dans le texte:
"Dans ce lieu nous affirmons sans détour que le grand agent magique - le double courant de lumière, la vie et astral feu de la terre - a été représenté par le serpent à tête de bœuf, de chèvre ou de chien, dans l'ancienne theogenies. C'est le double serpent du caducée, le serpent ancien de la Genèse, mais il est aussi le serpent d'airain de Moïse, retors de la TAU, c'est, le lingam de production. Il est, en outre, la chèvre du sabbat et le Baphomet des Templiers ». [7]
Baphomet est une représentation de la lumière astrale, le milieu de toute la magie et le pouvoir gagner plus c'est le but du Grand Œuvre:
"Le Grand Œuvre est, avant toutes choses, la création de l'homme par lui-même, c'est-à-dire, la conquête pleine et entière de ses facultés et de son avenir; c'est surtout l'émancipation parfaite de sa volonté, lui assurant ... A pleine puissance, l'agent magique universelle ». [8]
La connexion symbolique entre la lumière astrale et Baphomet peut être trouvée dans la description de Lévi de son image Baphomet dans le chapitre 15 de rituel:
"La chèvre qui est représenté dans notre frontispice porte sur son front le signe de la Pentagram avec un point dans l'ascendant, ce qui est suffisant pour le distinguer comme un symbole de la lumière. En outre, le signe de l'occultisme est faite avec les deux mains, pointant vers le haut à la lune blanche de CHESED, et vers le bas à la lune noire de Geburah. Ce signe exprime l'accord parfait entre la miséricorde et de la justice. L'un des bras est féminin et l'autre masculin, comme dans l'androgyne de Khunrath, dont les attributs que nous avons combiné avec ceux de notre chèvre, car ils sont un seul et même symbole. Le flambeau de l'intelligence brûlant entre les cornes est la lumière magique de l'équilibre universel; il est également un type de l'âme exaltée dessus de la matière, même si le clivage à la matière, comme les coupe-flammes à la torche. ... Le caducée, qui remplace l'organe générateur, représente la vie éternelle; le ventre de l'échelle couverte caractérise eau; le cercle au-dessus c'est l'atmosphère, les plumes encore plus haut signifient le volatile; enfin, l'humanité est représentée par les deux seins et les bras androgynes de ce sphinx des sciences occultes. ... La crainte Baphomet désormais, comme tous les monstrueuses idoles, des énigmes de la science antique et de ses rêves, n'est qu'un hiéroglyphe innocent et même pieux ». [9]
Un examen attentif de cette description détaillée de Baphomet en lumière d'autres expositions de Lévi sur la lumière astrale révèle beaucoup sur le lien entre les deux. Le signe de la Pentagram sur le front de Baphomet est un symbole de la lumière astrale: ". L'empire de la volonté sur la lumière astrale, qui est l'âme physique des quatre éléments, est représenté dans le Magic par le Pentagram" [10]
Dans le chapitre 5 de la doctrine, Lévi précisions sur la nature du pentagramme:
"Le Pentagram signifie la domination de l'esprit sur les éléments, et les démons de l'air, les esprits du feu, les fantômes de l'eau et les fantômes de la terre sont enchaînés par ce signe. Equipé avec celui-ci, et convenablement disposé, vous pouvez voir l'infini par l'intermédiaire de cette faculté qui est comme l'œil de l'âme, et vous être servi par des légions d'anges et de démons hôtes de ". [11]
L '«œil de l'âme» est le chakra ajna ou troisième œil, qui vous permet de voir et d'interagir avec les esprits invisibles (anges et démons) de la lumière astrale; ainsi le pentagramme est placé sur le troisième œil de Baphomet. De même, le flambeau de l'intelligence brûlant au-dessus du pentagramme correspond au chakra de la couronne, la connexion entre le microcosme et le macrocosme décrit ci-dessus comme «l'âme exaltée dessus de la matière, même si le clivage à la matière, comme les coupe-flammes à la torche."
La dualité exprimée par le sephiroth Chesed (miséricorde) et Guebourah (justice), les lunes noires et blanches, et les armes masculines et féminines sont tout simplement des réflexions de la double nature de la lumière astrale:
"Maintenant, les anciens, observant que l'équilibre est la loi universelle de la physique, et est la suite de l'apparente opposition de deux forces, a fait valoir de physique à l'équilibre métaphysique, et soutient que en Dieu, c'est dans le premier ensemble de logements et cause active, il faut reconnaître deux propriétés qui sont nécessaires pour l'autre-stabilité et le mouvement, la nécessité et de la liberté, l'ordre rationnel et de l'autonomie volontaire, de la justice et de l'amour, d'où aussi la gravité et de la miséricorde. Et ces deux attributs étaient personnifiées, pour ainsi dire, par les Juifs kabbalistiques sous les noms de Guebourah et CHESED ". [12]
La double nature de la lumière astrale se reflète également dans la formule alchimique "Solve et Coagula:"
"Le Grand Agent Magique, nous appelle la lumière astrale, ... cette force occulte, unique et indubitable, est la clé de tout l'empire, le secret de toute puissance. ... Pour en savoir comment faire usage de cet agent est d'être le fiduciaire de sa propre puissance de Dieu; tous les biens, Magic efficace, toute force occulte est là, et sa démonstration est la seule fin de tous les livres authentiques de la science. Pour avoir le contrôle sur le Grand Agent magique il ya deux opérations nécessaires -. Concentrer et projet, ou, en d'autres termes, de fixer et de se déplacer »[13]
Ces deux opérations sont représentés par les mots écrits sur les bras de Baphomet: SOLVE, de dissoudre, de projet, de se déplacer; et des caillots, à coaguler, à se concentrer, à fixer.
Le caducée est un autre symbole de la double nature de la lumière astrale:
"Ceux d'entre vous qui ont lu mes livres savent ce que les deux serpents du caducée signifient. Ils sont les deux courants opposés de la magnétisme universel. Le serpent de lumière créatrice et la préservation et le serpent de feu éternel qui dévore afin de régénérer ». [14]
Le Caducée remplace l'organe générateur dans l'image Baphomet, car il est à la fois masculin et féminin, préservant ainsi l'androgynie de Baphomet, et que l'organe générateur représente la vie éternelle. Le caducée est un symbole de l'équilibre magique de la matière, comme la torche représente l'équilibre universel de la "lumière magique" ou l'esprit
Comme nous l'avons vu, l'image de Levi de Baphomet n'est pas une représentation du diable chrétien, mais un symbole de la lumière astrale, le double courant de la force occulte derrière tout travail magique. Cette force peut être utilisée pour deux extrémités bons ou mauvais, mais n'est ni bon ni mauvais en soi. Peut-être que si M. Waite avait compris ce point important, il n'aurait pas diabolisé l'image Baphomet dans le Rider-Waite Tarot.
notes:
1. Waite, Arthur Edward. La clé Pictorial pour le Tarot, la page 131.
2 Les chapitres de la Magie Transcendantale correspondent aux atouts de tarot, et quinze est le nombre de "The Devil".
3. Levi, Eliphas. Transcendantale Magick, la page 307.
4. TM, pages 307-308.
5. Levi, Eliphas. Le Livre des Splendeurs, la page 118.
6. TM, page 12.
7. TM, la page 242.
TM 8, page 113.
9. TM, pages 308-310.
10 TM, la page 67.
11 TM, la page 63
TM 12, pages 95-96.
13 TM, la page 104.
14 Levi, Eliphas. Le grand secret, à la page 185.
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