Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
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Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 08 sept.14, 02:03Ebola : l'OMS autorise des thérapies risquées à base de sang
Mots clés : Ebola, Virus Ebola, Fièvre Ebola, Sérums, Sérums de convalescence
Par figaro iconSoline Roy - le 05/09/2014
Après avoir réuni 200 experts pendant deux jours, l'OMS a décidé d'autoriser «dès maintenant» les thérapies à base de sang et de sérums dans les pays contaminés. Focus sur les «sérums de convalescence»
Feu vert pour les sérums de convalescents. Les experts réunis par l'OMS à Genève se sont prononcés en faveur de l'utilisation, à titre expérimental, des traitements dérivés du sang et des sérums pour lutter contre Ebola. «Nous sommes parvenus à un consensus», a déclaré aux médias Marie-Paule Kieny, assistante au directeur général de l'OMS, à l'issue d'une réunion de deux jours à Genève avec près de 200 experts. Les sérums pourront donc être utilisés «dès maintenant» dans les pays touchés par la fièvre hémorragique, qui a tué 2097 personnes selon le dernier bilan de l'OMS.
L'idée est de récupérer du sang chez des personnes (ou des animaux) affectés par une maladie, qui ont réussi à en guérir. Car en luttant contre l'affection, leur organisme a nécessairement produit des anticorps, et ceux-ci pourront aider à lutter contre les virus affectant le malade transfusé. Pour obtenir ce sérum, un liquide sanguin riche en anticorps mais dépourvu des cellules et des protéines de la coagulation, on centrifuge du sang frais sans y ajouter d'anticoagulant. Par extension, les médicaments comme le ZMapp sont également appelés sérums, mais ils relèvent en fait davantage du génie biologique: pour fabriquer le ZMapp, des anticorps issus du sérum de souris sont clonés, puis on les fait se multiplier grâce à une plante de tabac transformée.
Utilisé pour un britannique en 1976
Contre Ebola, la technique avait été utilisée dès 1976, lors de la première épidémie due à ce virus au Zaïre (depuis devenu RDC) et au Soudan. Le 5 novembre, un chercheur du Microbiololgy Research Establishment, en Angleterre, s'était accidentellement contaminé en manipulant un prélèvement fait sur un malade d'Ebola. Immédiatement placé sous surveillance et transféré dans un hôpital londonien, il avait reçu à deux reprises un sérum de convalescence prélevé sur des convalescents à Kinshasa.
Le chercheur britannique avait finalement guéri, mais impossible, avec un seul cas, de savoir si cela était du au sérum ou non. Ses médecins avaient cependant constaté que, si son état ne s'améliorait pas immédiatement après injection du sérum, en revanche les analyses réalisées montraient une chute immédiate du niveau de virus circulant dans son sang.
Dangers des sérums
La sérothérapie aurait été inventée par Charles Robert Richet; en 1888, il injecte à des lapins le sérum prélevé sur des chiens contaminés avec des staphylocoques. Deux ans plus tard, il mène à Paris une première expérience sur l'homme en injectant du sérum à un tuberculeux. En 1894, c'est un disciple de Pasteur, le Dr Émile Roux, qui soigne des malades touchés par la diphtérie grâce au sérum de chevaux vaccinés par l'injection de toxine diphtérique.
Outre que leur efficacité n'ait pas été formellement prouvée, les sérums ne sont pas dénués de dangers. Les sérums animaux peuvent provoquer de graves réactions, notamment allergiques ou immunologiques. Quant à ceux obtenus sur des convalescents, ils sont susceptibles de contenir du virus encore vivants; il faut donc, avant toute injection, s'assurer que plus aucun pathogène vivant ne circule dans le sang du donneur.
Par ailleurs, outre l'utilisation possible des sérums, «deux vaccins prometteurs ont été identifiés et des études sur leur sécurité sont en cours» ou vont bientôt démarrer aux États-Unis et en Europe, et leur sécurité devrait être connue en novembre, a jouté la représentante de l'OMS. Après les tests en cours et à venir, «si le vaccin semble sûr, il pourrait être disponible en novembre pour une utilisation prioritaire sur les travailleurs de la santé», indique l'OMS. Les tests de sécurité de tous ces traitements et vaccins se feront sur la base du volontariat, et des «groupes à risque», notamment les soignants, seront identifiés pour être traités en priorité.
Le Figaro.
Mots clés : Ebola, Virus Ebola, Fièvre Ebola, Sérums, Sérums de convalescence
Par figaro iconSoline Roy - le 05/09/2014
Après avoir réuni 200 experts pendant deux jours, l'OMS a décidé d'autoriser «dès maintenant» les thérapies à base de sang et de sérums dans les pays contaminés. Focus sur les «sérums de convalescence»
Feu vert pour les sérums de convalescents. Les experts réunis par l'OMS à Genève se sont prononcés en faveur de l'utilisation, à titre expérimental, des traitements dérivés du sang et des sérums pour lutter contre Ebola. «Nous sommes parvenus à un consensus», a déclaré aux médias Marie-Paule Kieny, assistante au directeur général de l'OMS, à l'issue d'une réunion de deux jours à Genève avec près de 200 experts. Les sérums pourront donc être utilisés «dès maintenant» dans les pays touchés par la fièvre hémorragique, qui a tué 2097 personnes selon le dernier bilan de l'OMS.
L'idée est de récupérer du sang chez des personnes (ou des animaux) affectés par une maladie, qui ont réussi à en guérir. Car en luttant contre l'affection, leur organisme a nécessairement produit des anticorps, et ceux-ci pourront aider à lutter contre les virus affectant le malade transfusé. Pour obtenir ce sérum, un liquide sanguin riche en anticorps mais dépourvu des cellules et des protéines de la coagulation, on centrifuge du sang frais sans y ajouter d'anticoagulant. Par extension, les médicaments comme le ZMapp sont également appelés sérums, mais ils relèvent en fait davantage du génie biologique: pour fabriquer le ZMapp, des anticorps issus du sérum de souris sont clonés, puis on les fait se multiplier grâce à une plante de tabac transformée.
Utilisé pour un britannique en 1976
Contre Ebola, la technique avait été utilisée dès 1976, lors de la première épidémie due à ce virus au Zaïre (depuis devenu RDC) et au Soudan. Le 5 novembre, un chercheur du Microbiololgy Research Establishment, en Angleterre, s'était accidentellement contaminé en manipulant un prélèvement fait sur un malade d'Ebola. Immédiatement placé sous surveillance et transféré dans un hôpital londonien, il avait reçu à deux reprises un sérum de convalescence prélevé sur des convalescents à Kinshasa.
Le chercheur britannique avait finalement guéri, mais impossible, avec un seul cas, de savoir si cela était du au sérum ou non. Ses médecins avaient cependant constaté que, si son état ne s'améliorait pas immédiatement après injection du sérum, en revanche les analyses réalisées montraient une chute immédiate du niveau de virus circulant dans son sang.
Dangers des sérums
La sérothérapie aurait été inventée par Charles Robert Richet; en 1888, il injecte à des lapins le sérum prélevé sur des chiens contaminés avec des staphylocoques. Deux ans plus tard, il mène à Paris une première expérience sur l'homme en injectant du sérum à un tuberculeux. En 1894, c'est un disciple de Pasteur, le Dr Émile Roux, qui soigne des malades touchés par la diphtérie grâce au sérum de chevaux vaccinés par l'injection de toxine diphtérique.
Outre que leur efficacité n'ait pas été formellement prouvée, les sérums ne sont pas dénués de dangers. Les sérums animaux peuvent provoquer de graves réactions, notamment allergiques ou immunologiques. Quant à ceux obtenus sur des convalescents, ils sont susceptibles de contenir du virus encore vivants; il faut donc, avant toute injection, s'assurer que plus aucun pathogène vivant ne circule dans le sang du donneur.
Par ailleurs, outre l'utilisation possible des sérums, «deux vaccins prometteurs ont été identifiés et des études sur leur sécurité sont en cours» ou vont bientôt démarrer aux États-Unis et en Europe, et leur sécurité devrait être connue en novembre, a jouté la représentante de l'OMS. Après les tests en cours et à venir, «si le vaccin semble sûr, il pourrait être disponible en novembre pour une utilisation prioritaire sur les travailleurs de la santé», indique l'OMS. Les tests de sécurité de tous ces traitements et vaccins se feront sur la base du volontariat, et des «groupes à risque», notamment les soignants, seront identifiés pour être traités en priorité.
Le Figaro.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 01:21Ebola : à Monrovia avec les ramasseurs de corps
REPORTAGE. C'est sur les cadavres que le virus est le plus contagieux. Six équipes, exposées à un risque maximum, sillonnent la capitale du Liberia pour les enlever.
Abraham a sept ans, il sanglote en hoquetant, accroché à sa tante. Dans ses bras, il tient sa petite soeur, Béatrice, 9 mois, effrayée, dont le nez coule sur son tee-shirt. Katiatu Pallah, sa tante, lui lâche la main. Et s'en va. Un large cercle se forme autour des deux enfants, composé de voisins silencieux et de pleureuses qui hululent. Abraham est hébété, mais quand enfin il se décide à bouger, tout le monde recule. Sa mère est morte, fauchée par Ebola. Deux cosmonautes dont il ne voit pas les yeux viennent de déposer son corps, enveloppé dans un grand sac noir, à l'arrière d'un pick-up. Nous sommes à Banjor, un ancien camp de réfugiés sierra-léonais. Et c'est très exactement la vingt et unième fois que l'équipe de ramassage des corps intervient dans cette partie du bidonville, une quarantaine de maisons. "Certaines ont été entièrement vidées. Comme celle-là, juste derrière, montre Friday Kiyee. Sept personnes d'une même famille..."
Friday est le chef de l'équipe numéro un, l'une des six coordonnées par la Croix-Rouge libérienne, depuis mars, lors de la première vague de l'épidémie. Par opportunisme, peut-être : il travaillait dans une morgue qui a fermé. Tous les morts, aujourd'hui, sont traités comme des victimes d'Ebola, pour éviter toute contagion. Et la paie est intéressante : 1 000 dollars par mois, une fortune au Liberia, même si l'équipe n'est pas nourrie. Mais il n'y a pas que ça. "Il faut bien que quelqu'un s'en charge, je veux aider mon pays", assure-t-il. Étant donné les conditions de travail de ces héros en scaphandre, on est bien obligé de le croire. "Ça ne nous fait pas vraiment plaisir, de faire ça", raconte Elijah Nimely, ancien étudiant en management de 26 ans et membre de son équipe. "Parfois, on trouve le corps dans une mare de vomi, de sang ou de diarrhée." Il se souvient d'une journée où il a enlevé dix-sept corps. Des cas difficiles, ils en voient tous les jours, mais celui-là les remue.
Preuves morbides
Bendu Pallah est morte en laissant deux orphelins : son mari s'est enfui quand elle est tombée malade. Qui va s'occuper d'Abraham et de Béatrice ? "Pas moi ! J'ai peur, peut-être qu'ils ont attrapé Ebola aussi, proteste Katiatu en pleurs. Qu'on me prouve qu'ils ne l'ont pas, sinon je ne les prends pas." Il y a peu de chance qu'on lui fournisse un certificat : ces enfants n'ont aucune raison d'être amenés au centre de prise en charge de MSF, ils ne sont pas malades. Pas encore. Abraham s'est occupé de sa mère dans ses derniers jours, et à part un mort d'Ebola, il n'y a rien de plus contagieux qu'un malade en phase terminale... "Ces enfants vont probablement mourir de faim", redoute Friday Kiyee.
La peur et le déni sont des réactions que les équipes de fossoyeurs rencontrent tous les jours, de même que l'exaspération due à l'attente : certains ont parfois appelé la hotline 48 heures auparavant, pour qu'on vienne enlever le corps. Dans les débuts, la population leur jetait des pierres, les équipes sont désormais accompagnées par la police, qui se tient à une distance prudente. "Tant que vous ne nous fournirez pas une preuve qu'il est mort d'Ebola, nous ne vous croirons pas", hurle Lionel Depaul, 30 ans, alors qu'on enlève un de ses amis dans le bidonville de Thinker Village. "Pour moi, il avait une pneumonie", soutient-il. La tension monte, un groupe s'en prend à l'équipe, qui repart. Les tests, ce n'est pas son boulot. C'est celui de l'équipe de prise en charge des cas, qui est censée intervenir avant. Exceptionnellement, elle est venue et a procédé à un prélèvement. Mais il est rarissime qu'elle ait le temps de revenir informer le voisinage. Qui préfère considérer que le défunt est mort de tout, sauf d'Ebola.
"Vos cagoules !"
Car la maladie avance avec son cortège de stigmatisations, qui touchent aussi les fossoyeurs. "Dans mon église, tout le monde m'a interdit d'aller à la messe, ils ne veulent plus que j'approche", témoigne Ebenezer Murbah, membre de l'équipe numéro un. L'entourage craint qu'ils ne transportent le virus meurtrier, même s'ils prennent toutes les précautions. Lorsqu'ils arrivent dans une maison, ils commencent par pulvériser du chlore sur les lieux, puis sur le corps, avant de l'envelopper dans un sac, lui-même aspergé, puis dans un autre, aspergé à nouveau. Ils pulvérisent ensuite les voitures qui ont pu le toucher, puis le sac qui contient les effets personnels du mort, et enfin leur propre équipement, avant de l'ôter avec soin. Pour chaque cas (une équipe en traite environ six par jour), ils changent de "PPE", le "Personal Protective Equipment", avec son masque, son tablier, ses gants, sa capuche, ses lunettes.
Ces mesures permettent de limiter les risques et de rassurer les équipes, mais leur application ne tient qu'à un fil. Au siège de la Croix-Rouge libérienne, dans le centre de Monrovia, le secrétaire général Fayiah Tamba se désespère, écrasé par les problèmes de logistique : "Le matériel de sécurité est crucial, or les lignes aériennes ferment et il arrive en retard. Nous recevons parfois les bottes, parfois les gants, et pas assez... Car nous ne sommes pas les seuls à avoir besoin de PPE, MSF en consomme énormément." Le soir, ce précieux matériel dont dépend la survie du pays est balancé dans l'incinérateur du crématorium de Marshal, hors de Monrovia. C'est ici que les fossoyeurs terminent leur journée, dans une fumée âcre, et que les morts d'Ebola sont incinérés. "La nappe phréatique est à un mètre de profondeur, on ne peut pas se permettre de les enterrer et de contaminer l'eau", explique Jean-François, architecte chez MSF. Cela fait quinze ans qu'il aligne les missions pour l'ONG, mais c'est la première fois qu'il doit construire des crématoriums. Avec la recrudescence des cas, celui qui existait, pour la communauté hindoue, est devenu totalement insuffisant.
Stephen Rowden, responsable de l'eau et de l'assainissement pour MSF, est ici aussi, tous les soirs, pour superviser le retour de l'équipe du centre d'ELWA III, qui a ramené onze corps. Le chiffre le plus bas de la semaine. "Pendant la journée, sur le terrain, ils sont extrêmement méticuleux, et ici, ils se relâchent", soupire-t-il avant de s'interrompre : "Vos cagoules ! Vous avez de la peau à découvert sur le visage, mettez-les !" Certains suggèrent de passer sur ce détail, "pour cette fois", Stephen est inflexible : "Il suffit qu'il y ait du fluide corporel sur l'un des sacs, qu'il y ait une projection, il suffit de n'importe quoi pour être contaminé !" Du côté de la Croix-Rouge libérienne, on est plus détendu, le matériel est enlevé avec une insouciance qui fait trembler Stephen Rowden. Une équipe était en congé, les cinq autres ont ramené vingt-huit corps. Pour ces trente-neuf personnes, en tout, ramassées à Monrovia, combien attendent encore, dans le recoin d'une maison infectée ? Pour Friday Kiyee, la journée de travail est finie. Il blague avec les collègues et rentre chez lui, avant la tournée de demain. Il n'est malheureusement pas près d'être au chômage.
http://afrique.lepoint.fr/actualites/eb ... tor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20140911
REPORTAGE. C'est sur les cadavres que le virus est le plus contagieux. Six équipes, exposées à un risque maximum, sillonnent la capitale du Liberia pour les enlever.
Abraham a sept ans, il sanglote en hoquetant, accroché à sa tante. Dans ses bras, il tient sa petite soeur, Béatrice, 9 mois, effrayée, dont le nez coule sur son tee-shirt. Katiatu Pallah, sa tante, lui lâche la main. Et s'en va. Un large cercle se forme autour des deux enfants, composé de voisins silencieux et de pleureuses qui hululent. Abraham est hébété, mais quand enfin il se décide à bouger, tout le monde recule. Sa mère est morte, fauchée par Ebola. Deux cosmonautes dont il ne voit pas les yeux viennent de déposer son corps, enveloppé dans un grand sac noir, à l'arrière d'un pick-up. Nous sommes à Banjor, un ancien camp de réfugiés sierra-léonais. Et c'est très exactement la vingt et unième fois que l'équipe de ramassage des corps intervient dans cette partie du bidonville, une quarantaine de maisons. "Certaines ont été entièrement vidées. Comme celle-là, juste derrière, montre Friday Kiyee. Sept personnes d'une même famille..."
Friday est le chef de l'équipe numéro un, l'une des six coordonnées par la Croix-Rouge libérienne, depuis mars, lors de la première vague de l'épidémie. Par opportunisme, peut-être : il travaillait dans une morgue qui a fermé. Tous les morts, aujourd'hui, sont traités comme des victimes d'Ebola, pour éviter toute contagion. Et la paie est intéressante : 1 000 dollars par mois, une fortune au Liberia, même si l'équipe n'est pas nourrie. Mais il n'y a pas que ça. "Il faut bien que quelqu'un s'en charge, je veux aider mon pays", assure-t-il. Étant donné les conditions de travail de ces héros en scaphandre, on est bien obligé de le croire. "Ça ne nous fait pas vraiment plaisir, de faire ça", raconte Elijah Nimely, ancien étudiant en management de 26 ans et membre de son équipe. "Parfois, on trouve le corps dans une mare de vomi, de sang ou de diarrhée." Il se souvient d'une journée où il a enlevé dix-sept corps. Des cas difficiles, ils en voient tous les jours, mais celui-là les remue.
Preuves morbides
Bendu Pallah est morte en laissant deux orphelins : son mari s'est enfui quand elle est tombée malade. Qui va s'occuper d'Abraham et de Béatrice ? "Pas moi ! J'ai peur, peut-être qu'ils ont attrapé Ebola aussi, proteste Katiatu en pleurs. Qu'on me prouve qu'ils ne l'ont pas, sinon je ne les prends pas." Il y a peu de chance qu'on lui fournisse un certificat : ces enfants n'ont aucune raison d'être amenés au centre de prise en charge de MSF, ils ne sont pas malades. Pas encore. Abraham s'est occupé de sa mère dans ses derniers jours, et à part un mort d'Ebola, il n'y a rien de plus contagieux qu'un malade en phase terminale... "Ces enfants vont probablement mourir de faim", redoute Friday Kiyee.
La peur et le déni sont des réactions que les équipes de fossoyeurs rencontrent tous les jours, de même que l'exaspération due à l'attente : certains ont parfois appelé la hotline 48 heures auparavant, pour qu'on vienne enlever le corps. Dans les débuts, la population leur jetait des pierres, les équipes sont désormais accompagnées par la police, qui se tient à une distance prudente. "Tant que vous ne nous fournirez pas une preuve qu'il est mort d'Ebola, nous ne vous croirons pas", hurle Lionel Depaul, 30 ans, alors qu'on enlève un de ses amis dans le bidonville de Thinker Village. "Pour moi, il avait une pneumonie", soutient-il. La tension monte, un groupe s'en prend à l'équipe, qui repart. Les tests, ce n'est pas son boulot. C'est celui de l'équipe de prise en charge des cas, qui est censée intervenir avant. Exceptionnellement, elle est venue et a procédé à un prélèvement. Mais il est rarissime qu'elle ait le temps de revenir informer le voisinage. Qui préfère considérer que le défunt est mort de tout, sauf d'Ebola.
"Vos cagoules !"
Car la maladie avance avec son cortège de stigmatisations, qui touchent aussi les fossoyeurs. "Dans mon église, tout le monde m'a interdit d'aller à la messe, ils ne veulent plus que j'approche", témoigne Ebenezer Murbah, membre de l'équipe numéro un. L'entourage craint qu'ils ne transportent le virus meurtrier, même s'ils prennent toutes les précautions. Lorsqu'ils arrivent dans une maison, ils commencent par pulvériser du chlore sur les lieux, puis sur le corps, avant de l'envelopper dans un sac, lui-même aspergé, puis dans un autre, aspergé à nouveau. Ils pulvérisent ensuite les voitures qui ont pu le toucher, puis le sac qui contient les effets personnels du mort, et enfin leur propre équipement, avant de l'ôter avec soin. Pour chaque cas (une équipe en traite environ six par jour), ils changent de "PPE", le "Personal Protective Equipment", avec son masque, son tablier, ses gants, sa capuche, ses lunettes.
Ces mesures permettent de limiter les risques et de rassurer les équipes, mais leur application ne tient qu'à un fil. Au siège de la Croix-Rouge libérienne, dans le centre de Monrovia, le secrétaire général Fayiah Tamba se désespère, écrasé par les problèmes de logistique : "Le matériel de sécurité est crucial, or les lignes aériennes ferment et il arrive en retard. Nous recevons parfois les bottes, parfois les gants, et pas assez... Car nous ne sommes pas les seuls à avoir besoin de PPE, MSF en consomme énormément." Le soir, ce précieux matériel dont dépend la survie du pays est balancé dans l'incinérateur du crématorium de Marshal, hors de Monrovia. C'est ici que les fossoyeurs terminent leur journée, dans une fumée âcre, et que les morts d'Ebola sont incinérés. "La nappe phréatique est à un mètre de profondeur, on ne peut pas se permettre de les enterrer et de contaminer l'eau", explique Jean-François, architecte chez MSF. Cela fait quinze ans qu'il aligne les missions pour l'ONG, mais c'est la première fois qu'il doit construire des crématoriums. Avec la recrudescence des cas, celui qui existait, pour la communauté hindoue, est devenu totalement insuffisant.
Stephen Rowden, responsable de l'eau et de l'assainissement pour MSF, est ici aussi, tous les soirs, pour superviser le retour de l'équipe du centre d'ELWA III, qui a ramené onze corps. Le chiffre le plus bas de la semaine. "Pendant la journée, sur le terrain, ils sont extrêmement méticuleux, et ici, ils se relâchent", soupire-t-il avant de s'interrompre : "Vos cagoules ! Vous avez de la peau à découvert sur le visage, mettez-les !" Certains suggèrent de passer sur ce détail, "pour cette fois", Stephen est inflexible : "Il suffit qu'il y ait du fluide corporel sur l'un des sacs, qu'il y ait une projection, il suffit de n'importe quoi pour être contaminé !" Du côté de la Croix-Rouge libérienne, on est plus détendu, le matériel est enlevé avec une insouciance qui fait trembler Stephen Rowden. Une équipe était en congé, les cinq autres ont ramené vingt-huit corps. Pour ces trente-neuf personnes, en tout, ramassées à Monrovia, combien attendent encore, dans le recoin d'une maison infectée ? Pour Friday Kiyee, la journée de travail est finie. Il blague avec les collègues et rentre chez lui, avant la tournée de demain. Il n'est malheureusement pas près d'être au chômage.
http://afrique.lepoint.fr/actualites/eb ... tor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20140911
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 01:40Ne dit-on pas que les virus aviaires sont des virus de poule et que le sida est aussi issu
d’un virus de souche animale ?
Grippe espagnol & Sida !!
ILs n'apprennent pas !!
1 Corinthiens; 15:37-40 ; mais Dieu lui donne un corps comme il l’a voulu, et à chacune des semences son propre corps. Toute chair n’est pas la même chair ; mais autre est celle des humains, autre la chair du bétail, autre la chair des oiseaux, autre celle des poissons. Et il y a des corps célestes et des corps terrestres ; mais autre est la gloire des corps célestes, autre celle des corps terrestres
Ces vaccins étant produits sur des viandes animales injectés à des humains, ne constituerait-il pas un geste contre nature devant le Créateur ?
Des vaccins cultivés sur des viandes animales inoculés à des humains ?
Naturel! Direz-vous ?
La viande de singe est commercialisée et exportée dans de nombreux laboratoires pour la fabrication de vaccins!
Les chercheurs auraient-ils trouvé en eux un lien de parenté
En dépit des 100,000,000 morts prématurés en perspective, ils persistent a vendre du sang et des vaccins assaisonnés de virus morts et parfois vivants !
Sans parler de la Somadide qui dépasse leur ima -gination !
Arrêter; serait se reconnaître coupable; quel piège !
d’un virus de souche animale ?
Grippe espagnol & Sida !!
ILs n'apprennent pas !!
1 Corinthiens; 15:37-40 ; mais Dieu lui donne un corps comme il l’a voulu, et à chacune des semences son propre corps. Toute chair n’est pas la même chair ; mais autre est celle des humains, autre la chair du bétail, autre la chair des oiseaux, autre celle des poissons. Et il y a des corps célestes et des corps terrestres ; mais autre est la gloire des corps célestes, autre celle des corps terrestres
Ces vaccins étant produits sur des viandes animales injectés à des humains, ne constituerait-il pas un geste contre nature devant le Créateur ?
Des vaccins cultivés sur des viandes animales inoculés à des humains ?
Naturel! Direz-vous ?
La viande de singe est commercialisée et exportée dans de nombreux laboratoires pour la fabrication de vaccins!
Les chercheurs auraient-ils trouvé en eux un lien de parenté
En dépit des 100,000,000 morts prématurés en perspective, ils persistent a vendre du sang et des vaccins assaisonnés de virus morts et parfois vivants !
Sans parler de la Somadide qui dépasse leur ima -gination !
Arrêter; serait se reconnaître coupable; quel piège !
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 01:46D’où viennent ces nouveaux virus ?
(Rapports int); Exemple; Int; Malburg; Le risque biologiste; Manipulation de singes au laboratoire…1967;…à Maburg (Allemagne) 25 personnes travaillant sur des cultures de reins de singe tombèrent malades, 7 décédèrent.
Francfort et en Yougoslavie, encore dans des laboratoires où ils avaient reçu des singes de l’Ouganda. On dit que les singes moururent aussi de la maladie, mais les recherches faites en Afrique de l’Est n’ont pas permis de découvrir le réservoir du virus. Ce qui dit; Le réservoir du virus de l’éboula reste inconnu!
---------------------------------------------------
S’ils ne l’ont pas trouvé chez les singes d’Afrique, c’est donc qu’il venait du labo -ratoire !
Les singes d’Afrique ne l’avaient pas !
Le réservoir du virus reste donc inconnu! Joke! Si les singes dans le laboratoire en moururent, c’est donc qu’ils les avaient contaminés avec des virus faits en laboratoire! Concernant les études sur le virus de l’éboula; Plusieurs chercheurs furent contaminés où? Dans les laboratoires! Mystère!
Pasteur; leur idole nous a fait cadeau de la grippe espagnole : Eux; le sida…Et ils continuent d’envelopper le cadeau ! Le virus de l’éboula, serait-ce aussi un cadeau à retardement ? Ils ont eu si peur qu’ils ont détruit les singes et le laboratoire!
Dans le film racontant cette histoire, nous voyons les responsables du laboratoire courir après un petit singe qui s’était enfuit du labo! Ceci soulève des questions; ils disaient qu’il était porteur du virus, lui aurait-on plutôt inoculé le virus, si cette espèce avait été porteuse du virus, cela n’aurait rien donné de courir après, il aurait fallu courir après tout ces singes!
Ils vous prennent pour quoi ?
Aurait-il échappé le virus de l’ébola avec ce petit singe ?
Inoculer des virus à un animal à titre d’expé -rience est bien notoire dans la recherche, ils ne comprennent pas que cela risque de provoquer de nouveaux virus par les mutations!
(Rapports int); Exemple; Int; Malburg; Le risque biologiste; Manipulation de singes au laboratoire…1967;…à Maburg (Allemagne) 25 personnes travaillant sur des cultures de reins de singe tombèrent malades, 7 décédèrent.
Francfort et en Yougoslavie, encore dans des laboratoires où ils avaient reçu des singes de l’Ouganda. On dit que les singes moururent aussi de la maladie, mais les recherches faites en Afrique de l’Est n’ont pas permis de découvrir le réservoir du virus. Ce qui dit; Le réservoir du virus de l’éboula reste inconnu!
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S’ils ne l’ont pas trouvé chez les singes d’Afrique, c’est donc qu’il venait du labo -ratoire !
Les singes d’Afrique ne l’avaient pas !
Le réservoir du virus reste donc inconnu! Joke! Si les singes dans le laboratoire en moururent, c’est donc qu’ils les avaient contaminés avec des virus faits en laboratoire! Concernant les études sur le virus de l’éboula; Plusieurs chercheurs furent contaminés où? Dans les laboratoires! Mystère!
Pasteur; leur idole nous a fait cadeau de la grippe espagnole : Eux; le sida…Et ils continuent d’envelopper le cadeau ! Le virus de l’éboula, serait-ce aussi un cadeau à retardement ? Ils ont eu si peur qu’ils ont détruit les singes et le laboratoire!
Dans le film racontant cette histoire, nous voyons les responsables du laboratoire courir après un petit singe qui s’était enfuit du labo! Ceci soulève des questions; ils disaient qu’il était porteur du virus, lui aurait-on plutôt inoculé le virus, si cette espèce avait été porteuse du virus, cela n’aurait rien donné de courir après, il aurait fallu courir après tout ces singes!
Ils vous prennent pour quoi ?
Aurait-il échappé le virus de l’ébola avec ce petit singe ?
Inoculer des virus à un animal à titre d’expé -rience est bien notoire dans la recherche, ils ne comprennent pas que cela risque de provoquer de nouveaux virus par les mutations!
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 01:47tiré du livre== La libération des captifs du Diable.
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 01:54L'aigle ; la sagesse du monde doit finir dans la honte !!!Et perdre ses plume de tête..
Voilà ce que disent les prophéties !
Mika 1:16 … Fais-toi une calvitie, et tonds tes cheveux à cause de tes fils de délices. Élargis ta calvitie comme celle de l’aigle, parce qu’ils sont allés en exil loin de toi. ”
Mystère pour les théologiens ! Un aigle chauve ?
Matthieu 24:28 … Où que soit le cadavre, là seront rassemblés les aigles…
Mystère pour les théologiens !
Les aigles se rassembler pour se nourrir de cada- vres, comme les vautours ?
Concernant ces textes, certains théologiens ont cru qu’il pourrait y avoir une erreur de traduction, disant que ces écrits conviendraient plus aux vautours qui se nourrissent de restant de cadavre, mais la traduction confirme qu’il est question de l’aigle !
Dans le livre de Job, ses mœurs sont décrites utilisant le même mot concernant l’aigle !
Job 39:27-30 … Ou est-ce sur ton ordre que l’aigle s’élève et qu’il bâtit son nid tout en haut, qu’il réside sur un rocher et passe la nuit sur une dent de rocher et un lieu inaccessible ? De là il doit chercher sa nourriture,
ses yeux regardent sans relâche dans le lointain, et ses petits sans cesse boivent le sang ; et là où sont les tués, il est là.
Jésus devait penser à ce texte lorsqu’il a dit; Où que soit le cadavre, là seront rassemblés les aigles…
( En cette circonstance, Jésus parlait de la fin du système, cette prophétie concernant l’aigle , le buveur de sang doit donc connaître sa réalisation à la fin des temps ! )
L’aigle est donc reconnu pour se nourrir de viande fraîche et non de cadavre en décomposition !
Voilà ce que disent les prophéties !
Mika 1:16 … Fais-toi une calvitie, et tonds tes cheveux à cause de tes fils de délices. Élargis ta calvitie comme celle de l’aigle, parce qu’ils sont allés en exil loin de toi. ”
Mystère pour les théologiens ! Un aigle chauve ?
Matthieu 24:28 … Où que soit le cadavre, là seront rassemblés les aigles…
Mystère pour les théologiens !
Les aigles se rassembler pour se nourrir de cada- vres, comme les vautours ?
Concernant ces textes, certains théologiens ont cru qu’il pourrait y avoir une erreur de traduction, disant que ces écrits conviendraient plus aux vautours qui se nourrissent de restant de cadavre, mais la traduction confirme qu’il est question de l’aigle !
Dans le livre de Job, ses mœurs sont décrites utilisant le même mot concernant l’aigle !
Job 39:27-30 … Ou est-ce sur ton ordre que l’aigle s’élève et qu’il bâtit son nid tout en haut, qu’il réside sur un rocher et passe la nuit sur une dent de rocher et un lieu inaccessible ? De là il doit chercher sa nourriture,
ses yeux regardent sans relâche dans le lointain, et ses petits sans cesse boivent le sang ; et là où sont les tués, il est là.
Jésus devait penser à ce texte lorsqu’il a dit; Où que soit le cadavre, là seront rassemblés les aigles…
( En cette circonstance, Jésus parlait de la fin du système, cette prophétie concernant l’aigle , le buveur de sang doit donc connaître sa réalisation à la fin des temps ! )
L’aigle est donc reconnu pour se nourrir de viande fraîche et non de cadavre en décomposition !
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 10:29Pasteur; vaccins sur poule;; h1n1;; virus de poule= grippe espagnol...50000000 de morts
Vaccins sur viande singe== vs40== sida;;??? 500000000 morts...
etcetcetc...
*** Jacques 3:15 ***
15 Ce n’est pas là la sagesse qui vient d’en haut, mais [celle qui est] terrestre, animale, démoniaque
Hénoch==14. Ils ont été créés pour imiter la pureté et la justice des anges.
15. Ils n’auraient point connu la mort, qui détruit tout ; c’est pourquoi la puissance me dévore.
16. Ils ne périssent que par leur trop grande science.
Vaccins sur viande singe== vs40== sida;;??? 500000000 morts...
etcetcetc...
*** Jacques 3:15 ***
15 Ce n’est pas là la sagesse qui vient d’en haut, mais [celle qui est] terrestre, animale, démoniaque
Hénoch==14. Ils ont été créés pour imiter la pureté et la justice des anges.
15. Ils n’auraient point connu la mort, qui détruit tout ; c’est pourquoi la puissance me dévore.
16. Ils ne périssent que par leur trop grande science.
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 10:35Avant la guerre de 1914;;; vaccins de Pasteur obligatoires;;; virus de poule h1n1;;; 1918;;; grippe espagnol...
et ca continue $$$$
2005Nord== déterré une Inouit morte de grippe esp... H1N1... virus de poule...
*** 1 Corinthiens 15:39-41 ***
39 Toute chair n’est pas la même chair ; mais autre est celle des humains, autre la chair du bétail, autre la chair des oiseaux, autre celle des poissons. 40 Et il y a des corps célestes et des corps terrestres ; mais autre est la gloire des corps célestes, autre celle des corps terrestres. 41 Autre est la gloire du soleil, autre la gloire de la lune, et autre la gloire des étoiles ; oui, une étoile diffère en gloire d’une étoile.
Ce signe les aveugle;; $
et ca continue $$$$
2005Nord== déterré une Inouit morte de grippe esp... H1N1... virus de poule...
*** 1 Corinthiens 15:39-41 ***
39 Toute chair n’est pas la même chair ; mais autre est celle des humains, autre la chair du bétail, autre la chair des oiseaux, autre celle des poissons. 40 Et il y a des corps célestes et des corps terrestres ; mais autre est la gloire des corps célestes, autre celle des corps terrestres. 41 Autre est la gloire du soleil, autre la gloire de la lune, et autre la gloire des étoiles ; oui, une étoile diffère en gloire d’une étoile.
Ce signe les aveugle;; $
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 11 sept.14, 10:39*** Genèse 1:20-25 ***
“ Que les eaux pullulent d’un pullulement d’âmes vivantes et que des créatures volantes volent au-dessus de la terre sur la face de l’étendue des cieux. ” 21 Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme vivante qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs espèces, et toute créature volante ailée selon son espèce. Et Dieu vit que [c’était] bon. 22 Là-dessus Dieu les bénit, en disant : “ Soyez féconds, devenez nombreux et remplissez les eaux dans les bassins des mers, et que les créatures volantes deviennent nombreuses sur la terre. ” 23 Et vint un soir et vint un matin : cinquième jour.
24 Et Dieu dit encore : “ Que la terre produise des âmes vivantes selon leurs espèces : animal domestique, animal qui se meut et bête sauvage de la terre selon son espèce. ” Et il en fut ainsi. 25 Et Dieu se mit à faire la bête sauvage de la terre selon son espèce, et l’animal domestique selon son espèce, et tout animal qui se meut sur le sol, selon son espèce. Et Dieu vit que [c’était] bon.
“ Que les eaux pullulent d’un pullulement d’âmes vivantes et que des créatures volantes volent au-dessus de la terre sur la face de l’étendue des cieux. ” 21 Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme vivante qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs espèces, et toute créature volante ailée selon son espèce. Et Dieu vit que [c’était] bon. 22 Là-dessus Dieu les bénit, en disant : “ Soyez féconds, devenez nombreux et remplissez les eaux dans les bassins des mers, et que les créatures volantes deviennent nombreuses sur la terre. ” 23 Et vint un soir et vint un matin : cinquième jour.
24 Et Dieu dit encore : “ Que la terre produise des âmes vivantes selon leurs espèces : animal domestique, animal qui se meut et bête sauvage de la terre selon son espèce. ” Et il en fut ainsi. 25 Et Dieu se mit à faire la bête sauvage de la terre selon son espèce, et l’animal domestique selon son espèce, et tout animal qui se meut sur le sol, selon son espèce. Et Dieu vit que [c’était] bon.
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 12 sept.14, 01:36L'aigle la sagesse terrestre animale..
L'aigle doit perdre les plumes de sa tête...Il finira donc dans la honte... Mika..
Mais il y a la sagesse d'en haut qui viendra..
L'aigle doit perdre les plumes de sa tête...Il finira donc dans la honte... Mika..
Mais il y a la sagesse d'en haut qui viendra..
Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 12 sept.14, 02:59L'HEURE DE VÉRITÉ »
Merck admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer
Publié par LaPresseGalactique.org le 23 mar, 2013 sous L'HEURE DE VÉRITÉ |
La division vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.
Ce passage contenu dans le documentaire » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le PLUS grand experts en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida, la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde: http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... dikv0zbAlU
Production des vaccins facultatifs et non facultatifs: On doit acquérir le germe de la maladie (mais ce n’est pas le germe qui produit la maladie), une bactérie toxique ou un virus « vivant »( il n’est pas possible d’avoir des virus «vivants» , puisque ce ne sont pas des êtres vivants), qui doit être atténué, ou affaibli pour un usage humain, avec une série d’étapes en passant les virus par les cultures de tissus d’animaux à plusieurs reprises pour réduire la potentialité pathogène; exemple: le vaccin associé à la rougeole, les oreillons et la rubéole est préparé dans l’embryon du poussin, le virus de la poliomyélite à travers les reins de singe vert africain, le virus de la rubéole à travers les cellules diploïdes humaines ou des organes disséqués de fœtus avortés.
Comment ils se produisent, c’est ce qu’explique le Dr Alain Scohl dans un article dans lequel sont présentés les éléments les plus significatifs, paru sur le n. 4/97 de Kairos où il affirme: « L’injection de vaccins est pratiquée en dépit de toutes les règles de sécurité habituelles recommandées pour les traitements médicaux ». Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes. Normalement, même les grands professeurs ne les connaissent pas. Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés essentiellement sur des cultures de cellules humaines, fœtales ou animales, cancérisées artificiellement, pour les rendre littéralement immortelles ( elles se reproduisent toujours dans les corps vivants), et avoir une certaine « stabilité du produit », quand il ne s’agit pas de cellules déjà cancéreuses ( lymphomes ).
Pour accroître le rendement de la production, les cellules « immortelles » sont « nourries » avec du sérum sanguin de vache, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. C’est juste le liquide de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé, après filtration et traitement pour atténuer ou éliminer le virus. Il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. L’OMS « s’attend » pudiquement à une pureté de 90%.
Quels sont les dangers? Avec ces vaccins sont inoculés dans notre organisme:
- Des substances cancérogènes certainement dans d’énormes quantités
- Certains outils (sur une échelle cellulaire) servis à la manipulation génétique (dans le cas des vaccins génétiquement modifiés), telles que les enzymes et les portions de l’ADN. Ce matériau peut déclencher à tout moment des variations du message génétique chez le vacciné, aussi bien que le virus connu.
Pour certains vaccins (polio et autres) sont utilisés des cultures de cellules de rein de singe vert africain ( lequel) est préparé avec le vaccin contre la polio – le rein du singe contient un ancêtre du VIH, celui qui causerait le sida) le sérum du veau et l’embryon de poussin sont des protéines étrangères, de la matière biologique composée de cellules animales. Les virus appelés improprement «tués» Un virus ne peut pas être tué puisqu’il n’est pas un être vivant, mais seulement une protéine toxique contenant de l’ADN – il est rendu « inactif »- en réalité » affaibli « – avec la chaleur, des radiations ou des produits chimiques, mais dans certains cas, un état fébrile peut réactiver le virus. Le virus « affaibli » doit ensuite être renforcé avec des adjuvants ( boosters des anticorps ) et des stabilisants, en ajoutant des médicaments, des antibiotiques et des désinfectants toxiques à la base de la préparation: néomycine, streptomycine, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, hydroxyde d’aluminium, chlorhydrate d’aluminium, sorbitol, gélatine hydrolysée, formaldéhyde (produit cancéreux) et le thimérosal (partie du mercure).
Etant donné que cette « matière toxique organique » est injectée directement dans la circulation sanguine, en ignorant tous les mécanismes de défense immunitaire naturelle, elle peut aussi endommager notre structure génétique, ou immunodéprimé le sujet vacciné. Plusieurs chercheurs ont constaté que les vaccins « trompent » le corps en le stimulant pour se focaliser seulement sur un aspect (à savoir la production d’anticorps) des stratégies multiples et complexes normalement disponibles pour le système immunitaire. Les virus (protéines toxiques) des animaux utilisés dans les cultures de préparation des vaccins et inoculés avec eux, peuvent « sauter » la barrière de l’espèce de manière acculte et inobservable.
C’est exactement ce qui s’est passé pendant les années 50 et 70, quand des millions de personnes ont été infectées par le vaccin contre la polio (Sabin) et contaminées par le virus SV-40 (virus du singe) et est passé par les organes du singe utilisé pour préparer les vaccins.
Le SV-40 – contaminant – ( le 40ème virus de singe relevé depuis que les chercheurs ont commencé à les observer ), est considéré comme un suppresseur puissant du système immunitaire, un déclencheur puissant du VIH, le nom donné au virus du sida. Il se dit qu’il cause un état clinique similaire au SIDA et a été également trouvé dans les tumeurs du cerveau, dans la leucémie et autres cancers de l’homme.
>Les chercheurs le considèrent comme un virus qui provoque le cancer de la plèvre: le mésothéliome.
Selon le Dr David Kessler, ex fonctionnaire de la Food and Drug Administration, « seulement environ 1% des événements graves (réactions indésirables aux vaccins) est signalé à la FDA. Par conséquent, il est tout à fait possible que chaque année des millions de personnes ont des réactions indésirables aux vaccins obligatoires ». Le Dr Robert Mendelsohn, qui a souvent critiqué la médecine officielle pour sa doctrine bigote a soutenu que les médecins sont les prêtres qui distribuent de l’eau sainte sous la forme d’inoculations » pour donner l’initiation rituelle de la grande industrie médicale à notre consécration.
>Le Dr Richard Moskowitz affirme: « Les vaccins sont devenus les sacrements de notre foi dans la biotechnologie. Leur efficacité et leur sécurité sont largement vues comme allant de soi et ne nécessitent pas d’autres preuves ». Chaque année, la FDA reçoit des milliers de rapports de réactions indésirables dues aux vaccins. Ces données incluent des lésions cérébrales et des décès. Ces informations sont stockées dans une base de données secrète du gouvernement (États-Unis) à laquelle les citoyens américains peuvent accéder (avec certaines restrictions) en utilisant le Freedom of Information Act ( Loi sur la liberté d’information ). Elle est divisée en catégories qui incluent les vaccins administrés, les types de réactions, des informations sur les admissions et les décès, et plus encore.
Source: http://rustyjames.canalblog.com/
MERCI DE DIFFUSER CE TEXTE ET D'EN INDIQUER L'AUTEUR ET LA SOURCE: LAPRESSEGALACTIQUE.ORG
Merck admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer
Publié par LaPresseGalactique.org le 23 mar, 2013 sous L'HEURE DE VÉRITÉ |
La division vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.
Ce passage contenu dans le documentaire » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le PLUS grand experts en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida, la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde: http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... dikv0zbAlU
Production des vaccins facultatifs et non facultatifs: On doit acquérir le germe de la maladie (mais ce n’est pas le germe qui produit la maladie), une bactérie toxique ou un virus « vivant »( il n’est pas possible d’avoir des virus «vivants» , puisque ce ne sont pas des êtres vivants), qui doit être atténué, ou affaibli pour un usage humain, avec une série d’étapes en passant les virus par les cultures de tissus d’animaux à plusieurs reprises pour réduire la potentialité pathogène; exemple: le vaccin associé à la rougeole, les oreillons et la rubéole est préparé dans l’embryon du poussin, le virus de la poliomyélite à travers les reins de singe vert africain, le virus de la rubéole à travers les cellules diploïdes humaines ou des organes disséqués de fœtus avortés.
Comment ils se produisent, c’est ce qu’explique le Dr Alain Scohl dans un article dans lequel sont présentés les éléments les plus significatifs, paru sur le n. 4/97 de Kairos où il affirme: « L’injection de vaccins est pratiquée en dépit de toutes les règles de sécurité habituelles recommandées pour les traitements médicaux ». Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes. Normalement, même les grands professeurs ne les connaissent pas. Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés essentiellement sur des cultures de cellules humaines, fœtales ou animales, cancérisées artificiellement, pour les rendre littéralement immortelles ( elles se reproduisent toujours dans les corps vivants), et avoir une certaine « stabilité du produit », quand il ne s’agit pas de cellules déjà cancéreuses ( lymphomes ).
Pour accroître le rendement de la production, les cellules « immortelles » sont « nourries » avec du sérum sanguin de vache, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. C’est juste le liquide de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé, après filtration et traitement pour atténuer ou éliminer le virus. Il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. L’OMS « s’attend » pudiquement à une pureté de 90%.
Quels sont les dangers? Avec ces vaccins sont inoculés dans notre organisme:
- Des substances cancérogènes certainement dans d’énormes quantités
- Certains outils (sur une échelle cellulaire) servis à la manipulation génétique (dans le cas des vaccins génétiquement modifiés), telles que les enzymes et les portions de l’ADN. Ce matériau peut déclencher à tout moment des variations du message génétique chez le vacciné, aussi bien que le virus connu.
Pour certains vaccins (polio et autres) sont utilisés des cultures de cellules de rein de singe vert africain ( lequel) est préparé avec le vaccin contre la polio – le rein du singe contient un ancêtre du VIH, celui qui causerait le sida) le sérum du veau et l’embryon de poussin sont des protéines étrangères, de la matière biologique composée de cellules animales. Les virus appelés improprement «tués» Un virus ne peut pas être tué puisqu’il n’est pas un être vivant, mais seulement une protéine toxique contenant de l’ADN – il est rendu « inactif »- en réalité » affaibli « – avec la chaleur, des radiations ou des produits chimiques, mais dans certains cas, un état fébrile peut réactiver le virus. Le virus « affaibli » doit ensuite être renforcé avec des adjuvants ( boosters des anticorps ) et des stabilisants, en ajoutant des médicaments, des antibiotiques et des désinfectants toxiques à la base de la préparation: néomycine, streptomycine, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, hydroxyde d’aluminium, chlorhydrate d’aluminium, sorbitol, gélatine hydrolysée, formaldéhyde (produit cancéreux) et le thimérosal (partie du mercure).
Etant donné que cette « matière toxique organique » est injectée directement dans la circulation sanguine, en ignorant tous les mécanismes de défense immunitaire naturelle, elle peut aussi endommager notre structure génétique, ou immunodéprimé le sujet vacciné. Plusieurs chercheurs ont constaté que les vaccins « trompent » le corps en le stimulant pour se focaliser seulement sur un aspect (à savoir la production d’anticorps) des stratégies multiples et complexes normalement disponibles pour le système immunitaire. Les virus (protéines toxiques) des animaux utilisés dans les cultures de préparation des vaccins et inoculés avec eux, peuvent « sauter » la barrière de l’espèce de manière acculte et inobservable.
C’est exactement ce qui s’est passé pendant les années 50 et 70, quand des millions de personnes ont été infectées par le vaccin contre la polio (Sabin) et contaminées par le virus SV-40 (virus du singe) et est passé par les organes du singe utilisé pour préparer les vaccins.
Le SV-40 – contaminant – ( le 40ème virus de singe relevé depuis que les chercheurs ont commencé à les observer ), est considéré comme un suppresseur puissant du système immunitaire, un déclencheur puissant du VIH, le nom donné au virus du sida. Il se dit qu’il cause un état clinique similaire au SIDA et a été également trouvé dans les tumeurs du cerveau, dans la leucémie et autres cancers de l’homme.
>Les chercheurs le considèrent comme un virus qui provoque le cancer de la plèvre: le mésothéliome.
Selon le Dr David Kessler, ex fonctionnaire de la Food and Drug Administration, « seulement environ 1% des événements graves (réactions indésirables aux vaccins) est signalé à la FDA. Par conséquent, il est tout à fait possible que chaque année des millions de personnes ont des réactions indésirables aux vaccins obligatoires ». Le Dr Robert Mendelsohn, qui a souvent critiqué la médecine officielle pour sa doctrine bigote a soutenu que les médecins sont les prêtres qui distribuent de l’eau sainte sous la forme d’inoculations » pour donner l’initiation rituelle de la grande industrie médicale à notre consécration.
>Le Dr Richard Moskowitz affirme: « Les vaccins sont devenus les sacrements de notre foi dans la biotechnologie. Leur efficacité et leur sécurité sont largement vues comme allant de soi et ne nécessitent pas d’autres preuves ». Chaque année, la FDA reçoit des milliers de rapports de réactions indésirables dues aux vaccins. Ces données incluent des lésions cérébrales et des décès. Ces informations sont stockées dans une base de données secrète du gouvernement (États-Unis) à laquelle les citoyens américains peuvent accéder (avec certaines restrictions) en utilisant le Freedom of Information Act ( Loi sur la liberté d’information ). Elle est divisée en catégories qui incluent les vaccins administrés, les types de réactions, des informations sur les admissions et les décès, et plus encore.
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Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 22 sept.14, 05:01Ebola: un nouveau bilan de l'OMS fait état de 2800 morts
Mis à jour à 15:27
Le bilan de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest continue de s'alourdir. L'OMS admet que le nombre de cas officiellement déclarés est sous-estimé.
1 / 66galleryButton
L'épidémie a infecté 5800 personnes, dont 2800 sont mortes en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, selon un dernier bilan de l'OMS (22 septembre)
L'épidémie a infecté 5800 personnes, dont 2800 sont mortes en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, a indiqué ce lundi 22 septembre à Genève l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
L'image de l'évolution de l'épidémie est mélangée: dans certaines régions en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria, le nombre de cas s'est stabilisé. Dans d'autres, surtout à Monrovia, la capitale du Liberia, l'augmentation reste exponentielle, a précisé l'OMS.
Le précédent bilan faisait état de 5347 cas avec 2630 morts. L'OMS admet que le nombre de cas officiellement déclarés est sous-estimé. Pour certains experts, il faut multiplier par deux le nombre de cas et de morts, pour d'autres par 2,5 ou encore par trois pour avoir une idée exacte de l'ampleur de l'épidémie.
(ats)
Mis à jour à 15:27
Le bilan de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest continue de s'alourdir. L'OMS admet que le nombre de cas officiellement déclarés est sous-estimé.
1 / 66galleryButton
L'épidémie a infecté 5800 personnes, dont 2800 sont mortes en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, selon un dernier bilan de l'OMS (22 septembre)
L'épidémie a infecté 5800 personnes, dont 2800 sont mortes en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, a indiqué ce lundi 22 septembre à Genève l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
L'image de l'évolution de l'épidémie est mélangée: dans certaines régions en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria, le nombre de cas s'est stabilisé. Dans d'autres, surtout à Monrovia, la capitale du Liberia, l'augmentation reste exponentielle, a précisé l'OMS.
Le précédent bilan faisait état de 5347 cas avec 2630 morts. L'OMS admet que le nombre de cas officiellement déclarés est sous-estimé. Pour certains experts, il faut multiplier par deux le nombre de cas et de morts, pour d'autres par 2,5 ou encore par trois pour avoir une idée exacte de l'ampleur de l'épidémie.
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(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 06 oct.14, 00:58Ebola pourrait débarquer en France d'ici le 24 octobre
Par LEXPRESS.fr, publié le 06/10/2014 à 09:33, mis à jour à 10:16
Selon des chercheurs américains, l'épidémie d'Ebola a 75% de chances d'arriver en France dans les trois prochaines semaines, au vu de ses nombreuses liaisons aériennes avec les pays d'Afrique de l'Ouest touchés par l'épidémie.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... G0YgO61.99
Par LEXPRESS.fr, publié le 06/10/2014 à 09:33, mis à jour à 10:16
Selon des chercheurs américains, l'épidémie d'Ebola a 75% de chances d'arriver en France dans les trois prochaines semaines, au vu de ses nombreuses liaisons aériennes avec les pays d'Afrique de l'Ouest touchés par l'épidémie.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... G0YgO61.99
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Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 10 oct.14, 06:38Ebola : le cap des 4 000 morts est franchi, selon l'Organisation mondiale de la santé
L'OMS a donné un nouveau bilan de l'épidémie qui ravage principalement la Sierra Leone, le Liberia et la Guinée.
Par Francetv info avec AFP
L'OMS a donné un nouveau bilan de l'épidémie qui ravage principalement la Sierra Leone, le Liberia et la Guinée.
Par Francetv info avec AFP
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Re: Ebola : État d'urgence de santé publique mondiale
Ecrit le 17 oct.14, 01:34Les processus de déclenchement de la maladie provoquée par le virus, identifié en 1976, restent encore méconnus. Ce n'est pas le cas des mécanismes d'infection.
C'est un virus pas comme les autres. Tout en longueur, comme un ver ou un filament qui peut avoir des embranchements, ce qui lui vaut son nom de filovirus. La réplication fulgurante du virus Ebola chez les personnes infectées peut désactiver le système immunitaire, provoquer des hémorragies internes et entraîner le dysfonctionnement des organes vitaux. Des attaques qui provoquent, en l'absence de traitement, la mort dans 70 % des cas pour l'épidémie en cours en Afrique de l'Ouest.
Depuis son identification en 1976, le virus Ebola ne cesse d'intriguer les virologues qui tentent de comprendre comment il agit de manière aussi brutale dans l'organisme. «Les recherches sur la pathogénèse (les processus de déclenchement de la maladie, NDLR) sont encore très actives, et il reste beaucoup de choses qu'on ne comprend pas», reconnaît avec humilité Hervé Raoul, directeur du Laboratoire P4-Jean-Mérieux à Lyon, établissement de haute sécurité dans lequel sont menées les recherches sur les virus les plus dangereux. «On ne sait, par exemple, pas bien pourquoi la souche actuelle du virus provoque moins d'hémorragies que lors des précédentes épidémies.»
Les mécanismes d'infection du virus sont en revanche bien connus. Il suffit de très peu de virus pour infecter un individu, ce qui le rend encore plus dangereux. Seuls 17 de ces petits filaments d'un millionième de mètre de long suffiraient au départ à lancer le processus d'attaque des cellules. Une virulence terrible qui est compensée par un mécanisme de transmission qui n'agit que par contact direct avec les fluides corporels (salive, sang, sueur, sperme, selles et urine). Pour rentrer dans le corps, les virus doivent passer par les muqueuses, par une plaie, ou par une piqûre. Un mécanisme qui fait qu'en moyenne, sans protection particulière, un malade d'Ebola contamine à son tour deux autres personnes. Soit beaucoup moins que certains pathogènes qui se propagent par voie aérienne, comme la varicelle par exemple, où chaque malade peut contaminer 17 personnes.
Mais une fois que le virus entre dans l'organisme, il s'y installe et s'y multiplie très rapidement. Pendant la phase d'incubation, qui dure de 2 à 21 jours (en moyenne entre 4 et 9 jours), le patient ne présente aucun symptôme, et n'est pas contagieux. Par la suite, les premiers symptômes apparaissent: fièvre associée à des céphalées, nausées, douleurs musculaires et fatigue générale. Des maux très courants qui ne sont en rien spécifiques à Ebola et compliquent le diagnostic.
«Ces signes non spécifiques sont ensuite rapidement suivis par des manifestations cutanées, des symptômes digestifs violents (douleurs abdominales, vomissements, diarrhées profuses), des troubles respiratoires (maux de gorge, toux) et des signes neurologiques (prostration, confusion, délire), indiquant une diffusion généralisée du virus et une atteinte multiviscérale», décrit Eric Leroy, chercheur de l'IRD au Gabon, dans la revue Médecine tropicale.
Après son entrée dans l'organisme, le virus s'attaque d'abord aux cellules du système immunitaire, et empêche la production d'interférons, des protéines dédiées à la lutte contre les virus. À partir du foie, de la rate et des ganglions lymphatiques, il se répand dans tout le reste de l'organisme. Le virus perturbe ensuite le système sanguin, en provoquant des inflammations, sources de saignements, et provoque la formation de caillots, qui viennent bloquer des petits vaisseaux, affectant l'irrigation sanguine des organes vitaux. Même quand la maladie ne crée pas d'hémorragies internes massives, qui surviennent rarement avec la souche actuelle du virus, elle peut provoquer la mort en entraînant une défaillance générale des organes vitaux, affectés par une cascade de défaillances de tout le système immunitaire. «Les signes cliniques terminaux ressemblent à un choc septique généralisé», précise Hervé Raoul. La phase aiguë de la maladie dure en général de 9 à 10 jours.
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C'est un virus pas comme les autres. Tout en longueur, comme un ver ou un filament qui peut avoir des embranchements, ce qui lui vaut son nom de filovirus. La réplication fulgurante du virus Ebola chez les personnes infectées peut désactiver le système immunitaire, provoquer des hémorragies internes et entraîner le dysfonctionnement des organes vitaux. Des attaques qui provoquent, en l'absence de traitement, la mort dans 70 % des cas pour l'épidémie en cours en Afrique de l'Ouest.
Depuis son identification en 1976, le virus Ebola ne cesse d'intriguer les virologues qui tentent de comprendre comment il agit de manière aussi brutale dans l'organisme. «Les recherches sur la pathogénèse (les processus de déclenchement de la maladie, NDLR) sont encore très actives, et il reste beaucoup de choses qu'on ne comprend pas», reconnaît avec humilité Hervé Raoul, directeur du Laboratoire P4-Jean-Mérieux à Lyon, établissement de haute sécurité dans lequel sont menées les recherches sur les virus les plus dangereux. «On ne sait, par exemple, pas bien pourquoi la souche actuelle du virus provoque moins d'hémorragies que lors des précédentes épidémies.»
Les mécanismes d'infection du virus sont en revanche bien connus. Il suffit de très peu de virus pour infecter un individu, ce qui le rend encore plus dangereux. Seuls 17 de ces petits filaments d'un millionième de mètre de long suffiraient au départ à lancer le processus d'attaque des cellules. Une virulence terrible qui est compensée par un mécanisme de transmission qui n'agit que par contact direct avec les fluides corporels (salive, sang, sueur, sperme, selles et urine). Pour rentrer dans le corps, les virus doivent passer par les muqueuses, par une plaie, ou par une piqûre. Un mécanisme qui fait qu'en moyenne, sans protection particulière, un malade d'Ebola contamine à son tour deux autres personnes. Soit beaucoup moins que certains pathogènes qui se propagent par voie aérienne, comme la varicelle par exemple, où chaque malade peut contaminer 17 personnes.
Mais une fois que le virus entre dans l'organisme, il s'y installe et s'y multiplie très rapidement. Pendant la phase d'incubation, qui dure de 2 à 21 jours (en moyenne entre 4 et 9 jours), le patient ne présente aucun symptôme, et n'est pas contagieux. Par la suite, les premiers symptômes apparaissent: fièvre associée à des céphalées, nausées, douleurs musculaires et fatigue générale. Des maux très courants qui ne sont en rien spécifiques à Ebola et compliquent le diagnostic.
«Ces signes non spécifiques sont ensuite rapidement suivis par des manifestations cutanées, des symptômes digestifs violents (douleurs abdominales, vomissements, diarrhées profuses), des troubles respiratoires (maux de gorge, toux) et des signes neurologiques (prostration, confusion, délire), indiquant une diffusion généralisée du virus et une atteinte multiviscérale», décrit Eric Leroy, chercheur de l'IRD au Gabon, dans la revue Médecine tropicale.
Après son entrée dans l'organisme, le virus s'attaque d'abord aux cellules du système immunitaire, et empêche la production d'interférons, des protéines dédiées à la lutte contre les virus. À partir du foie, de la rate et des ganglions lymphatiques, il se répand dans tout le reste de l'organisme. Le virus perturbe ensuite le système sanguin, en provoquant des inflammations, sources de saignements, et provoque la formation de caillots, qui viennent bloquer des petits vaisseaux, affectant l'irrigation sanguine des organes vitaux. Même quand la maladie ne crée pas d'hémorragies internes massives, qui surviennent rarement avec la souche actuelle du virus, elle peut provoquer la mort en entraînant une défaillance générale des organes vitaux, affectés par une cascade de défaillances de tout le système immunitaire. «Les signes cliniques terminaux ressemblent à un choc septique généralisé», précise Hervé Raoul. La phase aiguë de la maladie dure en général de 9 à 10 jours.
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(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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