J'ouvre la Torah, Psaume 68, verset 21, ou la Bible Ancien Testament , Psaume 68, verset 21 :
הָאֵל לָנוּ, אֵל לְמוֹשָׁעוֹת: וְלֵיהוִה אֲדֹנָי--לַמָּוֶת, תֹּצָאוֹת, traduction proposée personnelle, "Le Tout Puissant est pour nous un Dieu Salvateur. Rendons grâce à Dieu, notre Seigneur, il nous échappe de la mort."
Traduction de Samuel Cahen (1796-1862), directeur de l’école du Consistoire juif à Paris :
"Dieu est pour nous un Dieu de délivrance, et pour nous auprès de Iehovah, le Seigneur, il y a des issues à la mort."
Source :
http://www.areopage.net/PDF/Cahen/13-Psaumes.pdf
Traduction de la Bible de Jérusalem :
"Le Dieu que nous avons est un Dieu de délivrances (abréviation en lettres hébraïques ALM, אלם, Aleph, Lamed, Mem), au Seigneur Yahvé sont les issues de la mort."
Je constate tout simplement sur les plus anciens corans que les trois lettres transcrites maintenant en arabe moderne Alif, Lam, Mim,
المم sont bien des lettres hébraïques dans les plus anciens codex
אלם, inchangées et non en arabe.
אלם, "Aleph, Lamed, Mem". C'est phonétisé en arabe "Alif, Lam, Mim", mais ce sont bien des lettres en hébreu qui sont les initiales de "Dieu Salvateur" bien connues en hébreu biblique.
C'est tout simplement dans les
"Hagiographes",
כתובים , aux Psaumes
תהילים, chapitre 68 , verset 21
כא, et vous avez au chapitre 68, le verset 21 :
http://www.sefarim.fr/
Je vous signale ou rappelle que le nombre 68 en hébreu
הלל signifie "transpercer" ou "être transpercé", ce qui s'accomplit quand le Messie est cloué sur le bois et transpercé d'une lance par un soldat romain.
Les sourates si nombreuses qui commencent par ce rappel d'injonction bénie à Eloah, Allah en arabe, ne sont-elles pas pour se renforcer devant une mort qui attend après l'ensemble de la prédication ? Attention, je formule sur un constat une hypothèse, en aucun cas je ne souhaite aller ni contre le Coran, ni contre la foi musulmane.
Je constate simplement que, un, c'est bien de l'hébreu dans les plus anciens codex corani ; deux, c'est aussi une abréviation hébraïque d'une qualité de YHWH, Dieu Sauveur ou Dieu Salvateur, devant les affres de la mort. Et trois, c'est peut-être humain, pourquoi pas ? c'est un ou des juifs pour écrire dans leur langue, qui bénissent d'abord la prédication orale qui va avoir lieu et se poursuit, Sourate en arabe
سورة au singulier. la pierre d'un mur, de l'édifice. Cette prédication aurait duré 23 ans selon la tradition musulmane, reçue à Mahomet.
Au moins, on a avancé concrètement avec des codex hébreux et arabes les plus anciens. Pour comprendre. C'est possible, ce n'est pas certain, il y a bien une explication humaine toute simple sans passer par les codages, la numérologie, etc. Qui ne prouvent rien non plus puisque l'ordre actuel des sourates est celui d'Othman, et non avant, dans les plus anciens codex !