J'm'interroge a écrit :Pas tout-à-fait Bragon!
1°) Le réel constaté n'est en rien différent du fait objectif.
Bragon a écrit :Bon, d'accord, appelons le réel constaté, appelons-le fait objectif.
J'm'interroge a écrit :2°) Il n'y a de réalité objective et de faits, que celle ou ceux qui sont constatés.
Bragon a écrit :Bon, bon, d'accord
J'm'interroge a écrit :=> Par conséquent, parler d'une réalité (objective) hors de tout constat est injustifié.
Bragon a écrit :Oui, tout ce que tu veux.
On peut la supposer, mais elle ne s'impose pas, car cette réalité est invérifiable, injustifiable et explique rien.Bragon a écrit : Mais il existe bien une réalité avant constat, celle dont parle Inti.
On doit l'appeler 'réalité extérieure supposée gratuitement, invérifiable, injustifiable et qui n'explique rien'.Bragon a écrit :On ne sait pas de quoi elle est fait, c'est peut-être de la fumée, des vibrations, des informations, une réalité que nous transformons par le processus de la perception et qui nous donne des vaches, des cochons et des galaxie Andromède. Dis-nous seulement comment on doit l'appeler quel nom donner à cette réalité non encore perçue.
Ce que l'on constate c'est une cohérence, toujours plus grande, qui bien qu'elle nous échappe en grande partie, est la trame de notre champ empirico-expérimental. Elle ne peut pas lui être 'extérieure' car tout ce que nous observons et mesurons appartient à ce champ, mais aussi parce que cette cohérence a été démontrée non-locale (et non-temporelle entre autre..).
- C'est un fait tout-à-fait objectif, incontournable, donc à bien prendre en compte si l'on ne veut pas affirmer des choses ce qui seraient aujourd'hui de belles contre-vérités.