Se connaître soi-même

[Ase]

Deux grands hommes ont enseigné que nous n'étions-pas là par hasard.
Le premier est connu, Albert Einstein, il disait en s'appuyant sur sa compréhension de la physique que "Dieu ne joue pas aux dés".
Le deuxième est moins connu, c'est Isaïe, le prophète de Dieu, il nous transmet en Isaïe 44, 2 "Voici ce que je te déclare, moi le Seigneur qui t'ai fait, qui t'ai formé dès avant ta naissance".

Cette naissance n'est ni un hasard, ni une erreur. Notre vie n'est pas un accident selon ces deux hommes.
Notre respiration n'est pas une question de chance ou de destin, ni une question de destin ou de coïncidence.
Et même si vos parents n'avaient pas prévu votre naissance, Dieu lui l'a désiré. Même si il y a des parents illégitimes, il n'y a pas d'enfants illégitimes.
Avant notre conception par nos parents, il y a selon Isaîe une autre naissance : Dieu nous a conçu dans son esprit, en premier.

Cette conception première est celle qui nous caractérise. Notre corps a été sagement calculé, fait sur mesure, de même que le schéma initial forgé de notre personnalité. Dieu à décidé du moment précis de la naissance et de sa durée selon le psalmiste 139. Cette naissance "avant de naître", établie dans un "lieu secret" et "tissé dans les profondeurs de la Terre" comme le dit le psalmiste, possède une raison bien précise.

Ce qui pousse Dieu à la création est l'Amour. C'est son caractère. Le cosmos dans sa globalité est un terreau de fertilité où les êtres vivants peut y être accueillis. A l'intérieur de la Trinité, règne une sainte communion caractérisé par un amour parfait : la création entière manifeste son Amour.

Si Dieu nous as crée, il doit y avoir un but, une raison, un sens profond, un schéma directeur.

Romains 12, 3 nous donne un début de réponse : "Le seul moyen de nous comprendre nous-mêmes est de considérer ce que Dieu est et ce qu'il accomplit pour nous".

Je ne ferait pas de commentaire sur ce verset qui doit se laisser méditer dans nos coeurs.

[indian]

D
Si Dieu nous as crée, il doit y avoir un but, une raison, un sens profond, un schéma directeur.

Romains 12, 3 nous donne un début de réponse : "Le seul moyen de nous comprendre nous-mêmes est de considérer ce que Dieu est et ce qu'il accomplit pour nous".

Je ne ferait pas de commentaire sur ce verset qui doit se laisser méditer dans nos coeurs.

Merci

Amitié Fraterenellement humaine

David

[Mr Saucisse]

Deux grands hommes ont enseigné que nous n'étions-pas là par hasard.
Le premier est connu, Albert Einstein, il disait en s'appuyant sur sa compréhension de la physique que "Dieu ne joue pas aux dés".
Le deuxième est moins connu, c'est Isaïe, le prophète de Dieu, il nous transmet en Isaïe 44, 2 "Voici ce que je te déclare, moi le Seigneur qui t'ai fait, qui t'ai formé dès avant ta naissance".

Cette naissance n'est ni un hasard, ni une erreur. Notre vie n'est pas un accident selon ces deux hommes.
Notre respiration n'est pas une question de chance ou de destin, ni une question de destin ou de coïncidence.
Et même si vos parents n'avaient pas prévu votre naissance, Dieu lui l'a désiré. Même si il y a des parents illégitimes, il n'y a pas d'enfants illégitimes.
Avant notre conception par nos parents, il y a selon Isaîe une autre naissance : Dieu nous a conçu dans son esprit, en premier.

Cette conception première est celle qui nous caractérise. Notre corps a été sagement calculé, fait sur mesure, de même que le schéma initial forgé de notre personnalité. Dieu à décidé du moment précis de la naissance et de sa durée selon le psalmiste 139. Cette naissance "avant de naître", établie dans un "lieu secret" et "tissé dans les profondeurs de la Terre" comme le dit le psalmiste, possède une raison bien précise.

Ce qui pousse Dieu à la création est l'Amour. C'est son caractère. Le cosmos dans sa globalité est un terreau de fertilité où les êtres vivants peut y être accueillis. A l'intérieur de la Trinité, règne une sainte communion caractérisé par un amour parfait : la création entière manifeste son Amour.

Si Dieu nous as crée, il doit y avoir un but, une raison, un sens profond, un schéma directeur.

Romains 12, 3 nous donne un début de réponse : "Le seul moyen de nous comprendre nous-mêmes est de considérer ce que Dieu est et ce qu'il accomplit pour nous".

Je ne ferait pas de commentaire sur ce verset qui doit se laisser méditer dans nos coeurs.

Encore du prosélytisme. Albert Einstein un croyant ? Petit rappel historique :

Une lettre inédite d'Albert Einstein au philosophe Eric Gutkind, datée du 3 janvier 1954, apporte un démenti formel à tous ceux qui voudraient faire croire qu'il était croyant. Un an avant sa mort, il y affirme que l'idée de Dieu est née de la faiblesse humaine et qualifie la Bible de "vraiment enfantine".

Citations :
1- "Je crois au Dieu de Spinoza, qui se révèle dans l'ordre harmonieux de ce qui existe, et non en un dieu qui se préoccupe du sort et des actions des êtres humains."
(Albert Einstein / 1879-1955 / Télégramme au rabbin Goldstein de New York, avril 1929)

2- "Je ne peux pas imaginer un Dieu qui récompense et punit l'objet de sa création. Je ne peux pas me figurer un Dieu qui réglerait sa volonté sur l'expérience de la mienne. Je ne veux pas et je ne peux pas concevoir un être qui survivrait à la mort de son corps. Si de pareilles idées se développent en un esprit, je le juge faible, craintif et stupidement égoïste."
(Albert Einstein / 1879-1955 / Comment je vois le monde / 1934)

3- "Je suis fasciné par le panthéisme de Spinoza, mais j'admire plus encore sa contribution à la pensée moderne, parce qu'il est le premier philosophe qui traite l'esprit et le corps comme unité, et non comme deux choses séparées."
(Albert Einstein / 1879-1955)

4- "Ce que vous avez lu sur mes convictions religieuses était un mensonge, bien sûr, un mensonge qui est répété systématiquement. Je ne crois pas en un Dieu personnel et je n’ai jamais dit le contraire de cela, je l’ai plutôt exprimé clairement. S’il y a quelque chose en moi que l’on puisse appeler "religieux" ce serait alors mon admiration sans bornes pour les structures de l’univers pour autant que notre science puisse le révéler."
(Albert Einstein / 1879-1955 / "Albert Einstein : le côté humain" édité par Helen Dukas et Banesh Hoffman, lettre du 24 mars 1954)

Et : "Définissez-moi d’abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois."
(Albert Einstein / 1879-1955)

Donc, ce que vous dîtes est erroné.

[Oxizen]

Eh oui, se connaître soi-même, ce n'est parfois pas chose aisée. Certains arrivent au bout de leur vie en ne s'étant jamais vraiment questionné sur le sujet. D'autres ont besoin de Dieu pour les y aider, comme Guy Fourt qui témoigne ici: http://www.publicroire.com/croire-et-vi ... ui-suis-je . Je partage la même vision que lui sur ce que Dieu lui apporte.

[Ase]

Encore du prosélytisme. Albert Einstein un croyant ?

Tout le monde possède des croyances.
Quoi de plus normal que de croire et de se laisser guider par ses croyances ?

1- "Je crois au Dieu de Spinoza, qui se révèle dans l'ordre harmonieux de ce qui existe, et non en un dieu qui se préoccupe du sort et des actions des êtres humains."
(Albert Einstein / 1879-1955 / Télégramme au rabbin Goldstein de New York, avril 1929)

Einstein croyait donc bien en un Dieu.
Il adhérait donc bien en l'existence d'un ordre qu'il qualifiait d'harmonieux.

Donc, ce que vous dîtes est erroné.

Pourquoi donc ?

[Oxizen]

Tout à fait d'accord avec Ase

[indian]

Tout à fait d'accord avec Ase

tout à fait d'accord avec Oxizen qui dit être d'accord avec Ase

[Ase]

Parmi les représentations et projections inconscientes préjudiciables à tout questionnement d'ordre spirituel, les plus néfastes sont peut-être celles qui poussent l'être humain à se représenter Dieu (qu'il croie ou non en son inexistence) comme un Être qui pourrait le juger sévèrement, le punir, le rejeter. Il s'agit de peurs refoulés secrètes qui, inséparables d'une réelle difficulté à se croire digne d'être aimé, conduisent souvent à un refoulement athée de la question de Dieu ou à une vie intérieure plus paralysante qu'épanouissante.
Pourtant les Écritures parlent, une fois bien compris, de la représentation d'un jugement divin qui est très éloigné de ce que l'homme risque de s'imaginer à la suite d'un difficile face à face avec lui-même, d'autant plus difficile s'il est aux prises avec un sentiment de culpabilité plus ou moins diffus.

Bien à vous,
Ase

[billhood]

Cette conception première est celle qui nous caractérise. Notre corps a été sagement calculé, fait sur mesure, de même que le schéma initial forgé de notre personnalité. Dieu à décidé du moment précis de la naissance et de sa durée selon le psalmiste 139. Cette naissance "avant de naître", établie dans un "lieu secret" et "tissé dans les profondeurs de la Terre" comme le dit le psalmiste, possède une raison bien précise.