Non c'est un boudeux bouddhiste qui réalise son interdépendance avec les poules et coqs. Il en fait une fixation.vic a écrit :A moins que tu ais choisi cette image pour illustrer ta façon de voir le monde, tes gènes dans leur enclos .
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Non c'est un boudeux bouddhiste qui réalise son interdépendance avec les poules et coqs. Il en fait une fixation.vic a écrit :A moins que tu ais choisi cette image pour illustrer ta façon de voir le monde, tes gènes dans leur enclos .
C’est une question difficile et ca depend de ce qu’on entend par raison. De toute facon la question philosophique de Dieu (theologie naturelle) est evidemment du champ de la raison (y compris l’atheisme qui est une position de ce champ)Y-a-t-il d'autres types de compréhension que celle soutenue par notre raison ?
Non, car ici nous ne parlons pas du tout d’un homme a qui il arriverait de s’appeler Bob Morane. Nous parlons du Bob Morane du livre, de ce Bob la, et on se demande s’il existe. Nous avons acces a des moyens empiriques a ce sujet, quant a son identite et donc une preuve probable d’ inexistence.Je ne suis pas d'accord, la narration, ou le témoignage, est bel et bien séparée de l'identité. La narration est une vision subjective extérieure à l'entité. Tout comme pour Dieu, dont la nature change en fonction des cultures et des individus. Je ne vois pas en quoi cela diffère de Bob Morane.
NON, preuve n’ est pas qu’ empirique. Simplement la preuve empirique sur Bob ne sera pas applicable a Dieu, c’ est tout.Pour le second argument : non, je ne fais que rebondir sur l'utilisation du mot preuve. Quand tu dis que l'inexistence de Bob pourrait être prouvée, car empiriquement prouvable (quoiqu'impossible en pratique), contrairement à un dieu extramondain ; cela signifie que le mot preuve n'est attribuable qu'à ce qui est empirique. On doit donc faire un distinguo entre la démonstration (philosophique ou mathématique) et la preuve (empirique).
Ceci ne change rien. L’inexistence necessaire de x est une inexistence (un type d’inexistence) donc une absence de x. Qu’une preuve d’inexistence arrive a une inexistence necessaire est simplement une preuve d’inxistence encore plus forte (non contingente)La nécessité en philo est le postulat, grosso modo, que x ne peut-être autre chose que x. L'inexistence ne rentre pas dans ce cadre. C'est l'absence de x. Inexistant n'est pas un attribut, ça n'est pas une manière d'être.
La date du 15 mars est la date qui est la plus étayée. Elle n'est pas prouvée, elle est la meilleure que nous ayons pu trouvé avec les éléments (témoignages et archives) à notre disposition.
Oui et non. Tu parles ici de la foi religieuse (surnaturelle) ; il y a aussi le sens plus general de la croyance philosophique ou de sens commun.Au sens pratique, pas au sens théologique. Au sens pratique, c'est accepter la probabilité en fonction des éléments.
Au sens théologique, c'est avoir la foi, et ce sans preuve pour l'étayer. Si preuve il y a, on a pas besoin de la foi.
Positivisme scientiste. Il n’y aurait jamais de preuve en philo du droit, en philo morale, en philo de la connaissance (qui est justement le domaine du positivisme, ce qui est en plus incoherent).Je suis en total désaccord. Prouvable, c'est nécessairement en soi. La preuve, c'est se qui se rapproche le plus de l'objectivité. C'est pour cela que la preuve ne se situe que sur l'observable, qui est le seul champ qui nous avons tous en commun.
Oui mais c’est pas separe: les differences changent leur statut d’hypothese, et on parle de capacite a prouver l’inexistence: Bob Morane citoyen francais ne en 40 a telle place, etc.Les différences dans ce que serait Bob ou Dieu. Mais pas dans leur statut d'hypothèse.
Parce que la vraie question n'est pas la possibilité d'existence d'une entité mais la capacité à prouver cette existence.
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