Joseph Rutherford et Berta Peale... Beurk !

[Philadelphia]

Bonjour.

Une partie importante des informations reproduites ci-après sont issues du procès Olin Moyle contre Watchtower, procès qui condamnera en 1944 la Société Watchtower à verser plus de 15 000 dollars au plaignant. Une coquette somme à l'époque...

C'est l'histoire d'une jeune femme qui s'appelle Berta Peale. Son nom de jeune fille était Berta Teel. Elle est née en 1901, c'est à dire qu'elle était 32 ans plus jeune que Joseph Rutherford.
Elle dira de Rutherford: "C'était un vrai mari pour moi".

Jusqu'en 1938, Rutherford était accompagné en permanence de Bonnie Boyd une jolie jeune femme qu'il avait pris sous son aile lorsqu'elle avait 16 ans, et qui logeait au 7ème étage des bureaux de Brooklyn, comme Rutherford.
Malheureusement pour Rutherford, en 1938 Bonnie épousa un riche héritier de la Compagnie Coca Cola.

Il lui fallait donc trouver une autre jeune femme pour lui tenir compagnie. C'est là que Bonnie lui présenta Berta Peale. Berta était mariée, et Rutherford aussi d'ailleurs, mais qui s'en préoccupe ?

Rutherford fit venir Berta au Béthel de Brooklyn. Normalement, les nouveaux arrivants, sutout les femmes, doivent passer de longs mois, voire des années, à faire du nettoyage, repassage, épluchage de légumes etc avant de pouvoir espérer tenir un poste plus intéressant au Béthel, mais Berta fut directement propulsée au poste prestigieux de "diététicienne personnelle" de Rutherford. À noter que Rutherford disposait déjà d'un diététicien personnel, mais bon, qui s'en préoccupe ?

Au procès Moyle vs Watchtower on fit valoir que Berta n'avait absolument aucune expérience dans le domaine de la diététique, et que le seul emploi qu'elle eût jamais exercé fût celui d'un "travail à l'usine".

Signalons encore qu'en entrant au Bethel, Berta quitta son mari après quinze ans de mariage. En tant que "petite protégée" de Rutherford, elle ne reçut pas la moindre réprimande à ce sujet.

À partir de là, elle ne quitta plus Rutherford d'une semelle. Elle l'accompagna dans tous ses voyages à travers le monde, en train à vapeur, en bateau à vapeur, dans les hôtels de luxe, etc. Jusqu'à la mort de Rutherford dans la maison de Beth-Sarim (dont je parlerai bientôt) où elle signa l'acte de décès.

Et les dessous sexy alors ? J'y viens.

Lors d'un voyage à Paris payé par la Watchtower, Berta s'acheta un ensemble comprenant une culotte et un soutien-gorge. Ce fait a été rapporté par des membres de sa famille. Le souci, c'est que la culotte était ouverte à l'entre-jambe, et que le soutien-gorge était également ajouré pour laisser sortir les tétons. Plusieurs membres de sa famille en ont été choqués, d'autant qu'elle était "ointe" et "pionnière". Normalement, c'est le genre d'accessoires vestimentaires qu'on s'attendrait plutôt à voir porter par une prostituée de luxe...

Il faut savoir aussi que dans les hôtels, les bateaux et les trains, Rutherford faisait en sorte que sa chambre et celle de Berta soient contiguës, uniquement séparées par une porte commune.

Un matin une femme de chambre trouva une épingle à cheveux de femme dans le lit de Rutherford, alors que Berta et lui-même étaient en déplacement et avaient des chambres voisines.

Longtemps après la mort de Rutherford, alors que Berta était âgée de plus de 70 ans, elle demanda un entretien avec les anciens, car elle n’était pas sûre qu’elle recevrait sa récompense céleste. Les anciens la reçurent, et elle avoua la relation qu’elle avait eue avec Rutherford pendant plus de quinze ans ! Avant de faire cette révélation fracassante, elle leur avait même montré des films où on les voyait s’étreindre et s’embrasser !

Plusieurs membres de la Watchtower, dont Nathan Knorr, ont admis qu'ils le savaient déjà, mais qu'à leurs yeux c'était une histoire ancienne et qu'il ne fallait plus s'en préoccuper.

Voilà voilà. Vous trouverez sans doute encore beaucoup d'autres détails sur les frasques sexuelles de Joseph Rutherford, rien qu'en tapant "Bonnie Boyd" ou "Berta Peale" sur Google.

À bientôt pour de nouvelles aventures...

Votre dévouée,

Philadelphia.

[Chrétien]

On va te demander des références là...

[Philadelphia]

Je n'en ai pas. On trouve pas mal d'informations sur Google, mais surtout en anglais. Après, libre à chacun de croire ou pas en fonction des infos qu'il aura vérifiées.

[Coeur de Loi]

Donc c'est des rumeurs, c'est pas sérieux et recevable.

[medico]

C'est le même genre de rumeur qui circulait sur Jésus ou les juifs disaient de lui que c'était un buveur de vin qui fréquentait les prostitués.

[Diamantine]

Donc c'est des rumeurs, c'est pas sérieux et recevable.

Avec tout ce que l'on sait sur ce personnage, le mot "rumeur" est il à place ?

[Chrétien]

Comme "Beth Sarim" qui devait accueillir Abraham et les autres patriarches ?

[Sibbekaï Houshatite]

C'est le même genre de rumeur qui circulait sur Jésus ou les juifs disaient de lui que c'était un buveur de vin qui fréquentait les prostitués.

Comparer Rutherford à Jésus, c'est juste hors-sujet ...

Pour le cas Rutherforf/Peale, c'est pas forcèment beurk ! ........................ça serait plutôt un faisceau de présomption, qui colle bien avec le personnage.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Preuve

".............des indices concourants peuvent mutuellement renforcer leur niveau de confiance et être alors considérés comme équivalents à une preuve et acceptés comme tels. On parlera alors de faisceau de présomptions."

..

[Chrétien]

Tiens, je viens de trouver ca ... très étrange...

https://books.google.fr/books?id=5oZwCQ ... rd&f=false

Ca aussi, c'est une rumeur ?

http://nicodemes.blogspot.fr/2011/03/le ... rford.html

Et sachez qu'il n'y a jamais de fumée sans feu...

[Futuriste]

Rutherford était vraiment une personne peu recommandable. Je me demande si ses disciples savent qu'il a commis l'adultère pendant plus de 15 ans.

https://www.watchtowerlies.com/rutherfo ... onnie.html

De plus, Rutherfort considérait les femmes comme des êtres inférieurs qui doivent savoir rester à leur place, répétant souvent qu’une femme n’est “qu’un tas d’os et une tignasse de cheveux”. (WT septembre 1941, page 287)

Beurk !