Giova a écrit :Et ou tu voie que c'est signé de son nom ? Elle est bonne celle la.. un homme est venu avec le coran et a dit que ses de Dieu. Pfff svp
C'est une bonne question ma foi, comme t'expliquer cela, c'est que ce n'est pas simple !? Je vais essayer par la métaphore...
Tu peux concevoir qu'il y ait des caractéristiques propres à un individu selon sa pensée comme tous le monde j'imagine. De fait si l'on te proposait plusieurs lettres traitant de divers sujets propres aux idées de chaque auteur et qu'au milieu de ces lettres s'en trouve une de ton père que tu ne saurais distinguer autrement qu'à travers ses idées, sa forme de pensée, parce qu'aucune lettre ne porterait de nom cela va de soi. Tu n'aurais aucun mal à retrouver celle de ton père, parce que sa pensée, ses idées te seront familières et les autres lettres t'apparaitront étrangères.
Tu comprendras que ton père n'a pas besoin de s'identifier pour que tu le reconnaisses, sa pensée elle-même sera signée de son identité. Pour cela bien sûr il est nécessaire que tu connaisses bien ton père, cela va de soi...
Alors, Mohamet le disait oui, faut il pouvoir distinguer alors s'il disait ou non la vérité; C'est une affaire de cœur pas de raison que de l'accréditer ou non. Si dieu est pour toi, en ton cœur, un étranger que tu ne connais pas comment reconnaitras-tu si la lettre est de lui ou non ? Maintenant si dieu est en toi un intime, comme un père que tu connais bien, tu n'auras aucune mal à reconnaître l'identité de celui qui rédigeait la lettre, simplement.
Seleucide a écrit : Où vois-tu que Dieu "engendre" des fils et des filles ?
Tout d'abord je rappelle que le verbe "engendrer de dieu" est une métaphore, ce n'est pas à prendre au premier degré, dieu n'engendre pas plus qu'il engendre ce qui conviendrait mieux serait plutôt "former" (dieu forme selon le principe de la genèse, Adam fut formé, façonné, créé, fait (engendré) ) - Je verrai que dieu engendre (forme, façonne) des fils et filles selon le principe d'adhésion que génère la foi. Dans l'idée:
Épîtres de JEAN - Lettres de Iohanân CHAPITRE 5. - 1. Quiconque adhère à: Iéshoua' est le messie est né d'Elohîms. Quiconque aime l'engendreur aime aussi celui qu'il a engendré. 2. En ceci nous pénétrons que nous aimons les enfants d'Elohîms, quand nous aimons Elohîms et que nous faisons ses misvot. 3. Oui, tel est l'amour d'Elohîms: garder ses misvot. Et ses misvot ne sont pas pesantes, 4. puisque tout ce qui naît d'Elohîms triomphe de l'univers. Et voici la victoire qui a vaincu l'univers: notre adhérence. 5. Qui est le vainqueur de l'univers, sinon celui qui a adhéré à ce que Iéshoua' est le fils d'Elohîms ?