gilbert a écrit :
"Parfaitement scientifique" dites-vous !?
Donc, comme tout ce qui relève de "la science": parfaitement limité !
C'est curieux que pour les musulmans un "vieux témoignage du passé" soit certifié et authentifié sans aucun doute , alors que pour les chrétiens, cette même science et ces mêmes scientifiques laissent "planer un doute" sur l'authenticité du linceul de Turin ....!
Non pas que le Saint-Suaire soit "moins authentique" que ce fragment du Coran, mais bien parce que les chrétiens n'ont pas cette compulsion propre à bien des musulmans, de vouer un véritable culte aussi bien au Coran, qu'à Mohammed et à leur propre religion, l'islam, que beaucoup ont une fâcheuse tendance à identifier à Dieu Lui-même !
Cette "adoration" sans limite et cette quête de tout ce qui peut concourir à mettre l’islam sur un piédestal relève, ni plus ni moins, du "bon vieux" fétichisme, et de cette idolâtrie que , de toute évidence et malheureusement, Mohammed n'a pas réussi à éradiquer du coeur de bien des arabes et de ceux qui leur ont emboîté le pas en épousant l'islam, ces musulmans non-arabes.
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mon ami, personne n a parlé de victoire, mais si un manuscrit analysé dans des laboratoires occidenteaux, resulte qu il date du temps du prophete Mohamed swas signifie que toutes les suppositions erronées faites par les amis chretiens concernant la validité du Coran vont tombés dans l eau, et que le Coran, a été ecrit comme on a toujours répéter au temps du calife othmane.
Concernant le lenceuil de Turin il date de 1300 alors que les chretiens y compris les Papes , se prosternent devant faisant semblant qu il appartenais a Jesus.
Le suaire de Turin, ou linceul de Turin, est un drap de lin daté du Moyen Âge selon le procédé de datation par le carbone 14. Il montre l'image d'un homme présentant les traces de blessures correspondant à un crucifiement, figurant certains détails de la Crucifixion de Jésus de Nazareth décrite dans les évangiles canoniques. Objet de piété populaire, considéré par l'Église catholique comme une icône et vénéré par certains croyants comme une relique insigne, il est conservé aujourd'hui dans la chapelle de Guarini de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin.
La première mention documentée et non contestée de ce drap provient de Lirey, en Champagne, en 1357. L'autorité ecclésiastique du lieu, c'est-à-dire l'évêque de Troyes, y interdit l'ostension de l'objet. Cet évêque a mené son enquête sur le linceul et en a conclu qu'il s'agissait d'un faux. Trente ans plus tard, son successeur en arrive à la même conclusion. Cependant, en 1390, l'antipape Clément VII, qui est un parent de la propriétaire du linceul Jeanne de Vergy, publie une bulle autorisant l'ostension et qualifie l'image de « figure ou représentation ».
En 1898, est publiée une photographie du linceul dont le négatif donne une forte impression de relief. La datation et l'authenticité du linceul suscitent dès lors d'âpres débats : le suaire de Turin devient l'« artefact le plus étudié de l'histoire » pendant près d'un siècle.
En 1988, la datation au carbone 14 conclut à une origine médiévale du suaire (xiiie ‑ xive siècle). Ces résultats sont unanimement validés par la communauté scientifique. Ils sont toutefois rejetés par des partisans de l'authenticité, dont certains contestent la validité de l'échantillon ou la datation au carbone 14 pendant que d'autres fondent leur argumentation sur des théories, notamment sur une hypothétique existence du linceul avant 1357, sur l'éventualité de la présence de sang ou de pièces de monnaie, sur l'existence d'inscriptions qui figureraient sur le linceul, sans qu'aucune expertise scientifique n'ait pu remettre en cause les résultats du carbone 14 obtenus en 1988.
Dès qu'ils ont été publiés, les résultats de l'analyse au carbone 14 ont été acceptés par le pape Jean-Paul II. Mais l'Église catholique, propriétaire du linceul depuis 1983, ne s'est jamais prononcée officiellement sur l'authenticité. Elle considère que cet objet n'ajoute rien à la foi chrétienne (qui ne relève pas du domaine de la preuve) et que le suaire ne constitue en aucune façon une preuve de la Résurrection qui est le fondement de cette foi. En 1998, Jean-Paul II a qualifié le linceul de « provocation à l'intelligence » et invité les scientifiques à poursuivre leurs recherches.
Un drap que tout les laboratoire du monde en classé comme appartenant au 1300, l eglise continue a l exposé comme ayant les trace de jesus; et elle continue a imposée aux pauvres chretiens ses fausses prescriptions comme l avait faites a Galileo galileie.