RT2 a écrit :la question est plutôt "est-ce plus hallucinant de porter des cas quand la loi de condamnait pas parce qu'il n'y avait pas de loi ou de faire appliquer la loi de manière rétroactive sur une seule partie de la population" ?
Je pose juste une question pour savoir car déjà comptabiliser à partir de 1950 uniquement les TJ sans comptabiliser les autres pose un gros problème moral et d'impartialité....
Surtout quand on considère les années allant de 1968 à 1981 avec la très célèbre Révolution sexuelle
On y a vu de tout en ce temps-là, jusque dans les classes politiques. Des avocats, des juges, des sénateurs qui s'affichaient homos ou pédophiles, et même des journalistes comme Matzneff, au journal
le Monde par exemple, qui remplissait des pages de propos faisant l'apologie de la pratique sans que la justice ne soit venu l'inquiéter une seule fois avant le milieu des années 80 (et encore, si on peut appeler ça des ennuis, il a juste été viré du
Monde ).
Sincèrement, si cette Commission Royale avait dit "depuis 2000", je n'aurais même pas relevé - et encore - mais là! 1950
Et tous nos petits "ami(e)s" opposants à l’œil ouvert, blindés d'amour et à l'intelligence éclairée qui sautent là-dessus sans même réfléchir une seconde, sans même s'apercevoir de l'incohérence de cette commission et la supercherie qui se cache derrière
Et puis, en effet, cette rétroactivité est tout de même... étonnante car lorsque les première lois contre la pédophilie sont sorties, combien sont, du coup, aller dénoncer leurs collègues qui devaient dorénavant se cacher pour continuer à satisfaire leurs penchants ? Aucun ? Et lorsque les lois en matière de dénonciation se sont étendues au-delà des familles entre 2008 et 2013, combien ? Pas mieux ? Mmmmmh, ça mériterait une enquête approfondie ça, si ça se trouve, la moitié des membres de cette Commission est coupable elle aussi de non-dénonciation aux autorités depuis 1950