Guerre du net !

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
Répondre
averoes

averoes

Ecrit le 29 juil.05, 01:40

Message par averoes »

Canasova a écrit :Ah ça !
Ce merveilleux peuple s'est inscrit dans la longue tradition qui fait le charme des pays arabo musulmans :
femmes violées, enfants embrochés, population arabe réticente au Fln massacrée avec application, terrorisme à la bombe, massacre de cent mille harkis sans défense (la honte de la France), massacres d'Oran etc etc
Bien tenace tradition en vérité, encore vivace aujourd'hui à travers le monde.

De Gaulle a déliré, mais Massu avait bien joué le coup, dommage.
<img src="http://images-eu.amazon.com/images/P/27 ... ZZZZZZ.jpg" align="left">Mise en vente en librairie le 2 septembre 2004
ISBN 2-7071-4163-1, 456 pages, 22 €


Marie-Monique Robin

Escadrons de la mort, l’école française



presentation


Dans les années 1970 et 1980, les dictatures militaires du Cône sud de l’Amérique latine ont férocement réprimé leurs opposants, utilisant à une échelle sans précédent les techniques de la « guerre sale » : rafles indiscriminées, torture systématique, exécutions extrajudiciaires et « disparitions », escadrons de la mort… C’est en enquêtant sur l’organisation transnationale dont s’étaient dotées ces dictatures — le fameux « Plan Condor » — que Marie-Monique Robin a découvert le rôle majeur joué secrètement par des militaires français dans la formation à ces méthodes de leurs homologues latino-américains (et en particulier argentins). Des méthodes expérimentées en Indochine, puis généralisées au cours de la guerre d’Algérie, pendant laquelle des officiers théoriseront le concept de « guerre révolutionnaire ».
Dès la fin des années 1950, les méthodes de la « Bataille d’Alger » sont enseignées à l’École supérieure de guerre de Paris, puis en Argentine, où s’installe une « mission militaire permanente française » constituée d’anciens d’Algérie (elle siègera dans les bureaux de l’état-major argentin jusqu’à la dictature du général Videla). De même, en 1960, des experts français en lutte antisubversive, dont le général Paul Aussaresses, formeront les officiers américains aux techniques de la « guerre moderne », qu’ils appliqueront au Sud-Viêtnam.
Fruit d’une enquête de deux ans, menée en Amérique latine et en Europe, ce livre apporte d’étonnantes révélations, appuyées sur des archives inédites et sur les déclarations exclusives de nombreux anciens généraux — français, américains, argentins, chiliens… Des dessous encore méconnus des guerres françaises en Indochine et en Algérie, jusqu’à la collaboration politique secrète établie par le gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing avec les dictatures de Pinochet et de Videla, ce livre dévoile une page occulte de l’histoire de France, où se croisent aussi des anciens de l’OAS, des fascistes européens ou des « moines soldats » agissant pour le compte de l’organisation intégriste la Cité catholique…

averoes

averoes

Ecrit le 29 juil.05, 01:49

Message par averoes »

Canasova a écrit :Ah ça !
Ce merveilleux peuple s'est inscrit dans la longue tradition qui fait le charme des pays arabo musulmans :
femmes violées, enfants embrochés, population arabe réticente au Fln massacrée avec application, terrorisme à la bombe, massacre de cent mille harkis sans défense (la honte de la France), massacres d'Oran etc etc
Bien tenace tradition en vérité, encore vivace aujourd'hui à travers le monde.

De Gaulle a déliré, mais Massu avait bien joué le coup, dommage.
I. DE L’INDOCHINE A L’ALGERIE, LA NAISSANCE DE LA DOCTRINE FRANÇAISE

1. Garder l’empire a tout prix 6
« Notre si chère Algérie » 6
L’épopée indochinoise du colonel Lacheroy 9
L’option militaire du colonialisme français 13
L’empire français menacé en Indochine 15
Le choix des armes 18

2. En Indochine, l'invention de la « guerre moderne » 21
« Guérilla contre guérilla » 22
Les intuitions du colonel Trinquier 24
Le désarroi du capitaine Léger 27
Un « ennemi étonnant » 29
Une « guerre pourrie » 32

3. Guerre froide et guerre révolutionnaire 36
Les « militaires révolutionnaires » 36
La hantise de la « cinquième colonne » 38
Lacheroy, théoricien de la « guerre révolutionnaire » 42
Le « scénario-type » de la guerre subversive 44
« Réduire au silence l’ennemi intérieur » 47

4. De la Résistance à la « guerre sale » 50
Les secrets du général Aussaresses 50
De l’esprit des « Jedburgh » au « 11e Choc » 53
La « guerre psychologique » 55
La « guerre moderne » du colonel Trinquier 57
Les méthodes de la « sale guerre » 60
L’humiliante défaite de Dien Biên Phu 62
L’obsession anticommuniste 64

5. Des « Viêts » aux « fellouzes » : la guerre contre-révolutionnaire 67
Un « officier de caractère » 67
Colonisation et racisme ordinaire 69
L’insurrection des « hors la loi » 71
L’influence des « officiers malades de l’Indochine » 74
La guerre contre-révolutionnaire 78
Les débuts de l’« action psychologique » 79
L’état-major revendique des « méthodes nouvelles » 81

6. Une justice taillée sur mesure, ou vers une législation d’exception 84
Paul Aussaresses, le « nettoyeur » 84
Philippeville, ou l’embryon d’un système 86
La primauté absolue du renseignement 89
Vers une législation d’exception 91
Les ultras d’Algérie prennent le relais 94
L’engrenage du terrorisme 97
Le « coup dans le dos » de l’expédition de Suez 99

7. La bataille d’Alger : le pouvoir civil abdique 102
Yacef Saâdi, acteur et producteur de… La Bataille d’Alger 102
Une législation taillée sur mesure 104
Les rafles, ou les « arrestations groupées » du commandant Aussaresses 107
L’interrogatoire et les « méthodes bien connues » 111
Les centres de détention clandestins 114

8. Le modèle de la guerre antisubversive 119
Escadrons de la mort et disparitions 119
Camouflages 122
Le « dispositif de protection urbaine » du colonel Trinquier 124
La création des 5e bureaux 127
Les bleus de chauffe du capitaine Léger 129
Un modèle reproduit dans toute l’Algérie 133

9. La torture : l’arme de la guerre antisubversive 135
La torture avant la bataille d’Alger 136

« Nos lois actuelles sont inadaptées au terrorisme » 138
L’argument de l’efficacité 140
L’institutionnalisation de la torture 144
La consécration de la torture comme une arme de guerre 147
Des moyens pour les professionnels de la torture 149
Le Centre d’entraînement à la guerre subversive de Bigeard 151

10. Coup d’État et guerre totale 155
Le coup de force de l’armée 155
Le général De Gaulle prend le pouvoir 158
L’élaboration d’un modèle dictatorial 159
La guerre totale 162
Les hélicoptères de combat de Bigeard 164
Les milliers de victimes de la « bleuite » 166
Les adeptes de l’action psychologique se radicalisent 168
Janvier 1960 : les « barricades » d’Alger 169

11. Le lobby national-catholique 173
Georges Grasset, le « moine-soldat » de la Cité catholique 173
Jean Ousset, le « grand chef d’orchestre » de la contre-révolution 177
L’armée, « terrain de prédilection » de la Cité catholique 181
La Cité catholique justifie l’usage de la torture en Algérie 183
La croisade anticommuniste de Georges Sauge 185
Les deux mamelles de la « doctrine française » 187


12. Un produit « made in France » 189
Un général argentin à Paris 189
Les débuts de la transmission internationale 192
La greffe argentine 196
Les assesseurs militaires français s’installent à Buenos Aires 198
Mercenaires au Zaïre, à la demande de Pierre Messmer 201
Les États-Unis réclament des « spécialistes » 204

13. Le putsch d’Alger et l’OAS : les meilleurs élèves 207
« Prêt à tuer à nouveau… » 207
Le putsch du 21 avril 1961 210
L’OAS : un modèle contre-révolutionnaire 212
Les commandos Delta : le prototype des escadrons de la mort 215
Un exemple pour l’extrême droite internationale 219
La fuite protégée des membres de l’OAS 221
L’amnistie légitime les crimes 224

II. L’EXPORTATION AUX AMERIQUES

14. La greffe française en Argentine 227
Une doctrine « néfaste et perverse » 227
Le « coup d’État funeste de 1930 » 230
L’irrésistible ascension du général Perón 233
Robert Bentresque, le « technicien de la guerre antisubversive » 235
Les premières applications argentines de la doctrine française 239
Le premier cours interaméricain de guerre contre-révolutionnaire 242
L’élaboration du modèle dictatorial 244
Un manuel pour préparer la « guerre sainte » 246

15. Le glaive et le goupillon 249
Mgr Lefebvre en Argentine 249
Georges Grasset, l’introuvable « moine-soldat » 250
La vieille complicité des extrêmes droites française et argentine 253
« La croix et l’épée » 256
Le « syndicat des condamnés à mort » 259
Le colonel Gardes et l’École de mécanique de la Marine 261
La Ciudad católica prend le pouvoir 263
La Bataille d’Alger et l’enseignement de la torture 266

16. La doctrine française est exportée aux États-Unis 270
D’Aussaresses à… Ben Laden 271
La guerre psychologique de l’OSS 274
« La route vers Fort Bragg » 277
Bernard Fall, l’expert français des États-Unis 279
Les experts français arrivent aux États-Unis 282
Les enseignements d’Aussaresses à Fort Bragg 284
L’« Opération Phénix », une copie de la bataille d’Alger 289

17. L’heure des centurions 294
Les émules de Lartéguy 294
La doctrine de la sécurité nationale 295
Kennedy, l’apôtre de la guerre contre-révolutionnaire 298
La diffusion massive de la doctrine contre-révolutionnaire 300
Les « constructeurs de la nation » 303
L’École des Amériques 305
Les manuels d’instruction de la CIA 307
Le renseignement et la torture 309
Le nid des escadrons de la mort 311
De « nouveaux besoins » ? 314

18. Les États de sécurité nationale 315
Aussaresses et les escadrons de la mort du Brésil 315
Le centre d’instruction de Manaus 316
Le « fascisme colonial » ou la « version créole du fascisme européen » 318
Coup d’État annoncé au Chili 322
La « quintessence de la sécurité nationale » 326
La DINA chilienne, une police politique sur le « modèle français » 328
Chili, 2003 : rencontre avec un chef tortionnaire 331
Un service très efficace 335

19. Chronique d’un coup d’État programmé 338
La « variante argentine de la sécurité nationale » 338
Révoltes populaires et groupes révolutionnaires 340
Le massacre d’Ezeiza et le retour de Perón 344
López Rega et l’internationale noire 346
La guerre sale de la « Triple A » 348
L’« Opération Indépendance » 350
Le banc d’essai de la guerre sale 353
La DINA collabore avec la Triple A 356
L’« Opération Colombo » 358

20. La bataille d’Argentine 361
« Une copie de la bataille d’Alger » 361
Le « processus de réorganisation nationale » 364
« Nous tuerons tous les indifférents et les indécis » 367
La mission militaire française : « muets comme des tombes » 369
« La rédemption par le sang » 374

21. La confession 377
« La fin justifie les moyens » 377
Rencontre avec un fasciste tortionnaire 380
« Un triste privilège argentin » 384
Harguindéguy, l’homme fort de la junte 386
« Les disparus furent une erreur » 388
Michel Poniatowski : un ami fidèle de la dictature 391
L’affaire du colonel Le Guen 392

22. L’École de mécanique de la Marine : le « modèle » contre-révolutionnaire 395
Alfredo Astiz et le mystérieux boiteux 395
L’enfer de « Selenio » 397
Le GT 3332 : une copie fidèle du modèle français 399
Les vols de la mort 403
« El Tigre » et son « maître français » 406
Le boiteux de l’OAS 408
Le « Centro piloto » de Paris 411
Massera rencontre Valéry Giscard d’Estaing 414
La guerre des Malouines, ou la débandade des spécialistes de la guerre antisubversive 417

23. L’opération Condor et l’Internationale noire 420
Les archives d’Arancibia Clavel 421
La première collaboration des polices secrètes 423
Les « archives de la terreur » 425
Les prémisses de l’opération Condor 428
Une « multinationale de la répression » 430
La complicité tacite des États-Unis 433
L’Internationale noire 436
Le vol du Condor 439
Condor frappe à Paris 442
La « bombe » du général Contreras 444
La chasse aux gauchistes 447
L’Argentine exporte les techniques de la bataille d’Alger 450

Conclusion
Au Parlement français : de la reconnaissance au déni de la réalité
La « doctrine française »[:color] au cœur du génocide rwandais
Les guerres sales d’Irlande, de Bosnie et de Tchétchénie
De Guantanamo à la guerre d’Irak
La « sale guerre » des généraux algériens des années 1990
Le pays des droits de l’homme

Canasova

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 80
Enregistré le : 10 juil.05, 08:14
Réponses : 0

Ecrit le 29 juil.05, 04:45

Message par Canasova »

Il y a deux sortes de gens en France
Ceux qui aiment la France
Et ceux qui aiment ses assedics, et passent leur temps à critiquer tout ce qu'elle a fait, en essayant de toujours plus la culpabiliser.
Certains traitres gauchistes leur ont donné ce droit dans un passé récent, comment s'étonner qu'ils en usent et en abusent ?
Continue donc donc, Averoes, tu es ce que tu sembles etre ,et plus tu critique le passé de la France, mieux on sait qui tu es.
A vrai dire tu n'offres aucune surprise : tu étais surement au Stade de France à brandir cerains drapeaux lors d'un France-Algérie célèbre, ou encore tu arrives d'une madrassa avec une éducation complète.
La France n'a que faire de gens comme toi.

T'as des papiers, une carte d'identité ? Et alors ? Comme tu passes ton temps à cracher sur le pays qui te permet une vie dont tu ne pourrais même pas rever là d'où tu viens, je te suggère d'y retourner.
Pour ton bonheur , bien entendu.

ahasverus

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 6383
Enregistré le : 29 mai05, 17:50
Réponses : 0
Localisation : Asie du Sud Est

Ecrit le 29 juil.05, 15:15

Message par ahasverus »

Canasova a écrit :Il y a deux sortes de gens en France
Ceux qui aiment la France
Et ceux qui aiment ses assedics, et passent leur temps à critiquer tout ce qu'elle a fait, en essayant de toujours plus la culpabiliser.
Certains traitres gauchistes leur ont donné ce droit dans un passé récent, comment s'étonner qu'ils en usent et en abusent ?
Continue donc donc, Averoes, tu es ce que tu sembles etre ,et plus tu critique le passé de la France, mieux on sait qui tu es.
A vrai dire tu n'offres aucune surprise : tu étais surement au Stade de France à brandir cerains drapeaux lors d'un France-Algérie célèbre, ou encore tu arrives d'une madrassa avec une éducation complète.
La France n'a que faire de gens comme toi.

T'as des papiers, une carte d'identité ? Et alors ? Comme tu passes ton temps à cracher sur le pays qui te permet une vie dont tu ne pourrais même pas rever là d'où tu viens, je te suggère d'y retourner.
Pour ton bonheur , bien entendu.
Et si Averoes etait citoyen Francais dont le grand pere est mort en deportation et le grand pere dans les tranchees de Verdun, Quel serait tes commentaires?
Tu es sur le mauvais Forum, Casanova. Il y a des forums d'extreme droite ou tu seras plus heureux, ou tu pouras casser du bicot a ton aise.

Canasova

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 80
Enregistré le : 10 juil.05, 08:14
Réponses : 0

Ecrit le 29 juil.05, 17:13

Message par Canasova »

Et si Averoes etait citoyen Francais dont le grand pere est mort en deportation et le grand pere dans les tranchees de Verdun, Quel serait tes commentaires
Oh.. sans avoir besoin de tout ça, il lui suffirait de ne pas dénigrer encore et toujours ce que fait ou a fait la France.
Ras le bol des henri Martin (pas l'historien, le communiste)et des gisèle halimi.
Ras le bol des jérémiades, des cour d'assises permanentes pour juger la France à tout propos, ras le bol des bouteflicka donneurs de leçons, jamais un merci, jamais un mot pour parler de leurs devoirs , toujours à exiger des droits, à cracher sur nous.
Et à tout prendre l'extreme droite n'est qu'une autre face du fascisme islamiste.je te la laisse donc.
Nous n'avons pas les mêmes valeurs.

ahasverus

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 6383
Enregistré le : 29 mai05, 17:50
Réponses : 0
Localisation : Asie du Sud Est

Ecrit le 29 juil.05, 18:06

Message par ahasverus »

Lepen dans le meme lit que Bin Laden.
On peut dire que tu as le sens de l'humour. :lol:

Si le francais n'etait pas raleur il ne serait pas francais. :wink:

Répondre
  • Sujets similaires
    Réponses
    Vues
    Dernier message

Retourner vers « GÉNÉRAL Libre »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : J'm'interroge et 4 invités