Quelque soit l'origine de l'hypothétique source Q, cela n'a AUCUNE influence sur le choix de la langue qu'on fait les auteurs des évangiles. AUCUN spécialiste croit que les évangiles de Luc et Marc furent écrits en hébreu et encore moins le livre des Actes.
Détrompe toi encore une fois homere. En fait le problème est plus subtil. Ce n'est pas tant, est-ce que les évangiles ou les actes ont été écrits en hébreu, mais est-ce qu'il y a eu une sorte de PRISE DE NOTES pendant le ministère de Jésus (en hébreu ou en araméen) ? A mon avis, oui. On a retrouvé à Qumrân ce type de documents, nommé "florilèges" qui ressemblent beaucoup à l’argumentation scripturaire des auteurs du NT.
C'est surtout la présence de sémitismes qui est un indicateur. Le fait également que Matthieu, Marc et Luc soient des SYNOPTIQUES. C'est bien qu'ils ont puisé à une SOURCE
Gnosis,
Merci de ne pas être dogmatique.
C'est jamais ton cas
Même parmi les livres que tu cites, certains emploient PEU le tétragramme (dans la TMN bien sûr), Jude = 3 insersions "Jéhovah", la Révélation 13 occurences "Jéhovah, pour 22 chapitres, soit presque une occurence "Jéhovah" tous les 2 chapitres, enfin dans l'épitre aux hébreux, 12 occurences "Jéhovah", pour 13 chapitres, soit mois d'une occurences par chapitre. Même en utilisant la TMN, on se rend compte que l'utilisation du tétragramme n'était pas un usage courant et régulier.
Encore une fois je t'explique, tu es dur à comprendre
Tu parle de rupture, mais parle t-on dans les écritures de rupture?
Il s'agit de délégation au même titre qu'un roi envoie son ambassadeur
Le Père à remis toute choses entre ses mains (Jean 3/35)
Délégation homere, pas rupture.
A la fin, Jésus remettra tout ce qui a été confié dans les mains du Père (1 cor 8/5,6)
C'est pour cela que la figure du Christ est central dans le NT.
Néanmoins Jésus n'est que l’intermédiaire, le médiateur (1 Timothée 2:5) et la finalité du culte, c'est toujours l'adoration du Père. Jésus n'est que seigneur tandis que le Père est Dieu. Il restait tout a fait utile d’employer le nom divin, pour ne pas mélanger Jésus avec Jéhovah.
"Le style. L'épître aux Hébreux est, des écrits du Nouveau Testament, celui qui est rédigé dans le grec le plus pur. (Holtzmann, Einleitung, 1892, p297). L'auteur observe dans sa composition les principes de la rhétorique des anciens. Il se plaît à arrondir ses périodes (1.1-4 ; 12.18-24), à user d'antithèses, de jeux de mots (9.15-18), d'assonances. Ces particularités de style ne peuvent se transporter d'une langue dans une autre et prouvent que notre épître n'est pas, comme le supposait Clément d'Alexandrie, la traduction d'un original hébreu.
Homere, homere, pourquoi agis tu ainsi?!!!
Quand je parle de sémitisme concernant la lettre d’hébreux. Ce que je veux dire, c'est que l'épître aux Hébreux à était écrite clairement dans un contexte où l'on parlait hébreu. Le document a été écrit en grec, mais l'auteur pensait fortement en hébreu (ou araméen), et cela se voit.
A+